Nawaz smacks record-breaking maiden ton as Pakistan win 3rd NZ T20

Opener Hasan Nawaz struck a record-breaking maiden century Friday as Pakistan crushed New Zealand by nine wickets in the third Twenty20 to keep the series alive.After scoring a duck in each of the two opening games — the first innings’ of his international career – Nawaz rebounded with a stunning 105 not out in Auckland as the tourists raced to 207-1 in response to New Zealand’s 204.The 23-year-old’s ton came off 44 balls, the fastest by any Pakistan player in a T20 international.It ensured his team reached the target with four full overs to spare, in a stark reversal of form after heavy losses in Christchurch and Dunedin.Nawaz put his early failures behind him with a sparkling knock featuring shots all around the wicket, including a series of audacious ramp shots.He admitted he was worried about his selection prospects after two failures and thanked captain Salman Agha and vice-captain Shadab Khan for showing faith in his ability.”The way I got out in the first two matches, I was very disheartened, but the captain and Shadab supported me, told me I am a match-winning player and that helped me,” he said.”I wanted to score my first run in international cricket, that’s what I was thinking. After I scored one run, the pressure was released and I wanted to win the game.”The right-hander peppered the short Eden Park boundaries with 10 fours and seven sixes, bringing up victory with successive fours off Kyle Jamieson in the 16th over.The first of those shots took Nawaz to 100, five balls faster than the previous Pakistan record-holder – Babar Azam against South Africa in 2021.Fellow opener Mohammad Haris scored 41 off 20 while captain Salman Agha was unbeaten on 51 off 31.New Zealand captain Michael Bracewell conceded they had few answers to halt Nawaz.”You’ve got to tip your hat to Nawaz there, the way that he played was unbelievable,” Bracewell said.”It’s pretty tough to defend out here but when a guy plays like that, it’s really tough.”Earlier, New Zealand looked well placed after Mark Chapman hit a rapid 94 before they were dismissed in their final over.Chapman dominated after New Zealand were asked to bat, tallying 11 fours and four sixes from just 44 balls faced.The rest of the home side’s batsmen struggled to get going, aside from Bracewell’s 31.Experienced seamer Haris Rauf bowled Bracewell and finished with Pakistan’s best figures of 3-29.Game four of the five-match series is in Mount Maunganui on Sunday.

Un nombre record d’au moins 8.938 personnes sont mortes sur les routes migratoires en 2024, selon l’ONU

Un nombre record d’au moins 8.938 personnes sont mortes sur les routes migratoires dans le monde en 2024, a annoncé vendredi l’ONU, soulignant que le bilan réel est “probablement bien plus élevé” car de nombreux décès ne sont pas documentés.”Le nombre croissant de migrants morts dans le monde est une tragédie qui est inacceptable et que l’on peut éviter”, a commenté la directrice générale adjointe de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Ugochi Daniels, dans un communiqué.Selon les données recueillies par cette agence de l’ONU, au moins 8.938 personnes sont mortes sur les routes migratoires à travers le monde en 2024, “ce qui en fait l’année la plus meurtrière jamais enregistrée”.C’est la cinquième année consécutive que l’OIM enregistre une hausse, indique-t-elle.”L’augmentation du nombre de décès dans de nombreuses régions du monde montre pourquoi nous avons besoin d’une réponse internationale et holistique pour empêcher d’autres pertes tragiques de vies humaines”, a indiqué Mme Daniels .Selon l’OIM, “2024 a été l’année la plus meurtrière jamais enregistrée dans la plupart des régions du monde, y compris en Asie (2.778 décès enregistrées), en Afrique (2.242) et en Europe (233)”. Les 2.452 décès documentés en mer Méditerranée en 2024 ne constituent pas un record, selon l’OIM, qui souligne toutefois que ce “nombre élevé montre la nécessité de systèmes de recherche et de sauvetage adéquats ainsi que la nécessité de routes de migration sûres et régulières”. L’OIM explique aussi que les données finales ne sont pas encore disponibles pour la région des Amériques, mais les données actuelles font état d’au moins 1.233 décès, dont des nombres record de 341 morts dans les Caraïbes et de 174 autres dans la jungle du Darien, située à cheval entre Panama et Colombie.L’OIM estime que “le nombre réel de décès et de disparitions de migrants est probablement beaucoup plus élevé, car beaucoup n’ont pas été documentés en raison du manque de sources officielles”. De plus, l’identité et l’origine de la majorité des migrants qui sont décédés ou portés disparus sont inconnues.”La hausse des décès est terrible en soi, mais le fait que des milliers de personnes restent non identifiées chaque année est encore plus tragique”, a commenté Julia Black, qui coordonne le projet “Migrants disparus” de l’OIM. “Au-delà du désespoir et des questions non résolues rencontrées par les familles qui ont perdu un être cher, le manque de données plus complètes sur les risques auxquels les migrants sont confrontés entrave les réponses qui sauvent des vies”, a-t-elle ajouté.

