En Méditerranée, les poissons cherchent la fraîcheur et ça recompose nos assiettes

Il fait 34°C sur le Vieux-Port de Marseille, 29°C dans la mer. Les poissons aussi cherchent la fraicheur et l’étal de Sandrine Di Meglio manque cruellement de daurades royales ou de bonites pour la saison.”Il n’y a pas de poisson, il s’en va, c’est normal, il fait trop chaud, il va chercher la nourriture ailleurs”, raconte la poissonnière.Et n’allez pas demander de la sardine à sa voisine Christelle: “Il n’y en a pas! Ils cassent les c… avec les sardines. Il y a autre chose que la sardine, quoi !”. A la place, elle propose des aloses: trois kilos pour 20 euros.L’alose a les mêmes petits points sur le corps que la sardine, elles font partie de la même famille et ont des contenus élevés en oméga 3. Elle a certes pas mal d’arêtes mais elle est plus grosse et plus charnue. Cette espèce migre entre la mer vers les eaux douces pour la reproduction, elle profite donc pour se nourrir de ce continuum terre-mer. La sardine disparait des étals car elle est devenue trop petite pour être pêchée faute de plancton, sa nourriture, qui se raréfie, explique Daniela Banaru, chercheuse en biologie et écologie marines à l’Institut méditerranéen d’océanologie (MIO).Le week-end dernier, la mer Méditerranée a enregistré un triste record pour un mois de juin avec une température de surface de 26,01°C en moyenne, selon des données du programme européen Copernicus analysées par Météo-France.”De l’eau à 29°C sur la plage de Cap Rousset, début juillet, c’est du jamais vu. C’est un phénomène qu’on a plus souvent fin juillet, début août”, relève Marie Bravo-Monin, directrice du parc marin de la Côte bleue, au nord de Marseille.En profondeur aussi, l’eau dans ce parc est de plus en plus chaude: en 2024, la températures à -12 mètres est montée jusqu’à 26,7°C et même à presque 28°C en 2022. Même l’hiver, la température a augmenté en moyenne de 2°C en 14 ans.- Espèces exotiques -Tout cela entraîne une reconfiguration des populations de poissons. “Certains vont faire comme nous, chercher la fraîcheur, tout simplement”. La girelle royale, poisson phare de la bouillabaisse, la célèbre soupe de poisson locale, va descendre plus en profondeur. A l’inverse, la girelle-paon, avec ses tons bleus et verts éclatants, aime la chaleur. On en observe donc de plus en plus dans les eaux de surface autour de Marseille. Pour le loup (bar), espèce ultra-prisée dans la cuisine méditerranéenne, une température élevée peut déclencher la reproduction.La pêche est donc de plus en plus aléatoire.Et si on en est là, explique Daniela Banaru, c’est la conséquence d’au moins trois phénomènes. Certaines espèces d’eau froide disparaissent, tandis que des espèces d’eau chaude et souvent même exotiques prolifèrent, comme le barracuda, la girelle-paon ou le baliste.  Avec l’augmentation des températures, il y a aussi une “stratification des eaux” qui empêche le mélange des eaux de surface et de profondeur qui permet normalement la prolifération du plancton, notamment au large où se nourrissent habituellement les grands prédateurs. Ce qui explique qu’on observe de plus en plus de thons ou cétacés près des côtes où leur nourriture est un peu plus abondante en lien avec les apports de la terre.Enfin, le phénomène qui a le plus de conséquences pour la pêche en Méditerranée française, selon la chercheuse, est lié la gestion de l’eau du Rhône. L’amélioration de la qualité de eaux a fait baisser la concentration de nutriments. Mais surtout, les besoins pour l’agriculture et l’eau potable face aux épisodes de sécheresse, ont fait baisser la quantité d’eau du fleuve qui se jette dans la Méditerranée. Or, c’est principalement cette eau d’origine terrestre chargée en nutriments qui permet la prolifération de plancton, explique Daniela Banaru, également maîtresse de conférence à l’université d’Aix-Marseille.Pour elle, la réglementation autour de la pêche devrait prendre en compte tous ces changements.  Et les pêcheurs comme les consommateurs doivent s’adapter et manger ce que l’on trouve.A deux pas du Vieux-Port, le chef Christian Qui essaie de montrer l’exemple. “A un moment j’ai jeté toutes mes cartes et je suis venu sur le quai regarder ce qu’il y avait sur les étals. Sur la bouillabaisse, l’idée c’est de ne pas avoir une recette trop définie avec tel ou tel poisson mais des principes de cuisine sauvage.”  Et ce matin-là, pour sa bouillabaisse, il n’y a ni girelle, ni galinette (grondin perlon). Ce sera donc de la baudroie (lotte) !

