Les Bourses européennes ouvrent en timide hausse

Les Bourses européennes ont ouvert jeudi en timide hausse, les investisseurs digérant une nouvelle salve de résultats d’entreprises sur fond de tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine.Dans les premiers échanges, la Bourse de Paris prenait 0,34%, Francfort 0,23%, tandis que Londres et Milan gagnaient 0,35%.

Méga-fusion dans les satellites européens: Airbus, Thales et Leonardo signent un protocole d’accord

Les poids lourds européens Airbus, Thales et Leonardo ont signé jeudi un protocole d’accord en vue de fusionner leurs activités dans les satellites, un méga-projet destiné à contrer la domination de Starlink, la constellation d’Elon Musk.L’entreprise issue de ce rapprochement, qui pourrait être opérationnelle en 2027 si la Commission européenne donne son feu vert, deviendra “un acteur spatial européen de premier plan”, souligne Thales dans un communiqué. Cet accord est “une excellente nouvelle. La création d’un champion européen des satellites permettrait d’augmenter les investissements de la recherche et de l’innovation dans ce secteur stratégique et ainsi renforcer notre souveraineté européenne dans un contexte de compétition mondiale intense”, a réagi le ministère français des Finances. Le siège social de la nouvelle entité sera basé à Toulouse, dans le sud-ouest de la France. Le groupe, avec un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros (fin 2024) et un carnet de commandes représentant plus de trois années de ventes, va employer quelques 25.000 personnes à travers l’Europe, précise Leonardo dans un communiqué.La propriété de la nouvelle société sera partagée entre les sociétés mères, Airbus, Leonardo et Thales, qui détiendront respectivement 35%, 32,5% et 32,5% des parts. Elle fonctionnera sous contrôle conjoint, avec “une gouvernance équilibrée”, selon Leonardo. Ce projet baptisé Bromo “constitue une avancée majeure pour renforcer l’écosystème spatial européen, accroître sa capacité d’innovation, son autonomie stratégique et sa compétitivité et ainsi permettre à l’Europe d’affirmer son rôle central sur le marché spatial mondial”, selon Thales.Cette fusion permettra de renforcer la souveraineté de l’Europe dans le secteur spatial “qui soutient les infrastructures et services essentiels liés aux télécommunications, à la navigation mondiale, à l’observation de la Terre, à la recherche scientifique, à l’exploration et à la sécurité nationale”, souligne également Airbus dans le communiqué. Le géant aéronautique européen Airbus contribuera avec ses activités Space Systems et Space Digital, provenant de sa division Airbus Defence and Space.  Thales apportera principalement ses parts dans sa branche spatiale Thales Alenia Space ainsi que Telespazio et Thales SESO.Enfin, Leonardo contribuera avec sa division spatiale, y compris ses parts dans Telespazio et Thales Alenia Space.La nouvelle entité ambitionne également de devenir le partenaire de confiance pour le développement et la mise en œuvre des programmes spatiaux souverains des pays européens.

Méga-fusion dans les satellites européens: Airbus, Thales et Leonardo signent un protocole d’accord