South Cascade, “glacier de l’année” et référence mondiale de l’étude sur les glaciers

Impressionnante masse dans le nord-ouest des Etats-Unis, le glacier South Cascade a inspiré des générations de scientifiques qui l’ont étudié de près, développant et affinant des méthodes aujourd’hui utilisées dans le monde entier.Figurant parmi les cinq glaciers dits “de référence” dans le pays, et nommé vendredi “glacier de l’année” par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) en l’honneur des scientifiques qui le suivent depuis des décennies, son évolution est particulièrement scrutée à mesure que l’activité humaine réchauffe la Terre. Voici quelques éléments marquants à son sujet.- Technologie du radar -Les eaux de fonte du glacier, situé dans l’Etat de Washington, s’écoulent directement dans le lac South Cascade qui alimente le fleuve Cascade, lequel se jette dans le Puget Sound, un bras de mer qui longe notamment la ville de Seattle.Si les glaciers sont étudiés en Europe depuis au moins le 19e siècle, “une grande partie des méthodes scientifiques que nous utilisons pour mesurer les glaciers ont été développées ici”, explique Andrew Fountain, universitaire spécialisé dans la recherche sur les glaciers et le changement climatique. La technologie du radar a notamment permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de la glace à un endroit où un glacier existe probablement depuis plus d’un million d’années.Les mesures ont commencé sur le site en 1958, selon l’USGS, l’organisme gouvernemental qui étudie l’environnement et les ressources naturelles.- Historique de mesures -L’année suivante, l’USGS a lancé un projet de mesures dit “bilan de masse continu”, qui comptabilise le débit des cours d’eau, les précipitations, la température de l’air, la pression atmosphérique, l’épaisseur, la densité de la neige ou encore l’ablation de la glace.”Ce glacier possède le plus grand historique de mesures scientifiques dans le continent américain”, souligne M. Fountain. Les glaciologues ont ainsi pu “suivre la façon dont le glacier réagit au climat”. “Comme vous pouvez l’imaginer, il a reculé de manière spectaculaire”, tombant aujourd’hui à environ la moitié de la taille qu’il avait lorsque les mesures ont commencé, ajoute le scientifique qui blâme l’augmentation des températures.Une atmosphère plus chaude réduit la quantité de précipitations sous forme de neige et augmente la température de l’air ambiant.- Recherche menacée par Trump -La recherche subit le retour de Donald Trump à la tête des Etats-Unis. Le milliardaire Elon Musk a entrepris de réduire fortement les dépenses publiques, supprimant de nombreux emplois et subventions, y compris dans la recherche. L’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) compte notamment supprimer son Bureau de recherche et développement et limoger la majorité de ses effectifs, selon un plan dont des extraits ont été transmis à l’AFP.M. Fountain tire la sonnette d’alarme: environ 2% de l’eau de la planète est stockée dans les glaciers et, s’ils fondent tous, elle finira par s’écouler dans les océans, ce qui fera monter le niveau des mers et mettra en péril des dizaines de milliers de kilomètres de côtes à travers le monde. Toutes les régions glaciaires ont enregistré une perte de masse nette en 2024, pour la troisième année consécutive, a annoncé vendredi l’OMM.C’est pour cette raison, entre autres, que la science de la glaciologie née à South Cascade est indispensable, insiste le chercheur américain. “Ce n’est pas parce que nous ne voulons pas entendre parler d’une chose qu’elle n’est pas en train d’arriver”, prévient-il.