Des entreprises “profitent” du “génocide” des Palestiniens, dit une experte de l’ONU

Des entreprises “ont profité de l’économie israélienne d’occupation illégale, d’apartheid et maintenant de génocide”, a estimé jeudi la rapporteure spéciale de l’ONU pour les Territoires palestiniens, Francesca Albanese.Mme Albanese a présenté au Conseil des droits de l’homme des Nations unies un rapport intitulé “De l’économie de l’occupation à l’économie du génocide”, dans lequel sont étudiés “les mécanismes des entreprises qui soutiennent le projet colonial israélien de déplacement et de remplacement des Palestiniens”.La mission d’Israël à Genève a affirmé que le rapport de Mme Albanese était motivé par son “programme obsessionnel et haineux visant à délégitimer l’État d’Israël”.La situation dans la bande de Gaza et en Cisjordanie est “apocalyptique”, a fait valoir Mme Albanese. “A Gaza, les Palestiniens continuent d’endurer des souffrances qui dépassent l’imagination”. – Une “machine à effacer” -“Des fabricants d’armes aux géants de la technologie, en passant par les banques, les entreprises énergétiques, les plateformes en ligne, les supermarchés et les universités, les entreprises ont fourni les outils, le financement, les infrastructures et la légitimité de cette machine à effacer”, a accusé Mme Albanese devant l’organe suprême de l’ONU chargé des droits de l’homme. “Les colonies s’étendent, financées par les banques et les assureurs, alimentées par les combustibles fossiles et normalisées par les plateformes touristiques, les chaînes de supermarchés et les institutions universitaires”, a-t-elle dit. “Tout cela a contribué à renforcer l’apartheid et à permettre la destruction lente et inexorable de la vie des Palestiniens”, a jugé cette experte, dont la présentation a été accueillie par des applaudissements dans l’hémicycle.Mme Albanese fait depuis longtemps l’objet de demandes de révocation de la part d’Israël et de certains de ses alliés en raison de ses accusations. Elle a été nommée par le Conseil des droits de l’homme mais ne parle pas au nom des Nations unies. – Profiter de la violence -Mme Albanese a précisé devant la presse qu’elle avait contacté les 48 entreprises citées dans son rapport, que 18 d’entre elles lui avaient répondu et que, parmi celles-ci, “seul un petit nombre avaient accepté d’être interrogées de bonne foi”, la plupart “disant qu’il n’y avait absolument rien de mal”. Mais elle a ajouté que le nombre des entreprises concernées pourrait être supérieur à mille. “Des personnes et des organisations ont profité de la violence et des meurtres”, a-t-elle dénoncé. “Mon rapport expose un système, quelque chose de si structurel, répandu et systémique qu’il n’y a aucune possibilité d’y remédier : il faut le démanteler”. L’AFP a demandé un commentaire à plusieurs entreprises citées dans le rapport. Certaines n’ont pas répondu.”Nous pensons qu’il ne nous appartient pas de décider où quelqu’un peut ou ne peut pas voyager”, a plaidé la plateforme de voyage Booking.com. Un cabinet de communication représentant Microsoft a répondu que ce géant de la technologie n’avait “aucun commentaire à faire”.Le géant danois du transport maritime Maersk a assuré avoir “maintenu une politique stricte consistant à ne pas expédier d’armes ou de munitions à Israël” depuis le début de la guerre entre ce pays et le Hamas. “Nous respectons évidemment les droits de l’homme”, a réagi un porte-parole du constructeur suédois de poids lourds Volvo, précisant : “Nous vendons par l’intermédiaire de revendeurs”. Glencore, un groupe suisse d’exploitation minière et de négoce de matières premières, a rejeté “catégoriquement toutes les accusations”, les considérant “dépourvues de tout fondement juridique”.L’experte de l’ONU a relevé que les consommateurs avaient “la possibilité de demander des comptes à ces entreprises car nous votons en quelque sorte avec nos portefeuilles”. rjm-burx/ial/bds

