Guinea junta chief headed for victory in presidential voteSun, 28 Dec 2025 14:19:37 GMT

Guineans voted in a presidential election Sunday with Mamady Doumbouya, a general who led the junta that seized power four years ago, the clear favourite, and the main opposition leaders barred from standing.By running, the strongman reneged on a pledge not to stand for office and to hand the west African country back to civilian …

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Brigitte Bardot, icône du 7e art et de la cause animale, est décédée

Star planétaire, incarnation mythique d’une liberté totale puis pasionaria de la cause animale coutumière des sorties polémiques: Brigitte Bardot est décédée dimanche à l’âge de 91 ans, longtemps après avoir tiré un trait sur la célébrité et le monde du cinéma.La fondation Brigitte Bardot, qu’elle avait crée, a annoncé son décès dans un communiqué, faisant part de son “immense tristesse” face à la mort de celle “qui a choisi d’abandonner sa carrière prestigieuse pour dédier sa vie et son énergie à la défense des animaux”. L’actrice de “Et Dieu… créa la femme” et du “Mépris” est décédée dans la matinée, dans sa célèbre résidence de La Madrague à Saint-Tropez, a précisé la fondation à l’AFP.Sur place, le chemin en terre au milieu des bambous menant à la villa était barré par un véhicule de gendarmerie, a constaté un journaliste de l’AFP.”On la voyait souvent”, “je la regardais passer et quand elle était de bonne humeur, elle nous envoyait des bisous”, a déclaré Nathalie Dorobisze, une Tropézienne de 50 ans, en sanglots. “Ca fait bizarre qu’elle ne soit plus là, parce qu’elle a tout le temps été là”.”Nous pleurons une légende du siècle”, a réagi le président Emmanuel Macron sur X.Sur le même réseau social, Marine Le Pen, cheffe de file du Rassemblement national avec lequel Brigitte Bardot ne cachait pas sa proximité, a quant à elle rendu hommage à une femme “incroyablement française: libre, indomptable, entière”.Ces dernières années, Brigitte Bardot, qui avait incarné la libération des moeurs dans la France des années 1950, se distinguait surtout par ses déclarations sur la politique, l’immigration, le féminisme, les chasseurs… dont certaines lui ont valu des condamnations pour injure raciale.  “La liberté, c’est d’être soi, même quand ça dérange”, proclamait-elle, bravache, en exergue d’un livre intitulé “Mon BBcédaire”, sorti début octobre. Avant de faire parler d’elle pour ses prises de position, celle qu’on surnommait par ses initiales B.B. fut rien de moins qu’un mythe.Celui d’une femme affranchie, des codes moraux, vestimentaires, amoureux et sexuels et… de ce qu’on attendait d’elle. Une femme qui n’avait “besoin de personne”, comme lui faisait chanter Serge Gainsbourg en 1967, connue à Cannes comme sur les plages brésiliennes.