Global stocks slip as markets take post-US election breather

A stocks rally following Donald Trump’s US election win lost steam Tuesday as traders looked to consolidate recent gains, sending major indices lower on both sides of the Atlantic.The euro hit a one-year low and the pound fell against the dollar, which has been invigorated by expectations that Trump’s trade policies could keep interest rates higher.Wall Street’s main indices all closed lower after having racked up huge gains in the days following Trump’s victory and Republican gains in Congress.”We got a significant run,” Art Hogan from B. Riley Wealth Management told AFP. “After a run like that in such a short period of time, it’s not surprising for markets to take a breather.”- Hefty losses -Leading European and Asian markets closed the day with hefty losses, with both Frankfurt and Paris falling more than two percent and Hong Kong finishing nearly three percent lower.Chinese stocks were already under pressure after disappointment about Beijing’s lack of extra measures to boost China’s stuttering economy.Trump’s support for cryptocurrency pushed bitcoin to a record high of almost $90,000 at one point on Tuesday.Trump’s decision to pick China hawks for key positions in his cabinet has added to fears that the next few years could be bumpy for global markets.”The latest moves from Trump’s camp… are sending chills through the markets and casting a decidedly icy glow on US-China relations,” noted independent analyst Stephen Innes.Analysts are also expecting tariffs on European imports, hurting the region’s top stock markets.The dollar extended gains against its peers that started after news of Trump’s election, which has sparked bets on a pick-up in inflation that could complicate the Federal Reserve’s plans to lower US interest rates.The latest reading of the US consumer price index due Wednesday will be closely watched as investors try to ascertain the central bank’s plans for next month’s monetary policy meeting.”We assume the Trump administration will deliver on their key policy proposals with the degree and timing of these policies the bigger uncertainty,” said National Australia Bank’s Rodrigo Catril.”Most of these policies (lower taxes, tariffs, immigration, deregulation, unfunded expansionary fiscal policy) can be regarded as pro-growth and or inflationary,” he continued. “This means, all else equal, a shallower Fed easing cycle and a stronger dollar,” he added.- Key figures around 2115 GMT -New York – Dow: DOWN 0.9 percent at 43,910.98 points (close)New York – S&P 500: DOWN 0.3 percent at 5,983.99 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.1 percent at 19,281.40 (close)London – FTSE 100: DOWN 1.2 percent at 8,025.77 (close)Paris – CAC 40: DOWN 2.7 percent at 7,226.98 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 2.1 percent at 19,033.64 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.4 percent at 39,376.09 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 2.8 percent at 19,846.88 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.4 percent at 3,421.97 (close)Dollar/yen: UP at 154.59 yen from 153.81 yen on MondayEuro/dollar: DOWN at $1.0625 from $1.0648Pound/dollar: DOWN at $1.2748 from $1.2872Euro/pound: UP at 83.34 pence from 82.73 penceBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $71.89 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $68.12 per barrelburs-rl/ach/da-tu/aha

