Chlordécone: l’Etat doit indemniser les victimes démontrant un préjudice d’anxiété
L’Etat doit indemniser les victimes démontrant un préjudice moral d’anxiété pour avoir été exposées au chlordécone, un pesticide utilisé en Guadeloupe et Martinique ayant massivement pollué les sols et l’eau, a tranché mardi la cour administrative d’appel de Paris.Saisie par près de 1.300 plaignants, la cour a estimé dans un arrêt que “l’Etat a commis des fautes en accordant des autorisations de vente d’insecticides à base de chlordécone, en permettant leur usage prolongé, en manquant de diligence pour évaluer la pollution liée à cet usage, y mettre fin, en mesurer les conséquences et informer la population touchée”. En conséquence, il “doit réparer, lorsqu’il est démontré, le préjudice moral d’anxiété des personnes durablement exposées à cette pollution”.Le chlordécone, un pesticide interdit en France en 1990 mais qui a continué à être autorisé dans les bananeraies des deux îles par dérogation ministérielle jusqu’en 1993, a provoqué une pollution importante et durable des sols, des nappes phréatiques et des milieux marins.Plus de 90% de la population adulte en Guadeloupe et Martinique est contaminée par le chlordécone, selon Santé publique France, et les hommes présentent un taux d’incidence du cancer de la prostate parmi les plus élevés au monde.Le tribunal administratif de Paris avait déjà reconnu, en 2022, les “négligences fautives” des autorités, mais avait rejeté les demandes d’indemnisation pour préjudice d’anxiété, faute d’éléments suffisamment circonstanciés à ses yeux.La cour administrative d’appel est allée plus loin, estimant que “pour une dizaine de personnes”, les éléments apportés (analyses sanguines et études environnementales) permettaient d’établir une “exposition effective à la pollution des sols, des eaux ou de la chaîne alimentaire” et un risque élevé de développer une pathologie grave.”Dans ces seuls cas, elle condamne l’Etat à réparer le préjudice d’anxiété qui résulte de la conscience de courir un risque élevé de développer une pathologie grave”, dit la cour, qui ajoute que “la seule invocation d’une exposition au chlordécone” ne permet pas de justifier un tel préjudice.Me Christophe Lèguevaques, un avocat de parties civiles, a salué une “victoire” qui “crée un précédent”, mais a regretté la décision de la cour de n’indemniser qu’une dizaine de personnes sur les 1.286 plaignants.”De ce point de vue, cette décision est décevante. En discriminant les hommes et les femmes, les adultes et les enfants, la Cour ne tient pas compte des effets avérés du chlordécone sur la santé publique”, a-t-il relevé dans un communiqué.
La France doit lutter “en même temps” contre “les menaces géopolitiques” et “terroristes”, dit Macron
Emmanuel Macron a affirmé mardi que la France devait lutter “en même temps” contre “les menaces géopolitiques” et contre “les menaces sur son sol projetées par les terroristes”, rejetant les accusations de certains opposants qui l’accusent d’exagérer la menace représentée par la Russie.”J’entendais dans les débats ces derniers jours des gens qui, en quelque sorte, remettaient en cause la menace géopolitique. Le président de la République inventerait la menace russe”, a dit le chef de l’Etat lors du lancement du futur siège de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Saint-Ouen, près de Paris.”Ces gens là n’ont pas suivi l’actualité, manifestement”, a-t-il taclé.Alors qu’Emmanuel Macron a, selon ses propres mots, “sonné le tocsin” ces dernières semaines sur la “menace russe”, qui selon lui “nous touche” déjà , la leader du Rassemblement national Marine Le Pen a estimé la semaine dernière que “la première des menaces pour la France” n’était pas Moscou mais “le fondamentalisme islamiste”.”Si au bout de trois ans, la Russie a du mal à avancer en Ukraine, il y a peu de chances pour qu’elle ambitionne de venir jusqu’à Paris”, a-t-elle estimé.Le président de la République a ironisé mardi, sans la nommer, sur ceux qui disent que “la vraie menace, c’est le terrorisme”, ou ont “d’autres obsessions”.”On n’a pas attendu de lutter contre la menace terroriste”, a-t-il martelé après avoir longuement défendu son bilan en la matière.Selon lui, “une grande nation, elle n’a pas à choisir, elle a à répondre”. “Et elle n’a pas à décider de lutter contre les menaces géopolitiques qui s’imposent à elle ou contre les menaces sur son sol projetées par les terroristes. Elle a à faire les deux en même temps. C’est ce que nous faisons”, a-t-il insisté.”A l’heure où l’équilibre du monde se reconfigure, où ce qu’on croyait acquis s’éloigne, et où ce qui paraissait exclu se rapproche, il nous faut en effet défendre ces valeurs indéfectibles de notre République”, a poursuivi Emmanuel Macron. “Parce que nous n’avons aucunement envie de subir. Nous voulons choisir le destin qui est le nôtre”, a-t-il plaidé, invoquant un “droit” à “la vie tranquille”.