Ouganda: 18 journalistes battus par les forces de sécurité pendant une élection, dénonce RSF

Dix-huit journalistes ont été violemment frappés par des militaires et des membres d’une unité antiterroriste ougandaise alors qu’ils couvraient une élection locale à Kampala la semaine dernière, a dénoncé Reporters sans frontières (RSF), qui s’inquiète d’une répression accrue à un an de la présidentielle.”Au moins 13 journalistes couvrant les élections partielles du 13 mars à Kawempe North, un district du nord de Kampala, ont été sévèrement battus par les forces de sécurité ougandaises”, affirme RSF dans un communiqué publié jeudi soir, précisant que tous les journalites étaient clairement identifiables.Cinq autres journalistes avaient déjà été agressés trois semaines plus tôt dans le cadre de la campagne pour ce scrutin, l’un d’eux ayant “failli perdre l’Å“il gauche”, ajoute l’ONG. Un reporter de la chaîne de télévision privée NTV Uganda a notamment raconté s’être vu confisquer le 13 mars, avec deux autres journalistes, leur matériel ainsi que leurs chaussures et montres, avant d’être frappés dans un véhicule aux fenêtres couvertes pendant plus d’une heure. “Ils nous ont demandé de nous allonger dans la camionnette, puis de faire semblant de dormir, de ronfler. Ils nous ont forcés à compter jusqu’à 15 et nous ont frappés à chaque chiffre” prononcé, a témoigné Raymond Tamale, de NTV.Au total, au moins dix journalistes ont dû être hôpitalisés le 13 mars, déplore RSF.Le porte-parole de l’armée Chris Magezi a affirmé dans un communiqué que ces violences résultaient “d’une incompréhension et d’une mauvaise coordination”, les journalistes ayant “probablement été confondus avec des partisans violents.”L’Ouganda occupait la 128e position sur 180 pays du classement RSF de la liberté de la presse en 2024.”Un tel traitement (…) est inacceptable”, dénonce Sadibou Marong, directeur de RSF pour l’Afrique subsaharienne. A un an de la présidentielle ougandaise, “il est essentiel que les journalistes puissent travailler en toute sécurité”, souligne-t-il.L’ONU et plusieurs organisations de défense des droits humains ont exprimé leur inquiétude concernant la répression de l’opposition en Ouganda à l’approche de l’élection présidentielle de 2026.A Kawempe North, le candidat soutenu par le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986, a perdu l’élection partielle face à celui du parti rival, de l’opposant et ancien chanteur de reggae Bobi Wine.

