Siraj, Krishna help Gujarat defeat Mumbai in IPL

Fast bowlers Mohammed Siraj and Prasidh Krishna took two wickets each as Gujarat Titans thrashed IPL powerhouse Mumbai Indians by 36 runs for their first win this season on Saturday.Gujarat rode on Sai Sudharsan’s 63 off 41 balls to post 196-8 after being invited to bat first at the world’s biggest cricket stadium in Ahmedabad.Siraj then led the bowling charge to limit the opposition to 160-6 as five-time winners Mumbai went down to their second straight loss in the 18th edition of the T20 tournament.Siraj removed the Mumbai openers to dent the chase and Krishna hurt the middle-order to return figures of 2-18.Krishna, a fast-medium bowler who has played three Tests, 17 ODIs and five T20s for India, was named player of the match.”I was itching to bowl. We were sitting and watching how the first innings went. So we understood that cutters into the wicket were working well,” he said.Mumbai’s former captain Rohit Sharma started on the front foot with two successive boundaries but Siraj had the last laugh as he bowled the opener for eight on the fourth ball.Siraj was on fire when he bowled South African wicketkeeper-batsman Ryan Rickelton for six as the left-hander got an inside edge on to his stumps.Tilak Varma and Suryakumar Yadav attempted to rebuild in a third-wicket stand of 62 until Krishna struck to remove Varma for 39.Suryakumar hit 48 and smashed four sixes in an attempt to keep up with the ever-increasing scoring rate and along with skipper Hardik Pandya looked to pull things back.But the bowling remained disciplined and Krishna got his reward with Suryakumar’s wicket and South African quick Kagiso Rabada dismissed Pandya, for 11, as the chase fizzled out.- ‘Not professional’ -“Tough to put it together, I think in batting and bowling we were 15-20 runs short in both places,” said Pandya.”We were not professional in the field, we made basic errors and that cost us 20-25 runs and in a T20 game that is quite a lot.”Earlier, Gujarat openers Sudharsan and Shubman Gill started cautiously before the two hammered 35 runs across overs five and six.Returning Pandya cut short skipper Gill’s knock on 38 when he had the attacking opener caught at deep square leg to end a 78-run opening stand.Pandya missed his team’s opening loss due a suspension from the previous edition when he was charged for a slow-over rate offence. He returned figures of 2-29 with his pace bowling. The left-handed Sudharsan built another key stand with England’s Jos Buttler, who kept up the charge with regular boundaries as he hit 39 off 24 balls.Afghanistan spinner Mujeeb Ur Rahman dismissed Buttler, caught behind as the Gujarat bowlers hit back.Pandya dismissed the big-hitting Shahrukh Khan for nine and West Indies left-hander Sherfane Rutherford fell to seam bowler Deepak Chahar for 18.Sudharsan held firm in a middle-order stutter and reached his fifty before New Zealand left-arm quick Trent Boult trapped the batsman lbw.Disciplined bowling denied Gujarat a big finish in the final few overs but the total proved enough for the team’s first win in two matches.

