Bolsonaro’s son urges US to bomb narco boats in Rio
Brazilian senator Flavio Bolsonaro, son of former far-right president Jair Bolsonaro, on Thursday urged the United States to bomb boats in Rio de Janeiro to fight drug trafficking, as it has done in the Caribbean and Pacific.Washington has deployed stealth warplanes and Navy ships in the Caribbean as part of what it calls counter-narcotics efforts, destroying nine vessels and killing at least 37 people, according to US figures. President Donald Trump’s government alleges the boats were involved in drug trafficking, although it has not shared evidence to back that assertion and some family members of those killed say they were innocent fishermen.Flavio Bolsonaro said he was “envious” in a post on the X social media platform responding to one by Pentagon chief Pete Hegseth, featuring a video of the moment a boat sailing at sea is hit by a missile and set ablaze.”I heard there are boats like this here in Rio de Janeiro, in Guanabara Bay, flooding Brazil with drugs. Wouldn’t you like to spend a few months here helping us fight these terrorist organizations?”Trump last week said he had authorized covert CIA action against Venezuela and was considering strikes against alleged drug cartels on land.The US actions — which killed at least one Colombian — have also enraged that country’s leftist President Gustavo Petro and shattered ties between Washington and Bogota.Petro said Trump was “carrying out extrajudicial executions” that “violate international law” by striking alleged drug-trafficking boats. Washington has not released evidence to support its assertion that the targets of its strikes are drug smugglers, and experts say the summary killings are illegal even if they hit confirmed narcotics traffickers.The Bolsonaro family has close ties to Trump.The former president was sentenced last month to 27 years in prison over a botched coup attempt in what Trump said was a “witch hunt” against his ally.Another son of the former president, Eduardo, lobbied hard for Washington to impose punitive tariffs on Brazil and sanctions against top officials.However, tensions between Brasilia and Washington have thawed in recent weeks with a potential meeting on the cards between Trump and leftist President Luiz Inacio Lula da Silva at a summit starting this weekend in Malaysia.
La tempête Benjamin fait une victime en Corse, peu de dommages ailleurs
La tempête automnale Benjamin a fait une victime en Corse, un vacancier allemand emporté par la crue d’une rivière jeudi après-midi, et sept blessés ailleurs dans le pays, placé en alerte renforcée mais globalement épargné.L’homme âgé de 45 ans se baignait avec sa femme et ses deux enfants lorsqu’ils ont été été emportés vers 15H00 par la montée rapide des eaux de la rivière du Fango dans la commune de Galeria (Haute-Corse), suite aux orages survenus en montagne, ont indiqué les pompiers de Haute-Corse (SIS 2B).Le corps du père de famille a été retrouvé près d’un pont en aval et “la femme âgée de 39 ans et deux enfants de 9 et 13 ans ont été pris en charge par les sapeurs pompiers et ont étés ramenés à leur domicile”, a précisé le SIS 2B à l’AFP.Alors que les effets de la tempête se dissipent, Météo-France ne maintient que les deux départements de la Corse en vigilance orange pour vents violents dans son dernier bulletin. Lors d’un point dans l’après-midi au PC crise de la sécurité civile, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a annoncé qu’il y avait “un blessé assez sérieusement et six blessés légers”. Il a précisé que le blessé grave était “une sapeur-pompier blessée en Gironde”, mais dont les “jours se sont pas en danger”.En outre, 38.000 foyers sont encore privés d’électricité, a annoncé dans la soirée le ministre de l’Économie Roland Lescure au journal télévisé de France 2. Et “70% des foyers impactés ont pu être réalimentés dans la journée”, a précisé Enedis dans