Libya and Italy sign slew of cooperation dealsTue, 29 Oct 2024 15:56:01 GMT
Libya and Italy signed several agreements on Tuesday covering sectors including development, investments and infrastructure, aiming to boost cooperation between the two Mediterranean states.The accords were signed by Prime Minister Abdulhamid Dbeibah and his Italian counterpart, Georgia Meloni, during the Italian-Libyan Business Forum, being held in the capital Tripoli after a decade’s hiatus.Libya is still …
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Législatives: LFI investit le militant des droits de l’enfant Lyes Louffok en Isère
La France insoumise a annoncé mardi avoir investi le militant des droits de l’enfant Lyes Louffok comme candidat à l’élection législative partielle dans la 1ère circonscription de l’Isère, où les socialistes locaux ont également proposé une candidate.”Lyes Louffok mènera une campagne décisive pour renforcer les rangs du Nouveau Front populaire, seule opposition à Emmanuel Macron”, a déclaré dans un communiqué ce Comité électoral de LFI, alors que la question d’une candidature unique à gauche dans cette circonscription divise les forces du Nouveau Front populaire (NFP). Le siège est vacant depuis la démission le 9 octobre de l’insoumis Hugo Prévost, accusé de violences sexistes et sexuelles. Selon le Dauphiné Libéré, les militants insoumis locaux ont approuvé la candidature de Lyes Louffok à l’unanimité. Alors que des tensions traversent l’alliance de gauche, LFI invite les forces locales du NFP à se réunir mercredi à Grenoble pour “engager avec elles la campagne pour l’élection de Lyes Louffok”, indique le député insoumis Paul Vannier à l’AFP. Le secrétaire général du PS Pierre Jouvet a confirmé à l’AFP qu’une réunion locale des partis du NFP était prévue mercredi soir, à l’initiative du Parti communiste.Mais il s’agit pour lui de “se mettre autour de la table pour discuter de la meilleure stratégie et de la meilleure candidature”, explique-t-il, au regard d'”un contexte politique particulier” avec la démission du député et dans “une circonscription difficile”, où “l’implantation politique locale aura une influence plus grande”. “Notre obsession au Parti socialiste, c’est que cette élection législative partielle ne soit pas pour nos oppositions le moyen de dire: +regardez, la faiblesse du NFP, qui dès qu’il y a une élection, la perd+”.”Nous considérons que pour garder cette circonscription dans le giron de NFP, la meilleure candidate est Amandine Germain”, conseillère départementale présidente du groupe communiste, socialiste, écologiste et insoumis au Conseil départemental.- Soutien des écologistes -Après cette discussion des partenaires locaux, “on verra quelle décision on prend”, a-t-il ajouté.”Il n’y a aucune volonté de notre part de briser le NFP”, assure-t-il, mais envoyer “un candidat parachuté, malgré toutes ses qualités, ne nous parait pas le scenario optimal pour conserver cette circonscription”.  Mais dans un tweet, la patronne des écologistes Marine Tondelier a déjà choisi son camp, évoquant le “total soutien des Ecologistes” à Lyes Louffok.  La candidate du Nouveau Front populaire à Matignon, Lucie Castets, avait un temps envisagé de se présenter dans cette circonscription, avant de renoncer. Les Insoumis exigeaient qu’elle siège au sein de leur groupe, en vertu de l’accord du Nouveau Front populaire conclu au mois de juin, qui leur réserve cette circonscription. Candidat dans le Val-de-Marne en juin dernier, Lyes Louffok avait été battu au second tour par le candidat des Républicains. C’est donc dans l’ancienne circonscription de l’ex-ministre Olivier Véran, qui reste silencieux sur ses intentions potentielles de briguer un nouveau mandat, que le jeune homme, travailleur social et porte-voix des enfants placés, va tenter de s’imposer.Lyes Louffok, “personnalité engagée n’appartenant à aucune formation politique”, proposera une “grande réforme de l’Aide sociale à l’enfance”, un combat “urgent et essentiel”, a plaidé LFI dans son communiqué.Â
Les députés insoumis veulent relancer la procédure de destitution de Macron