Les poids lourds européens Airbus, Thales et Leonardo ont signé jeudi un protocole d’accord en vue de fusionner leurs activités dans les satellites, un méga-projet destiné à contrer la domination de Starlink, la constellation d’Elon Musk.L’entreprise issue de ce rapprochement, qui pourrait être opérationnelle en 2027 si la Commission européenne donne son feu vert, deviendra “un acteur spatial européen de premier plan”, souligne Thales dans un communiqué. Cet accord est “une excellente nouvelle. La création d’un champion européen des satellites permettrait d’augmenter les investissements de la recherche et de l’innovation dans ce secteur stratégique et ainsi renforcer notre souveraineté européenne dans un contexte de compétition mondiale intense”, a réagi le ministère français des Finances. Le siège social de la nouvelle entité sera basé à Toulouse, dans le sud-ouest de la France. Le groupe, avec un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros (fin 2024) et un carnet de commandes représentant plus de trois années de ventes, va employer quelques 25.000 personnes à travers l’Europe, précise Leonardo dans un communiqué.La propriété de la nouvelle société sera partagée entre les sociétés mères, Airbus, Leonardo et Thales, qui détiendront respectivement 35%, 32,5% et 32,5% des parts. Elle fonctionnera sous contrôle conjoint, avec “une gouvernance équilibrée”, selon Leonardo. Ce projet baptisé Bromo “constitue une avancée majeure pour renforcer l’écosystème spatial européen, accroître sa capacité d’innovation, son autonomie stratégique et sa compétitivité et ainsi permettre à l’Europe d’affirmer son rôle central sur le marché spatial mondial”, selon Thales.Cette fusion permettra de renforcer la souveraineté de l’Europe dans le secteur spatial “qui soutient les infrastructures et services essentiels liés aux télécommunications, à la navigation mondiale, à l’observation de la Terre, à la recherche scientifique, à l’exploration et à la sécurité nationale”, souligne également Airbus dans le communiqué. Le géant aéronautique européen Airbus contribuera avec ses activités Space Systems et Space Digital, provenant de sa division Airbus Defence and Space.  Thales apportera principalement ses parts dans sa branche spatiale Thales Alenia Space ainsi que Telespazio et Thales SESO.Enfin, Leonardo contribuera avec sa division spatiale, y compris ses parts dans Telespazio et Thales Alenia Space.La nouvelle entité ambitionne également de devenir le partenaire de confiance pour le développement et la mise en œuvre des programmes spatiaux souverains des pays européens.

Méga-fusion dans les satellites européens: Airbus, Thales et Leonardo signent un protocole d’accord

Les poids lourds européens Airbus, Thales et Leonardo ont signé jeudi un protocole d’accord en vue de fusionner leurs activités dans les satellites, un méga-projet destiné à contrer la domination de Starlink, la constellation d’Elon Musk.L’entreprise issue de ce rapprochement, qui pourrait être opérationnelle en 2027 si la Commission européenne donne son feu vert, deviendra “un acteur spatial européen de premier plan”, souligne Thales dans un communiqué. Cet accord est “une excellente nouvelle. La création d’un champion européen des satellites permettrait d’augmenter les investissements de la recherche et de l’innovation dans ce secteur stratégique et ainsi renforcer notre souveraineté européenne dans un contexte de compétition mondiale intense”, a réagi le ministère français des Finances. Le siège social de la nouvelle entité sera basé à Toulouse, dans le sud-ouest de la France. Le groupe, avec un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros (fin 2024) et un carnet de commandes représentant plus de trois années de ventes, va employer quelques 25.000 personnes à travers l’Europe, précise Leonardo dans un communiqué.La propriété de la nouvelle société sera partagée entre les sociétés mères, Airbus, Leonardo et Thales, qui détiendront respectivement 35%, 32,5% et 32,5% des parts. Elle fonctionnera sous contrôle conjoint, avec “une gouvernance équilibrée”, selon Leonardo. Ce projet baptisé Bromo “constitue une avancée majeure pour renforcer l’écosystème spatial européen, accroître sa capacité d’innovation, son autonomie stratégique et sa compétitivité et ainsi permettre à l’Europe d’affirmer son rôle central sur le marché spatial mondial”, selon Thales.Cette fusion permettra de renforcer la souveraineté de l’Europe dans le secteur spatial “qui soutient les infrastructures et services essentiels liés aux télécommunications, à la navigation mondiale, à l’observation de la Terre, à la recherche scientifique, à l’exploration et à la sécurité nationale”, souligne également Airbus dans le communiqué. Le géant aéronautique européen Airbus contribuera avec ses activités Space Systems et Space Digital, provenant de sa division Airbus Defence and Space.  Thales apportera principalement ses parts dans sa branche spatiale Thales Alenia Space ainsi que Telespazio et Thales SESO.Enfin, Leonardo contribuera avec sa division spatiale, y compris ses parts dans Telespazio et Thales Alenia Space.La nouvelle entité ambitionne également de devenir le partenaire de confiance pour le développement et la mise en œuvre des programmes spatiaux souverains des pays européens.

