Incident “résolu” dans le Tunnel sous la Manche, le trafic reprend progressivement

L’incident qui a interrompu le trafic du Tunnel sous la Manche était “résolu” mercredi matin, selon l’exploitant Getlink, mais le trafic des trains Eurostar restait perturbé à quelques heures du réveillon du Nouvel An, tandis que des passagers sont restés bloqués toute la nuit.”L’incident lié à l’alimentation électrique dans le tunnel sous la Manche a été résolu dans la nuit; le tunnel a depuis retrouvé sa pleine capacité”, a indiqué Getlink dans un communiqué.”Le trafic dans le tunnel sous la Manche a repris cette nuit dans les deux sens”, précise l’exploitant. La circulation entre Londres et le continent a été interrompue puis lourdement perturbée mardi, et les plans de nombreux voyageurs contrariés en cette période chargée de fin d’année, avec des trains annulés et des retards parfois importants.La situation se rétablissait progressivement mercredi matin.”Nous prévoyons d’assurer tous nos services aujourd’hui, mais en raison des répercussions, il pourrait encore y avoir des retards et des annulations de dernière minute,” a indiqué la compagnie ferroviaire Eurostar.Le train qui devait partir à 06H01 de Londres pour rejoindre Paris a ainsi été annulé, et le suivant est annoncé avec une demi-heure de retard. Des trains au départ de la France, mais aussi de Bruxelles, sont également annoncés avec un retard similaire.Le service Le Shuttle, des trains qui transportent des véhicules entre la France et le Royaume-Uni, faisait également état mercredi matin de perturbations, le site internet indiquant pour certains départs un “retard approximatif de 3h par rapport à votre heure de réservation”.- Nuit dans un Eurostar -Getlink évoque en outre un “incident survenu cette nuit sur le réseau britannique” et “distinct” du problème électrique dans le tunnel.Des passagers sont en effet restés coincés toute la nuit dans un Eurostar, rapporte BFMTV, sans électricité, sans chauffage et sans toilettes. “Tout ce qui est électrique ne fonctionne pas. C’est toujours les mêmes informations, il y a un problème grave”, a rapporté Hervé, un passager de ce train.”On est agacés parce qu’il y a de la fatigue, parce qu’on n’a pas de boisson chaude”, a-t-il ajouté.Contacté par l’AFP pour confirmer cette information, Eurostar n’a pas donné suite. La compagnie évoque sur son site, en plus du problème électrique dans le tunnel mardi, “d’autres problèmes liés à l’infrastructure ferroviaire pendant la nuit”.La BBC cite elle aussi un passager du train Londres-Paris de 19H01, qui, à trois heures du matin, était toujours coincé à l’entrée du Tunnel.Il leur a été dit qu’il y avait “50% de chances d’aller à Paris, 50% de chances de retourner à Londres”, a-t-il raconté: “je suppose que mes projets pour la nouvelle année sont désormais entre les mains des opérateurs du tunnel”.Eurostar propose aux clients affectés par toutes ces perturbations d’échanger gratuitement leur billet, ou d’annuler leur réservation contre un remboursement ou un bon d’échange.Prisé par ceux qui circulent entre Londres et le continent, Eurostar a transporté un nombre record de 19,5 millions de clients l’an dernier, soit 850.000 de plus qu’en 2023.Plusieurs sociétés ont annoncé ces derniers mois leur intention d’ouvrir des lignes concurrentes à l’entreprise, qui est aujourd’hui seule à effectuer du transport de passagers sur la ligne sous la Manche.Le groupe britannique Virgin a obtenu en octobre l’accès au très convoité dépôt londonien de Temple Mills, indispensable pour lancer ces liaisons.Le groupe italien Trenitalia France a aussi confirmé cette semaine son ambition de lancer des trains sous la Manche à partir de fin 2029.