Le groupe de la France insoumise (LFI) à l’Assemblée nationale va tenter de déposer une nouvelle proposition de destitution du président Emmanuel Macron, malgré l’échec début octobre de sa première tentative, a annoncé mardi la députée Clémence Guetté, au nom du groupe.”On ne va pas lâcher” cette procédure, a souligné la députée lors d’une conférence de presse au Palais Bourbon. Les insoumis, qui reprochent à M. Macron d’avoir “volé” le résultat des dernières élections, espèrent profiter de leur “niche” parlementaire du 28 novembre, un créneau qui leur permet d’avoir la main sur l’ordre du jour.Lors de leur première tentative, il y a quelques semaines, ils s’étaient heurtés au refus de la conférence des présidents d’inscrire leur texte à l’agenda de l’Assemblée. Cette fois, il leur faudra cependant encore obtenir que leur texte soit à nouveau considéré comme recevable par le Bureau de l’Assemblée. Le groupe LFI, a expliqué Mme Guetté, a donc demandé à la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, de convoquer le Bureau à titre exceptionnel avant jeudi – date limite pour fixer l’ordre du jour de la “niche” LFI. “Si jamais ce Bureau nous est refusé, nous demandons quand même de pouvoir mettre (la proposition) à l’ordre du jour” le 28 novembre, “sous réserve” qu’elle soit déclarée recevable ultérieurement, a-t-elle indiqué.Les chances de succès de cette procédure sont cependant très faibles, puisqu’une destitution du président requiert une majorité des deux tiers à l’Assemblée et au Sénat.Même à gauche, l’initiative ne fait d’ailleurs pas l’unanimité.Â
Global stock markets slip with eyes on megatech results, rates
Global stock markets mostly slipped Tuesday ahead of a slew of US economic data releases and tech earnings, and as bond yields rose.The main US stock indexes were slightly lower after the start of trading, giving up their gains from Monday. Shares were also mostly lower in Europe. Yields on 10-year US Treasuries have inched up to above 4.3 percent this week, the highest since early July, indicating that market participants are increasingly counting on more limited rate cuts from the Federal Reserve.The higher rates, which hurt company earnings and deter investors from taking money out of savings accounts to invest in the stock market, could also reflect unease about the deficit spending plans of both candidates in next Tuesday’s presidential elections, said Joe Mazzola, a strategist at Charles Schwab.”The relentless climb in Treasury yields continues and threatens to overshadow any news, good or bad, on the earnings front,” he said. Alphabet reports earnings after the market closes and many investors are awaiting to hear what the Google-parent has to say before taking any bets.”When a mega-cap stock reports earnings, the stock market pays extra attention not only to the report itself, but also to any guidance,” said Patrick O’Hare, an analyst at Briefing.com.In total, five of the “Magnificent Seven” US tech giants will report this week, including Amazon, Apple, Facebook-parent Meta, and Microsoft.On the economic front, the US government will release third quarter GDP growth estimates Wednesday, as well as inflation data Thursday and the closely watched monthly labour market report Friday. Together, they should provide more clues about the health of the world’s largest economy and the direction of its Fed’s interest rate policy.Major European stock markets were lower in mid-afternoon trading while Asian markets ended mixed. London shed 0.5 percent as investors awaited the first budget of Britain’s new Labour government on Wednesday, expected to include tax rises on businesses. Adidas shares were up more than 2 percent in Frankfurt after the sportswear giant again raised its full-year revenue outlook.  Oil prices recovered some of Monday’s losses after the US government said it would add to its Strategic Petroleum Reserve. Crude prices had tumbled at the start of the week on relief that Israel’s weekend strikes on Iran spared the country’s energy infrastructure. Bitcoin rose above $71,000 to levels last seen in June on expectations that Donald Trump, who has sought the support of the crypto-currency world, will win next week’s elections. “Trump’s campaign appears to be building upside momentum, and that’s going down well with the crypto bros,” said David Morrison, analyst at Trade Nation. In Asia, Tokyo and Hong Kong stocks climbed but Shanghai and Singapore retreated.Japanese shares built on the previous day’s gains as cheaper oil and the weaker yen outweighed uncertainty after Japan’s ruling coalition fell short of a majority in Sunday’s general election.Investors are awaiting the Bank of Japan’s rate decision later this week, with the central bank expected to stand pat following two hikes earlier this year.Focus is also on a key political meeting in Beijing next week, with investors hoping for details of an expected major stimulus plan to support China’s struggling economy.The People’s Bank of China on Monday rolled out a new lending tool to inject liquidity into the market.