Trump s’en prend avec une violence renouvelée aux “late shows” et aux chaînes de télé

Donald Trump s’en est pris avec une violence renouvelée aux “late shows”, des émissions télévisées humoristiques dont il est une cible de prédilection, et plus généralement aux chaînes de télévision, agitant à nouveau la menace d’une suppression de leurs licences.Le président américain a choisi un vocabulaire particulièrement hostile pour réclamer la fin de l’émission de …

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Turquie: la boîte noire de l’avion libyen accidenté retrouvée

La boîte noire de l’avion qui s’est écrasé mardi soir près d’Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d’état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée, a annoncé mercredi le ministre turc de l’Intérieur Ali Yerlikaya.”L’enregistreur vocal et la boite noire de l’appareil ont été retrouvés”, a déclaré le ministre qui s’est rendu sur …

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L’essayiste Rokhaya Diallo dénonce une caricature jugée “raciste” de Charlie Hebdo

La militante décoloniale Rokhaya Diallo a protesté mercredi contre une caricature publiée par Charlie Hebdo la montrant en Joséphine Baker, ceinture de bananes à la taille, qu’elle a jugée “raciste”, ce que le journal satirique a nié en l’accusant de “manipulation”.”Ce dessin hideux vise à me rappeler ma place dans la hiérarchie raciale et sexiste”, …

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La sortie du jeu vidéo James Bond “007 First Light” repoussée de deux mois

La sortie du nouveau jeu vidéo dédié à James Bond, “007 First Light”, a été repoussée au 27 mai, soit un report de deux mois, a annoncé le studio danois IO Interactive.  “Ces deux mois supplémentaires vont nous permettre d’affiner et peaufiner l’expérience, afin de livrer la meilleure version possible (du jeu) dès son lancement”, …

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Dans un Venezuela sous menace américaine, s’évader pour contrer l’angoisse

Maria Abreu déambule avec ses amis au milieu des abondantes illuminations de Noël sur un boulevard de Caracas. Souriante, elle fait tout pour ne pas penser au déploiement militaire américain dans les Caraïbes et à l’éventualité d’une frappe aérienne contre le Venezuela. L’évitement est devenu un réflexe pour beaucoup de Vénézuéliens, confrontés à la menace d’un …

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Un an après le pire crash en Corée du Sud, des familles “exigent des réponses”

En deuil depuis un an, Lee Hyo-eun retourne chaque week-end à l’aéroport de Muan où elle a perdu sa fille dans la pire catastrophe aérienne en Corée du Sud.La mère de Ye-won, qui venait d’avoir 24 ans, se souvient avec une immense douleur de cet “impensable” 29 décembre 2024.La jeune femme, professeure de violoncelle, revenait …

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Zelensky reveals US-Ukraine plan to end Russian war, key questions remain

