EU bars Chinese firms from major state medical equipment contracts

The European Union on Friday banned Chinese firms from government medical device purchases worth more than five million euros ($5.8 million) in retaliation for limits Beijing places on access to its own market.The latest salvo in trade tensions between the 27-nation bloc and China covers a wide range of healthcare supplies, from surgical masks to X-ray machines, that represent a market worth 150 billion euros in the EU.”Our aim with these measures is to level the playing field for EU businesses,” the bloc’s trade commissioner Maros Sefcovic said. “We remain committed to dialogue with China to resolve these issues.”In response, China accused the EU of “double standards”.”The EU has always boasted that it is the most open market in the world, but in reality, it has gradually moved towards protectionism”, foreign ministry spokesman Guo Jiakun said at a regular press briefing. “Under the guise of fair competition (the EU) actually carries out unfair competition, which is a typical case of double standards.”The European Commission said in a statement the move was in “response to China’s longstanding exclusion of EU-made medical devices from Chinese government contracts.”Brussels said just under 90 percent of public procurement contracts for medical devices in China “were subject to exclusionary and discriminatory measures” against EU firms.In addition to barring Chinese firms from major state purchases, “inputs from China for successful bids” would also be limited to 50 percent, it said.Over the last three years, Brussels and Beijing have come into conflict in a number of economic sectors, including electric cars, the rail industry, solar panels and wind turbines.The decision on medical devices comes at a time of heightened trade tensions with President Donald Trump’s United States, which has imposed customs surcharges on imports from all over the world, including Europe.The EU has decided to take a tougher stance on trade in recent years, adopting a vast arsenal of legislation to better defend its businesses against unfair competition.In April 2024, the commission opened an investigation into Chinese public contracts for medical devices, the first under a new mechanism introduced by the EU in 2022 to obtain better access to overseas state purchases. China, on the other hand, accuses Europe of protectionism. After a year of negotiations, the commission, which manages trade policy on behalf of the 27 member states, said it had failed to make any progress with China.”The measure seeks to incentivise China to cease its discrimination against EU firms and EU-made medical devices and treat EU companies with the same openness as the EU does with Chinese companies and products,” Brussels said.   

Vérification de l’âge: Youporn et Pornhub réactivés en France par leur propriétaire

Les sites Youporn, Pornhub et Redtube ont été réactivés en France par leur propriétaire, après la suspension par la justice française de l’arrêté imposant aux plateformes pornographiques situées dans l’Union européenne de vérifier l’âge de leurs utilisateurs, a constaté vendredi l’AFP.La décision du tribunal administratif de Paris, qui a suspendu lundi l’arrêté dans l’attente de voir s’il était compatible avec le droit européen, “offre l’occasion de reconsidérer des approches plus efficaces”, explique un message sur la page d’accueil des trois sites, qui appartiennent à l’entreprise Aylo.Le gouvernement français a pour sa part annoncé son souhait de se pourvoir en cassation devant le Conseil d’Etat. Hébergé à Chypre, Aylo avait rendu ses sites inaccessibles début juin pour protester contre la loi française de 2024 qui oblige les éditeurs de sites X à mettre en place un système d’identification empêchant les mineurs d’y accéder, sous peine de sanctions du gendarme du numérique et de l’audiovisuel, l’Arcom, pouvant aller jusqu’au blocage. Selon la législation française, ils doivent exiger l’envoi d’une photo ou d’un document d’identité par exemple, en proposant au moins une méthode respectant le principe de double anonymat qui permet de prouver sa majorité sans divulguer son identité.Aylo, qui revendique sept millions de visiteurs quotidiens en France sur ses différentes plateformes, défend de son côté une vérification de l’âge au niveau des appareils et de leur système d’exploitation.  

Vérification de l’âge: Youporn et Pornhub réactivés en France par leur propriétaire

Les sites Youporn, Pornhub et Redtube ont été réactivés en France par leur propriétaire, après la suspension par la justice française de l’arrêté imposant aux plateformes pornographiques situées dans l’Union européenne de vérifier l’âge de leurs utilisateurs, a constaté vendredi l’AFP.La décision du tribunal administratif de Paris, qui a suspendu lundi l’arrêté dans l’attente de voir s’il était compatible avec le droit européen, “offre l’occasion de reconsidérer des approches plus efficaces”, explique un message sur la page d’accueil des trois sites, qui appartiennent à l’entreprise Aylo.Le gouvernement français a pour sa part annoncé son souhait de se pourvoir en cassation devant le Conseil d’Etat. Hébergé à Chypre, Aylo avait rendu ses sites inaccessibles début juin pour protester contre la loi française de 2024 qui oblige les éditeurs de sites X à mettre en place un système d’identification empêchant les mineurs d’y accéder, sous peine de sanctions du gendarme du numérique et de l’audiovisuel, l’Arcom, pouvant aller jusqu’au blocage. Selon la législation française, ils doivent exiger l’envoi d’une photo ou d’un document d’identité par exemple, en proposant au moins une méthode respectant le principe de double anonymat qui permet de prouver sa majorité sans divulguer son identité.Aylo, qui revendique sept millions de visiteurs quotidiens en France sur ses différentes plateformes, défend de son côté une vérification de l’âge au niveau des appareils et de leur système d’exploitation.  