Indonesia defiant after IOC calls for no events over Israeli gymnast ban

Indonesia vowed Thursday to play an “active role” in global sports after the IOC urged federations not to stage events there following the country’s ban on Israeli gymnasts.The International Olympic Committee’s executive board said Wednesday it would “recommend to all international federations not to host any international sports events or meetings in Indonesia” until it provided guarantees over access for all participants in competitions.The board said it also ended dialogue with the world’s most populous Muslim-majority nation on hosting any future Olympic events.It came after Indonesia denied visas for Israelis to compete at the on-going world artistic gymnastics championships in Jakarta, citing support for the Palestinians.In a show of defiance, Sports and Youth Minister Erick Thohir said Thursday that Jakarta was aware its ban on Israelis “carries consequences”.But he wrote on X: “Indonesia will continue to play an active role in various sports events at the Southeast Asian, Asian and global levels, so that Indonesian sports can serve as an ambassador and a reflection of the nation’s strength in the eyes of the world.”We… adhere to the principle of maintaining security, public order and public interest in every international event organised.””On that basis, Indonesia has taken steps to avoid the arrival of the Israeli delegation at the Gymnastics World Championships.”Indonesia’s National Olympic Committee declined to comment on the IOC move because it said discussions were ongoing.Israel’s gymnastics federation appealed against the ban to the Court of Arbitration for Sport (CAS), but it was rejected.In July 2023 Indonesia pulled out of hosting the World Beach Games following controversy over Israel’s participation. In March that year, Indonesia lost the hosting rights to the FIFA Under-20 World Cup after two governors objected to Israel’s participation.Both of those occurred before war between Israel and armed group Hamas broke out in Gaza, where there is currently a ceasefire in place.

Meta supprime 600 emplois au sein de sa division IA

Le groupe Meta (Facebook, Instagram) a décidé de supprimer quelque 600 postes au sein de sa division consacrée à l’intelligence artificielle (IA) afin de rationaliser ses opérations après une importante campagne de recrutement, ont rapporté des médias américains mercredi.La décision de Meta vise selon le New York Times à répondre à son “gonflement organisationnel”, après une campagne de recrutement considérable organisée pour renforcer ses moyens en matière d’IA.Selon le Wall Street Journal, beaucoup des employés touchés par cette mesure pourraient rester chez Meta en changeant de poste.Les deux quotidiens se sont appuyés sur une note envoyée par le directeur général de l’IA chez Meta, Alexandr Wang, selon qui ces suppressions d’emploi feront que “moins de discussions seront nécessaires pour prendre des décisions”.Contacté, Meta n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP.Le groupe de Mark Zuckerberg investit massivement dans l’IA, son patron souhaitant regagner du terrain face à ses concurrents dans la course à la “superintelligence”, technologie hypothétique aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, graal de la Silicon Valley californienne.Mi-septembre, Meta a dévoilé des lunettes connectées intégrant un écran dans les verres et des fonctions IA étendues, poursuivant son pari sur la fusion entre monde réel et virtuel.Le groupe avait annoncé en août le lancement en Californie d’un organisme destiné à financer les candidats locaux favorables à une régulation moins stricte de l’IA face à la concurrence chinoise.

Meta supprime 600 emplois au sein de sa division IA

Le groupe Meta (Facebook, Instagram) a décidé de supprimer quelque 600 postes au sein de sa division consacrée à l’intelligence artificielle (IA) afin de rationaliser ses opérations après une importante campagne de recrutement, ont rapporté des médias américains mercredi.La décision de Meta vise selon le New York Times à répondre à son “gonflement organisationnel”, après une campagne de recrutement considérable organisée pour renforcer ses moyens en matière d’IA.Selon le Wall Street Journal, beaucoup des employés touchés par cette mesure pourraient rester chez Meta en changeant de poste.Les deux quotidiens se sont appuyés sur une note envoyée par le directeur général de l’IA chez Meta, Alexandr Wang, selon qui ces suppressions d’emploi feront que “moins de discussions seront nécessaires pour prendre des décisions”.Contacté, Meta n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP.Le groupe de Mark Zuckerberg investit massivement dans l’IA, son patron souhaitant regagner du terrain face à ses concurrents dans la course à la “superintelligence”, technologie hypothétique aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, graal de la Silicon Valley californienne.Mi-septembre, Meta a dévoilé des lunettes connectées intégrant un écran dans les verres et des fonctions IA étendues, poursuivant son pari sur la fusion entre monde réel et virtuel.Le groupe avait annoncé en août le lancement en Californie d’un organisme destiné à financer les candidats locaux favorables à une régulation moins stricte de l’IA face à la concurrence chinoise.