Mondial-2026/qualifications: Rabiot appelé avec les Bleus, première pour Akliouche

Le milieu de l’OM Adrien Rabiot, écarté par son club après une altercation avec un équipier, a été appelé mercredi en équipe de France, tout comme Maghnes Akliouche, dont c’est la première convocation, pour les deux prochains matches de qualifications au Mondial-2026.Rabiot (30 ans, 53 sélections), qui ne s’entraîne plus avec le groupe de Roberto De Zerbi et cherche une nouvelle destination, et Akliouche (23 ans), la nouvelle pépite offensive de Monaco, font partie des 23 joueurs appelés par le sélectionneur Didier Deschamps pour affronter l’Ukraine le 5 septembre à Wroclaw, en Pologne, et l’Islande le 9 septembre, au Parc des Princes.”J’ai échangé à plusieurs reprises avec Adrien, je ne vais pas rentrer dans le détail (…). Evidemment ça n’est pas une situation facile pour lui, je ne sais pas ce qu’il va se passer d’ici lundi quand il nous rejoindra, la seule chose -et il le sait aussi-, c’est que lundi, quand il nous rejoindra, ce sera réglé… sa situation sera claire”, a commenté Deschamps concernant la situation de Rabiot, un pilier des Bleus.Le reste de la liste est marqué par le retour de trois des quatre défenseurs forfaits pour le “Final Four” de la Ligue des nations en juin dernier: Dayot Upamecano, William Saliba et Jules Koundé, aux côtés des frères Théo et Lucas Hernandez, Lucas Digne, Ibrahima Konaté et Malo Gusto. En revanche, le champion du monde 2018 Benjamin Pavard (55 sélections) est absent de cette liste.Au milieu, Deschamps ne pouvant compter sur Eduardo Camavinga, blessé, a convoqué Khephren Thuram, Manu Koné et Aurélien Tchouaméni. Pas de Warren Zaïre-Emery par contre, régulièrement remplaçant dans le PSG de Luis Enrique.En attaque, hormis l’arrivée d’Akliouche, le sélectionneur a fait appel à ses éléments offensifs habituels (Kylian Mbappé, Bradley Barcola, Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Michael Olise, Rayan Cherki et Marcus Thuram). Hugo Ekitike, passé avec succès jusque-là de Francfort à Liverpool, et Randal Kolo Muani, qui n’a pas joué depuis le Mondial des clubs avec la Juventus, restent eux à la maison.. Liste des 23 joueurs convoqués:Gardiens: Mike Maignan, Lucas Chevalier, Brice SambaDéfenseurs: Ibrahima Konaté, Lucas Hernandez, Malo Gusto, Dayot Upamecano, Jules Koundé, Lucas Digne, Théo Hernandez, William SalibaMilieux: Désiré Doué, Aurélien Tchouaméni, Manu Koné, Adrien Rabiot, Khephren ThuramAttaquants: Bradley Barcola, Ousmane Dembélé, Kylian Mbappé, Michael Olise, Marcus Thuram, Rayan Cherki, Maghnes Akliouche

Mondial-2026/qualifications: Rabiot appelé avec les Bleus, première pour Akliouche