Des entreprises “profitent” du “génocide” des Palestiniens, dit une experte de l’ONU

Des entreprises “ont profité de l’économie israélienne d’occupation illégale, d’apartheid et maintenant de génocide”, a estimé jeudi la rapporteure spéciale de l’ONU pour les Territoires palestiniens, Francesca Albanese.Mme Albanese a présenté au Conseil des droits de l’homme des Nations unies un rapport intitulé “De l’économie de l’occupation à l’économie du génocide”, dans lequel sont étudiés “les mécanismes des entreprises qui soutiennent le projet colonial israélien de déplacement et de remplacement des Palestiniens”.La mission d’Israël à Genève a affirmé que le rapport de Mme Albanese était motivé par son “programme obsessionnel et haineux visant à délégitimer l’État d’Israël”.La situation dans la bande de Gaza et en Cisjordanie est “apocalyptique”, a fait valoir Mme Albanese. “A Gaza, les Palestiniens continuent d’endurer des souffrances qui dépassent l’imagination”. – Une “machine à effacer” -“Des fabricants d’armes aux géants de la technologie, en passant par les banques, les entreprises énergétiques, les plateformes en ligne, les supermarchés et les universités, les entreprises ont fourni les outils, le financement, les infrastructures et la légitimité de cette machine à effacer”, a accusé Mme Albanese devant l’organe suprême de l’ONU chargé des droits de l’homme. “Les colonies s’étendent, financées par les banques et les assureurs, alimentées par les combustibles fossiles et normalisées par les plateformes touristiques, les chaînes de supermarchés et les institutions universitaires”, a-t-elle dit. “Tout cela a contribué à renforcer l’apartheid et à permettre la destruction lente et inexorable de la vie des Palestiniens”, a jugé cette experte, dont la présentation a été accueillie par des applaudissements dans l’hémicycle.Mme Albanese fait depuis longtemps l’objet de demandes de révocation de la part d’Israël et de certains de ses alliés en raison de ses accusations. Elle a été nommée par le Conseil des droits de l’homme mais ne parle pas au nom des Nations unies. – Profiter de la violence -Mme Albanese a précisé devant la presse qu’elle avait contacté les 48 entreprises citées dans son rapport, que 18 d’entre elles lui avaient répondu et que, parmi celles-ci, “seul un petit nombre avaient accepté d’être interrogées de bonne foi”, la plupart “disant qu’il n’y avait absolument rien de mal”. Mais elle a ajouté que le nombre des entreprises concernées pourrait être supérieur à mille. “Des personnes et des organisations ont profité de la violence et des meurtres”, a-t-elle dénoncé. “Mon rapport expose un système, quelque chose de si structurel, répandu et systémique qu’il n’y a aucune possibilité d’y remédier : il faut le démanteler”. L’AFP a demandé un commentaire à plusieurs entreprises citées dans le rapport. Certaines n’ont pas répondu.”Nous pensons qu’il ne nous appartient pas de décider où quelqu’un peut ou ne peut pas voyager”, a plaidé la plateforme de voyage Booking.com. Un cabinet de communication représentant Microsoft a répondu que ce géant de la technologie n’avait “aucun commentaire à faire”.Le géant danois du transport maritime Maersk a assuré avoir “maintenu une politique stricte consistant à ne pas expédier d’armes ou de munitions à Israël” depuis le début de la guerre entre ce pays et le Hamas. “Nous respectons évidemment les droits de l’homme”, a réagi un porte-parole du constructeur suédois de poids lourds Volvo, précisant : “Nous vendons par l’intermédiaire de revendeurs”. Glencore, un groupe suisse d’exploitation minière et de négoce de matières premières, a rejeté “catégoriquement toutes les accusations”, les considérant “dépourvues de tout fondement juridique”.L’experte de l’ONU a relevé que les consommateurs avaient “la possibilité de demander des comptes à ces entreprises car nous votons en quelque sorte avec nos portefeuilles”. rjm-burx/ial/bds