un communiqué.En Haute-Corse, la vigilance orange est maintenue jusqu’à vendredi 06H00. Les rafales attendues sont de l’ordre de 120 à 140 km/h sur la Balagne, jusqu’à 160 à 170 km/h sur le Cap Corse. Le vent a soufflé à plus de 100 km/h sur une bonne partie de la France jeudi avec le passage de la tempête Benjamin, qualifiée de “forte” avec des pointes relevées à 116 km/h à Sainte-Marie-des-Monts (Manche), 119 km/h à Vernines (Puy-de-Dôme), 120 à 130 km/h à Biscarosse (Landes) et Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), 132 km/h au Cap-Ferret (Gironde) et 142 km/h à Saint-Clément-des-Baleines sur l’île de Ré (Charente-Maritime).L’accalmie se fait progressivement par l’ouest, les vents vont faiblir dans les heures qui viennent, précise Météo-France.- “Peu de dégâts matériels” -À Royan, trois personnes ont été très légèrement blessées, sans devoir être hospitalisées, par la chute d’un arbre sur leur véhicule, selon la préfecture de Charente-Maritime.Un conducteur de bus a également été légèrement blessé à la suite d’une chute d’arbre, de même que la sapeur-pompier en intervention en Gironde, où la tempête a fait “peu de dégâts matériels et humains” selon la préfecture.La circulation des trains entre Cannes et Grasse a été interrompue entre 14H00 et 17H00.Sur les côtes atlantique et de la Manche, ces vents forts engendrent “de très fortes vagues et une surélévation temporaire du niveau de la mer”, avait prévenu l’institut.À Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), la mairie a appelé la population “à une grande prudence face au danger de cette forte houle”.De gros sacs remplis de sable ont été mis en place sur la grande plage de la ville pour contenir le déferlement des vagues et protéger les bâtiments.Les accès à plusieurs plages d’Anglet, Saint-Jean-de-Luz et Hendaye dans ce même département ont été interdits.Face aux intempéries, la SNCF a annoncé que la circulation des trains TER serait suspendue sur certaines lignes et les vitesses de circulation réduites sur d’autres, même si les trains à grande vitesse circuleront.À Bordeaux, les jardins et cimetières ont été fermés et l’ouverture de la fête foraine du centre-ville repoussée.L’Office national des forêts a déconseillé toute promenade durant l’épisode en raison du risque de chutes d’arbres et de branches.jed-tsq-we-sm-cor-meh-tg/uh/abl
La tempête Benjamin fait une victime en Corse, peu de dommages ailleurs
La tempête automnale Benjamin a fait une victime en Corse, un vacancier allemand emporté par la crue d’une rivière jeudi après-midi, et sept blessés ailleurs dans le pays, placé en alerte renforcée mais globalement épargné.L’homme âgé de 45 ans se baignait avec sa femme et ses deux enfants lorsqu’ils ont été été emportés vers 15H00 par la montée rapide des eaux de la rivière du Fango dans la commune de Galeria (Haute-Corse), suite aux orages survenus en montagne, ont indiqué les pompiers de Haute-Corse (SIS 2B).Le corps du père de famille a été retrouvé près d’un pont en aval et “la femme âgée de 39 ans et deux enfants de 9 et 13 ans ont été pris en charge par les sapeurs pompiers et ont étés ramenés à leur domicile”, a précisé le SIS 2B à l’AFP.Alors que les effets de la tempête se dissipent, Météo-France ne maintient que les deux départements de la Corse en vigilance orange pour vents violents dans son dernier bulletin. Lors d’un point dans l’après-midi au PC crise de la sécurité civile, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a annoncé qu’il y avait “un blessé assez sérieusement et six blessés légers”. Il a précisé que le blessé grave était “une sapeur-pompier blessée en Gironde”, mais dont les “jours se sont pas en danger”.En outre, 38.000 foyers sont encore privés d’électricité, a annoncé dans la soirée le ministre de l’Économie Roland Lescure au journal télévisé de France 2. Et “70% des foyers impactés ont pu être réalimentés dans la journée”, a précisé Enedis