Incident “résolu” dans le Tunnel sous la Manche, le trafic reprend progressivement

L’incident qui a interrompu le trafic du Tunnel sous la Manche était “résolu” mercredi matin, selon l’exploitant Getlink, mais le trafic des trains Eurostar restait perturbé à quelques heures du réveillon du Nouvel An, tandis que des passagers sont restés bloqués toute la nuit.”L’incident lié à l’alimentation électrique dans le tunnel sous la Manche a été résolu dans la nuit; le tunnel a depuis retrouvé sa pleine capacité”, a indiqué Getlink dans un communiqué.”Le trafic dans le tunnel sous la Manche a repris cette nuit dans les deux sens”, précise l’exploitant. La circulation entre Londres et le continent a été interrompue puis lourdement perturbée mardi, et les plans de nombreux voyageurs contrariés en cette période chargée de fin d’année, avec des trains annulés et des retards parfois importants.La situation se rétablissait progressivement mercredi matin.”Nous prévoyons d’assurer tous nos services aujourd’hui, mais en raison des répercussions, il pourrait encore y avoir des retards et des annulations de dernière minute,” a indiqué la compagnie ferroviaire Eurostar.Le train qui devait partir à 06H01 de Londres pour rejoindre Paris a ainsi été annulé, et le suivant est annoncé avec une demi-heure de retard. Des trains au départ de la France, mais aussi de Bruxelles, sont également annoncés avec un retard similaire.Le service Le Shuttle, des trains qui transportent des véhicules entre la France et le Royaume-Uni, faisait également état mercredi matin de perturbations, le site internet indiquant pour certains départs un “retard approximatif de 3h par rapport à votre heure de réservation”.- Nuit dans un Eurostar -Getlink évoque en outre un “incident survenu cette nuit sur le réseau britannique” et “distinct” du problème électrique dans le tunnel.Des passagers sont en effet restés coincés toute la nuit dans un Eurostar, rapporte BFMTV, sans électricité, sans chauffage et sans toilettes. “Tout ce qui est électrique ne fonctionne pas. C’est toujours les mêmes informations, il y a un problème grave”, a rapporté Hervé, un passager de ce train.”On est agacés parce qu’il y a de la fatigue, parce qu’on n’a pas de boisson chaude”, a-t-il ajouté.Contacté par l’AFP pour confirmer cette information, Eurostar n’a pas donné suite. La compagnie évoque sur son site, en plus du problème électrique dans le tunnel mardi, “d’autres problèmes liés à l’infrastructure ferroviaire pendant la nuit”.La BBC cite elle aussi un passager du train Londres-Paris de 19H01, qui, à trois heures du matin, était toujours coincé à l’entrée du Tunnel.Il leur a été dit qu’il y avait “50% de chances d’aller à Paris, 50% de chances de retourner à Londres”, a-t-il raconté: “je suppose que mes projets pour la nouvelle année sont désormais entre les mains des opérateurs du tunnel”.Eurostar propose aux clients affectés par toutes ces perturbations d’échanger gratuitement leur billet, ou d’annuler leur réservation contre un remboursement ou un bon d’échange.Prisé par ceux qui circulent entre Londres et le continent, Eurostar a transporté un nombre record de 19,5 millions de clients l’an dernier, soit 850.000 de plus qu’en 2023.Plusieurs sociétés ont annoncé ces derniers mois leur intention d’ouvrir des lignes concurrentes à l’entreprise, qui est aujourd’hui seule à effectuer du transport de passagers sur la ligne sous la Manche.Le groupe britannique Virgin a obtenu en octobre l’accès au très convoité dépôt londonien de Temple Mills, indispensable pour lancer ces liaisons.Le groupe italien Trenitalia France a aussi confirmé cette semaine son ambition de lancer des trains sous la Manche à partir de fin 2029.

