Explosion d’un immeuble dans l’Ain: deux jeunes enfants décédés

Les recherches doivent reprendre mardi matin à Trévoux, dans l’Ain, dans les décombres d’un immeuble d’habitation où une explosion a tué lundi deux enfants en bas âge et fait treize blessés.L’explosion, dont la cause n’a pas encore été identifiée, s’est produite vers 17H30 au rez-de-chaussée d’un bâtiment de quatre étages, dans cette ville de 6.930 habitants située à une quarantaine de kilomètres au nord de Lyon.Le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez se rend sur place mardi matin avant de rejoindre le président Emmanuel Macron à Marseille pour une visite dédiée à la lutte contre le narcotrafic et la modernisation de la ville, a indiqué à l’AFP son entourage.”Le ministre a suivi l’évolution de la situation toute la soirée et a décidé de s’y rendre en soutien aux habitants, aux élus et aux équipes de secours mobilisées sur place”, a-t-on précisé.Lundi soir “il y a eu des recherches jusqu’à 23h30 avec des chiens qui n’ont rien détecté”, a déclaré à l’AFP mardi matin le maire de Trévoux, Marc Péchoux. “Mais les secours reviennent ce matin pour de nouveau investiguer les gravats et voir s’ils sont bien sûrs qu’il n’y a plus personne dessous”, a-t-il ajouté.- “Comme une bombe” -La mère d’Abdel, âgée de 81 ans, habitait au 2e étage de l’immeuble soufflé. “Elle n’a rien compris. La porte a volé, les fenêtres ont éclaté. Un bruit assourdissant, comme une bombe”, a raconté à l’AFP le fils de l’octogénaire. “Elle est en état de choc, elle est légèrement blessée aux genoux. L’essentiel, ce matin, elle est chez moi, elle va bien”, a-t-il ajouté.L’immeuble ne s’est pas effondré, “mais il y a eu beaucoup de dégâts et de projections de matériaux, ça a fragilisé la structure”, a expliqué à la presse la préfète de l’Ain Chantal Mauchet, qui s’est rendue sur place lundi.”Malheureusement, deux (…) jeunes enfants ont été déclarés décédés après des tentatives de réanimation par les équipes de secours”, a-t-elle ajouté. Ils étaient âgés de trois et cinq ans selon une source au sein des secours.Dix personnes en urgence relative ont été transportées vers les hôpitaux de la région et trois personnes légèrement blessées se sont présentées d’elles-mêmes à l’hôpital, a précisé la préfecture dans un communiqué.Environ 70 habitants vivaient dans ce bâtiment qui a été “soufflé”, selon le maire. Près de 50 d’entre eux ont été hébergés provisoirement dans deux hôtels, un camping de la ville, et d’autres chez des proches, selon la mairie.”Il va falloir gérer, bien sûr, l’aspect psychologique de ce drame qui a touché les parents, puis tous les voisins et l’ensemble de la ville”, a indiqué le maire.- Hypothèse du gaz -“J’ai entendu un gros boum” et quand “je suis descendue j’ai vu que la porte, la vitre étaient complètement explosées”, a témoigné une voisine sous couvert d’anonymat. “J’ai entendu des hurlements puisqu’une maman avait ses enfants sous les décombres.”La déflagration était tellement forte que les vitres de deux établissements scolaires à proximité se sont brisées sans faire de blessés, a indiqué la préfecture.”J’étais dans le lycée, on a entendu un gros boum, ça a fait tout trembler (…) le lycée a été évacué”, ont décrit à l’AFP deux élèves, Maylee et Lena. “On a paniqué”, ont ajouté les jeunes filles.Les causes de l’explosion restent à cette heure indéterminée. Une camionnette d’intervention “urgence gaz” a été vue sur les lieux par l’AFP, mais l’hypothèse d’une fuite de gaz n’a pas pu être corroborée dans l’immédiat.La préfète a indiqué qu’une enquête a été ouverte. Le parquet de Bourg-en-Bresse n’était pas joignable dans l’immédiat.D’importants moyens humains et matériels ont été déployés pour les secours et les investigations: 50 pompiers, 36 engins et des secours médicalisés, et 45 gendarmes pour délimiter la zone et déterminer les causes du sinistre.