dans un communiqué.En Haute-Corse, la vigilance orange est maintenue jusqu’à vendredi 06H00. Les rafales attendues sont de l’ordre de 120 à 140 km/h sur la Balagne, jusqu’à 160 à 170 km/h sur le Cap Corse. Le vent a soufflé à plus de 100 km/h sur une bonne partie de la France jeudi avec le passage de la tempête Benjamin, qualifiée de “forte” avec des pointes relevées à 116 km/h à Sainte-Marie-des-Monts (Manche), 119 km/h à Vernines (Puy-de-Dôme), 120 à 130 km/h à Biscarosse (Landes) et Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), 132 km/h au Cap-Ferret (Gironde) et 142 km/h à Saint-Clément-des-Baleines sur l’île de Ré (Charente-Maritime).L’accalmie se fait progressivement par l’ouest, les vents vont faiblir dans les heures qui viennent, précise Météo-France.- “Peu de dégâts matériels” -À Royan, trois personnes ont été très légèrement blessées, sans devoir être hospitalisées, par la chute d’un arbre sur leur véhicule, selon la préfecture de Charente-Maritime.Un conducteur de bus a également été légèrement blessé à la suite d’une chute d’arbre, de même que la sapeur-pompier en intervention en Gironde, où la tempête a fait “peu de dégâts matériels et humains” selon la préfecture.La circulation des trains entre Cannes et Grasse a été interrompue entre 14H00 et 17H00.Sur les côtes atlantique et de la Manche, ces vents forts engendrent “de très fortes vagues et une surélévation temporaire du niveau de la mer”, avait prévenu l’institut.À Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), la mairie a appelé la population “à une grande prudence face au danger de cette forte houle”.De gros sacs remplis de sable ont été mis en place sur la grande plage de la ville pour contenir le déferlement des vagues et protéger les bâtiments.Les accès à plusieurs plages d’Anglet, Saint-Jean-de-Luz et Hendaye dans ce même département ont été interdits.Face aux intempéries, la SNCF a annoncé que la circulation des trains TER serait suspendue sur certaines lignes et les vitesses de circulation réduites sur d’autres, même si les trains à grande vitesse circuleront.À Bordeaux, les jardins et cimetières ont été fermés et l’ouverture de la fête foraine du centre-ville repoussée.L’Office national des forêts a déconseillé toute promenade durant l’épisode en raison du risque de chutes d’arbres et de branches.jed-tsq-we-sm-cor-meh-tg/uh/abl
La tempête Benjamin fait une victime en Corse, peu de dommages ailleurs
La tempête automnale Benjamin a fait une victime en Corse, un vacancier allemand emporté par la crue d’une rivière jeudi après-midi, et sept blessés ailleurs dans le pays, placé en alerte renforcée mais globalement épargné.L’homme âgé de 45 ans se baignait avec sa femme et ses deux enfants lorsqu’ils ont été été emportés vers 15H00 par la montée rapide des eaux de la rivière du Fango dans la commune de Galeria (Haute-Corse), suite aux orages survenus en montagne, ont indiqué les pompiers de Haute-Corse (SIS 2B).Le corps du père de famille a été retrouvé près d’un pont en aval et “la femme âgée de 39 ans et deux enfants de 9 et 13 ans ont été pris en charge par les sapeurs pompiers et ont étés ramenés à leur domicile”, a précisé le SIS 2B à l’AFP.Alors que les effets de la tempête se dissipent, Météo-France ne maintient que les deux départements de la Corse en vigilance orange pour vents violents dans son dernier bulletin. Lors d’un point dans l’après-midi au PC crise de la sécurité civile, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a annoncé qu’il y avait “un blessé assez sérieusement et six blessés légers”. Il a précisé que le blessé grave était “une sapeur-pompier blessée en Gironde”, mais dont les “jours se sont pas en danger”.En outre, 38.000 foyers sont encore privés d’électricité, a annoncé dans la soirée le ministre de l’Économie Roland Lescure au journal télévisé de France 2. Et “70% des foyers impactés ont pu être réalimentés dans la journée”, a