- Key figures around 1340 GMT -New York – Dow: DOWN 0.4 percent at 42,212.88 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.4 percent at 5,802.82 New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.2 percent at 18,524.18 London – FTSE 100: DOWN 0.5 percent at 8,247.49 Paris – CAC 40: DOWN 0.2 percent at 7,544.29Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 at 19,485.94Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 38,903.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.5 percent at 20,701.14 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.1 percent at 3,286.41 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0783 from $1.0815 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.2970 from $1.2972Dollar/yen: UP at 153.70 yen from 153.24 yenEuro/pound: DOWN at 83.12 pence from 83.37 penceBrent North Sea Crude: UP 0.7 percent at $71.95 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.8 percent at $67.89 per barrel
Macron au Maroc: l’humoriste controversé Yassine Belattar dans une délégation éclectique
Emmanuel Macron est accompagné au Maroc par une délégation aussi pléthorique qu’éclectique de plus de 130 personnes du monde politique, économique ou culturel, dont certaines ont créé la polémique comme l’humoriste controversé Yassine Belattar.Il était notamment présent lundi soir à la cérémonie d’accueil du chef de l’Etat, à Rabat, en présence du roi Mohammed VI, au début d’une visite d’Etat de trois jours. Son nom a été ajouté tard lundi dans une liste actualisée de la délégation diffusée par l’Elysée. Ce Franco-Marocain quadragénaire est la cible de longue date de la droite et de l’extrême droite qui l’accusent de proximité avec l’islamisme.”Comment ce prétendu humoriste, condamné pour menaces de mort, proche des antisémites du CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), peut-il être présent à un voyage de cette importance en compagnie du président de la République? C’est aussi irrespectueux pour la France que pour le Maroc”, a réagi sur le réseau social X le président du Rassemblement national Jordan Bardella.Son alliée Marion Maréchal a aussi affirmé que sa présence, “qui plus est en survêtement”, faisait “honte à la délégation française en visite au pays ami qu’est le Maroc”.L’entourage du président a fait valoir qu’il s’agissait d’une “personnalité franco-marocaine” et a assuré que sa présence dans la délégation ne valait “en aucun cas adhésion à ses idées”.Une polémique avait déjà surgi en novembre 2023 lorsque Yassine Belattar avait été reçu par des conseillers d’Emmanuel Macron, après l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël et peu avant la grande marche contre l’antisémitisme en France à laquelle le chef de l’Etat avait décidé de ne pas participer. Les prises de parole de Yassine Belattar sur les banlieues lui avaient valu l’attention d’Emmanuel Macron, qui l’avait nommé en 2018 au Conseil présidentiel des villes, destiné à alimenter la réflexion de l’exécutif sur les quartiers prioritaires.L’humoriste a été condamné en septembre 2023 à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort et de crime visant plusieurs personnalités du monde du spectacle.Outre dix ministres, dont celui de l’Intérieur Bruno Retailleau, classé très à droite, la délégation comprend de nombreux patrons d’entreprise, qui ont signé plusieurs contrats dès lundi soir.Le volet culturel est aussi très étoffé. A côté de Yassine Belattar figure ainsi l’intellectuel Bernard-Henri Lévy, très engagé envers Israël notamment depuis le 7 octobre 2023.Mais aussi le photographe François-Marie Banier, condamné en appel en 2016 à quatre ans de prison avec sursis pour abus de faiblesse contre la milliardaire Liliane Bettencourt.Dans la délégation figure également l’ex-député macroniste M’jid El Guerrab, condamné en appel en 2023 à un an de prison ferme et deux ans d’inéligibilité pour avoir agressé en 2017 l’ex-responsable socialiste Boris Faure.Des compagnons de route historiques du chef de l’Etat, comme Jean-Marc Borello, fondateur du groupe associatif SOS, ou encore l’ancien banquier Christian Dargnat, artisan des levées de fonds des campagnes présidentielles de 2017 et 2022, sont aussi du voyage.afptv-vl-fff/jmt/ale/pta
Sexual violence on ‘staggering’ scale in Sudan civil war: UN probeTue, 29 Oct 2024 12:21:16 GMT
Rape is widespread in Sudan’s civil war, a United Nations investigation said Tuesday, accusing paramilitaries especially of committing sexual violence on a “staggering” scale.Children are not spared the abuse, with women and girls being abducted for sexual slavery, the UN Independent International Fact-Finding Mission for the Sudan said in a new report.”There is no safe place …