Le grand oral de Séjourné face aux eurodéputés

“Ne me jugez pas sur un style mais sur des résultats”: le Français Stéphane Séjourné s’est efforcé mardi de convaincre les eurodéputés qu’il était armé pour le vaste portefeuille sur la stratégie industrielle dont il a hérité à Bruxelles.Le Parlement européen auditionnait tout au long de la journée les six vice-présidents potentiels de la nouvelle Commission européenne, jusqu’en 2029.Les eurodéputés pourront ensuite les adouber ou les récuser lors d’un vote que les groupes politiques ont décidé de reporter ultérieurement, peut-être ce mercredi, sur fond de tractations de couloirs.Le portefeuille de Stéphane Séjourné est crucial à l’heure où l’Union européenne est en plein bras de fer commercial avec la Chine et où l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis fait craindre une explosion des droits de douane pour accéder au marché américain.”L’Europe doit accélérer ou elle décrochera”, a souligné le fidèle du président Macron, en plaidant pour un “rattrapage économique” dans le sillage du récent rapport de Mario Draghi.Considéré comme trop discret dans ses précédentes fonctions de ministre des Affaires étrangères, le centriste de 39 ans a évacué les critiques sur son “style” et la comparaison avec le précédent commissaire français Thierry Breton, coutumier des déclarations tonitruantes.Stéphane Séjourné a été choisi in extremis mi-septembre par le président français Emmanuel Macron à la place de M. Breton, dont les relations étaient exécrables avec la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.”Moi je veux être jugé à la fin des fins sur l’état de l’industrie” dans cinq ans, a-t-il demandé, en promettant une série de mesures dont un plan pour “accélérer la demande” de véhicules électriques.- Ribera attaquée sur les inondations -Dans la matinée, la nouvelle cheffe de la diplomatie européenne et ancienne Première ministre estonienne Kaja Kallas et l’Italien Raffaele Fitto, chargé de la cohésion des territoires, ont été les premiers auditionnés, durant plus de trois heures.Mme Kallas a appelé à soutenir l’Ukraine “aussi longtemps que nécessaire, et avec autant d’aide militaire, financière et humanitaire que nécessaire”.La diplomate de 47 ans a demandé aux Européens de “se serrer les coudes”, alors que “le monde est en flammes”.De son côté, Raffaele Fitto a martelé ne “pas être là pour représenter un parti politique ou un Etat membre”, mais pour “affirmer son engagement envers l’Europe”. “Mon premier parti politique était la Démocratie chrétienne”, a-t-il aussi souligné.Car la gauche et le centre ne digèrent pas que M. Fitto ait obtenu un titre de vice-président de la Commission alors qu’il appartient à Fratelli d’Italia, le parti d’extrême droite de la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.Cette vice-présidence suscite “beaucoup de discussions”, prévient le centriste italien Sandro Gozi (Renew). “L’issue finale reste ouverte et incertaine”.Les groupes politiques se montrent toutefois prudents car faire tomber un rival les expose à des représailles pour les commissaires de leur camp.Dans la soirée, la socialiste espagnole Teresa Ribera s’est retrouvée dans le viseur de la droite et de l’extrême droite. Cette ministre de Pedro Sanchez a hérité d’un portefeuille majeur sur la transition écologique et la concurrence.Mais son audition a été percutée par l’actualité nationale. L’opposition espagnole est montée au créneau contre la gestion des inondations meurtrières qui ont bouleversé le pays.La ministre a assuré qu’elle s’exprimerait devant le Parlement espagnol la semaine prochaine et a insisté au niveau européen sur son “engagement” à renforcer la “capacité d’anticipation et de prévention” face aux événements climatiques extrêmes.Interrogée par ailleurs sur son opposition au nucléaire, elle a prudemment répondu que le choix du mix énergétique relevait des “compétences des Etats membres”.Le socialiste français Christophe Clergeau s’attendait à ce qu’elle soit “attaquée”. Mais, prévient-il, “si le PPE (la droite) shoote Ribera, on shootera l’ensemble du collège” le 27 novembre, date d’un vote global sur la nouvelle équipe exécutive qui pourrait prendre ses fonctions début décembre.La semaine dernière, dix-neuf premiers commissaires ont déjà reçu l’aval des députés. Seul le Hongrois Oliver Varhelyi (santé et bien-être animal) attendait toujours d’être fixé sur son sort. L’audition de ce proche du Premier ministre hongrois Viktor Orban mercredi dernier avait donné lieu à des critiques sur son peu d’empressement à répondre aux questions sur l’accès des femmes à l’avortement ou sur les droits LGBT+.

Mauritius gets new PM after clean-sweep election winTue, 12 Nov 2024 18:12:18 GMT

Mauritius opposition leader Navin Ramgoolam was confirmed as prime minister on Tuesday following a thumping election victory for his coalition that took every parliamentary seat on the main island. One of Africa’s most stable and prosperous democracies, the Indian Ocean island chain has been dominated by a handful of political dynasties since independence from Britain in …

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L’Assemblée rejette le projet de budget 2025, le gouvernement se tourne vers le Sénat

