Autos lead market losses after Trump’s latest tariffs salvo
Share prices of automakers slid Thursday after US President Donald Trump announced painful tariffs on imported vehicles and parts as he presses hardball trade policies many fear will spark a recession.In Tokyo, Toyota — the world’s top-selling carmaker — fell two percent, Honda shed 2.5 percent while Nissan was off 1.7 percent, while Mazda dived six percent.Seoul-listed Hyundai gave up more than four percent.Among European auto firms, Peugeot and Jeep maker Stellantis shed 3.5 percent, Porsche four percent and BMW 1.8 percent.  In Mumbai, India’s Tata Motors, which exports Jaguar Land Rovers to the United States, lost more than five percent. US-listed car giants also tumbled with General Motors and Ford all deep in the red in after-hours trade.”Recent glee over the notion that Trump wouldn’t impose sector specific tariffs… (in early April) have been entirely undermined by the fact that the president has instead opted to start announcing such measures ahead of that date,” noted Joshua Mahony, analyst at Scope Markets.There had been indications also that levies lined up for the president’s “Liberation Day” on April 2 would be less severe than feared.However, the White House’s habit of alternating between tough talk and leniency has fanned uncertainty and the latest announcement did little to soothe nerves.”What we’re going to be doing is a 25 percent tariff on all cars that are not made in the United States,” Trump said as he signed an order in the Oval Office.The move takes effect at 12:01 am Eastern time (0401 GMT) on April 3 and affects foreign-made cars and light trucks. Key automobile parts will also be hit within the month.About half of the cars sold in the United States are made within the country. Of the imported vehicles, about half come from Mexico and Canada, with Japan, South Korea and Germany also major suppliers.Japan’s government called the tariffs “extremely regrettable”, while Canadian Prime Minister Mark Carney called it a “direct attack” on his country’s workers.And French Finance Minister Eric Lombard warned on Thursday: “The only solution for the European Union will be to raise tariffs on American products in response.”UK finance minister Rachel Reeves said Britain does not want to “escalate” trade wars, with London locked in talks with Washington over potentially securing a post-Brexit trade deal.”We are looking to secure a better trading relationship with the United States,” she told Sky News.Losses on London’s FTSE 100 index were offset by strong gains among clothes retailers, with Next jumping 6.9 percent after posting annual pre-tax profit above the symbolic £1 billion ($1.3 billion) level.Close rival Marks and Spencer won 3.4 percent.- Key figures around 1030 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.6 percent at 8,641.37 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 8,002.76Frankfurt – DAX: DOWN 0.7 at 22,672.94 Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 37,799.97 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.4 percent at 23,578.80 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,373.75 (close)New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 42,454.79 (close)Euro/dollar: UP at $1.0774 from $1.0757 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.2918 from $1.2891Dollar/yen: UP at 150.95 yen from 150.54 yenEuro/pound: DOWN at 83.39 pence from 83.41 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.1 percent at $69.57 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $72.97 per barrel
‘We’re going home’: Joy in Port Sudan after army victories in KhartoumThu, 27 Mar 2025 10:49:27 GMT
Displaced Sudanese danced through the night in Port Sudan, celebrating a string of army advances in Khartoum and hoping they will soon return home.”The joy has spread everywhere,” said Khartoum native Motaz Essam as crowds swayed to music blaring from makeshift sound systems.”God willing, we’re going home, we’ll finally celebrate Eid in our own homes,” …
Carburants non-fossiles: doutes de compagnies aériennes sur les objectifs européens