Explosion d’un immeuble dans l’Ain: deux jeunes enfants décédés

Les recherches doivent reprendre mardi matin à Trévoux, dans l’Ain, dans les décombres d’un immeuble d’habitation où une explosion a tué lundi deux enfants en bas âge et fait treize blessés.L’explosion, dont la cause n’a pas encore été identifiée, s’est produite vers 17H30 au rez-de-chaussée d’un bâtiment de quatre étages, dans cette ville de 6.930 habitants située à une quarantaine de kilomètres au nord de Lyon.Le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez se rend sur place mardi matin avant de rejoindre le président Emmanuel Macron à Marseille pour une visite dédiée à la lutte contre le narcotrafic et la modernisation de la ville, a indiqué à l’AFP son entourage.”Le ministre a suivi l’évolution de la situation toute la soirée et a décidé de s’y rendre en soutien aux habitants, aux élus et aux équipes de secours mobilisées sur place”, a-t-on précisé.Lundi soir “il y a eu des recherches jusqu’à 23h30 avec des chiens qui n’ont rien détecté”, a déclaré à l’AFP mardi matin le maire de Trévoux, Marc Péchoux. “Mais les secours reviennent ce matin pour de nouveau investiguer les gravats et voir s’ils sont bien sûrs qu’il n’y a plus personne dessous”, a-t-il ajouté.- “Comme une bombe” -La mère d’Abdel, âgée de 81 ans, habitait au 2e étage de l’immeuble soufflé. “Elle n’a rien compris. La porte a volé, les fenêtres ont éclaté. Un bruit assourdissant, comme une bombe”, a raconté à l’AFP le fils de l’octogénaire. “Elle est en état de choc, elle est légèrement blessée aux genoux. L’essentiel, ce matin, elle est chez moi, elle va bien”, a-t-il ajouté.L’immeuble ne s’est pas effondré, “mais il y a eu beaucoup de dégâts et de projections de matériaux, ça a fragilisé la structure”, a expliqué à la presse la préfète de l’Ain Chantal Mauchet, qui s’est rendue sur place lundi.”Malheureusement, deux (…) jeunes enfants ont été déclarés décédés après des tentatives de réanimation par les équipes de secours”, a-t-elle ajouté. Ils étaient âgés de trois et cinq ans selon une source au sein des secours.Dix personnes en urgence relative ont été transportées vers les hôpitaux de la région et trois personnes légèrement blessées se sont présentées d’elles-mêmes à l’hôpital, a précisé la préfecture dans un communiqué.Environ 70 habitants vivaient dans ce bâtiment qui a été “soufflé”, selon le maire. Près de 50 d’entre eux ont été hébergés provisoirement dans deux hôtels, un camping de la ville, et d’autres chez des proches, selon la mairie.”Il va falloir gérer, bien sûr, l’aspect psychologique de ce drame qui a touché les parents, puis tous les voisins et l’ensemble de la ville”, a indiqué le maire.- Hypothèse du gaz -“J’ai entendu un gros boum” et quand “je suis descendue j’ai vu que la porte, la vitre étaient complètement explosées”, a témoigné une voisine sous couvert d’anonymat. “J’ai entendu des hurlements puisqu’une maman avait ses enfants sous les décombres.”La déflagration était tellement forte que les vitres de deux établissements scolaires à proximité se sont brisées sans faire de blessés, a indiqué la préfecture.”J’étais dans le lycée, on a entendu un gros boum, ça a fait tout trembler (…) le lycée a été évacué”, ont décrit à l’AFP deux élèves, Maylee et Lena. “On a paniqué”, ont ajouté les jeunes filles.Les causes de l’explosion restent à cette heure indéterminée. Une camionnette d’intervention “urgence gaz” a été vue sur les lieux par l’AFP, mais l’hypothèse d’une fuite de gaz n’a pas pu être corroborée dans l’immédiat.La préfète a indiqué qu’une enquête a été ouverte. Le parquet de Bourg-en-Bresse n’était pas joignable dans l’immédiat.D’importants moyens humains et matériels ont été déployés pour les secours et les investigations: 50 pompiers, 36 engins et des secours médicalisés, et 45 gendarmes pour délimiter la zone et déterminer les causes du sinistre.