Le Bangladesh fait ses adieux à l’ex-Première ministre Khaleda Zia

Une foule immense s’est rassemblée mercredi à Dacca pour les funérailles nationales de l’ancienne Première ministre Khaleda Zia, personnalité qui a marqué la vie politique du Bangladesh pendant 40 ans.Les drapeaux ont été mis en berne au lendemain du décès à 80 ans de la première femme à avoir exercé les fonctions de Première ministre dans cette nation d’Asie du Sud de 170 millions d’habitants.Des milliers d’agents des forces de l’ordre ont été déployés le long des artères de la capitale empruntées par le convoi aux couleurs du drapeau national transportant son corps. Pour ces funérailles nationales, une marée humaine portant le deuil s’est rassemblée devant le Parlement, beaucoup agitant le drapeau national ou ceux du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) de l’ex-dirigeante. Des prières ont été dites autour de son cercueil.Minhaz Uddin, 70 ans, un haut fonctionnaire retraité, explique n’avoir jamais voté pour elle mais avoir tenu à rendre hommage à celle qui fut trois fois Première ministre. “Je suis venu avec mon petit-fils pour dire adieu à une grande figure de la vie politique, dont les contributions resteront à jamais dans les mémoires”, a-t-il confié, derrière une barricade surmontée de fil barbelé.Malgré sa santé défaillante, Mme Zia avait annoncé son intention de mener la campagne du BNP pour les premières législatives depuis le soulèvement populaire de l’été 2024 et de briguer un siège au Parlement.Elle avait été propulsée à la tête du BNP après l’assassinat de son mari Ziaur Rahman pendant le coup d’Etat militaire de 1981. “Elle n’est plus là, mais son héritage demeure — et le BNP aussi”, a confié Jenny Parvez, 37 ans, qui a fait plusieurs heures de trajet pour assister au passage du cortège funéraire.Tarique Rahman, fils de Mme Zia et président par intérim du BNP, est rentré au Bangladesh le 25 décembre pour conduire la campagne électorale, après 17 ans d’un exil volontaire au Royaume‑Uni. A 60 ans, il est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en cas de victoire de son parti, donné favori pour le scrutin du 12 février 2026.Le chef du gouvernement provisoire et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus a décrété trois jours de deuil national. - “Une grande protectrice” -Les funérailles ont commencé vers 14H00 (08H00 GMT) par une prière collective devant le Parlement.L’ex-cheffe du gouvernement sera ensuite inhumée aux côtés de son mari. Le pays “a perdu une grande protectrice”, a déclaré dans un communiqué M. Yunus, saluant “son leadership inflexible”.”Le pays pleure la perte d’une figure tutélaire qui a façonné ses aspirations démocratiques”, a déclaré son fils dans un communiqué. Elle “a enduré des arrestations à répétition, le refus de soins médicaux et une persécution incessante”, a-t-il ajouté, mais “sa résilience (…) était inébranlable”. Gravement malade, Khaleda Zia avait été admise fin novembre dans le service de soins intensifs d’un établissement privé de Dacca pour une infection pulmonaire.- “Une source d’inspiration” -Sa santé était fragile depuis son incarcération pour corruption en 2018, sous le règne de sa grande rivale Sheikh Hasina qui a dirigé le pays d’une main de fer pendant 15 ans jusqu’à la chute de son régime en août 2024. Mme Zia avait été libérée quelques mois après.Le Premier ministre indien Narendra Modi a dit espérer que “sa vision et son héritage continuer(aient) de guider notre relation”. Des déclarations inattendues dans le contexte des relations très tendues entre ces deux pays voisins. L’Inde était l’un des principaux soutiens de l’ex-Première ministre qui vit, depuis sa chute, en exil sur son territoire .Le ministre indien des Affaires extérieures, Subrahmanyam Jaishankar, s’est rendu à Dacca pour assister aux funérailles, a indiqué New Delhi, la visite du plus haut responsable du gouvernement indien depuis le renversement de l’ex-Première ministre.  Il a indiqué avoir rencontré M. Rahman et lui avoir présenté les “plus profondes condoléances” de l’Inde.Le président de l’Assemblée nationale du Pakistan, Sardar Ayaz Sadiq, a également assisté à la cérémonie.”Je prie pour la paix éternelle et le pardon de l’âme de Begum Khaleda Zia”, a réagi Mme Hasina, 78 ans, dans un message diffusé sur les réseaux sociaux par son parti, la Ligue Awami, désormais illégal.En novembre dernier, elle a été condamnée à mort par contumace pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations de l’été 2024.