Ukraine won some limited concessions in the latest version of a US-led draft plan to end the Russian invasion, President Volodymyr Zelensky has revealed, though key questions remain over territory and whether Moscow could accept the new terms.The 20-point plan, agreed on by US and Ukrainian negotiators, was being reviewed by Moscow. The Kremlin has previously not shown a willingness to abandon its hardline territorial demands for full Ukrainian withdrawal from the east.Zelensky conceded there were some points in the document that he did not like, but that Kyiv had succeeded in removing immediate requirements for Ukraine to withdraw from the Donetsk region or that land seized by Moscow’s army would be recognised as Russian.Nevertheless, the Ukrainian leader still indicated the proposal would pave the way for Kyiv to pull some troops back, including from the 20 percent of the Donetsk region that it controls, where demilitarised zones would be established.It also got rid of demands that Kyiv must legally renounce its bid for NATO membership.Zelensky presented the plan during a two-hour briefing with journalists, reading from a highlighted and annotated version.”In the Donetsk, Lugansk, Zaporizhzhia, and Kherson regions, the line of troop deployment as of the date of this agreement is de facto recognised as the line of contact,” Zelensky said of the latest version.”A working group will convene to determine the redeployment of forces necessary to end the conflict, as well as to define the parameters of potential future special economic zones,” he added.This appears to suggest the plan opens the way for, but delays, options that Ukraine was previously reluctant to consider — a withdrawal of troops and the creation of demilitarised zones.”We are in a situation where the Russians want us to withdraw from the Donetsk region, while the Americans are trying to find a way,” Zelensky said.”They are looking for a demilitarised zone or a free economic zone, meaning a format that could satisfy both sides,” he continued.- ‘Let him croak’ -US President Trump is trying to broker an to end the four-year war, triggered by Russia’s 2022 invasion.Tens of thousands have been killed, eastern Ukraine decimated and millions forced to flee their homes.Russian troops are advancing on the front and hammering cities and Ukraine’s energy grid with nightly missile and drone barrages. Moscow’s defence ministry on Wednesday said it had captured another Ukrainian settlement in the southern Zaporizhzhia region.Russia in 2022 claimed to have annexed four Ukrainian regions — Donetsk, Kherson, Lugansk and Zaporizhzhia — in addition to the Crimean peninsula which it seized in 2014.President Vladimir Putin has shown no willingness to compromise, doubling down on his hardline demands for a sweeping Ukrainian withdrawal and a string of political concessions that Kyiv and its European backers have previously cast as capitulation.In a Christmas Eve address to the nation later on Wednesday, Zelensky appeared to wish death upon the Russian leader.”Today we all have one dream. And we make one wish for everyone: Let him croak,” he said, a reference widely understood to be about Putin.- NATO, nuclear plant, elections -Any plan that involves Ukraine pulling back its troops would need to pass a referendum in Ukraine, Zelensky said.”A free economic zone. If we are discussing this, then we need to go to a referendum,” Zelensky said, referring to plans to designate areas Ukraine pulls out from as a demilitarised free trade zone.On NATO, Zelensky said: “It is the choice of NATO members whether to have Ukraine or not. Our choice has been made. We moved away from the proposed changes to the Constitution of Ukraine that would have prohibited Ukraine from joining NATO.”Nevertheless, the prospects of Ukraine being admitted to the bloc appear slim-to-none, as it has been ruled out by Washington.Moscow has repeatedly said NATO membership for Ukraine is unacceptable, presenting it as one of the reasons it invaded in the first place.The plan sees joint US-Ukrainian-Russian management of the Zaporizhzhia nuclear power plant, occupied by Russian troops. Zelensky said he does not want any Russian oversight of the facility.He also said Ukraine would hold presidential elections only after an agreement is signed — something both Putin and Trump have been pushing for.Kremlin spokesman Dmitry Peskov told reporters Moscow was “formulating its position” and declined to comment on the specifics of the latest plan. 