Leading Rwandan opposition figure detainedFri, 20 Jun 2025 07:27:47 GMT

A leading Rwandan opposition figure and a rare  critic of President Paul Kagame’s iron-fisted rule has been arrested, the country’s investigative agency said Friday.Victoire Ingabire’s detention follows a court appearance on Thursday in the capital Kigali for questioning in connection with a trial of nine people accused of attempting to learn how to overthrow the …

Leading Rwandan opposition figure detainedFri, 20 Jun 2025 07:27:47 GMT Read More »

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Tous dans la Seine en été ? Après les JO, le pari d’une propreté durable

Baignade dans la Seine, acte II: un an après les athlètes olympiques, c’est bientôt au tour du public de plonger dans une eau que les autorités garantissent durablement dépolluée, mais dont la propreté reste soumise aux aléas climatiques.Parisiens et touristes pourront se rafraîchir à partir du 5 juillet dans trois sites aménagés sur les rives du fleuve parisien, où la maire de Paris Anne Hidalgo avait nagé un an plus tôt devant des journalistes du monde entier.Ce bain historique, trente-cinq ans après la promesse de l’édile de la capitale et futur président Jacques Chirac, marquait l’aboutissement d’années de travaux pour dépolluer la Seine et la Marne, son principal affluent.  Un chantier engagé dans les années 1990 par le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap) qui a investi plus de 9 milliards d’euros. Le “plan baignade” fut lancé dans son sillage en 2016, pour lequel l’Etat et les collectivités locales ont injecté 1,4 milliard d’euros, et que les JO ont permis d’accélérer. Objectif: limiter au maximum les rejets d’eaux usées sur le parcours du fleuve à travers la capitale dont la particularité est de disposer d’un réseau unitaire datant de l’époque d’Haussmann. Eaux usées et eaux pluviales s’y mélangent, et en cas de pluies abondantes, il n’y a pas d’autre solution que de les déverser dans la Seine, sauf à inonder les réseaux souterrains.- “Pas de Jour J” -Stations d’épuration modernisées, construction de bassins de rétention (dont celui d’Austerlitz et ses 50.000 mètres cubes de volume), raccordement au réseau d’assainissement des 255 bateaux parisiens… “Pour les JO, on avait dépollué la Seine aux trois quarts. Et l’eau était 100% bonne pour la baignade les jours de temps sec”, a expliqué à l’AFP le préfet de la région Ile-de-France Marc Guillaume.Avec les 2.000 nouveaux branchements aux réseaux d’assainissement opérés depuis, la Seine est désormais dépolluée en amont des sites parisiens à 80% de ce qui était attendu. Reste à engager les travaux en aval, dans l’optique d’ouvrir de nouveaux plans de baignade à la sortie de Paris, où les étés seront de plus en plus chauds.  Cet été, le préfet prédit “à coup sûr” un succès populaire. En tablant sur une météo plus clémente que pendant les JO, où des précipitations record avaient donné des sueurs froides aux organisateurs: sur les 11 jours programmés pour les compétitions et entraînements en eaux libres, cinq seulement ont été autorisés.”Contrairement aux JO, cet été il n’y aura pas de jour J” avec une compétition à la clé, se rassure Marc Guillaume. Des drapeaux informeront sur la pollution et “si l’eau est impropre à la baignade, celle-ci sera fermée, sans doute le lendemain d’une forte pluie”, anticipe Pierre Rabadan, adjoint aux sports à l’Hôtel de ville.”On ne jette pas une pièce en l’air, on s’appuie sur des données scientifiques”, insiste l’élu auprès de l’AFP, rappelant qu’aucun athlète n’avait été incommodé après avoir plongé.L’eau sera analysée chaque jour par des sondes en instantané et des prélèvements en culture de l’Agence régionale de santé (ARS) pour connaître le taux de bactéries fécales Escherichia coli (E. coli) et entérocoques. Ces deux marqueurs de pollution bactériologique ne devront pas dépasser respectivement les 1.000 et 400 unités formant colonie (UFC)/100 ml, des seuils un peu plus élevés que pour les athlètes vu que le public s’attardera davantage dans l’eau.- Marqueurs “insuffisants” -Mais pour France Nature Environnement Ile-de-France, ces relevés restent “insuffisants”. Le Seine contient notamment “de nombreux virus pour lesquels il n’y a pas d’indicateur”, regrette Michel Riottot, président d’honneur de l’association.Hépatite, gastro-entérite, affections cutanées… Autant de pathologies qu’on risque d’attraper en avalant trop d’eau contaminée, s’inquiète auprès de l’AFP cet ancien ingénieur de recherche du CNRS qui a travaillé sur le microbiote intestinal.Il déplore aussi “l’absence de mesure de pollution chimique”.”S’il y a une pollution ponctuelle en amont, on est informé, donc on pourra prendre les mesures nécessaires”, rétorque Pierre Rabadan, faisant aussi valoir que le fleuve est aujourd’hui débarrassé de la plupart des polluants industriels. Preuve que la qualité de l’eau s’est améliorée: on recense 36 espèces de poissons en Seine contre seulement 4 en 1970, pointe le Siaap.Une avancée que la ville de Paris voudrait sanctuariser en dotant le fleuve d’une personnalité juridique, dans le cadre d’un mouvement mondial de reconnaissance de la nature qui a déjà attribué ce droit à plusieurs sites comme le fleuve Whanganui en Nouvelle-Zélande.