Les efforts de la gauche n’y ont rien fait : la version “NFP compatible” du projet de budget 2025 a été rejetée mardi à l’Assemblée, notamment par les voix de la coalition gouvernementale et du Rassemblement national, l’exécutif pouvant désormais envoyer son texte vers un Sénat à la composition plus favorable.Dans ce scénario à front renversé, les députés ont rejeté par 362 voix contre 192 la partie “recettes” de ce projet de loi de finances (PLF), ce qui équivaut à repousser l’intégralité du texte. Et ce même si la partie “dépenses”, sur laquelle le gouvernement escompte faire la plus grande partie de ses “60 milliards d’économies” avec des mesures contestées comme la suppression de postes d’enseignants, n’a pas été étudiée dans l’hémicycle.Le ministre du budget Laurent Saint-Martin a confié après le vote une “forme de désolation”, tout en saluant le rejet d’un “matraquage fiscal”.Dans son viseur notamment, les très larges modifications décrochées dans l’hémicycle par le Nouveau Front populaire, qui a assorti le projet de loi de finances (PLF) de nouvelles taxes sur les superprofits, les superdividendes, les rachats d’actions, le patrimoine des milliardaires, ou encore sur les “grandes sociétés du numérique”.Au point de rendre le texte “NFP-compatible” selon les mots du président LFI de la commission des Finances Eric Coquerel, qui a chiffré un solde net de recettes créées “de 58 milliards d’euros” portant principalement sur les plus riches. Le gouvernement a lui pointé une “overdose fiscale”, chiffrée à “35 milliards d’euros et qui n’épargnera personne”. Le rapporteur général du budget Charles de Courson (groupe centriste Liot), a pour sa part jugé que de nombreuses mesures votées étaient inconstitutionnelles, incompatibles avec le droit européen, ou mal rédigées, de sorte que le texte allait selon lui aggraver les recettes de l’Etat.- “Il faut un budget” -Dans un coup de billard initié par le Rassemblement national, l’article prévoyant les prélèvements pour la contribution de la France à l’Union européenne a aussi été supprimé.Pour autant, le groupe présidé par Marine Le Pen a, comme ses alliés ciottistes, voté contre ce texte, le député RN Matthias Renault accusant le gouvernement et ses soutiens d’avoir “sciemment laissé la gauche augmenter les taxes jusqu’à l’absurde, jusqu’à l’étouffement fiscal”.”Nous en sommes arrivés là parce que l’extrême droite et l’extrême gauche se sont donné la main pour voter des explosions fiscales”, a tancé le macroniste David Amiel.”Après des semaines d’absentéisme, les députés macrono-wauquiézistes sont donc revenus pour ajouter leurs voix à l’extrême droite pour voter contre le budget de la France”, a rétorqué le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.Quoique baroque, le vote de mardi a un effet clair : le gouvernement va pouvoir se tourner vers le Sénat, dominé par la droite et le centre, pour travailler l’ensemble de son texte avec une majorité plus bienveillante.”Démocratiquement, ça pose un problème”, reconnaît une ministre issue de la droite. “Mais est-ce que la démocratie, c’est de faire marcher la représentation parlementaire dans sa globalité (…) ou avoir un budget pour faire fonctionner le pays ? Il faut un budget”.- Compromis -Avant le passage à la chambre haute, l’exécutif a toutefois multiplié les gestes envers sa fragile coalition à l’Assemblée. Au groupe Les Républicains (LR), il a annoncé que les pensions de retraite, qui devaient être gelées, seraient bien revalorisées au 1er janvier mais de la moitié seulement de l’inflation, et qu’il était prêt à introduire une clause de revoyure pour contrôler les effets d’une hausse de taxe sur l’électricité. Au groupe Horizons, il a proposé de travailler sur leur proposition d'”allocation sociale unique”.Au MoDem, il a annoncé que sa proposition de pérenniser la taxe sur les hauts revenus pourrait être retenue, au moins le temps de faire descendre le déficit jusqu’à “par exemple” 4%, selon Laurent Saint-Martin. Ce dernier a aussi annoncé un compromis qui pourrait aboutir dès les “prochains jours” pour limiter la baisse des allègements de cotisations aux entreprises, un marqueur macroniste.Car si le Sénat s’apprête à tenir le stylo, le gouvernement n’en a pas terminé avec l’Assemblée. Son projet de loi de Finances, s’il est adopté à la chambre haute, devra ensuite passer par une commission mixte paritaire et un dernier vote dans chaque chambre avec probablement un 49.3 à l’Assemblée nationale.La gauche a déjà prévu de répondre par une motion de censure à risque pour le gouvernement.