Immigration, Sahara: Macron invite le roi du Maroc à sceller un nouveau partenariat
Un “nouveau livre ensemble pour répondre aux défis du 21e siècle”: le président français Emmanuel Macron a invité mardi le roi du Maroc Mohammed VI à sceller un nouveau partenariat, réaffirmant son soutien à la “souveraineté marocaine” au Sahara occidental mais demandant plus de “résultats” dans la lutte contre l’immigration illégale.En ce 25e anniversaire du règne de Mohammed VI, “je vois l’occasion et la nécessité d’écrire ce livre nouveau”, a lancé le chef de l’Etat dans une allocution solennelle de 45 minutes devant le Parlement à Rabat.C’est “même un devoir stratégique” entre la France et le Maroc, mais aussi entre “l’Union européenne et le Maghreb et au-delà ”, a-t-il insisté au deuxième jour de sa visite d’Etat au Maroc.Emmanuel Macron a invité le souverain à signer un nouveau “cadre stratégique” bilatéral en 2025 à Paris à l’occasion du 70e anniversaire de la Déclaration qui scella l’indépendance du Maroc de la France, à la Celle-Saint-Cloud le 6 novembre 1955.Très attendu sur le Sahara Occidental, véritable “cause nationale” au Maroc, le président a réaffirmé que “le présent et l’avenir” de ce territoire disputé “s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine”, suscitant les applaudissements nourris des élus.L’ex-colonie espagnole du Sahara occidental, considérée comme un “territoire non autonome” par l’ONU, oppose depuis un demi-siècle le Maroc aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger.”Cette position n’est hostile à personne”, a assuré Emmanuel Macron dans une réponse aux critiques de l’Algérie, qui a rappelé son ambassadeur à Paris après le pas de la France vers le royaume. – “Attente forte” -“Et je le dis ici aussi avec beaucoup de force, nos opérateurs et nos entreprises accompagneront le développement de ces territoires au travers d’investissements, d’initiatives durables et solidaires au bénéfice des populations locales”, a-t-il ajouté.Sur la lutte contre l’immigration illégale, qui constitue une “attente forte en France”, le chef de l’Etat a appelé à une “coopération naturelle et fluide” avec le Maroc et à “davantage encore de résultats”.Le nouveau ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui a fait de ce sujet son cheval de bataille, doit rencontrer dans l’après-midi son homologue Abdelouafi Laftit pour voir comment accélérer les retours de Marocains en situation irrégulière arrêtés en France.   La décision de la France de diviser par deux le nombre de visas accordés aux Marocains en 2021-2022 pour pousser Rabat à reprendre plus de ressortissants avait conduit à de fortes crispations entre les deux pays.Le nouveau gouvernement de droite de Michel Barnier a promis d’entamer des discussions “dans un esprit dialogue”, en tirant les leçons des “erreurs du passé”.Le président français a été accueilli lundi en grande pompe par le roi Mohammed VI afin de retisser des liens aussi historiques que profondément distendus depuis trois ans par des brouilles, avec à la clé des contrats et investissements “jusqu’à dix milliards d’euros”.- Nouveaux contrats – Emmanuel Macron clôturera dans l’après-midi les Rencontres entrepreneuriales Maroc-France, l’occasion d’engranger de nouveaux contrats après déjà une série de 21 accords signés la veille en présence du monarque.Et il participera à une séquence dédiée aux jeux vidéo en présence de professionnels français et marocains, afin d’aider au développement de la filière au Maroc.Les accords portent sur le transport ferroviaire, les énergies renouvelables dont le Maroc entend devenir un champion, l’eau, le secteur portuaire ou encore la transition énergétique.Alstom doit notamment prendre part à la réalisation du deuxième tronçon de la ligne de train à grande vitesse Tanger-Marrakech en fournissant 12 à 18 rames. Le premier tronçon avait été inauguré par le roi et le président français en 2018.Le Français TotalEnergies a pour sa part signé un des plus gros accords pour le développement de la filière d’hydrogène vert au Maroc.Autre gros volet, Engie et l’Office chérifien des phosphates ont signé un accord de “partenariat dans la transition énergétique”, dont les énergies renouvelables.Accompagné par son épouse Brigitte Macron et une pléthorique délégation de ministres, patrons d’entreprise, intellectuels ou personnalités du spectacle, le président français a été salué lundi à sa descente d’avion par une longue poignée de main du monarque, en costume sombre et s’appuyant sur une canne, au son de 21 coups de canon.