Les principales compagnies aériennes européennes ont mis en doute jeudi la faisabilité des objectifs d’incorporation de carburants renouvelables dans les réservoirs de leurs avions à l’horizon 2030, estimant que leur production risquait de ne pas être suffisante.L’Union européenne, dans le cadre de ses efforts de décarbonation, impose qu’une partie croissante des carburants d’aviation soit issue de sources non-fossiles (“sustainable aviation fuels”, SAF en anglais).Fixée à 2% depuis le début de l’année, cette proportion doit monter à 6% en 2030 et progressivement jusqu’à 70% en 2050.Mais d’ores et déjà , “nous ne disposons pas d’assez de SAF, et le SAF que nous avons est très cher”, trois à cinq fois plus que le kérosène issu du pétrole, a affirmé Luis Gallego, patron du groupe aérien IAG (British Airways, Iberia…) au nom de l’association Airlines for Europe (A4E). A4E, qui représente 17 groupes européens, de Lufthansa à Ryanair en passant par Air France-KLM et easyJet, organisait jeudi une conférence de presse à Bruxelles pour réclamer à Commission européenne qu’elle défende leur “compétitivité” à l’échelle mondiale.M. Gallego a cité une étude affirmant que la production de SAF serait inférieure de 30% en 2030 aux niveaux nécessaires.”Il est désormais évident que l’offre de SAF ne sera pas au rendez-vous pour atteindre les objectifs de 6% d’ici à 2030″, a renchéri le patron de Ryanair, Michael O’Leary.”A moins que des mesures soient prises immédiatement” pour faire augmenter la production, “la seule solution est de décaler l’objectif 2030”, a ajouté M. Gallego.Au niveau mondial, le secteur aérien, qui contribue actuellement à quelque 3% des émissions de CO2, s’est engagé à “zéro émission nette” à l’horizon 2050 et compte à 65% sur les SAF pour atteindre ces objectifs.”Je pense que nous sommes tous alignés sur notre engagement à zéro émission nette d’ici à 2050″, a affirmé jeudi le directeur général d’Air France-KLM, Benjamin Smith.Mais le patron du groupe Lufthansa, Carsten Spohr, a estimé que le retard d’Airbus dans son programme d’avion à hydrogène, et la priorité désormais donnée par certains groupes pétroliers à la production d’énergies fossiles “auront des conséquences sur l’objectif” 2050.”Faisons en sorte de créer un débat plus honnête sur ce sujet”, a-t-il plaidé.
Carburants non-fossiles: doutes de compagnies aériennes sur les objectifs européens
Les principales compagnies aériennes européennes ont mis en doute jeudi la faisabilité des objectifs d’incorporation de carburants renouvelables dans les réservoirs de leurs avions à l’horizon 2030, estimant que leur production risquait de ne pas être suffisante.L’Union européenne, dans le cadre de ses efforts de décarbonation, impose qu’une partie croissante des carburants d’aviation soit issue de sources non-fossiles (“sustainable aviation fuels”, SAF en anglais).Fixée à 2% depuis le début de l’année, cette proportion doit monter à 6% en 2030 et progressivement jusqu’à 70% en 2050.Mais d’ores et déjà , “nous ne disposons pas d’assez de SAF, et le SAF que nous avons est très cher”, trois à cinq fois plus que le kérosène issu du pétrole, a affirmé Luis Gallego, patron du groupe aérien IAG (British Airways, Iberia…) au nom de l’association Airlines for Europe (A4E). A4E, qui représente 17 groupes européens, de Lufthansa à Ryanair en passant par Air France-KLM et easyJet, organisait jeudi une conférence de presse à Bruxelles pour réclamer à Commission européenne qu’elle défende leur “compétitivité” à l’échelle mondiale.M. Gallego a cité une étude affirmant que la production de SAF serait inférieure de 30% en 2030 aux niveaux nécessaires.”Il est désormais évident que l’offre de SAF ne sera pas au rendez-vous pour atteindre les objectifs de 6% d’ici à 2030″, a renchéri le patron de Ryanair, Michael O’Leary.”A moins que des mesures soient prises immédiatement” pour faire augmenter la production, “la seule solution est de décaler l’objectif 2030”, a ajouté M. Gallego.Au niveau mondial, le secteur aérien, qui contribue actuellement à quelque 3% des émissions de CO2, s’est engagé à “zéro émission nette” à l’horizon 2050 et compte à 65% sur les SAF pour atteindre ces objectifs.”Je pense que nous sommes tous alignés sur notre engagement à zéro émission nette d’ici à 2050″, a affirmé jeudi le directeur général d’Air France-KLM, Benjamin Smith.Mais le patron du groupe Lufthansa, Carsten Spohr, a estimé que le retard d’Airbus dans son programme d’avion à hydrogène, et la priorité désormais donnée par certains groupes pétroliers à la production d’énergies fossiles “auront des conséquences sur l’objectif” 2050.”Faisons en sorte de créer un débat plus honnête sur ce sujet”, a-t-il plaidé.
