Asian markets boosted by new China hope, euro falls on France woes

Most markets rose in Asia on Tuesday on hopes China will unveil fresh measures to boost the world’s number two economy following reports that authorities will hold a key meeting next week.The gains, which followed another record day on Wall Street, came as traders were also left assessing Washington’s decision to impose fresh tech export restrictions on Beijing in the latest volley in a long-running standoff between the rival powers.Meanwhile, the euro continued to struggle on concerns of political and economic upheaval in France, with the country’s government facing collapse.Investors are also looking ahead to the release of US jobs data at the end of the week which could play a key role in the Federal Reserve’s decision on whether to cut interest rates again.The positive performance in Asia followed a recent run-up that was helped Monday by manufacturing activity data suggesting China’s economic struggles may be coming to an end.Bloomberg said Tuesday that China’s top leaders, including President Xi Jinping, would hold a two-day economic work conference next week to outline their targets and stimulus plans for next year.The gathering comes after figures Monday suggested the country’s economy could be turning around after almost two years of malaise, and following a raft of support measures unveiled at the end of September.Hong Kong and Shanghai rose in the afternoon, having retreated in the morning after Washington announced new export restrictions taking aim at Beijing’s ability to make advanced semiconductors.The moves step up existing US efforts to tighten curbs on exports of state-of-the-art AI chips to China.Beijing hit back, saying the United States “abuses export control measures” and has “hindered normal economic and trade exchanges”.There were also healthy gains in Tokyo, Sydney, Seoul, Singapore, Mumbai, Bangkok and Jakarta, though Wellington and Manila retreated.Investors remain wary about the prospect of a second term for Donald Trump as US president, particularly after he warned last month that he would hit China, Canada and Mexico with heavy tariffs.”Although recent (manufacturing) data revealed that November saw the fastest expansion in factory activity in months — likely boosted by exporters rushing to get ahead of Trump’s anticipated tariff storm — the broader economic outlook remains fraught with uncertainty,” said Stephen Innes at SPI Asset Management.”This complex tapestry of market dynamics — China’s manufacturing uptick, the deepening economic concerns, and the dollar’s assertive rally — are all intricately linked to Trump’s aggressive trade posturing. “His vows of imposing hefty tariffs as soon as he enters the Oval Office next month cast long shadows over the Asian markets, making investors both wary and watchful.”The euro weakened against the dollar and was sitting at lows not seen since October last year, owing to a brewing political crisis in France, the eurozone’s second-largest economy.Prime Minister Michel Barnier faces the risk of being deposed in a no-confidence vote, expected on Wednesday, after he used executive powers to force through controversial social security legislation without a vote.The left wing as well as the far-right National Rally of Marine Le Pen both said they would back a motion bringing down the minority government, which has been in power for just three months.The yield on French government debt rose in another sign of investor concern. France must now pay as much as Greece to borrow for 10 years.London opened higher, while Paris and Frankfurt also rose.- Key figures around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 1.9 percent at 39,248.86 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.0 percent at 19,746.32 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,378.81 (close)London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,333.89Euro/dollar: UP at $1.0500 from $1.0499 on MondayPound/dollar: UP at $1.2666 from $1.2654Dollar/yen: UP at 149.95 yen from 149.54 yen Euro/pound: DOWN at 82.94 from 82.97 penceWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $68.36 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.5 percent at $72.16 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,782.00 (close)

Menace de censure: “c’est le pays qu’on met en danger”, estime le ministre de l’Economie