La France doit lutter “en même temps” contre “les menaces géopolitiques” et “terroristes”, dit Macron
Emmanuel Macron a affirmé mardi que la France devait lutter “en même temps” contre “les menaces géopolitiques” et contre “les menaces sur son sol projetées par les terroristes”, rejetant les accusations de certains opposants qui l’accusent d’exagérer la menace représentée par la Russie.”J’entendais dans les débats ces derniers jours des gens qui, en quelque sorte, remettaient en cause la menace géopolitique. Le président de la République inventerait la menace russe”, a dit le chef de l’Etat lors du lancement du futur siège de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Saint-Ouen, près de Paris.”Ces gens là n’ont pas suivi l’actualité, manifestement”, a-t-il taclé.Alors qu’Emmanuel Macron a, selon ses propres mots, “sonné le tocsin” ces dernières semaines sur la “menace russe”, qui selon lui “nous touche” déjà , la leader du Rassemblement national Marine Le Pen a estimé la semaine dernière que “la première des menaces pour la France” n’était pas Moscou mais “le fondamentalisme islamiste”.”Si au bout de trois ans, la Russie a du mal à avancer en Ukraine, il y a peu de chances pour qu’elle ambitionne de venir jusqu’à Paris”, a-t-elle estimé.Le président de la République a ironisé mardi, sans la nommer, sur ceux qui disent que “la vraie menace, c’est le terrorisme”, ou ont “d’autres obsessions”.”On n’a pas attendu de lutter contre la menace terroriste”, a-t-il martelé après avoir longuement défendu son bilan en la matière.Selon lui, “une grande nation, elle n’a pas à choisir, elle a à répondre”. “Et elle n’a pas à décider de lutter contre les menaces géopolitiques qui s’imposent à elle ou contre les menaces sur son sol projetées par les terroristes. Elle a à faire les deux en même temps. C’est ce que nous faisons”, a-t-il insisté.”A l’heure où l’équilibre du monde se reconfigure, où ce qu’on croyait acquis s’éloigne, et où ce qui paraissait exclu se rapproche, il nous faut en effet défendre ces valeurs indéfectibles de notre République”, a poursuivi Emmanuel Macron. “Parce que nous n’avons aucunement envie de subir. Nous voulons choisir le destin qui est le nôtre”, a-t-il plaidé, invoquant un “droit” à “la vie tranquille”.