précisé Enedis dans un communiqué.En Haute-Corse, la vigilance orange est maintenue jusqu’à vendredi 06H00. Les rafales attendues sont de l’ordre de 120 à 140 km/h sur la Balagne, jusqu’à 160 à 170 km/h sur le Cap Corse. Le vent a soufflé à plus de 100 km/h sur une bonne partie de la France jeudi avec le passage de la tempête Benjamin, qualifiée de “forte” avec des pointes relevées à 116 km/h à Sainte-Marie-des-Monts (Manche), 119 km/h à Vernines (Puy-de-Dôme), 120 à 130 km/h à Biscarosse (Landes) et Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), 132 km/h au Cap-Ferret (Gironde) et 142 km/h à Saint-Clément-des-Baleines sur l’île de Ré (Charente-Maritime).L’accalmie se fait progressivement par l’ouest, les vents vont faiblir dans les heures qui viennent, précise Météo-France.- “Peu de dégâts matériels” -À Royan, trois personnes ont été très légèrement blessées, sans devoir être hospitalisées, par la chute d’un arbre sur leur véhicule, selon la préfecture de Charente-Maritime.Un conducteur de bus a également été légèrement blessé à la suite d’une chute d’arbre, de même que la sapeur-pompier en intervention en Gironde, où la tempête a fait “peu de dégâts matériels et humains” selon la préfecture.La circulation des trains entre Cannes et Grasse a été interrompue entre 14H00 et 17H00.Sur les côtes atlantique et de la Manche, ces vents forts engendrent “de très fortes vagues et une surélévation temporaire du niveau de la mer”, avait prévenu l’institut.À Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), la mairie a appelé la population “à une grande prudence face au danger de cette forte houle”.De gros sacs remplis de sable ont été mis en place sur la grande plage de la ville pour contenir le déferlement des vagues et protéger les bâtiments.Les accès à plusieurs plages d’Anglet, Saint-Jean-de-Luz et Hendaye dans ce même département ont été interdits.Face aux intempéries, la SNCF a annoncé que la circulation des trains TER serait suspendue sur certaines lignes et les vitesses de circulation réduites sur d’autres, même si les trains à grande vitesse circuleront.À Bordeaux, les jardins et cimetières ont été fermés et l’ouverture de la fête foraine du centre-ville repoussée.L’Office national des forêts a déconseillé toute promenade durant l’épisode en raison du risque de chutes d’arbres et de branches.jed-tsq-we-sm-cor-meh-tg/uh/abl
New York se mobilise contre Trump et sa police de l’immigration
“Bas les pattes !” répètent les New-Yorkais depuis une intervention spectaculaire de la police fédérale de l’immigration contre des vendeurs illégaux dans une rue commerçante de la ville, orchestrée par l’administration Trump.En temps normal, ces policiers — au visage caché par des masques et des casquettes — sont surtout présents dans les couloirs du 26 Federal Plaza, à Manhattan, cour de justice où sont entendus les immigrants tentant de régulariser leur situation. Mardi, c’est à Canal Street, dans le quartier chinois tout proche, qu’ils sont apparus, arrêtant neuf Africains soupçonnés d’être en situation irrégulière puis les plaçant en détention, lors d’une opération “axée sur des activités criminelles liées à la vente de contrefaçons”, selon un communiqué du ministère de la Sécurité intérieure.Quatre personnes ayant tenté d’empêcher ces arrestations ont aussi été appréhendées, puis libérées sans être poursuivies.Le directeur de la police fédérale de l’immigration (ICE), Todd Lyons, a annoncé dans la foulée que New York allait voir “augmenter les arrestations” car la ville, dite “sanctuaire”, protège les migrants en situation irrégulière. M. Lyons a ajouté que ces interventions ne sont pas “aléatoires” mais “fondées sur du renseignement criminel”.