Avec la motion de censure annoncée par les oppositions lundi contre le budget de la Sécurité sociale, qui a toutes les chances d’être adoptée mercredi ou jeudi, “c’est le pays qu’on met en danger”, s’est inquiété mardi le ministre de l’Economie Antoine Armand. “Nous avons fait le maximum pour que les forces politiques au Parlement puissent ou nous soutenir ou ne pas censurer ce budget. Parce que ce n’est pas le budget qu’on censure, ce n’est pas le gouvernement qu’on censure derrière, ce n’est le pays qu’on met en danger, c’est le pays qu’on abîme”, a lancé M. Armand au cours d’une interview sur France 2.”Je le dis sans dramatiser, mais je ne suis pas là non plus pour faire du relativisme. Parce que demain, si les taux d’intérêt augmentent, si les Français sont touchés dans leur épargne, si l’impôt sur le revenu augmente (…), qui en sera responsable? Qui en paiera les conséquences? Les Français d’abord”, a poursuivi le ministre.Lundi, le Premier ministre Michel Barnier a engagé sans surprise la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), assurant avoir été “au bout du dialogue” avec les groupes politiques, y compris le Rassemblement national. Les gestes annoncés par Michel Barnier pour répondre aux exigences du parti à la flamme – notamment sur le remboursement des médicaments – n’auront toutefois pas suffi, et le RN a annoncé son intention de voter la censure, avec les parlementaires de gauche.”Tous les secteurs seront perdants” en cas de vote de la censure a également dit M. Armand, soulignant qu'”il n’y a pas de Français qui gagne, il n’y a pas d’entreprise qui gagne”. “Le pays est face à un tournant”, a-t-il encore affirmé.

Handicap: des mesures “très attendues” n’aboutiront pas en cas de censure, prévient la ministre

La ministre chargée des personnes handicapées Charlotte Parmentier-Lecocq s’est dite mardi “inquiète” pour l’impact pour les personnes handicapées, d’une censure du gouvernement Barnier, listant les mesures “très attendues” qui seraient “en stand-by”, comme le remboursement intégral des fauteuils roulants.Le fragile gouvernement de Michel Barnier ne semble plus tenir qu’à un fil, le Premier ministre ayant été contraint lundi d’engager sa responsabilité sur le budget de la Sécurité sociale, un premier 49.3 synonyme de motion de censure et sans doute de chute, puisque la gauche et le RN ont annoncé qu’ils la voteraient à l’unisson.”Je suis inquiète pour l’impact que pourrait avoir le vote de cette motion de censure, si la gauche et le RN décident de la voter, sur les personnes en situation de handicap”, a déclaré Mme Parmentier-Lecocq sur Radio J.”Les impacts vont être très très concrets: sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), il y a des mesures importantes, qui sont très attendues”, a affirmé la ministre.”C’est 270 millions d’euros, c’est-à-dire un budget extrêmement important, qu’on avait prévu de déployer”, pour “les 50.000 solutions”, qui doivent permettre de “mieux accompagner” des personnes en situation de handicap (qui) attendent des places ou des solutions. Là, tout est mis en question”, a-t-elle poursuivi.De même, si “le budget de l’an dernier (était) reconduit”, il n’y aura “pas les 2.000 AESH, c’est-à-dire les personnes qui accompagnent les enfants en situation de handicap à l’école (…) alors qu’il y a énormément d’enfants qui sont en attente”, a-t-elle dit.Autre mesure qui va “tomber” en cas de censure: la généralisation de l’expérimentation “handi gynéco”: des “consultations plus longues, adaptées pour les personnes en situation de handicap, qui sont très importantes notamment pour prévenir les violences faites aux femmes en situation de handicap qui sont les plus menacées.”Enfin le “remboursement intégral des fauteuils roulants”, une mesure “extrêmement attendue” en cours de négociation, dont les modalités devaient être définies “avant la fin de l’année”, sera “mis en stand-by si la motion de censure est votée”, a conclu la ministre. 

Menace de censure: “c’est le pays qu’on met en danger”, estime le ministre de l’Economie,