Record de cargaisons transportées via la Route maritime du Nord en 2024
La Russie s’est félicitée d’un nouveau record de cargaisons transportées en 2024 via la Route maritime du Nord, avec laquelle elle ambitionne de concurrencer le Canal de Suez en profitant de l’impact du changement climatique, tout en reconnaissant à ce stade des limites logistiques à son développement.”L’année 2024 s’est soldée par un nouveau record pour la Route maritime du nord, avec 37,9 millions de tonnes de cargaisons transportées”, a annoncé mercredi à la presse Vladimir Panov, représentant spécial pour le développement de l’Arctique du groupe russe Rosatom, en marge du Forum arctique à Mourmansk (nord-ouest).Selon lui, le transit des cargaisons via cette voie commerciale reliant l’Europe à l’Asie par l’Arctique a pour sa part augmenté de 44% en 2024, en dépassant “pour la première fois” 3 millions de tonnes.”Il s’agit de cargaisons qui étaient historiquement transportées (…) via le Canal de Suez, mais maintenant les expéditeurs les redirigent vers la Route maritime du nord en été et en automne”, saison navigable sur la plupart du trajet du fait de la fonte des glaces accélérée par le réchauffement climatique, a-t-il affirmé.Avant que des attaques visant des cargos ne poussent les entreprises à changer de route, le canal de Suez représentait environ 10% du commerce maritime mondial.Si en 2024 il a perdu deux tiers de son trafic en raison des attaques des rebelles houthis du Yémen, 457 millions de tonnes de cargaisons ont toujours été transportées via le Canal de Suez, selon des statistiques officielles, soit douze fois plus que via la voie arctique.Or, si le changement climatique accélère le recul de la banquise, favorisant ainsi le développement de cette voie commerciale, ce trajet reste toujours très coûteux et il nécessite le recours à des brise-glaces à propulsion nucléaire.Pour “passer à un niveau supérieur” et envisager, à terme, le transport de 100-150 millions de tonnes de cargaisons par an, “il faut avoir entre 15 et 17 brise-glaces”, contre seulement 11 comme actuellement, a relevé le patron de Rosatom, Alexeï Likhatchev, lors du Forum arctique.Ke Jin, directeur général de la société chinoise China Freight Forwarding Company, a, quant à lui, qualifié le manque d’infrastructures portuaires capables d’accueillir de gros navires d'”un des problèmes principaux” au développement de cette route commerciale.Allié stratégique de Moscou, la Chine souhaite coopérer avec la Russie dans ce projet, tout comme l’Inde, selon Rosatom, dans une région qui attire les convoitises de nombreuses puissances.En juin 2024, Rosatom et le groupe chinois NewNew Shipping Line ont ainsi annoncé leur accord sur la mise en place d’une entreprise commune pour construire des navires porte-conteneurs adaptés aux conditions de navigation arctiques.
Record de cargaisons transportées via la Route maritime du Nord en 2024
La Russie s’est félicitée d’un nouveau record de cargaisons transportées en 2024 via la Route maritime du Nord, avec laquelle elle ambitionne de concurrencer le Canal de Suez en profitant de l’impact du changement climatique, tout en reconnaissant à ce stade des limites logistiques à son développement.”L’année 2024 s’est soldée par un nouveau record pour la Route maritime du nord, avec 37,9 millions de tonnes de cargaisons transportées”, a annoncé mercredi à la presse Vladimir Panov, représentant spécial pour le développement de l’Arctique du groupe russe Rosatom, en marge du Forum arctique à Mourmansk (nord-ouest).Selon lui, le transit des cargaisons via cette voie commerciale reliant l’Europe à l’Asie par l’Arctique a pour sa part augmenté de 44% en 2024, en dépassant “pour la première fois” 3 millions de tonnes.”Il s’agit de cargaisons qui étaient historiquement transportées (…) via le Canal de Suez, mais maintenant les expéditeurs les redirigent vers la Route maritime du nord en été et en automne”, saison navigable sur la plupart du trajet du fait de la fonte des glaces accélérée par le réchauffement climatique, a-t-il affirmé.Avant que des attaques visant des cargos ne poussent les entreprises à changer de route, le canal de Suez représentait environ 10% du commerce maritime mondial.Si en 2024 il a perdu deux tiers de son trafic en raison des attaques des rebelles houthis du Yémen, 457 millions de tonnes de cargaisons ont toujours été transportées via le Canal de Suez, selon des statistiques officielles, soit douze fois plus que via la voie arctique.Or, si le changement climatique accélère le recul de la banquise, favorisant ainsi le développement de cette voie commerciale, ce trajet reste toujours très coûteux et il nécessite le recours à des brise-glaces à propulsion nucléaire.Pour “passer à un niveau supérieur” et envisager, à terme, le transport de 100-150 millions de tonnes de cargaisons par an, “il faut avoir entre 15 et 17 brise-glaces”, contre seulement 11 comme actuellement, a relevé le patron de Rosatom, Alexeï Likhatchev, lors du Forum arctique.Ke Jin, directeur général de la société chinoise China Freight Forwarding Company, a, quant à lui, qualifié le manque d’infrastructures portuaires capables d’accueillir de gros navires d'”un des problèmes principaux” au développement de cette route commerciale.Allié stratégique de Moscou, la Chine souhaite coopérer avec la Russie dans ce projet, tout comme l’Inde, selon Rosatom, dans une région qui attire les convoitises de nombreuses puissances.En juin 2024, Rosatom et le groupe chinois NewNew Shipping Line ont ainsi annoncé leur accord sur la mise en place d’une entreprise commune pour construire des navires porte-conteneurs adaptés aux conditions de navigation arctiques.