“Raconter mon histoire avec mes mots”: Gisèle Pelicot va publier ses mémoires

La Française Gisèle Pelicot, devenue un symbole des victimes de viols après un procès historique contre son ex-mari qui l’avait droguée afin de la faire violer par des inconnus, va publier ses mémoires, a annoncé jeudi son éditeur britannique.Cet éditeur, The Bodley Head (groupe Penguin), donne dans un communiqué le titre en anglais, “A Hymn to Life” (“Un hymne à la vie”). Le livre doit paraître le 27 janvier 2026, et en vingt langues.Flammarion, en France, a précisé vendredi qu’il publierait le livre le 28 janvier, sans donner de titre français.”Je suis immensément reconnaissante du soutien extraordinaire que j’ai reçu depuis le début du procès”, a déclaré Gisèle Pelicot, citée dans le communiqué des maisons d’édition.”Aujourd’hui, je souhaite raconter mon histoire avec mes propres mots. En partageant ce récit, j’espère transmettre un message d’espoir et de courage à tous ceux qui traversent des épreuves difficiles au cours de leur existence. En espérant qu’ils ne ressentent jamais de honte”, a-t-elle poursuivi. L’ouvrage est actuellement écrit en collaboration avec la journaliste et romancière Judith Perrignon, a précisé Flammarion.Gisèle Pelicot, droguée et violée pendant des années par son mari et des dizaines d’hommes que ce dernier recrutait sur internet, est devenue une icône féministe au cours du procès des viols de Mazan (sud-est de la France) qui s’est tenu entre septembre et décembre 2024 et a connu un retentissement mondial.Gisèle Pelicot a refusé que le procès de ses violeurs se déroule à huis clos, pour que “la honte” change de camp.Son ex-mari Dominique Pelicot a été condamné en décembre à 20 ans de réclusion criminelle. Il n’a pas fait appel. Ses 50 co-accusés, reconnus pour la plupart coupables de viols, âgés de 27 à 74 ans, ont été condamnés à des peines s’échelonnant entre trois ans de prison dont deux avec sursis, et 15 ans de réclusion criminelle. Certains ont fait appel.En décembre, les mémoires de Caroline Darian, la fille de Gisèle Pelicot, “I’ll Never Call Him Dad Again” ont été publiées en langue anglaise. La version française “Et j’ai cessé de t’appeler papa” avait été publiée en français en 2022.

Iran’s Khamenei says US threats ‘will get them nowhere’

Iran’s supreme leader said on Friday that US threats against his country “will get them nowhere”, after President Donald Trump warned of possible military action against the Islamic republic.”The Americans should know threats will get them nowhere when confronting Iran,” Ayatollah Ali Khamenei said in his live annual televised speech marking Nowruz, the Persian New Year.He said Americans “and others should know that if they do anything malign to the Iranian nation, they will get a hard slap”.On March 7, Trump said he had written to Khamenei, urging negotiations with Tehran over its nuclear programme and warning of potential military action if it refuses.On Thursday, Foreign Minister Abbas Araghchi said the letter was “more of a threat”, but also said it appeared to offer opportunities.Araghchi added that Tehran is weighing its response which will be issued in the coming days.On Wednesday, US news website Axios, citing a US official and other sources, reported that Trump’s letter set a “two-month deadline for reaching a new nuclear deal”.It did not specify a start or end date of the two-month period.Khamenei has previously dismissed Trump’s overtures for talks, accusing the US president of attempting to deceive global public opinion by portraying the United States as willing to negotiate and Iran as unwilling to engage.Trump, who began his second term in January, has reinstated his policy of “maximum pressure” against Tehran.During his first term, he unilaterally withdrew the United States in 2018 from the landmark nuclear deal between Iran and world powers and reimposed sweeping economic sanctions on Tehran.Iran initially adhered to the deal for a year after Trump’s withdrawal but then started scaling back its own commitments, increasing uranium enrichment levels up to 60 percent. The current level far exceeds the 3.67 percent limit set under the deal, and is much closer to the 90 percent threshold required for weapons-grade material.Efforts to revive the nuclear deal have so far failed.Tehran accuses Trump of contradictory approaches, and has repeatedly ruled out direct talks with Washington under pressure.Iran “definitely will not negotiate directly while facing pressure, threats, and increased sanctions,” Araghchi said on Thursday.