- “Quitter la ville” -L’événement a fait descendre dans la rue quelques dizaines de New-Yorkais mardi soir, des centaines mercredi soir.Parmi eux, Lorelei Crean, 18 ans, s’est inquiété auprès de l’AFP que la police de l’immigration ait “pris le contrôle de tout le pays”. “Maintenant, ça arrive à New York et New York montre qu’ICE doit quitter la ville”.Des représentants politiques et religieux sont eux aussi montés au créneau lors d’une conférence de presse, jeudi, autour de la présidente du conseil municipal, Adrienne Adams.”Nous sommes réunis pour envoyer à l’unisson un message clair à l’administration Trump: ne touchez pas à New York. Cessez de menacer notre sécurité publique et notre économie”, a lancé cette dernière.Depuis le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, les militaires réservistes de la Garde nationale ont été déployés dans plusieurs grandes villes démocrates (Portland, Chicago, Washington, Memphis et Los Angeles) et “New York ne veut pas et n’a pas besoin d’une occupation militaire ou fédérale”, a martelé Adrienne Adams.Fervente opposante au président, la procureure générale de l’Etat, Letitia James, a pour sa part lancé un formulaire en ligne destiné à recueillir des informations, photos et vidéos sur les activités de la police de l’immigration dans la ville.- “Déclarer la guerre” -Le sujet a aussi fait l’ouverture, dans la soirée de mercredi, du dernier débat entre les candidats à l’élection municipale du 4 novembre.Tous trois sont opposés à l’intervention de la police fédérale dans leur ville, le favori démocrate Zohran Mamdani allant jusqu’à qualifier ICE d'”entité irresponsable qui se soucie peu de la loi et encore moins des personnes qu’elle est censée servir”.M. Mamdani, qui estime que Donald Trump “cherche à déclarer la guerre” aux New-Yorkais, et ses adversaires Andrew Cuomo (démocrate concourant sous l’étiquette d’indépendant) et Curtis Sliwa (républicain) ont rapidement amené la conversation sur leur relation avec le président s’ils étaient élus.Le premier ne se dit prêt à discuter que sur la question du coût de la vie. Le second, qui était gouverneur de l’Etat de New York pendant le premier mandat du président, affirme qu’il faut “l’affronter”. Le troisième voit la “négociation” comme seule issue.Pour l’heure, la première option est la plus probable: les derniers sondages donnent à Zohran Mamdani une avance de plus de 10 points sur Andrew Cuomo.
Trinidadians challenge US forces killing their loved ones ‘like dogs’
Trinidadian Rishi Samaroo’s relatives are adamant: he was a fisherman, not a drug trafficker as the United States claimed after it destroyed his boat in Caribbean waters.Samaroo, 41, was one of six people killed in the attack announced last week by US President Donald Trump himself.Rehabilitated after a criminal youth, “Rishi was a loving, kind, caring, sharing person… He would do anything for anybody that asked him,” his sister Sunita Korasingh told AFP Thursday after his funeral in a suburb of Port of Spain, the capital of the Caribbean nation of Trinidad and Tobago. The United States has deployed a military fleet in the Caribbean in what it has called an anti-drug operation but Venezuela says it really aims to unseat President Nicolas Maduro.The Pentagon has announced nine attacks on alleged drug boats in recent weeks in the Caribbean and now the Pacific, claiming close to 40 lives. The victims’ governments and families say most were civilians — many of them fishermen. The US has made public no evidence to back up its claims of drug trafficking involving the vessels.In a question addressed to Trump, 38-year-old Korasingh said: “If he was 100 percent (sure) that this boat… had drugs in it, why didn’t he stop this vessel and search it and all the rest of vessels instead of blowing up people… like dogs?” If drugs are found on these boats, she continued, “you could lock them up… within the law… but you can’t just be going around blowing up” boats.