Marée verte à Saint-Etienne en soutien aux groupes d’ultras menacés

“Touche pas à mes kops”: plusieurs milliers de personnes ont défilé samedi à Saint-Etienne pour s’opposer à la possible dissolution de deux groupes de supporteurs ultras de l’ASSE, que le ministère de l’Intérieur accuse de “violences graves”.”Ensemble, nous défendrons le Chaudron, il ne se dissout pas. Allez les Verts !”, a déclaré en français le président sud-africain du club de L1, Ivan Gazidis, en référence à l’emblématique stade Geoffroy Guichard, où il attendait le cortège de manifestants.Parties du centre-ville, quelque 3.200 personnes, selon la préfecture, ont marché jusqu’au “chaudron” derrière de larges banderoles proclamant “Sainté c’est nous”, “touche pas à mes kops” ou encore “Liberté pour les Ultras”. Vêtues pour beaucoup des couleurs vertes du club, elles ont entonné les chants de supporteurs au rythme des tambours.Les deux groupes menacés de dissolution, les Green Angels et les Magic Fans, les avaient appelées à manifester dans une ambiance “familiale et festive” juste avant d’accueillir le PSG, un match considéré à haut risque et pour lequel la sécurité a été renforcée, avec des canons à eau et des effectifs supplémentaires.A l’exception de quelques fumigènes, aucun incident n’a été rapporté en milieu d’après-midi, et la marée verte ne cessait de grossir aux abords du stade.”J’ai le cÅ“ur vert. Malgré la pluie et le froid je serai présent jusqu’à ce soir”, assure Jean Astier, 68 ans, croisé par l’AFP dans cette foule. “Ces deux groupes on en a besoin, c’est le poumon de Geoffroy-Guichard! Ce ne sont pas des hooligans”, assure cet habitué des tribunes, en espérant que la mobilisation fasse fléchir le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.- “Jusqu’au bout” -Le ministère, qui dénonce une “explosion de la violence” dans le foot professionnel, examine la situation de plusieurs clubs de supporteurs, dont celle des Magic Fans et des Green Angels, fondés respectivement en 1991 et 1992 et qui gèrent plus de 15.000 membres des kops sud et nord. Leurs représentants, ainsi que la direction de l’ASSE, sont convoqués mardi devant la Commission nationale consultative de prévention des violences lors des manifestations sportives, qui rendra ensuite un avis consultatif.”On va se battre jusqu’au bout pour sauver nos associations et indiquer au ministère qu’il fait fausse route”, a déclaré à la presse avant le départ du cortège Tom Dufieu, porte-parole des Green Angels, en qualifiant l’hypothèse d’une dissolution d'”ineptie”.”Bien qu’ils soient imparfaits, on l’admet, nos groupes sont structurés”, et quand “certains de nos membres commettent des délits, ils l’assument devant les tribunaux  et en interne, on a des procédures qui permettent de jouer notre rôle de régulateur”, a-t-il poursuivi.”Etre ultra, c’est donner 100% de son temps et de son énergie à son club, c’est le contraire de chercher la violence et se servir du foot pour ça”, a ajouté Corentin Cartal pour les Magic Fans.- “Sanctionner toute une ville” -Ces deux groupes, ainsi que Légion X, un groupe d’ultras du Paris FC, sont “responsables des incidents parmi les plus graves et les plus violents” constatés depuis 2020, a rétorqué le ministère dans un communiqué publié alors que la manifestation battait son plein.”Entre 2021 et 2025, les Greens Angels se sont ainsi rendus coupables de 10 faits de violence grave” et les Magic Fans de 13 entre 2020 et 2024, a encore assené le ministère.Même si aucune décision n’est prise, la menace de dissolution des Magic Fans et Green Angels a suscité une large désapprobation dans une ville viscéralement attachée à son club de foot, bien qu’il ne soit plus à son niveau des glorieuses années 1960 et 1970.Les deux clubs, principaux animateurs des tribunes populaires avec leurs chants, drapeaux et tifos, ont ainsi reçu l’appui des dix parlementaires de la Loire, toutes étiquettes confondues, et de nombreux élus. Et dans la foule samedi, beaucoup vivaient la procédure engagée comme une punition collective.”Il y a eu des événements punissables, mais sanctionner tout un stade, toute une ville, je ne suis pas sûre que ce soit la bonne solution”, confiait ainsi Marie, une Stéphanoise de 32 ans, accompagnée de son fils de 5 ans.

Le ministère du Commerce extérieur dénonce des “ingérences inacceptables” américaines visant des entreprises françaises

Le ministère français du Commerce extérieur a dénoncé samedi des “ingérences américaines” après l’envoi d’une lettre de l’ambassade des Etats-Unis à Paris à plusieurs entreprises françaises leur demandant si elles mettaient en place des programmes internes de lutte contre les discriminations.”Les ingérences américaines dans les politiques d’inclusion des entreprises françaises, comme les menaces de droits de douanes injustifiés, sont inacceptables”, indique le ministère dans un communiqué transmis à l’AFP. “La France et l’Europe défendront leurs entreprises, leurs consommateurs, mais aussi leurs valeurs”, assure également le ministère.Plusieurs entreprises françaises ont reçu un courrier de l’ambassade des Etats-Unis les interrogeant sur l’existence de programmes internes de lutte contre les discriminations, ce qui pourrait les empêcher de travailler avec l’Etat américain. Les destinataires du courrier ont été informés du fait que “le décret 14173”, pris par Donald Trump dès le premier jour de son retour à la Maison Blanche pour mettre fin aux programmes promouvant l’égalité des chances au sein de l’Etat fédéral, “s’applique également obligatoirement à tous les fournisseurs et prestataires du gouvernement américain”, comme le montre un document révélé vendredi par Le Figaro. Les entreprises liées par un contrat commercial à l’Etat américain seraient dans l’obligation de rompre avec les politiques de discrimination positive éventuellement mises en place.”Cette pratique reflète les valeurs du nouveau gouvernement américain” avait réagi vendredi l’entourage du ministre de l’Economie Eric Lombard. “Ce ne sont pas les nôtres”, ajoutait le cabinet de Bercy dans sa réaction transmise à la presse, précisant que “le ministre le rappellera à ses homologues au sein du gouvernement américain”.Interrogée par l’AFP, l’ambassade des Etats-Unis à Paris n’a pas réagi dans l’immédiat.  

Le ministère du Commerce extérieur dénonce des “ingérences inacceptables” américaines visant des entreprises françaises