Des entreprises “profitent” du “génocide” des Palestiniens, dit une experte de l’ONU

Des entreprises “ont profité de l’économie israélienne d’occupation illégale, d’apartheid et maintenant de génocide”, a estimé jeudi la rapporteure spéciale de l’ONU pour les Territoires palestiniens, Francesca Albanese.Mme Albanese a présenté au Conseil des droits de l’homme des Nations unies un rapport intitulé “De l’économie de l’occupation à l’économie du génocide”, dans lequel sont étudiés “les mécanismes des entreprises qui soutiennent le projet colonial israélien de déplacement et de remplacement des Palestiniens”.La mission d’Israël à Genève a affirmé que le rapport de Mme Albanese était motivé par son “programme obsessionnel et haineux visant à délégitimer l’État d’Israël”.La situation dans la bande de Gaza et en Cisjordanie est “apocalyptique”, a fait valoir Mme Albanese. “A Gaza, les Palestiniens continuent d’endurer des souffrances qui dépassent l’imagination”. – Une “machine à effacer” -“Des fabricants d’armes aux géants de la technologie, en passant par les banques, les entreprises énergétiques, les plateformes en ligne, les supermarchés et les universités, les entreprises ont fourni les outils, le financement, les infrastructures et la légitimité de cette machine à effacer”, a accusé Mme Albanese devant l’organe suprême de l’ONU chargé des droits de l’homme. “Les colonies s’étendent, financées par les banques et les assureurs, alimentées par les combustibles fossiles et normalisées par les plateformes touristiques, les chaînes de supermarchés et les institutions universitaires”, a-t-elle dit. “Tout cela a contribué à renforcer l’apartheid et à permettre la destruction lente et inexorable de la vie des Palestiniens”, a jugé cette experte, dont la présentation a été accueillie par des applaudissements dans l’hémicycle.Mme Albanese fait depuis longtemps l’objet de demandes de révocation de la part d’Israël et de certains de ses alliés en raison de ses accusations. Elle a été nommée par le Conseil des droits de l’homme mais ne parle pas au nom des Nations unies. – Profiter de la violence -Mme Albanese a précisé devant la presse qu’elle avait contacté les 48 entreprises citées dans son rapport, que 18 d’entre elles lui avaient répondu et que, parmi celles-ci, “seul un petit nombre avaient accepté d’être interrogées de bonne foi”, la plupart “disant qu’il n’y avait absolument rien de mal”. Mais elle a ajouté que le nombre des entreprises concernées pourrait être supérieur à mille. “Des personnes et des organisations ont profité de la violence et des meurtres”, a-t-elle dénoncé. “Mon rapport expose un système, quelque chose de si structurel, répandu et systémique qu’il n’y a aucune possibilité d’y remédier : il faut le démanteler”. L’AFP a demandé un commentaire à plusieurs entreprises citées dans le rapport. Certaines n’ont pas répondu.”Nous pensons qu’il ne nous appartient pas de décider où quelqu’un peut ou ne peut pas voyager”, a plaidé la plateforme de voyage Booking.com. Un cabinet de communication représentant Microsoft a répondu que ce géant de la technologie n’avait “aucun commentaire à faire”.Le géant danois du transport maritime Maersk a assuré avoir “maintenu une politique stricte consistant à ne pas expédier d’armes ou de munitions à Israël” depuis le début de la guerre entre ce pays et le Hamas. “Nous respectons évidemment les droits de l’homme”, a réagi un porte-parole du constructeur suédois de poids lourds Volvo, précisant : “Nous vendons par l’intermédiaire de revendeurs”. Glencore, un groupe suisse d’exploitation minière et de négoce de matières premières, a rejeté “catégoriquement toutes les accusations”, les considérant “dépourvues de tout fondement juridique”.L’experte de l’ONU a relevé que les consommateurs avaient “la possibilité de demander des comptes à ces entreprises car nous votons en quelque sorte avec nos portefeuilles”. rjm-burx/ial/bds