Dans les Yvelines, des chalets flottants menacés de destruction

Avec ses chalets flottants, l’étang de la Galiotte a de faux airs de lac canadien. C’est pourtant dans les Yvelines, à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Paris, que se nichent ces pittoresques bungalows, menacés de destruction.Le conseil départemental, propriétaire du terrain, a donné aux occupants des cabines jusqu’au 31 décembre pour les démanteler, jugeant qu’elles mettaient en péril la biodiversité et l’accessibilité du site.”On a constaté une détérioration de la berge”, explique Sophie Danlos, directrice de l’environnement pour le département.Dans un récent rapport environnemental sur le parc du Peuple de l’Herbe, qui abrite l’étang, l’agence Fox Consulting note que “la présence de nombreux cabanons […] est assez préjudiciable à l’expansion et à la présence pérenne des espèces floristiques et faunistiques”.”C’est un espace public qui a été progressivement privatisé avec la construction de murs de soutènement, de jardins privés, de clôtures”, avance également Mme Danlos.Carrière de sable désaffectée, le site d’une vingtaine d’hectares a été transformé en étang, alimenté par les eaux de la Seine mitoyenne et les nappes phréatiques. Dans les années 1960, d’anciens ouvriers de la carrière ont eu l’idée d’y bâtir des cabanons de pêche.Soutenus par des flotteurs ou des bouées, les chalets se sont sophistiqués au fil du temps pour devenir des lieux de villégiature prisés car proches de la capitale. On en dénombre aujourd’hui 37, sur la rive sud de l’étang.- “Havre de paix” -“C’est un havre de paix, un antidote contre le stress”, s’émerveille Alain Chambard, occupant d’un cabanon depuis une dizaine d’années, d’où il contemple bernaches et cygnes posés sur l’étang.”On ne peut pas s’attendre à un tel lieu à 30 km de Paris”, ajoute cet architecte de formation qui a acquis son chalet pour 30.000 euros et en a déboursé autant pour l’entretien et la rénovation.En découvrant le site, “on a eu l’impression d’avoir poussé une porte comme dans +Alice au Pays des Merveilles+”, se rappelle pour sa part Cécile Briard, jeune retraitée et propriétaire avec son mari d’une cabine depuis 2013.L’association de la Galiotte, dont la pétition pour sauver les chalets a recueilli près de 4.000 signatures, insiste sur la valeur patrimoniale des constructions.”C’est un très bel exemple d’architecture populaire avec un ensemble de maisons disparates, qui ont chacune leur caractère”, décrit son président, Emmanuel Soyer.Les occupants mettent aussi en avant la faible empreinte carbone de leurs habitations qui tirent leur énergie de panneaux solaires et d’éoliennes, sont équipées de toilettes sèches et consomment peu d’eau.Le profil socioprofessionnel des propriétaires est quant à lui très divers, assure M. Soyer: “Il y a aussi bien des ouvriers moldaves, attirés par le côté datcha de ces maisons en bois, que des cadres et des directeurs de laboratoire”.- Renaturation -Après l’enlèvement des chalets, le département souhaite renaturer la berge, indique Sophie Danlos. “On aura des plantations d’espèces adaptées pour maintenir les talus et profiter au développement de la biodiversité.”Des platelages (structures en planches) et des pontons d’observation doivent en outre permettre au public de “reprendre possession de cet espace” et doper la fréquentation du parc qui accueille déjà 600.000 visiteurs par an.Pour éviter le démantèlement, les occupants espèrent trouver un compromis.”On pourrait libérer les berges de l’occupation humaine en enlevant les appentis, pour la plupart en bois, tout en conservant les chalets qui ne gênent personne puisqu’ils sont sur l’eau”, suggère Emmanuel Soyer.L’association a aussi proposé de développer un projet éducatif et culturel en partenariat avec le conseil départemental.Mais le dialogue est rompu depuis fin 2022, le département reprochant la dégradation de l’état des parcelles.S’il reconnaît certains “comportements répréhensibles”, M. Soyer assure qu’il s’agit d’incidents isolés et que les cabanons sont bien entretenus.Face à la fermeté de la collectivité, les recours semblent toutefois limités. Les propriétaires des chalets ont en effet signé avec le département des conventions d’occupation de trois ans qui ne seront pas renouvelées en 2026.Certains d’entre eux anticipent, avec tristesse et amertume, la disparition imminente de leurs bungalows. “Si vous enlevez les cabanes, c’est juste un étang ordinaire”, soupire Alain Chambard.