Ukraine, US discuss partial truce as drones hit Russia
Ukraine said talks with the United States in Saudi Arabia were progressing “constructively” on Tuesday, with a partial ceasefire with Russia on the table hours after Kyiv conducted its largest drone attack on Moscow in three years of war.US Secretary of State Marco Rubio and Ukraine’s Foreign Minister Andriy Sybiga attended the meeting in Jeddah — which Russia was not participating in — as President Donald Trump ramped up pressure on Ukraine to end the war that began with Russia’s 2022 invasion.The talks follow President Volodymyr Zelensky’s public dressing-down at the White House, after which the United States cut off military aid, intelligence sharing and access to satellite imagery. Ukraine is hoping the offer of a partial ceasefire in the sky and at sea will persuade Washington to restore the assistance.”We are ready to do everything to achieve peace,” Ukrainian presidency chief of staff Andriy Yermak told reporters as he entered Tuesday’s meeting at a luxury hotel.A Ukrainian official, who requested anonymity, later told AFP the talks were “going OK, a lot of questions have been discussed”.Kyiv said the “largest drone attack in history”, in which hundreds of drones slammed into Moscow and other areas overnight, was intended to push Russian President Vladimir Putin to agree to the aerial and naval ceasefire.”This is an additional signal to Putin that he should also be interested in a ceasefire in the air,” said Andriy Kovalenko, a national security council official responsible for countering disinformation.Three people were killed in the attack, which both sides said was the biggest so far on Moscow. Russia’s army said it intercepted 337 drones around the country.- Minerals deal -Zelensky, who met Saudi Arabia’s de facto ruler in Jeddah on Monday, left the White House late last month without signing an agreement pushed by Trump that would give the US control over Ukrainian mineral resources.Zelensky has said he is still willing to sign, although Rubio said it would not be the focus of Tuesday’s meeting.Rubio, who is accompanied by national security advisor Mike Waltz, said the aid suspension was “something I hope we can resolve” in the talks.”Hopefully, we’ll have a good meeting and good news to report,” Rubio said.Rubio said the United States had not cut off intelligence for defensive operations.”The meeting with the US team started very constructively, we continue our work,” Yermak said on social media Tuesday. Asked whether the overnight drone attack could derail peace talks, Kremlin spokesperson Dmitri Peskov said: “There are no (peace) negotiations yet, so there is nothing to disrupt here.” He also declined earlier to comment on Russia’s stance on the proposed partial ceasefire.”It is absolutely impossible to talk about positions yet,” he said. “The Americans will find out only today, as they themselves say, from Ukraine to what extent Ukraine is ready for peace.”For its part, Russia has escalated strikes on Ukrainian infrastructure, and said it had retaken 12 settlements in its Kursk region that Ukraine had captured in a bid for bargaining leverage.- Rubio seeks ‘concessions’ -In the infamous White House meeting last month, Zelensky refused to bite his tongue in the face of criticism from Vice President JD Vance, with the Ukrainian leader questioning why his country should trust promises from Russia.He has since written a repentant letter to Trump.Faced with Washington’s pressure, Ukraine will lay out its support for a limited ceasefire in the sky and at sea, a Ukrainian official told AFP on Monday.Rubio signalled that the Trump administration would likely be pleased by such a proposal.”I’m not saying that alone is enough, but it’s the kind of concession you would need to see in order to end the conflict,” he told reporters.”You’re not going to get a ceasefire and an end to this war unless both sides make concessions.”Rubio said he did not expect to be “drawing lines on a map” towards a final deal in the Jeddah meeting, but said he would bring ideas back to Russia.Rubio and Waltz met last month with counterparts from Russia, also in Saudi Arabia, ending a freeze in high-level contacts imposed by former president Joe Biden after Russia defied Western warnings and launched its invasion.Trump last week also threatened further sanctions against Russia to force it to the table as it carried out strikes on Ukraine.But Trump’s abrupt shift in US policy — including suggesting Ukraine was to blame for the war, and recently siding with Russia at the UN — has stunned many allies. Rubio said Monday that the United States would also object to “antagonistic” language on Russia at an upcoming gathering of Group of Seven foreign ministers.burs-sct/th/smw