Le milieu de l’OM Adrien Rabiot, écarté par son club après une altercation avec un équipier, a été appelé mercredi en équipe de France, tout comme Maghnes Akliouche, dont c’est la première convocation, pour les deux prochains matches de qualifications au Mondial-2026.Rabiot (30 ans, 53 sélections), qui ne s’entraîne plus avec le groupe de Roberto De Zerbi et cherche une nouvelle destination, et Akliouche (23 ans), la nouvelle pépite offensive de Monaco, font partie des 23 joueurs appelés par le sélectionneur Didier Deschamps pour affronter l’Ukraine le 5 septembre à Wroclaw, en Pologne, et l’Islande le 9 septembre, au Parc des Princes.”J’ai échangé à plusieurs reprises avec Adrien, je ne vais pas rentrer dans le détail (…). Evidemment ça n’est pas une situation facile pour lui, je ne sais pas ce qu’il va se passer d’ici lundi quand il nous rejoindra, la seule chose -et il le sait aussi-, c’est que lundi, quand il nous rejoindra, ce sera réglé… sa situation sera claire”, a commenté Deschamps concernant la situation de Rabiot, un pilier des Bleus.Le reste de la liste est marqué par le retour de trois des quatre défenseurs forfaits pour le “Final Four” de la Ligue des nations en juin dernier: Dayot Upamecano, William Saliba et Jules Koundé, aux côtés des frères Théo et Lucas Hernandez, Lucas Digne, Ibrahima Konaté et Malo Gusto. En revanche, le champion du monde 2018 Benjamin Pavard (55 sélections) est absent de cette liste.Au milieu, Deschamps ne pouvant compter sur Eduardo Camavinga, blessé, a convoqué Khephren Thuram, Manu Koné et Aurélien Tchouaméni. Pas de Warren Zaïre-Emery par contre, régulièrement remplaçant dans le PSG de Luis Enrique.En attaque, hormis l’arrivée d’Akliouche, le sélectionneur a fait appel à ses éléments offensifs habituels (Kylian Mbappé, Bradley Barcola, Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Michael Olise, Rayan Cherki et Marcus Thuram). Hugo Ekitike, passé avec succès jusque-là de Francfort à Liverpool, et Randal Kolo Muani, qui n’a pas joué depuis le Mondial des clubs avec la Juventus, restent eux à la maison.. Liste des 23 joueurs convoqués:Gardiens: Mike Maignan, Lucas Chevalier, Brice SambaDéfenseurs: Ibrahima Konaté, Lucas Hernandez, Malo Gusto, Dayot Upamecano, Jules Koundé, Lucas Digne, Théo Hernandez, William SalibaMilieux: Désiré Doué, Aurélien Tchouaméni, Manu Koné, Adrien Rabiot, Khephren ThuramAttaquants: Bradley Barcola, Ousmane Dembélé, Kylian Mbappé, Michael Olise, Marcus Thuram, Rayan Cherki, Maghnes Akliouche

La CGT veut que le 10 septembre “soit une première étape réussie” et appelle à “construire la grève”

La CGT a dit mercredi souhaiter que le mouvement du 10 septembre soit “une première étape réussie” et appelle “à construire la grève partout où c’est possible”, tout en appelant à une autre journée de mobilisation “unitaire” avec les autres syndicats, à l’issue d’une réunion de son instance dirigeante.”Un mouvement citoyen a émergé contre la violence sociale et c’est une très bonne nouvelle”, a déclaré à l’AFP à propos du mouvement né sur les réseaux sociaux Thomas Vacheron, secrétaire confédéral de la CGT.”Suite au (projet de) budget Bayrou, il y a de quoi être en colère et nous sommes en colère”, a souligné le responsable syndical après le comité confédéral national (CCN) qui s’est tenu mardi et mercredi. “La CGT a décidé de contribuer à sa réussite à partir des entreprises et de débattre avec les salariés de la grève, en assemblée générale et en réunion d’information”, a-t-il expliqué.Le syndicat Solidaires avait appelé plus tôt mercredi à la mobilisation le 10 septembre.”La CGT et Sud Solidaires appellent à la grève le 10 septembre. Des sections de FSU en font autant. La France du travail écrit son calendrier de libération du libéralisme. Le 8 septembre : on vote pour faire partir Bayrou. Le 10 septembre : on agit pour faire partir Macron”, a réagi le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, sur X.La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet s’était montrée prudente vendredi par rapport à ce mouvement qu’elle juge “nébuleux”, redoutant un “noyautage de l’extrême droite”.La CFDT a pour sa part décidé de ne pas se joindre à ce mouvement, et avait annoncé mardi qu’elle proposerait elle aussi de son côté une autre date de mobilisation pour septembre.Le chef de file de FO Frédéric Souillot se tient également “à distance” du mouvement du 10 septembre. Son organisation se déterminera lors de l’intersyndicale de vendredi.Lors de cette réunion, la CGT  “proposera d’appeler en septembre à une journée interprofessionnelle unitaire de mobilisation, de grève et de manifestations, et de construire un processus dans la durée pour gagner un budget à la hauteur des besoins”, selon le communiqué de son instance dirigeante.