Budget 2025: l’Ile-de-France “contrainte” de faire 760 millions d’euros d’économies

Le projet de budget du gouvernement va “contraindre” la région Ile-de-France à faire 760 millions d’euros d’économies en 2025, qui vont se répercuter notamment sur le logement, la formation professionnelle et l’enseignement supérieur, sans hausse d’impôts, a annoncé mardi sa présidente Valérie Pécresse.Le projet de loi de finances (PLF) pour 2025 prévoit un effort de 5 milliards d’euros pour les collectivités afin de ramener le déficit public à 5% du PIB, avec un prélèvement de 3 milliards d’euros sur les recettes des 450 plus grandes collectivités.”L’Etat nous prive de manière brutale et arbitraire de 100 millions d’euros de recettes de TVA en 2024 et de 220 millions de confiscations de recettes en 2025″, soit une baisse “inédite de 5% des recettes” de la région, a déclaré sa présidente LR Valérie Pécresse lors de la présentation du document d’orientation budgétaire.Un “coup de rabot aveugle et injuste”, a-t-elle dénoncé, alors que la région a “maîtrisé sa dette” et “diminué ses dépenses de fonctionnement”.La première région économique du pays est celle “qui a le plus fort taux de pauvreté de métropole après les Hauts-de-France”, et qui touche des recettes par habitant “les plus faibles de France”, a souligné Valérie Pécresse.La trajectoire budgétaire prévoit 760 millions d’euros d’économies en 2025 “pour anticiper trois ans de pertes de recettes”.Refusant toute augmentation d’impôts, elle a décidé “sous contrainte” de suspendre tous les projets en cofinancement Etat-région, à l’exception des projets de transports qui sont cofinancés avec les départements.Cette suspension, d’environ 100 millions d’euros, concerne essentiellement l’enseignement supérieur, la recherche et la culture.”Année blanche” aussi pour les projets d’énergie renouvelables (environ 30 millions d’euros), les subventions au logement (74 millions d’euros) et les commandes de formations professionnelles (89 millions d’euros).”Il n’y a aucune économie à faire sur les lycées, on va au contraire en ouvrir sept neufs”, a précisé la présidente de région.”Malgré toutes les incohérences et insuffisances du budget, je soutiens le gouvernement de Michel Barnier parce que s’il n’était pas voté ce serait pire que tout”, a-t-elle commenté, en espérant que le Sénat mette “un peu de raison” dans le PLF.”L’Etat a bon dos”, a réagi auprès de l’AFP Céline Malaisé, présidente du groupe Gauche communiste, écologique et citoyen au Conseil régional, selon laquelle ce “budget d’austérité paie les choix de mauvaise gestion de Valérie Pécresse”. L’élue s’inquiète notamment de la “mise sur pause des contrats de plan Etat-région, principal levier d’investissement dans la région”, et redoute “un effondrement” dans le secteur du logement.

UN carbon market inches closer after COP29 agreementTue, 12 Nov 2024 17:19:54 GMT

The creation of a UN-backed global carbon market has taken a step closer to reality with governments approving new standards for the use of credits to meet climate targets.The agreement reached at the COP29 climate summit was hailed as a breakthrough after nearly a decade of complex negotiations over the rules for trading carbon credits.UN …

UN carbon market inches closer after COP29 agreementTue, 12 Nov 2024 17:19:54 GMT Read More »

Senegal PM calls for vengeance after election campaign clashesTue, 12 Nov 2024 17:03:11 GMT

Senegalese Prime Minister Ousmane Sonko on Tuesday called for vengeance following what he described as attacks against supporters of his Pastef party by the opposition during the campaign for parliamentary elections.Sonko, who has been head of the government since it took office in April, spoke of clashes in the capital Dakar, the northern city of …

Senegal PM calls for vengeance after election campaign clashesTue, 12 Nov 2024 17:03:11 GMT Read More »

‘Carbon-neutral’ countries demand credit at COP29Tue, 12 Nov 2024 16:55:48 GMT

They’re some of the world’s smallest nations, but a group of countries that say they absorb more carbon than they emit is demanding attention at the UN COP29 talks.Bhutan, Panama, Madagascar and Suriname rarely make the headlines at the annual climate conference, lost among the rich nations and major emitters that hog the limelight.By banding …

‘Carbon-neutral’ countries demand credit at COP29Tue, 12 Nov 2024 16:55:48 GMT Read More »