Asian markets retreat ahead of US jobs as tech worries weigh

Asian markets extended losses with Wall Street on Tuesday as investors prepared for key US jobs and inflation data, while sentiment remains subdued by worries over a possible tech bubble.After a healthy tech-led run this year, traders appeared to be seeing it out on a tepid note amid questions over the huge sums pumped into artificial intelligence and indications the Federal Reserve will pause cutting interest rates.All eyes are on the release later in the day of US November jobs data and the delayed reading for October, which will be followed on Thursday by consumer price index figures.The readings will be pored over for some idea about the Fed’s plans for borrowing costs as officials debate whether or not to continue lowering them in January.Comments from decision-makers show the policy board split, with recent reductions coming on the back of worries about the weakening labour market but concern now turning to stubbornly high inflation.Governor Stephen Miran — an appointee of Donald Trump — warned that rates are still too high, while New York Fed boss John Williams said they were at about the right place and Boston president Susan Collins called the decision a “close call”.”After essentially missing the October jobs report due to a lack of survey data, the Fed will closely scrutinise the November figures when setting out the path of monetary policy through early 2026,” Matt Weller, head of market research at City Index, said.”That said, traders are currently pricing in only a one-in-four chance of another rate cut in January, meaning that the market reaction to the release may be more limited unless it shows a large deterioration in the labour market.”With the chances of a cut appearing limited for now — with some putting them at about 25 percent for next month — equity traders were turned sellers for now.Seoul lost more than two percent, while Tokyo, Hong Kong, Shanghai and Taipei were all more than one percent lower. Sydney, Singapore, Manila, Mumbai, Bangkok and Jakarta also fell. London, Frankfurt and Paris opened lower.Worries over the tech sector were also weighing on sentiment, with recent warnings about an AI-fuelled bubble compounded by weak disappointing earnings last week from Oracle and Broadcom.Speculation that the hundreds of billions of AI investments will take some time to make returns, if at all, has also acted as a drag.”Jitters over the AI theme have resurfaced in recent sessions, not helped by Broadcom’s failure to provide concrete guidance for the quarter ahead, nor by reports that Oracle’s data centre construction may be delayed,” wrote Pepperstone’s Michael Brown.”Concern also lingers over the increase in debt-financed capex, especially from the likes of Oracle, though those concerns seem more likely to linger in the background into next year, as opposed to sparking significant fear in the now.”The downbeat mood on equity markets has filtered into the crypto sphere, with bitcoin briefly falling to as low as $85,171, while gold — a go-to asset in times of uncertainty — hovered around $4,300 and close to a new record high.The yen held gains against the dollar ahead of an expected rate hike by the Bank of Japan on Friday.- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.6 percent at 49,383.29 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.5 percent at 25,235.41 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.1 percent at 3,824.81 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 9,737.79Euro/dollar: UP at $1.1751 from $1.1750 on MondayDollar/yen: DOWN at 154.90 yen from 155.25Pound/dollar: DOWN at $1.3375 from $1.3372Euro/pound: DOWN at 87.85 pence from 87.87West Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $56.50 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $60.26 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.1 percent at 48,416.56 points (close)

Former adviser to stand against Djibouti’s strongman leaderTue, 16 Dec 2025 08:15:52 GMT

A former adviser to Djibouti President Ismail Omar Guelleh said Tuesday he will run against him in April elections, denouncing “democratic backsliding” in the small but highly strategic Horn of Africa nation.Djibouti has been ruled with an iron fist since 1999 by 77-year-old Guelleh, known as “IOG”, with the removal of a constitutional age limit …

Former adviser to stand against Djibouti’s strongman leaderTue, 16 Dec 2025 08:15:52 GMT Read More »