- “Caprice” et “damnation” -Brigitte Bardot, première personnalité à avoir prêté ses traits au buste de Marianne, fut une sorte de Marilyn Monroe à la française, comme elle blonde, à la beauté explosive et à la vie privée tumultueuse, poursuivie par les paparazzi.B.B., Marilyn, “je suis sûr que leur deux étoiles forment le plus beau duo du ciel”, a salué Francis Huster, qui avait tourné avec Bardot en 1973, pour l’AFP.Marilyn était “une femme qui a été exploitée, que personne n’a compris, qui en est morte du reste”, se souvenait Bardot, qui l’avait rencontrée en 1956.Une erreur qu’elle ne reproduira pas en prenant la tangente à 39 ans, laissant derrière elle une cinquantaine de films et deux scènes entrées au panthéon du 7e art: un mambo enfiévré dans un restaurant de Saint-Tropez (“Et Dieu… créa la femme”, 1956) et un monologue où elle énumérait, nue, les différentes parties de son corps, en ouverture du “Mépris” (1963).”Personne n’a mieux décrit Bardot que l’écrivain François Nourissier”, a réagi l’ancien président du festival de Cannes Gilles Jacob auprès de l’AFP: “+un équilibre instable entre le caprice et la damnation+”. Pierre Lescure, autre ex-président du festival, a lui rendu hommage à sa “beauté dingue et comme nouvelle, absolue et effrontée”.Rien ne prédestinait la jeune Brigitte à ce destin: née dans une famille bourgeoise parisienne en 1934, elle se passionne pour la danse et s’essaie au mannequinat. Elle épouse à tout juste 18 ans son premier amour, Roger Vadim, qui lui confie le rôle de Juliette dans “Et Dieu… créa la femme”, qui va bousculer l’ordre établi et lui coller l’étiquette de sex-symbol.  Face au succès du film, elle enchaîne les tournages, déchaîne les passions et se brûle aux feux de la rampe. En 1960, au faîte de sa gloire, elle accouche d’un garçon, Nicolas, son seul enfant, sous l’oeil inquisiteur de la presse. Se disant dénuée d’instinct maternel, l’actrice laisse son mari Jacques Charrier élever leur fils. Elle épousera ensuite le millionnaire allemand Gunter Sachs puis l’industriel Bernard d’Ormale, proche du Front national. – Bébés phoques -Elle devient alors une autre Bardot, figure de la cause animale. Le déclic a lieu sur le tournage de son dernier film, “L’histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise” (1973), face à une chèvre qu’elle achète et installe dans sa chambre d’hôtel.  Défense des éléphants, opposition aux abattages rituels, à la corrida ou à la consommation de viande de cheval… le combat ne fait que commencer.Elle se rend sur la banquise en 1977 pour alerter sur le sort des bébés phoques, une séquence ultra-médiatisée qui fera la Une de Paris Match et lui laissera des souvenirs amers.L’essentiel de sa deuxième vie se déroule à l’abri des regards, dans le sud, entre La Madrague et une deuxième résidence plus discrète, La Garrigue. C’est là qu’elle recueillait des animaux en perdition et gérait la fondation à son nom, créée en 1986.  Dans une interview accordée en mai à BFMTV, elle confiait avoir envie “de la paix, de la nature” et vivre “comme une fermière”. Cet automne, elle avait été hospitalisée pour une intervention chirurgicale dont la nature n’avait pas été révélée. Evoquant la mort, elle avait prévenu vouloir éviter la présence “d’une foule de connards” à son enterrement. bur-jfg-jlo-mdv-may/jmo/vk