Bangladesh mourns ex-PM Khaleda Zia with state funeral

Bangladesh bid farewell on Wednesday to former prime minister Khaleda Zia in a state funeral that drew vast crowds mourning a towering leader whose career defined the country’s politics for decades.Zia, the first woman to serve as prime minister in the South Asian nation of 170 million people, died on Tuesday aged 80.Flags were flown at half-mast and thousands of security officers lined roads as her body was carried through the streets of the capital Dhaka by a vehicle in the colours of the national flag.A sea of mourners gathered outside parliament and packed streets leading to it, many waving national flags as well as those of her Bangladesh Nationalist Party (BNP), before prayers held over her coffin.Retired government official Minhaz Uddin, 70, said he had never voted for Zia, but came to honour the three-time prime minister.”I came here with my grandson, just to say goodbye to a veteran politician whose contributions will always be remembered,” he said.”Khaleda Zia has been an inspiration,” mourner Sharmina Siraj told AFP, adding that “it is difficult to imagine women in leadership positions anytime soon”.The 40-year-old mother of two said stipends introduced by Zia to support girls’ education “had a huge impact on the lives of our girls”.- ‘Legacy lives on’ -Despite years of ill health and imprisonment, Zia had vowed to campaign in elections set for February 12 — the first vote since a mass uprising toppled her arch-rival Sheikh Hasina last year.Zia’s BNP is widely considered a frontrunner, and her son Tarique Rahman, 60, who returned only last week after 17 years in exile, is seen as a potential prime minister if they win a majority.”She is no more, but her legacy lives on — and so does the BNP,” said Jenny Parvez, 37, who travelled for several hours with her family to watch the funeral cortege pass.The interim government, led by Nobel Peace Prize winner Muhammad Yunus, declared three days of national mourning and an elaborate state funeral.Yunus said Bangladesh had “lost a great guardian”.Zia’s body will later be interred alongside her late husband, Ziaur Rahman, who was assassinated in 1981 during his time as president.- ‘Unbreakable’ -Tarique Rahman said in a statement that “the country mourns the loss of a guiding presence that shaped its democratic aspirations”.His mother, he added, “endured repeated arrests, denial of medical care, and relentless persecution”, but “her resilience… was unbreakable.”Suffering from a raft of health issues, Zia was rushed to hospital in late November, where her condition gradually deteriorated despite treatment.Nevertheless, hours before her death, party workers had on Monday submitted nomination papers on her behalf for three constituencies for next year’s polls. Indian Prime Minister Narendra Modi said he hoped Zia’s “vision and legacy will continue to guide our partnership”, a warm message despite the strained relations between New Delhi and Dhaka since Hasina’s fall.New Delhi’s Foreign Minister Subrahmanyam Jaishankar is attending — the most senior visit by an Indian official since the overthrow of Hasina. He said he had met with Tarique Rahman and offered India’s “deepest condolences”.Hasina, 78, sentenced to death in absentia in November for crimes against humanity, remains in hiding in her old ally India.Zia was jailed for corruption in 2018 under Hasina’s government, which also blocked her from travelling abroad for medical treatment.Zia was released last year, shortly after Hasina was forced from power.”I pray for the eternal peace and forgiveness of Begum Khaleda Zia’s soul,” Hasina said, in a statement shared on social media by her now-banned Awami League party.

China says to impose extra 55% tariffs on some beef imports

China said on Wednesday it will impose additional 55 percent tariffs on some beef imports from countries including Brazil, Australia and the United States that exceed a certain quantity from January 1.The price of beef in China has trended downwards in recent years, with analysts blaming oversupply and a lack of demand as the world’s second-largest economy has slowed.At the same time imports have surged, with China representing a hugely important market for countries such as Brazil, Argentina and Australia.Investigators found beef imports had damaged China’s domestic industry, Beijing’s commerce ministry said in a statement. The probe covered fresh, frozen, bone-in and boneless beef.The extra tariffs apply for three years — until December 31, 2028.The ministry described the levies as “safeguards” and said they would be gradually relaxed.Countries have been assigned annual quotas and beef sent to China will be subject to the extra 55 percent levy if imports go beyond that amount.Quotas expand slightly each year.In 2026, Brazil has an import quota of 1.1 million tons while Argentina has a cap of roughly half that.Australia faces a quota of around 200,000 tons and the United States one of 164,000 tons.The ministry also said it was suspending part of a free trade agreement with Australia covering beef.”The implementation of safeguards on imported beef is intended to temporarily help the domestic industry get through difficulties, not to restrict normal beef trade,” a spokesperson said in a separate statement.