Concours enseignants : 2.610 postes non pourvus en 2025, selon l’AFP

Plus de 2.600 postes d’enseignants n’ont, encore cette année, pas trouvé preneurs à l’issue des concours de recrutement, malgré une baisse du nombre de postes offerts dans les académies ou disciplines les moins attractives, selon des données compilées par l’AFP.Sur les 27.713 postes proposés aux concours du public et du privé sous contrat, 2.610 n’ont pas été pourvus (9,4%), selon une base de données compilée vendredi par l’AFP à partir des résultats d’admission publiés sur la plateforme officielle Cyclades.Le nombre de postes non pourvus est en forte baisse sur un an (-34%) mais ce recul est essentiellement mécanique, dû à une diminution notable du nombre de postes affichés aux concours dans les académies du primaire (maternelle et élémentaire) et dans les spécialités du secondaire (collèges et lycées) les moins attractives.Le ministère de l’Education nationale, dans une déclaration vendredi à l’AFP, a salué une “amélioration du rendement des concours” du primaire, malgré des “tensions dans certaines académies” et, dans le second degré, des “améliorations notables” dans “certaines disciplines déficitaires”, citant la physique-chimie, l’espagnol ou l’allemand.Au sein du public, 2.330 postes sont restés vacants (9,8%).Dans le primaire, le nombre de postes restés vacants (1.141) est divisé par deux par rapport à 2024, en raison d’une baisse du nombre de postes proposés aux concours dans les académies traditionnellement moins demandées (Versailles, Créteil et Guyane).Dans le secondaire, la baisse du nombre de postes non pourvus (1.189, -25% par rapport à 2024) résulte d’une moindre offre aux concours des spécialités ayant du mal à trouver des candidats.Matière emblématique des difficultés, les mathématiques comptabilisent près de 400 postes non pourvus, soit un poste sur cinq proposé aux concours. En physique-chimie, ce sont 103 postes qui n’ont pas été pourvus, contre 157 en 2024, une baisse majoritairement due à une diminution du nombre de postes proposés aux concours (-41).Du côté de l’enseignement privé sous contrat, 280 postes sont restés vacants à l’issue des concours (7,2%, stable).Pour calculer ces totaux, l’AFP a inclus l’ensemble des concours organisés cette année. Or pour le premier degré du public, l’Education nationale exclut généralement certains concours de ses propres calculs. En appliquant la méthodologie utilisée l’an dernier par le ministère, le nombre de postes non pourvus se limiterait cette année à 526 dans le primaire du public, 1.715 dans l’ensemble de l’enseignement public, 1.995 public et privé confondus.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Canicule: 14 départements toujours en vigilance orange vendredi