Le ministère français du Commerce extérieur a dénoncé samedi des “ingérences américaines” après l’envoi d’une lettre de l’ambassade des Etats-Unis à Paris à plusieurs entreprises françaises leur demandant si elles mettaient en place des programmes internes de lutte contre les discriminations.”Les ingérences américaines dans les politiques d’inclusion des entreprises françaises, comme les menaces de droits de douanes injustifiés, sont inacceptables”, indique le ministère dans un communiqué transmis à l’AFP. “La France et l’Europe défendront leurs entreprises, leurs consommateurs, mais aussi leurs valeurs”, assure également le ministère.Plusieurs entreprises françaises ont reçu un courrier de l’ambassade des Etats-Unis les interrogeant sur l’existence de programmes internes de lutte contre les discriminations, ce qui pourrait les empêcher de travailler avec l’Etat américain. Les destinataires du courrier ont été informés du fait que “le décret 14173”, pris par Donald Trump dès le premier jour de son retour à la Maison Blanche pour mettre fin aux programmes promouvant l’égalité des chances au sein de l’Etat fédéral, “s’applique également obligatoirement à tous les fournisseurs et prestataires du gouvernement américain”, comme le montre un document révélé vendredi par Le Figaro. Les entreprises liées par un contrat commercial à l’Etat américain seraient dans l’obligation de rompre avec les politiques de discrimination positive éventuellement mises en place.”Cette pratique reflète les valeurs du nouveau gouvernement américain” avait réagi vendredi l’entourage du ministre de l’Economie Eric Lombard. “Ce ne sont pas les nôtres”, ajoutait le cabinet de Bercy dans sa réaction transmise à la presse, précisant que “le ministre le rappellera à ses homologues au sein du gouvernement américain”.Interrogée par l’AFP, l’ambassade des Etats-Unis à Paris n’a pas réagi dans l’immédiat.  

Le ministère du Commerce extérieur dénonce des “ingérences inacceptables” américaines visant des entreprises françaises

Le ministère français du Commerce extérieur a dénoncé samedi des “ingérences américaines” après l’envoi d’une lettre de l’ambassade des Etats-Unis à Paris à plusieurs entreprises françaises leur demandant si elles mettaient en place des programmes internes de lutte contre les discriminations.”Les ingérences américaines dans les politiques d’inclusion des entreprises françaises, comme les menaces de droits de douanes injustifiés, sont inacceptables”, indique le ministère dans un communiqué transmis à l’AFP. “La France et l’Europe défendront leurs entreprises, leurs consommateurs, mais aussi leurs valeurs”, assure également le ministère.Plusieurs entreprises françaises ont reçu un courrier de l’ambassade des Etats-Unis les interrogeant sur l’existence de programmes internes de lutte contre les discriminations, ce qui pourrait les empêcher de travailler avec l’Etat américain. Les destinataires du courrier ont été informés du fait que “le décret 14173”, pris par Donald Trump dès le premier jour de son retour à la Maison Blanche pour mettre fin aux programmes promouvant l’égalité des chances au sein de l’Etat fédéral, “s’applique également obligatoirement à tous les fournisseurs et prestataires du gouvernement américain”, comme le montre un document révélé vendredi par Le Figaro. Les entreprises liées par un contrat commercial à l’Etat américain seraient dans l’obligation de rompre avec les politiques de discrimination positive éventuellement mises en place.”Cette pratique reflète les valeurs du nouveau gouvernement américain” avait réagi vendredi l’entourage du ministre de l’Economie Eric Lombard. “Ce ne sont pas les nôtres”, ajoutait le cabinet de Bercy dans sa réaction transmise à la presse, précisant que “le ministre le rappellera à ses homologues au sein du gouvernement américain”.Interrogée par l’AFP, l’ambassade des Etats-Unis à Paris n’a pas réagi dans l’immédiat.  

Le ministère du Commerce extérieur dénonce des “ingérences inacceptables” américaines visant des entreprises françaises

Le ministère français du Commerce extérieur a dénoncé samedi des “ingérences américaines” après l’envoi d’une lettre de l’ambassade des Etats-Unis à Paris à plusieurs entreprises françaises leur demandant si elles mettaient en place des programmes internes de lutte contre les discriminations.”Les ingérences américaines dans les politiques d’inclusion des entreprises françaises, comme les menaces de droits de douanes injustifiés, sont inacceptables”, indique le ministère dans un communiqué transmis à l’AFP. “La France et l’Europe défendront leurs entreprises, leurs consommateurs, mais aussi leurs valeurs”, assure également le ministère.Plusieurs entreprises françaises ont reçu un courrier de l’ambassade des Etats-Unis les interrogeant sur l’existence de programmes internes de lutte contre les discriminations, ce qui pourrait les empêcher de travailler avec l’Etat américain. Les destinataires du courrier ont été informés du fait que “le décret 14173”, pris par Donald Trump dès le premier jour de son retour à la Maison Blanche pour mettre fin aux programmes promouvant l’égalité des chances au sein de l’Etat fédéral, “s’applique également obligatoirement à tous les fournisseurs et prestataires du gouvernement américain”, comme le montre un document révélé vendredi par Le Figaro. Les entreprises liées par un contrat commercial à l’Etat américain seraient dans l’obligation de rompre avec les politiques de discrimination positive éventuellement mises en place.”Cette pratique reflète les valeurs du nouveau gouvernement américain” avait réagi vendredi l’entourage du ministre de l’Economie Eric Lombard. “Ce ne sont pas les nôtres”, ajoutait le cabinet de Bercy dans sa réaction transmise à la presse, précisant que “le ministre le rappellera à ses homologues au sein du gouvernement américain”.Interrogée par l’AFP, l’ambassade des Etats-Unis à Paris n’a pas réagi dans l’immédiat. Â