Brigitte Bardot, icône du 7e art et de la cause animale, est décédée

Star planétaire, incarnation mythique d’une liberté totale puis pasionaria de la cause animale coutumière des sorties polémiques: Brigitte Bardot est décédée dimanche à l’âge de 91 ans, longtemps après avoir tiré un trait sur la célébrité et le monde du cinéma.La fondation Brigitte Bardot, qu’elle avait crée, a annoncé son décès dans un communiqué, faisant part de son “immense tristesse” face à la mort de celle “qui a choisi d’abandonner sa carrière prestigieuse pour dédier sa vie et son énergie à la défense des animaux”. L’actrice de “Et Dieu… créa la femme” et du “Mépris” est décédée dans la matinée, dans sa célèbre résidence de La Madrague à Saint-Tropez, a précisé la fondation à l’AFP.Sur place, le chemin en terre au milieu des bambous menant à la villa était barré par un véhicule de gendarmerie, a constaté un journaliste de l’AFP.”On la voyait souvent”, “je la regardais passer et quand elle était de bonne humeur, elle nous envoyait des bisous”, a déclaré Nathalie Dorobisze, une Tropézienne de 50 ans, en sanglots. “Ca fait bizarre qu’elle ne soit plus là, parce qu’elle a tout le temps été là”.”Nous pleurons une légende du siècle”, a réagi le président Emmanuel Macron sur X.Sur le même réseau social, Marine Le Pen, cheffe de file du Rassemblement national avec lequel Brigitte Bardot ne cachait pas sa proximité, a quant à elle rendu hommage à une femme “incroyablement française: libre, indomptable, entière”.Ces dernières années, Brigitte Bardot, qui avait incarné la libération des moeurs dans la France des années 1950, se distinguait surtout par ses déclarations sur la politique, l’immigration, le féminisme, les chasseurs… dont certaines lui ont valu des condamnations pour injure raciale.  “La liberté, c’est d’être soi, même quand ça dérange”, proclamait-elle, bravache, en exergue d’un livre intitulé “Mon BBcédaire”, sorti début octobre. Avant de faire parler d’elle pour ses prises de position, celle qu’on surnommait par ses initiales B.B. fut rien de moins qu’un mythe.Celui d’une femme affranchie, des codes moraux, vestimentaires, amoureux et sexuels et… de ce qu’on attendait d’elle. Une femme qui n’avait “besoin de personne”, comme lui faisait chanter Serge Gainsbourg en 1967, connue à Cannes comme sur les plages brésiliennes.- “Caprice” et “damnation” -Brigitte Bardot, première personnalité à avoir prêté ses traits au buste de Marianne, fut une sorte de Marilyn Monroe à la française, comme elle blonde, à la beauté explosive et à la vie privée tumultueuse, poursuivie par les paparazzi.B.B., Marilyn, “je suis sûr que leur deux étoiles forment le plus beau duo du ciel”, a salué Francis Huster, qui avait tourné avec Bardot en 1973, pour l’AFP.Marilyn était “une femme qui a été exploitée, que personne n’a compris, qui en est morte du reste”, se souvenait Bardot, qui l’avait rencontrée en 1956.Une erreur qu’elle ne reproduira pas en prenant la tangente à 39 ans, laissant derrière elle une cinquantaine de films et deux scènes entrées au panthéon du 7e art: un mambo enfiévré dans un restaurant de Saint-Tropez (“Et Dieu… créa la femme”, 1956) et un monologue où elle énumérait, nue, les différentes parties de son corps, en ouverture du “Mépris” (1963).”Personne n’a mieux décrit Bardot que l’écrivain François Nourissier”, a réagi l’ancien président du festival de Cannes Gilles Jacob auprès de l’AFP: “+un équilibre instable entre le caprice et la damnation+”. Pierre Lescure, autre ex-président du festival, a lui rendu hommage à sa “beauté dingue et comme nouvelle, absolue et effrontée”.Rien ne prédestinait la jeune Brigitte à ce destin: née dans une famille bourgeoise parisienne en 1934, elle se passionne pour la danse et s’essaie au mannequinat. Elle épouse à tout juste 18 ans son premier amour, Roger Vadim, qui lui confie le rôle de Juliette dans “Et Dieu… créa la femme”, qui va bousculer l’ordre établi et lui coller l’étiquette de sex-symbol.  Face au succès du film, elle enchaîne les tournages, déchaîne les passions et se brûle aux feux de la rampe. En 1960, au faîte de sa gloire, elle accouche d’un garçon, Nicolas, son seul enfant, sous l’oeil inquisiteur de la presse. Se disant dénuée d’instinct maternel, l’actrice laisse son mari Jacques Charrier élever leur fils. Elle épousera ensuite le millionnaire allemand Gunter Sachs puis l’industriel Bernard d’Ormale, proche du Front national. – Bébés phoques -Elle devient alors une autre Bardot, figure de la cause animale. Le déclic a lieu sur le tournage de son dernier film, “L’histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise” (1973), face à une chèvre qu’elle achète et installe dans sa chambre d’hôtel.  Défense des éléphants, opposition aux abattages rituels, à la corrida ou à la consommation de viande de cheval… le combat ne fait que commencer.Elle se rend sur la banquise en 1977 pour alerter sur le sort des bébés phoques, une séquence ultra-médiatisée qui fera la Une de Paris Match et lui laissera des souvenirs amers.L’essentiel de sa deuxième vie se déroule à l’abri des regards, dans le sud, entre La Madrague et une deuxième résidence plus discrète, La Garrigue. C’est là qu’elle recueillait des animaux en perdition et gérait la fondation à son nom, créée en 1986.  Dans une interview accordée en mai à BFMTV, elle confiait avoir envie “de la paix, de la nature” et vivre “comme une fermière”. Cet automne, elle avait été hospitalisée pour une intervention chirurgicale dont la nature n’avait pas été révélée. Evoquant la mort, elle avait prévenu vouloir éviter la présence “d’une foule de connards” à son enterrement. bur-jfg-jlo-mdv-may/jmo/vk