Une partie de la région Rhône-Alpes, le pourtour méditérranéen et la Corse subissent toujours de fortes chaleurs avec 14 départements en vigilance orange canicule vendredi, a indiqué Météo-France.Les départements qui restent concernés par la vigilance orange sont l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, le Vaucluse, le Gard, les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, le Var, les Bouches-du-Rhône, l’Hérault, l’Aude, les Pyrénées-Orientales ainsi que les deux départements de Corse.”Vendredi, les très fortes chaleurs se restreignent aux régions méditerranéennes, à la moyenne vallée du Rhône, et au bassin grenoblois, où les maximales atteindront encore 32 à 37°C, voire ponctuellement jusqu’à 38/39°C dans l’intérieur de la Provence”, indique le service météorologique dans son dernier bulletin publié à 06H00.”En cette fin de nuit, les températures restent élevées, entre 20 et 23 degrés sur la basse vallée du Rhône, et jusqu’à 26°C près de la Méditerranée, comme à Perpignan, Aigues-Mortes, Marignane ou Ajaccio, et même 28°C à Menton”, ajoute Météo-France.La majeure partie du territoire a connu mercredi et jeudi les dernières journées d’un épisode de canicule qui restera dans les annales par sa précocité, sa durée et ses records de températures.

Canicule: 14 départements toujours en vigilance orange vendredi

Une partie de la région Rhône-Alpes, le pourtour méditérranéen et la Corse subissent toujours de fortes chaleurs avec 14 départements en vigilance orange canicule vendredi, a indiqué Météo-France.Les départements qui restent concernés par la vigilance orange sont l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, le Vaucluse, le Gard, les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, le Var, les Bouches-du-Rhône, l’Hérault, l’Aude, les Pyrénées-Orientales ainsi que les deux départements de Corse.”Vendredi, les très fortes chaleurs se restreignent aux régions méditerranéennes, à la moyenne vallée du Rhône, et au bassin grenoblois, où les maximales atteindront encore 32 à 37°C, voire ponctuellement jusqu’à 38/39°C dans l’intérieur de la Provence”, indique le service météorologique dans son dernier bulletin publié à 06H00.”En cette fin de nuit, les températures restent élevées, entre 20 et 23 degrés sur la basse vallée du Rhône, et jusqu’à 26°C près de la Méditerranée, comme à Perpignan, Aigues-Mortes, Marignane ou Ajaccio, et même 28°C à Menton”, ajoute Météo-France.La majeure partie du territoire a connu mercredi et jeudi les dernières journées d’un épisode de canicule qui restera dans les annales par sa précocité, sa durée et ses records de températures.

Canicule: 14 départements toujours en vigilance orange vendredi

Une partie de la région Rhône-Alpes, le pourtour méditérranéen et la Corse subissent toujours de fortes chaleurs avec 14 départements en vigilance orange canicule vendredi, a indiqué Météo-France.Les départements qui restent concernés par la vigilance orange sont l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, le Vaucluse, le Gard, les Alpes-de-Haute-Provence, les Alpes-Maritimes, le Var, les Bouches-du-Rhône, l’Hérault, l’Aude, les Pyrénées-Orientales ainsi que les deux départements de Corse.”Vendredi, les très fortes chaleurs se restreignent aux régions méditerranéennes, à la moyenne vallée du Rhône, et au bassin grenoblois, où les maximales atteindront encore 32 à 37°C, voire ponctuellement jusqu’à 38/39°C dans l’intérieur de la Provence”, indique le service météorologique dans son dernier bulletin publié à 06H00.”En cette fin de nuit, les températures restent élevées, entre 20 et 23 degrés sur la basse vallée du Rhône, et jusqu’à 26°C près de la Méditerranée, comme à Perpignan, Aigues-Mortes, Marignane ou Ajaccio, et même 28°C à Menton”, ajoute Météo-France.La majeure partie du territoire a connu mercredi et jeudi les dernières journées d’un épisode de canicule qui restera dans les annales par sa précocité, sa durée et ses records de températures.