Taïwan: trois personnes inculpées pour avoir volé des secrets commerciaux à TSMC

Des procureurs taïwanais ont inculpé mercredi trois personnes, accusées d’avoir volé des secrets commerciaux à TSMC, le plus grand fabricant mondial de semi-conducteurs qui compte Nvidia et Apple parmi ses clients. “Cette affaire concerne des technologies nationales cruciales, essentielles à la survie industrielle de Taïwan, menaçant gravement la compétitivité internationale du secteur”, a indiqué le parquet de l’archipel dans un communiqué.Les procureurs ont annoncé qu’ils allaient requérir 14 ans de prison contre l’une de ces personnes, un ancien ingénieur de TSMC, dont le nom de famille est Chen, qui avait quitté l’entreprise pour travailler pour une filiale de Tokyo Electron à Taiwan. Ils demanderont neuf et sept ans de prison à l’encontre des deux autres, deux employés travaillant pour TSMC au moment du vol présumé.Les trois personnes ont été inculpées en vertu de la loi sur la sécurité nationale et de celle sur les secrets commerciaux. L’ex-ingénieur de TSMC aurait utilisé ses relations avec ses anciens collègues du fabricant de puces pour accéder à des secrets commerciaux afin d’aider l’entreprise japonaise Tokyo Electron à “devenir un fournisseur d’équipements pour davantage de sites” utilisant les procédés de TSMC, ont précisé les procureurs.”Après avoir obtenu ces fichiers, Chen les a reproduits afin d’aider Tokyo Electron à améliorer les performances de ses machines de gravure et à obtenir une qualification pour fournir des machines de production destinées au processus de gravure 2 nanomètres de TSMC”, ont-ils ajouté.Trois autres personnes, également arrêtées dans le cadre de cette enquête, n’ont finalement pas été inculpées.Tokyo Electron est un important producteur d’équipements de fabrication de puces utilisés par TSMC. L’entreprise a remporté le prix TSMC d’excellence 2024 pour “collaboration technologique et soutien à la production”.L’entreprise japonaise avait annoncé le 7 août avoir licencié un employé de sa filiale à Taïwan, pour son implication présumée dans la fuite de secrets industriels de TSMC.TSMC de son côté avait déclaré début août dans un communiqué avoir pris “des mesures disciplinaires strictes à l’encontre des employés impliqués” dans ces “potentielles fuites de secrets de fabrication”.Le groupe avait dit avoir découvert la situation en juillet en détectant un “accès inhabituel à des fichiers internes du personnel”, d’après le ministère public.TSMC n’a pas donné suite dans l’immédiat aux sollicitations de l’AFP.joy/amj/dhw/clc/emp 

Equateur: comment le crime et l’extorsion ont éteint la fête à Guyaquil

A force d’extorsion et d’assassinats, les mafias ont éteint la fête à Guayaquil, capitale économique de l’Equateur, où bars branchés et pistes de danse se sont déplacés vers des quartiers sous haute sécurité réservés à une élite fortunée.”Au début, on me demandait 50 dollars par semaine, puis 100, et c’est monté jusqu’à ce que je ne puisse plus suivre”, témoigne auprès de l’AFP le propriétaire d’une discothèque de salsa du centre-ville, qui a fermé son établissement en décembre 2024.Ce professionnel, qui préfère taire son nom pour raisons de sécurité, dit avoir perdu “beaucoup d’argent, environ 10.000 dollars”, et a dû se reconvertir en chauffeur de taxi.Car, à l’image du reste du pays, cette cité portuaire où il y a encore peu les habitants profitaient sans crainte des chaudes nuits du Pacifique a basculé dans la violence avec la fulgurante montée en puissance des gangs.Avec plus de 5.200 homicides depuis le début de l’année, l’Equateur traverse une vague de violence sans précédent. Selon Insight Crime, le pays de 18 millions d’habitants était en 2024 le plus dangereux d’Amérique latine avec 39 homicides pour 100.000 habitants.Guayaquil et ses 2,8 millions d’âmes concentre à elle seule 30% de ces décès. Et plus de 3.000 plaintes pour extorsion y ont été enregistrées de janvier à juillet 2025. Des chiffres en-dessous de la réalité dû à la peur de déposer plainte.- “Peur des balles perdues” -Un entrepreneur avec 26 ans d’expérience dans les bars raconte le premier message, reçu en 2021. “J’étais stupéfait, j’ai appelé ma femme car ils ont mentionné ma famille”, explique-t-il. Il n’a jamais déposé de plainte et a préféré fermer son établissement.Ceux qui tiennent tête et ne paient pas subissent des représailles: un restaurant réputé de la zone d’Urdesa (au nord) a découvert en juillet une valise remplie d’explosifs en guise d’avertissement. La police l’a désamorcée avant qu’elle n’explose.En mai, dix personnes ont été abattues dans une discothèque, et trois mois plus tard, une attaque armée a fait un mort et trois blessés dans un bar.Ernesto Vasquez, vice-président de l’association des discothèques, estime qu’environ la moitié des bars du centre et du sud de la ville ont fermé. “Avant il y avait 38 bars à Portete”, le vieux quartier populaire où il faisait bon, jadis, se balader. “Il n’en reste plus que 12”, dit-il.Valeria Buendia, 36 ans, avait l’habitude de sortir une fois par semaine avec ses amis dans l’artère centrale Panama, mais “elle est devenue dangereuse, j’ai peur des balles perdues”, dit-elle.Cette rue, déclarée “coin magique” par le ministère du Tourisme, devient une zone fantôme dès que tombe la nuit.- Fuir Guayaquil -Aujourd’hui, la vie nocturne de Guayaquil se déroule ailleurs, sous la protection de gardes armés équipés de détecteurs de métaux. Réservée à ceux qui peuvent se le permettre.A quelques rues du centre touristique déserté, un quartier festif continue ainsi de faire résonner la musique grâce à de grands renforts de gardes – et de patrons résignés à cracher au bassinet.”Ils paient 300 dollars par mois pour travailler en paix”, indique un dirigeant du syndicat des bars, précisant que les montants peuvent atteindre 5.000 dollars selon la taille de l’établissement.Beaucoup, comme Valeria Buendia préfèrent fuir plus loin.  “J’aimais aller à Guayaquil, maintenant j’y réfléchis à deux fois, et je planifie mes sorties à Samborondon, où je ne ressens pas la peur”, dit-elle.Dans cette localité résidentielle huppée se trouve le quartier de divertissement de La Puntilla, îlot fortifié et ultra-surveillé.Un propriétaire de discothèque vient d’y emménager en raison des extorsions qu’il a subies. Pour cet entrepreneur, “ce serait suicidaire d’investir aujourd’hui à Guayaquil”.