‘Shivering from cold and fear’: winter rains batter displaced Gazans

It only took a matter of minutes after the heavy overnight rain first began to fall for Jamil al-Sharafi’s tent in southern Gaza to flood, drenching his food and leaving his blankets sopping wet.The winter rains have made an already precarious life worse for people like Sharafi, who is among the hundreds of thousands in the Palestinian territory displaced by the war, many of whom now survive on aid provided by humanitarian organisations.”My children are shivering from cold and fear… The tent was completely flooded within minutes,” Sharafi, 47, said on Sunday. “We lost our blankets, and all the food is soaked,” added the father of six, who lives in a makeshift shelter with his children in the coastal area of Al-Mawasi.A fragile ceasefire between Israel and Hamas has been in place since October 10, following two years of devastating fighting.But despite the truce, Gazans still face a severe humanitarian crisis, and most of those displaced by the war have been left with little or nothing.Families are crowded into camps of tents hastily erected from tarpaulins, which are often surrounded by mud and standing water when it rains.”As an elderly woman, I cannot live in tents. Living in tents means we die from the cold in the rain and from the heat in the summer,” said Umm Rami Bulbul.”We don’t want reconstruction right now, just provide us and our children with mobile homes.”Nighttime temperatures in Gaza have ranged between eight and 12 degrees Celsius in recent days.- Insufficient aid -Nearly 80 percent of buildings in the Gaza Strip have been destroyed or damaged by the war, according to United Nations data. And about 1.5 million of Gaza’s 2.2 million residents have lost their homes, said Amjad Al-Shawa, director of the Palestinian NGO Network in Gaza.Of more than 300,000 tents requested to shelter displaced people, “we have received only 60,000″, Shawa told AFP, pointing to Israeli restrictions on the delivery of humanitarian aid into the territory.The UN refugee agency for Palestinians, UNRWA, said the harsh weather had compounded the misery of Gazans.”People in Gaza are surviving in flimsy, waterlogged tents & among ruins,” UNRWA chief Philippe Lazzarini wrote on X.”There is nothing inevitable about this. Aid supplies are not being allowed in at the scale required.”COGAT, the Israeli defence ministry body responsible for Palestinian civilian affairs, said in mid-December that “close to 310,000 tents and tarpaulins entered the Gaza Strip recently” as part of an increase in aid under the ceasefire.Earlier this month, Gaza experienced a similar spell of heavy rain and cold. The weather caused at least 18 deaths due to the collapse of war-damaged buildings or exposure to cold, according to Gaza’s civil defence agency, which operates under Hamas authority.On December 18, the UN’s humanitarian office said that 17 buildings collapsed during the storm, while 42,000 tents and makeshift shelters were fully or partially damaged.”Look at the state of my children and the tent,” said Samia Abu Jabba.”I sleep in the cold, and water floods us and my children’s clothes. I have no clothes for them to wear. They are freezing,” she said.”What did the people of Gaza and their children do to deserve this?”

Hakimi to feature in Morocco’s final AFCON group gameSun, 28 Dec 2025 13:03:39 GMT

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Central African Republic president seeks third term in electionSun, 28 Dec 2025 12:52:20 GMT

Voters in the Central African Republic cast their ballots for a new president Sunday with incumbent Faustin-Archange Touadera widely expected to win a third term after touting his success in steadying a nation long plagued by conflict.Around 2.3 million people are eligible to vote, with parliamentary, municipal and regional polls taking place at the same …

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