Brandt: un industriel français propose de sauver 150 emplois à Orléans

Un cadeau de Noël pour des salariés de Brandt? L’homme d’affaires Stephan Français, patron de Thomson Computing, a proposé mercredi de reprendre l’usine d’Orléans du groupe d’électroménager en liquidation judiciaire et de sauver 150 emplois.Il prévoit de continuer une partie de la production de petit et gros électroménager, l’activité historique de Brandt, et d’y ajouter celle de produits électroniques et informatiques, coeur de métier de Thomson Computing.”Aujourd’hui nous avons une solution de reprise, de redémarrage, de renouveau, (…) elle s’appelle Stephan Français”, s’est félicité le maire d’Orléans Serge Grouard, lors d’une conférence de presse commune avec le patron de 56 ans.L’homme d’affaires a évoqué un budget de 25 millions d’euros pour cette reprise. La mairie d’Orléans a précisé à l’AFP que 9 millions d’euros seraient apportés par des entités publiques (Etat, région et métropole d’Orléans) et qu’un tour de table avec les banques était en discussion.Le projet porte sur une reprise du site d’Orléans, de loin le plus important de Brandt. Il rassemblait 350 salariés sur les 700 que comptait l’entreprise, avant la liquidation.”Il faut aller très vite pour relancer la machine, relancer la production, garder un coeur de salariés et garder le plus de clients possible”, a martelé M. Grouard, devant des journalistes réunis à l’hôtel de ville. Il a qualifié le projet de “sérieux”, même s’il présente une “part de risque”.L’élu se démène depuis plusieurs semaines pour trouver une solution afin de sauver Brandt, fleuron industriel français qui comptait deux usines en Centre-Val de Loire, à Vendôme (Loir-et-Cher) et à Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret), au sein de l’agglomération orléanaise.L’entreprise, basée à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), disposait aussi d’un service après-vente à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise).Le repreneur a dit mercredi sa “volonté de racheter (…) le savoir-faire de Brandt, De Dietrich, Sauter, Vedette”, les quatre grandes marques du groupe.Se disant attentif à la “maîtrise des coûts”, M. Français a précisé qu’il commencerait avec “150 salariés” dès l’année prochaine. “Après, progressivement, si les résultats sont là, on embauchera”, a-t-il affirmé, évoquant “jusqu’à 250 salariés sur un plan à cinq ans”.”Les personnes de la R&D (recherche et développement, ndlr), du marketing, du commerce (…) c’est ceux là que je prendrai”, a précisé sur RTL M. Français, expliquant qu’il ne souhaitait plus “usiner les pièces”.”Mon idée c’est de pouvoir essayer de reprendre début février si c’est possible”, a-t-il ajouté. – Bercy reste prudent -M. Français souhaite s’appuyer sur l’expérience de son entreprise actuelle, lointaine héritière du géant industriel français Thomson.Pour prendre vie, le projet de reprise du site d’Orléans de Brandt devra cependant être validé par le tribunal des activités économiques de Nanterre qui a prononcé le 11 décembre la liquidation judiciaire de l’entreprise, a souligné M. Français.Un appel d’offres pour la reprise de l’usine doit être lancé courant janvier, a précisé Bercy.Le projet de M. Français aura-t-il plus de succès que celui de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, rejeté début décembre par le tribunal ?”Toute piste de reprise mérite d’être examinée avec attention, mais aucune ne saurait être tenue pour acquise sans un travail d’analyse approfondi”, a tempéré auprès de l’AFP le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin.Ce dernier avait déclaré au lendemain de la liquidation judiciaire qu’un projet industriel restait possible, pas forcément dans le secteur de l’électroménager.”L’Etat sera pleinement mobilisé pour faire émerger le projet le plus solide pour les salariés et les territoires”, a pour sa part commenté le ministre de l’Economie Roland Lescure sur le réseau social Bluesky.”On a hâte de voir les bases industrielles, sociales et financières” du projet, a réagi auprès de l’AFP le président de la région Centre-Val de Loire François Bonneau. “Attention à ne pas faire d’annonces qui conduiraient demain à une nouvelle désillusion” pour les salariés, a-t-il néanmoins prévenu.L’entreprise Brandt, centenaire et emblématique du patrimoine industriel français, pâtit depuis plusieurs décennies des temps difficiles vécus par le secteur du gros électroménager.Elle est passée au gré des rachats et liquidations judiciaires entre les mains de l’Israélien Elco, puis celles de l’Espagnol Fagor, avant d’être reprise en 2014 par le groupe algérien Cevital.