Ghana scraps IMF-linked ‘nuisance’ taxesTue, 11 Mar 2025 16:18:55 GMT
Ghana’s new government on Tuesday announced it was scrapping several Covid-era taxes introduced in an effort to secure IMF financing, citing the economic hardship placed on ordinary citizens.Five taxes deemed “nuisance levies” by the current government — including a one-percent levy on mobile money transfers and a value-added tax on motor vehicle insurance — are …
Ghana scraps IMF-linked ‘nuisance’ taxesTue, 11 Mar 2025 16:18:55 GMT Read More »
Fashion Week de Paris: Chanel se joue des proportions
Chanel a présenté mardi, au dernier jour de la Fashion Week féminine de Paris, une collection automne-hiver 2025-2026 qui se joue des proportions et des superpositions, préparée une nouvelle fois sans directeur artistique.Une veste noire en tweed à boutons-bijoux se transforme ainsi en longue robe manteau, une grande chemise en popeline descend jusqu’aux chevilles, sur un ensemble tailleur-short rose est superposé une fine veste et une longue jupe transparentes de la même couleur.Un jeu de superposition et transparence qui se retrouve beaucoup dans ce nouveau vestiaire pour twister les iconiques tailleurs de la marque française de luxe.Les jeux d’échelle se retrouvent également dans les accessoires, avec des sacs qui ressemblent à d’immenses colliers de perles, d’énormes bagues en perle et des grosses pochettes ou, à l’inverse, des micro-sacs. La griffe au double C revisite aussi certains de ses motifs fétiches, comme les noeuds, présents sur les cols et les poignets, les fleurs, qui ornent notamment un manteau en fourrure ou la poitrine d’une robe, et les perles, qui s’invitent jusque sur le talon des escarpins. Présentée comme d’habitude au centre de la nef du Grand Palais, où un monumental ruban noir serpentant jusqu’au plafond avait été installé, cette collection a été imaginée par le studio de création, dans l’attente de la prise de fonction du Franco-Belge Matthieu Blazy.Le discret et très respecté créateur a été nommé directeur artistique de l’historique maison en décembre, six mois après le brusque départ de la Française Virginie Viard, mais il ne présentera pas de collection avant la Fashion Week printemps-été de septembre.Pas de quoi rebuter les célébrités, cependant: la papesse de la mode Anna Wintour, la top Naomi Campbell, Charlotte Casiraghi, membre de la famille princière à Monaco, la chanteuse sud-africaine Tyla ou encore les actrices françaises Anna Mouglalis et Carole Bouquet étaient de la partie.- Les chaussettes de Miu Miu -La maison italienne Miu Miu a, quant à elle, mis de côte ses mini-jupes caractéristiques pour présenter une collection avec un thème prédominant: des chaussettes longues, colorées, argentées ou dorées, associées à des baskets, des bottes et des chaussures à talons.Un vestiaire qui sent bon les sixties, dans un savant mélange de couleurs vives, d’amples vestes à carreaux style bûcheron, de chemisiers bleu ciel soigneusement cintrés par des jupes longues ou des pantalons sobres.Comme beaucoup d’autres, la griffe a par ailleurs cédé à la tendance de la fausse fourrure, déclinée sur les manteaux, un boléro ou en étole.Cette semaine de la mode a été marquée par les débuts de nombreux créateurs, illustration de la valse des directeurs artistiques. Les premiers shows de l’Anglaise Sarah Burton chez Givenchy, du Belge Julian Klausner chez Dries Van Noten et du Français Haider Ackermann chez Tom Ford ont été particulièrement scrutés.Tous les regards étaient également tournés vers Dior et ce qui était peut-être le