World bids farewell to 2025, a year of Trump, truces and turmoil

New Year’s Eve revellers toasted the end of 2025 on Wednesday, waving goodbye to 12 months packed with Trump tariffs, a Gaza truce and vain hopes for peace in Ukraine.It was one of the warmest years on record, the stifling heat stoking wildfires in Europe, droughts in Africa and deadly rains across Southeast Asia.There was a sombre tinge to party preparations in Australia’s harbour city Sydney, the self-proclaimed “New Year’s capital of the world”.Barely two weeks have passed since a father and son allegedly opened fire on a Jewish festival at Bondi Beach, killing 15 people in the nation’s deadliest mass shooting for almost 30 years.Parties will pause for a minute of silence at 11:00 pm (1200 GMT) as the famed Sydney Harbour Bridge is bathed in white light to symbolise peace.”Right now, the joy that we usually feel at the start of a new year is tempered by the sadness of the old,” Australia’s Prime Minister Anthony Albanese said in a video message.Hundreds of thousands of spectators are expected to line Sydney’s foreshore as nine tonnes of fireworks explode on the stroke of midnight.Throughout the evening, residents and tourists began gathering by the city’s harbour and sailboats dotted the water to secure the best viewing spots near the Sydney Opera House. “The fireworks have always been on my bucket list and I’m so happy to be here,” said Susana Suisuikli, an English tourist.  Security was tighter than usual, with squads of heavily armed police patrolling the crowds.Sydney kicks off a chain of celebrations stretching from glitzy New York to the Hogmanay festival on the chilly streets of Scotland.More than two million people are expected to pack Brazil’s lively Copacabana Beach for what authorities have called the world’s biggest New Year’s Eve party.In Hong Kong, a major New Year fireworks display planned for Victoria Harbour was cancelled to pay homage to 161 people killed in a housing estate fire in November.- Truce and tariffs -Labubu dolls became a worldwide craze in 2025, thieves plundered the Louvre in a daring heist, and K-pop heartthrobs BTS made their long-awaited return.The world lost pioneering zoologist Jane Goodall, the Vatican chose a new pope, and the assassination of right-wing activist Charlie Kirk laid bare America’s deep political divisions.Donald Trump returned to the White House in January, launching a tariff blitz that sent global markets into meltdown.The president used his Truth Social platform to lash out at his sliding approval ratings ahead of 2026 midterm elections.”The polls are rigged,” he wrote, without providing evidence.”Isn’t it nice to have a STRONG BORDER, No Inflation, a powerful Military, and great Economy??? Happy New Year!”But many expect tough times to continue in 2026.”The economic situation is also very dire, and I’m afraid I’ll be left without income,” said Ines Rodriguez, 50, a merchant in Mexico City.After two years of war that left much of the Gaza Strip in ruins, US pressure helped land a fragile ceasefire between Israel and Hamas in October.But with each side already accusing the other of flagrant violations, no one is sure how long the break in hostilities will hold.Hamas militants stormed into southern Israel on October 7, 2023, resulting in the deaths of more than 1,200 people, most of them civilians.Israel’s retaliatory assault on Gaza has killed more than 70,000, also mostly civilians, according to the health ministry in the Hamas-run territory, a figure the UN deems credible.World leaders including China’s Xi Jinping and Russian counterpart Vladimir Putin began exchanging New Year greetings.Xi said he was “ready to maintain close exchanges with Putin to jointly push for continuous new progress in bilateral ties”, Chinese state news agency Xinhua reported Wednesday.The war in Ukraine — sparked by Russia’s full-scale invasion in 2022 — grinds towards its four-year anniversary in February with no temporary ceasefire reached in the final days of 2025 despite a renewed burst of diplomacy.- Sports, space and AI -The coming 12 months promise to be full of sports, space and questions over artificial intelligence (AI).NASA’s Artemis II mission, backed by Elon Musk, will launch a crewed spacecraft to circle the moon during a 10-day test flight, more than 50 years since the last Apollo lunar mission.After years of unbridled enthusiasm, AI is facing scrutiny and nervous investors are questioning whether the boom might now resemble a market bubble.Athletes will gather on Italy’s famed Dolomites to hit the slopes for the Winter Olympics.And for a few weeks in June and July, nations will come together for the biggest football World Cup in history in venues across the United States, Mexico and Canada.