Avec la motion de censure annoncée par les oppositions lundi contre le budget de la Sécurité sociale, qui a toutes les chances d’être adoptée mercredi ou jeudi, “c’est le pays qu’on met en danger”, s’est inquiété mardi le ministre de l’Economie Antoine Armand. “Nous avons fait le maximum pour que les forces politiques au Parlement puissent ou nous soutenir ou ne pas censurer ce budget. Parce que ce n’est pas le budget qu’on censure, ce n’est pas le gouvernement qu’on censure derrière, ce n’est le pays qu’on met en danger, c’est le pays qu’on abîme”, a lancé M. Armand au cours d’une interview sur France 2.”Je le dis sans dramatiser, mais je ne suis pas là non plus pour faire du relativisme. Parce que demain, si les taux d’intérêt augmentent, si les Français sont touchés dans leur épargne, si l’impôt sur le revenu augmente (…), qui en sera responsable? Qui en paiera les conséquences? Les Français d’abord”, a poursuivi le ministre.Lundi, le Premier ministre Michel Barnier a engagé sans surprise la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), assurant avoir été “au bout du dialogue” avec les groupes politiques, y compris le Rassemblement national. Les gestes annoncés par Michel Barnier pour répondre aux exigences du parti à la flamme – notamment sur le remboursement des médicaments – n’auront toutefois pas suffi, et le RN a annoncé son intention de voter la censure, avec les parlementaires de gauche.”Tous les secteurs seront perdants” en cas de vote de la censure a également dit M. Armand, soulignant qu'”il n’y a pas de Français qui gagne, il n’y a pas d’entreprise qui gagne”. “Le pays est face à un tournant”, a-t-il encore affirmé.

China lifts final bans on Australian red meat as trade row nears end

China has fully lifted suspensions on Australian red meat, Canberra said Tuesday, dismantling one of the final barriers in a four-year trade war that hammered US$13 billion of exports.A slew of Australia’s most lucrative export commodities were effectively banned from China starting in 2020, as relations between the two nations started to fray.But China has been gradually unwinding these barriers as Australia steps up efforts to mend ties on the diplomatic front. Red meat and lobster were the last two commodities subject to some form of barrier or export ban. Australian Prime Minister Anthony Albanese said Tuesday that China had paved the way for “full resumption of red meat exports”.Meanwhile, full lobster trade is expected to resume by the end of the year.”We are close to the point where China’s trade impediments — which impacted Aus$20 billion (US$13 billion) worth of Australian exports — have all been removed,” trade minister Don Farrell said Tuesday.Over the past two years, Beijing has dropped tariffs on Australian barley and wine, halted an import ban on timber and resumed shipments of coal.China lifted suspensions on eight Australian slaughterhouses in May this year but kept barriers in place for two facilities. – ‘Great outcome’ -Those final two beef-processing plants were now able to resume exports to China.China is Australia’s second-most lucrative beef export market, behind the United States.Australian Meat Industry Council spokesman Tim Ryan said it was a “great outcome”. “After four years of hard work on behalf of red meat exporters, this is a fantastic and very welcome result,” he said.Lobster exports are the last major Australian commodity awaiting the full resumption of trade with China.Beijing had agreed to a “timetable to resume full lobster trade by the end of this year”, Albanese said in October.The sanctions are expected to be lifted in time for Lunar New Year next year when delicacies such as rock lobster are in hot demand.Australia’s relationship with China began unravelling in 2018 when Canberra excluded telecommunications giant Huawei from its 5G network on security grounds and later passed laws on foreign interference. Then in 2020, Australia called for an international investigation into the origins of Covid-19 — an action China saw as politically motivated.Australia has spent much of the past two years trying to insulate the vital trade relationship with China — its biggest trade partner — from geopolitical headwinds.Australia is part of a loose US-led alliance that has aggressively pushed back against China’s bid for primacy in the Pacific region.Tuesday’s announcement comes as Beijing eyes deepening trade rifts with Europe and the United States. Brussels and Washington have slapped punitive tariffs on China’s electric vehicle exports, semiconductors, solar panels and a range of other goods. 

Namibia’s ruling party candidate ahead with two-thirds of votes inTue, 03 Dec 2024 06:50:33 GMT

Namibia was headed for its first woman president with two-thirds of the votes from last week’s election counted by early Tuesday, giving the governing party candidate a strong lead in a vote the main opposition has already rejected as a sham.Vice President Netumbo Nandi-Ndaitwah from the SWAPO party that has led the mineral-rich country since …

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Barnier dans l’attente d’une censure presque inéluctable