dernier défilé de l’Italienne Maria Grazia Chiuri. Le bruit court, depuis plusieurs mois, que la directrice artistique des collections femme pourrait quitter la maison française de luxe, peut-être pour Gucci.Les départs de l’Italien Sabato de Sarno de la maison italienne et de l’Anglais Kim Jones de Dior Homme n’ont fait qu’alimenter les rumeurs. Selon la presse spécialisée, LVMH cherche à confier les collections homme et femme à Jonathan Anderson, à la tête de la griffe espagnole Loewe, également propriété du géant français du luxe.Une théorie renforcée par l’absence du styliste nord-irlandais aux dernières Fashion Week homme de Milan, de Paris et de Londres en début d’année. Pour cette semaine de la mode féminine, Loewe s’est par ailleurs contentée d’une présentation plutôt qu’un défilé.Dernier mouvement en date de ce vaste mercato, l’arrivée à la tête de Carven de Mark Thomas, passé notamment par Helmut Lang. Le Britannique, qui occupait le poste de designer senior au sein de la maison française depuis 2023, succède à sa compatriote Louise Trotter, nommée chez Bottega Veneta en décembre pour remplacer… Matthieu Blazy.Les annonces devraient se poursuivre, les maisons Celine et Fendi étant toujours sans directeurs artistiques après les départs respectifs du Français Hedi Slimane et de Kim Jones. Parti de Maison Margiela en décembre, après dix ans, le Britannique John Galliano n’a, de son côté, toujours pas de point de chute.Â
Parlement européen: des Ukrainiennes et Bélarusses témoignent d’atrocités infligées par l’armée russe
“Nous luttons pour chaque valeur qui définit l’Europe” : des militantes ukrainiennes et des opposantes bélarusses, invitées pour célébrer la journée internationale des droits des femmes, ont livré mardi au Parlement européen des témoignages poignants sur leur engagement en faveur de la liberté et contre l’agression russe.Seule à la tribune face à 720 eurodéputés, à qui elle a demandé d’observer une minute de silence en hommage aux victimes ukrainiennes de la guerre, Tata Kepler a fait le récit de son action bénévole auprès des victimes de viols en Ukraine.”La plus âgée était une femme de 75 ans, violée par des soldats russes. La plus jeune était une petite fille de quatre ans, adorable”, a expliqué celle qui a été décorée par le président Volodymyr Zelensky pour son engagement. “Pour toujours je reste à Boutcha devant les personnes qui ont été assassinée à bout portant, et pour toujours je tiendrai la main d’une femme de Boutcha qui s’appelait Julia et qui criait. Son mari et son frère avaient été assassinés et des mines avaient été placées sur leurs cadavres”, a-t-elle témoigné.”Vous regardez l’actualité, vous lisez les journaux et vous pensez que vous nous comprenez. Mais moi je vous raconte toutes ces histoires pour que vous imaginiez cet enfer dans lequel vit chaque citoyen d’Ukraine”, a-t-elle conclu.Lenie Umerova, tatare originaire de Crimée, a elle raconté comment elle a été “enlevée” par l’armée russe et emprisonnée. “J’avais refusé de demander un passeport russe”, a exposé la jeune femme, veste noire sur les épaules. “Pour la Russie, cela suffisait à me classer comme ennemie”.Elle a dénoncé les “abus physiques et psychologiques”, les “interrogatoires” et la “cruauté” endurés durant ses deux années de détention. “L’histoire bégaye”, a-t-elle regretté, évoquant “l’oppression” subie par sa grand-mère face aux troupes soviétiques en 1944.”En prison j’entendais toujours la même chose : ton Ukraine ne tiendra plus très longtemps. Mais je suis ici, et l’Ukraine continue à se battre”, a-t-elle lancé, sous les applaudissements des eurodéputés.Les dissidentes bélarusses Palina Charenda-Panassiouk et Svetlana Tsikhanovskaïa ont appelé les dirigeants européens à accentuer leur appui à l’opposition au régime d’Alexandre Loukachenko.”Je vous invite à envisager le soutien au Belarus comme un investissement pour votre propre sécurité”, a insisté Svetlana Tsikhanovskaïa. “Sans un Belarus libre et indépendant, la menace de la guerre ne disparaitra pas”.”Merci pour vos paroles fortes”, a salué Roberta Metsola, présidente du Parlement européen. “Elles résonneront longtemps après cet évènement”.