Brandt: un industriel français propose de sauver 150 emplois à Orléans

Un cadeau de Noël pour des salariés de Brandt? L’homme d’affaires Stephan Français, patron de Thomson Computing, a proposé mercredi de reprendre l’usine d’Orléans du groupe d’électroménager en liquidation judiciaire et de sauver 150 emplois.Il prévoit de continuer une partie de la production de petit et gros électroménager, l’activité historique de Brandt, et d’y ajouter celle de produits électroniques et informatiques, coeur de métier de Thomson Computing.”Aujourd’hui nous avons une solution de reprise, de redémarrage, de renouveau, (…) elle s’appelle Stephan Français”, s’est félicité le maire d’Orléans Serge Grouard, lors d’une conférence de presse commune avec le patron de 56 ans.L’homme d’affaires a évoqué un budget de 25 millions d’euros pour cette reprise. La mairie d’Orléans a précisé à l’AFP que 9 millions d’euros seraient apportés par des entités publiques (Etat, région et métropole d’Orléans) et qu’un tour de table avec les banques était en discussion.Le projet porte sur une reprise du site d’Orléans, de loin le plus important de Brandt. Il rassemblait 350 salariés sur les 700 que comptait l’entreprise, avant la liquidation.”Il faut aller très vite pour relancer la machine, relancer la production, garder un coeur de salariés et garder le plus de clients possible”, a martelé M. Grouard, devant des journalistes réunis à l’hôtel de ville. Il a qualifié le projet de “sérieux”, même s’il présente une “part de risque”.L’élu se démène depuis plusieurs semaines pour trouver une solution afin de sauver Brandt, fleuron industriel français qui comptait deux usines en Centre-Val de Loire, à Vendôme (Loir-et-Cher) et à Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret), au sein de l’agglomération orléanaise.L’entreprise, basée à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), disposait aussi d’un service après-vente à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise).Le repreneur a dit mercredi sa “volonté de racheter (…) le savoir-faire de Brandt, De Dietrich, Sauter, Vedette”, les quatre grandes marques du groupe.Se disant attentif à la “maîtrise des coûts”, M. Français a précisé qu’il commencerait avec “150 salariés” dès l’année prochaine. “Après, progressivement, si les résultats sont là, on embauchera”, a-t-il affirmé, évoquant “jusqu’à 250 salariés sur un plan à cinq ans”.”Les personnes de la R&D (recherche et développement, ndlr), du marketing, du commerce (…) c’est ceux là que je prendrai”, a précisé sur RTL M. Français, expliquant qu’il ne souhaitait plus “usiner les pièces”.”Mon idée c’est de pouvoir essayer de reprendre début février si c’est possible”, a-t-il ajouté. – Bercy reste prudent -M. Français souhaite s’appuyer sur l’expérience de son entreprise actuelle, lointaine héritière du géant industriel français Thomson.Pour prendre vie, le projet de reprise du site d’Orléans de Brandt devra cependant être validé par le tribunal des activités économiques de Nanterre qui a prononcé le 11 décembre la liquidation judiciaire de l’entreprise, a souligné M. Français.Un appel d’offres pour la reprise de l’usine doit être lancé courant janvier, a précisé Bercy.Le projet de M. Français aura-t-il plus de succès que celui de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, rejeté début décembre par le tribunal ?”Toute piste de reprise mérite d’être examinée avec attention, mais aucune ne saurait être tenue pour acquise sans un travail d’analyse approfondi”, a tempéré auprès de l’AFP le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin.Ce dernier avait déclaré au lendemain de la liquidation judiciaire qu’un projet industriel restait possible, pas forcément dans le secteur de l’électroménager.”L’Etat sera pleinement mobilisé pour faire émerger le projet le plus solide pour les salariés et les territoires”, a pour sa part commenté le ministre de l’Economie Roland Lescure sur le réseau social Bluesky.”On a hâte de voir les bases industrielles, sociales et financières” du projet, a réagi auprès de l’AFP le président de la région Centre-Val de Loire François Bonneau. “Attention à ne pas faire d’annonces qui conduiraient demain à une nouvelle désillusion” pour les salariés, a-t-il néanmoins prévenu.L’entreprise Brandt, centenaire et emblématique du patrimoine industriel français, pâtit depuis plusieurs décennies des temps difficiles vécus par le secteur du gros électroménager.Elle est passée au gré des rachats et liquidations judiciaires entre les mains de l’Israélien Elco, puis celles de l’Espagnol Fagor, avant d’être reprise en 2014 par le groupe algérien Cevital.