Ambiance de fin de règne au lendemain du déclenchement du 49.3 pour faire adopter le budget de la Sécurité sociale: le gouvernement de Michel Barnier aborde mardi les échéances parlementaires dans une position extrêmement fragilisée, dans l’attente du couperet de la censure attendue pour mercredi ou jeudi.La séance de questions au gouvernement prévue dans l’après-midi à l’Assemblée promet d’être tendue, alors que les députés seront appelés dans la semaine à se prononcer sur une motion de censure qui a toutes les chances d’être approuvée, la gauche et le Rassemblement National ayant annoncé qu’ils la voteraient.Baroud d’honneur ? Mardi soir, le Premier ministre en sursis s’est invité à 20H00 sur TF1 et France 2, où il répondra aux questions d’Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau en direct depuis Matignon. “La chute de Barnier est actée”, a proclamé la cheffe des députés insoumis Mathilde Panot. Nommé le 5 septembre, il aura tenu trois mois grâce au “soutien sans participation du RN” et, “ce qui le fera tomber, c’est justement que le RN aura cessé de le soutenir”, a souligné le député PS Arthur Delaporte.Lundi, le Premier ministre a engagé sans surprise la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), assurant avoir été “au bout du dialogue” avec les groupes politiques, y compris le Rassemblement national. Les gestes annoncés par Michel Barnier pour répondre aux exigences du parti à la flamme – notamment sur le remboursement des médicaments – n’auront toutefois pas suffi: “Nous voterons la censure”, a affirmé lundi Marine Le Pen, pour qui M. Barnier n’a “pas souhaité répondre à la demande des 11 millions d’électeurs” de sa formation.Mardi matin, la conférence des présidents de l’Assemblée nationale devrait selon toute vraisemblance décider de la date – sans doute mercredi ou jeudi – du débat et du vote sur les motions de censure déposées par le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national.- “Vertigineux” -L’adoption par l’Assemblée nationale d’une telle motion serait une première depuis le renversement du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Le gouvernement Barnier deviendrait alors le plus court de l’histoire de la Ve République.Pour faire chuter le gouvernement, 288 députés devront voter la censure, soit un nombre très largement à la portée d’une alliance de circonstances entre la gauche et le RN.Si l’exécutif tombait, la France s’enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin, avec en outre le risque d’une crise financière liée à la capacité des pouvoirs publics à emprunter sur les marchés à de faibles taux. Sans budget de la Sécurité sociale, “le déficit des comptes sociaux atteindrait près de 30 milliards d’euros l’an prochain”, a mis en garde lundi le ministre du Budget Laurent Saint-Martin.L’Élysée n’a fait aucun commentaire sur la nouvelle donne politique, alors qu’Emmanuel Macron a atterri lundi à Ryad pour une visite d’État de trois jours en Arabie saoudite. Mais c’est bien le chef de l’État qui aura rapidement la main car, si le scénario d’une censure se confirme, il devra nommer un nouveau Premier ministre.Ancien titulaire de la fonction, Gabriel Attal a appelé les oppositions “à ne pas céder à la tentation du pire”.”Si la censure est votée cette semaine, les Français devront se souvenir de cette alliance qui l’a rendue possible”, a-t-il prévenu. “Cette alliance de toute la gauche, y compris d’un Parti socialiste pour qui l’intérêt général n’est plus qu’un lointain souvenir, avec le RN”.En attendant, les débats doivent se poursuivre dans les deux chambres du Parlement. Le Sénat doit continuer de débattre mardi du budget de l’État – texte sur lequel le recours au 49.3 semblait de toute façon également inévitable. Et une commission mixte paritaire (CMP), associant sept députés et sept sénateurs, doit se pencher sur le budget de “fin de gestion” pour 2024, qui permet au gouvernement de fixer d’ultimes ajustements budgétaires pour l’année en cours.Pour les députés, “il y a quelque chose d’extrêmement vertigineux” à continuer ainsi à travailler alors que la censure semble quasi inéluctable, a dit à l’AFP le député PS Arthur Delaporte. “On se creuse les méninges, on essaye de préparer la suite”, a-t-il ajouté.

Biden kicks off two-day Angola visitTue, 03 Dec 2024 06:21:20 GMT

US President Joe Biden is in Angola on Tuesday for the first and only visit to sub-Saharan Africa of his presidency, which is focused on a major infrastructure project that is a counterpoint to China’s investments.Biden arrived in the oil-rich Portuguese-speaking country late Monday for a two-day visit centred on a multinational project to rehabilitate a …

Biden kicks off two-day Angola visitTue, 03 Dec 2024 06:21:20 GMT Read More »