Mort d’Emile: “Probable” intervention extérieure, la piste familiale pas refermée
Il y a une “probabilité de l’intervention d’un tiers” dans la disparition et la mort d’Emile Soleil, dont le crâne présentait les traces d’un “traumatisme facial violent”, a déclaré jeudi le procureur d’Aix-en-Provence lors d’une conférence de presse.Les restes du garçonnet, disparu en juillet 2023, ont été déplacés peu avant leur découverte fin mars 2024, a poursuivi le magistrat, qui s’exprimait quelques heures après la fin des gardes à vue des grands-parents, d’un oncle et d’une tante de l’enfant. Il a précisé que la piste familiale n’était “pas encore refermée”.Les expertises introduisent “la probabilité d’intervention d’un tiers dans la disparition et la mort d’Emile Soleil”, a déclaré le procureur Jean-Luc Blachon.”Les vêtements et les ossements retrouvés ont été transportés et déposés peu de temps avant leur découverte. les expertises permettent aussi d’affirmer que le corps de l’enfant ne s’est pas décomposé dans les vêtements retrouvés dans la forêt” et “de caractériser la présence sur le crâne découvert de stigmates anatomiques, évocateurs d’un traumatisme facial violent”, a-t-il détaillé.Les avocats des grands-parents maternels d’Emile Soleil avaient annoncé à trois puis cinq heures du matin la levée de leurs gardes à vue en sortant des locaux de la gendarmerie à Marseille, où ils étaient interrogés depuis mardi matin. Mais selon le procureur, la piste familiale n’est cependant “pas refermée”. “Comme vous le savez, les personnes qui ont été placées en garde à vue ont été remises en liberté. Parce que tout simplement, à l’issue de ces gardes à vue et à la lumière de l’ensemble des éléments réunis, les charges n’étaient pas suffisantes pour conduire à une mise en examen quelconque dans ce dossier”, a-t-il expliqué.
Mort d’Emile: “Probable” intervention extérieure, la piste familiale pas refermée
Il y a une “probabilité de l’intervention d’un tiers” dans la disparition et la mort d’Emile Soleil, dont le crâne présentait les traces d’un “traumatisme facial violent”, a déclaré jeudi le procureur d’Aix-en-Provence lors d’une conférence de presse.Les restes du garçonnet, disparu en juillet 2023, ont été déplacés peu avant leur découverte fin mars 2024, a poursuivi le magistrat, qui s’exprimait quelques heures après la fin des gardes à vue des grands-parents, d’un oncle et d’une tante de l’enfant. Il a précisé que la piste familiale n’était “pas encore refermée”.Les expertises introduisent “la probabilité d’intervention d’un tiers dans la disparition et la mort d’Emile Soleil”, a déclaré le procureur Jean-Luc Blachon.”Les vêtements et les ossements retrouvés ont été transportés et déposés peu de temps avant leur découverte. les expertises permettent aussi d’affirmer que le corps de l’enfant ne s’est pas décomposé dans les vêtements retrouvés dans la forêt” et “de caractériser la présence sur le crâne découvert de stigmates anatomiques, évocateurs d’un traumatisme facial violent”, a-t-il détaillé.Les avocats des grands-parents maternels d’Emile Soleil avaient annoncé à trois puis cinq heures du matin la levée de leurs gardes à vue en sortant des locaux de la gendarmerie à Marseille, où ils étaient interrogés depuis mardi matin. Mais selon le procureur, la piste familiale n’est cependant “pas refermée”. “Comme vous le savez, les personnes qui ont été placées en garde à vue ont été remises en liberté. Parce que tout simplement, à l’issue de ces gardes à vue et à la lumière de l’ensemble des éléments réunis, les charges n’étaient pas suffisantes pour conduire à une mise en examen quelconque dans ce dossier”, a-t-il expliqué.