- “We all make mistakes” About 30 people gathered Wednesday night for Samaroo’s wake in a tent in a poor neighborhood.Neighbors say shootings are frequent in the area, host to several drug gangs and a significant community of Venezuelan migrants. Few people wanted to speak to AFP. A scholar known as a pandit led the Hindu ceremony, one of the most practiced religions in Trinidad and Tobago. Korasingh made a banner featuring Samaroo with angel wings standing on clouds with a blue sky in the background and the words: “Gone but never forgotten.”His family said he had served a 15-year sentence for homicide committed as a teenager, then moved to Venezuela. “As human beings, we make mistakes at a young age… We learn from our mistakes and grow,” said Korasingh of her brother’s criminal past.When he got out, he became a fisherman and a goat farmer and sold cheese.Drugs? Never. “He never even smoked a cigarette in his whole life,” she insisted. “He never even drank a beer in his life.”His family says Samaroo was on his way home from Venezuela when he was killed.- Last call -Attendees at the wake played cards, drank alcohol and coffee, and talked about Samaroo. Another sister, Sallycar Korasingh, said she received a video call from him minutes before he set out by boat on that fateful night of October 12.”We spoke and he showed me he was going on the boat. This was just before midnight… I took a picture of him,” the 31-year-old told AFP.She said did not know what Samaroo’s relationship was with 26-year-old Chad Joseph, also killed in the strike.According to Trinidadian press, Joseph had been accused of drug trafficking in the past but never convicted. But his family and neighbors insisted to AFP last week Joseph had no links to drug trafficking, and was also a fisherman and farmer.Samaroo had three children in Venezuela with three different women, according to family members.Trinidadian police are investigating the strike.
Ligue Conférence: Panichelli arrache un nul frustrant pour Strasbourg
Dominateur toute la partie mais en mal d’efficacité, Strasbourg a dû se contenter du match nul face aux Polonais de Jagiellonia Bialystok (1-1) arraché grâce à l’entrant Joaquin Panichelli, jeudi lors de la deuxième journée de Ligue Conférence.Malgré un onze de départ largement remanié, Strasbourg aurait pu connaître une soirée plus tranquille. Mais longtemps incapables de trouver la faille face au gardien du Jagiellonia, auteur de plusieurs arrêts décisifs, les Alsaciens ont concédé l’ouverture du score au retour des vestiaires. Ils ont dû s’en remettre à Panichelli, auteur d’un doublé face au Paris SG la semaine dernière, pour arracher un point.Entré à l’heure de jeu en compagnie de Valentin Barco et Diego Moreira, l’avant-centre argentin de 23 ans a délivré la Meinau d’un retourné acrobatique imparable dans les six mètres (79e). Le Racing a alors poussé dans les dernières minutes mais l’ultime rempart polonais Milosz Piekutowski s’est encore illustré dans le temps additionnel.Le gardien de 19 ans s’est montré dès la quatrième minute, impeccable devant une reprise de Sebastian Nanasi, qui n’avait plus joué depuis le mois d’août en raison d’une blessure à une épaule.Malmené par le pressing des Alsaciens, le leader du championnat de Pologne a fait le dos rond et a pu compter sur son gardien, encore décisif devant Félix Lemaréchal (28e) et Nanasi (49e).Dominateur mais stérile, et aussi un peu malchanceux à l’image du poteau trouvé par Kendry Paez (50e), Strasbourg s’est fait surprendre en début de seconde mi-temps. Sur un coup franc excentré, le défenseur Dusan Stojinovic a propulsé un ballon mal dégagé dans le but de Mike Penders, impuissant (52e).Avec ses entrants à l’heure de jeu, le Racing a d’abord peiné à se montrer plus dangereux avant que Panichelli ne trouve la faille. L’attaquant argentin, Martial Godo ou encore Lemaréchal ont eu l’occasion de donner l’avantage aux Strasbourgeois dans les ultimes minutes. Mais l’efficacité à encore manqué: un problème qu’il faudra corriger pour ramener des points d’un déplacement périlleux à Lyon dimanche.