Leading Kenyan anti-government activist announces presidential bidWed, 27 Aug 2025 12:24:53 GMT

Prominent Kenyan activist and staunch government critic Boniface Mwangi announced Wednesday he would run for president in 2027, just weeks after the east African country’s latest protests were bloodily repressed.An outspoken critic of President William Ruto, the 42-year-old made the announcement in the capital Nairobi, where youth-led demonstrations in 2024 sparked waves of rallies across …

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Record-breaking rain fuels deadly floods in India’s Jammu region

Floods and landslides triggered by record-breaking heavy rain have killed more than 30 people in India’s Himalayan region of Jammu and Kashmir, officials said on Wednesday.A landslide on the route to the famous Hindu shrine Vaishno Devi killed 33 people, local disaster management official Mohammad Irshad told AFP.India’s Meteorological Department said the torrential rain had smashed records in two locations. Jammu and Udhampur recorded their highest 24-hour rainfall on Wednesday, with 296 mm (11.6 inches) in Jammu, nine percent higher than the 1973 record, and 629.4 mm (24.8 inches) in Udhampur — a staggering 84 percent surge over the 2019 mark.Prime Minister Narendra Modi said the loss of lives was “saddening”.The intense monsoon rainstorm in the Indian-administered territory has caused widespread chaos, with raging water smashing into bridges and swamping homes.Floods and landslides are common during the June-September monsoon season, but experts say climate change, coupled with poorly planned development, is increasing their frequency, severity and impact.Climate experts from the Himalayan-focused International Centre for Integrated Mountain Development (ICIMOD) warn that a spate of disasters illustrates the dangers when extreme rain combines with mountain slopes weakened by melting permafrost, as well as building developments in flood-prone valleys.ICIMOD warned this month that the wider Hindu Kush Himalaya region is suffering “accelerated glacier melt, shifting weather patterns, and an increasing frequency of disaster events”, including floods.The local administration said on Wednesday thousands of people were forced to flee in the Jammu region.Schools have been shut, with the region’s Chief Minister Omar Abdullah saying officials were struggling with “almost non-existent communication”.The main Jhelum river in the Kashmir valley has also risen above the danger mark and authorities sounded flood alerts, including for the key city of Srinagar.Powerful torrents driven by intense rain smashed into Chisoti village in Indian-administered Kashmir on August 14, killing at least 65 people and leaving another 33 missing.Floods on August 5 overwhelmed the Himalayan town of Dharali in India’s Uttarakhand state and buried it in mud. The likely death toll from that disaster is more than 70 but has not been confirmed.