Tous dans la Seine en été ? Après les JO, le pari d’une propreté durable

Baignade dans la Seine, acte II: un an après les athlètes olympiques, c’est bientôt au tour du public de plonger dans une eau que les autorités garantissent durablement dépolluée, mais dont la propreté reste soumise aux aléas climatiques.Parisiens et touristes pourront se rafraîchir à partir du 5 juillet dans trois sites aménagés sur les rives du fleuve parisien, où la maire de Paris Anne Hidalgo avait nagé un an plus tôt devant des journalistes du monde entier.Ce bain historique, trente-cinq ans après la promesse de l’édile de la capitale et futur président Jacques Chirac, marquait l’aboutissement d’années de travaux pour dépolluer la Seine et la Marne, son principal affluent.  Un chantier engagé dans les années 1990 par le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap) qui a investi plus de 9 milliards d’euros. Le “plan baignade” fut lancé dans son sillage en 2016, pour lequel l’Etat et les collectivités locales ont injecté 1,4 milliard d’euros, et que les JO ont permis d’accélérer. Objectif: limiter au maximum les rejets d’eaux usées sur le parcours du fleuve à travers la capitale dont la particularité est de disposer d’un réseau unitaire datant de l’époque d’Haussmann. Eaux usées et eaux pluviales s’y mélangent, et en cas de pluies abondantes, il n’y a pas d’autre solution que de les déverser dans la Seine, sauf à inonder les réseaux souterrains.- “Pas de Jour J” -Stations d’épuration modernisées, construction de bassins de rétention (dont celui d’Austerlitz et ses 50.000 mètres cubes de volume), raccordement au réseau d’assainissement des 255 bateaux parisiens… “Pour les JO, on avait dépollué la Seine aux trois quarts. Et l’eau était 100% bonne pour la baignade les jours de temps sec”, a expliqué à l’AFP le préfet de la région Ile-de-France Marc Guillaume.Avec les 2.000 nouveaux branchements aux réseaux d’assainissement opérés depuis, la Seine est désormais dépolluée en amont des sites parisiens à 80% de ce qui était attendu. Reste à engager les travaux en aval, dans l’optique d’ouvrir de nouveaux plans de baignade à la sortie de Paris, où les étés seront de plus en plus chauds.  Cet été, le préfet prédit “à coup sûr” un succès populaire. En tablant sur une météo plus clémente que pendant les JO, où des précipitations record avaient donné des sueurs froides aux organisateurs: sur les 11 jours programmés pour les compétitions et entraînements en eaux libres, cinq seulement ont été autorisés.”Contrairement aux JO, cet été il n’y aura pas de jour J” avec une compétition à la clé, se rassure Marc Guillaume. Des drapeaux informeront sur la pollution et “si l’eau est impropre à la baignade, celle-ci sera fermée, sans doute le lendemain d’une forte pluie”, anticipe Pierre Rabadan, adjoint aux sports à l’Hôtel de ville.”On ne jette pas une pièce en l’air, on s’appuie sur des données scientifiques”, insiste l’élu auprès de l’AFP, rappelant qu’aucun athlète n’avait été incommodé après avoir plongé.L’eau sera analysée chaque jour par des sondes en instantané et des prélèvements en culture de l’Agence régionale de santé (ARS) pour connaître le taux de bactéries fécales Escherichia coli (E. coli) et entérocoques. Ces deux marqueurs de pollution bactériologique ne devront pas dépasser respectivement les 1.000 et 400 unités formant colonie (UFC)/100 ml, des seuils un peu plus élevés que pour les athlètes vu que le public s’attardera davantage dans l’eau.- Marqueurs “insuffisants” -Mais pour France Nature Environnement Ile-de-France, ces relevés restent “insuffisants”. Le Seine contient notamment “de nombreux virus pour lesquels il n’y a pas d’indicateur”, regrette Michel Riottot, président d’honneur de l’association.Hépatite, gastro-entérite, affections cutanées… Autant de pathologies qu’on risque d’attraper en avalant trop d’eau contaminée, s’inquiète auprès de l’AFP cet ancien ingénieur de recherche du CNRS qui a travaillé sur le microbiote intestinal.Il déplore aussi “l’absence de mesure de pollution chimique”.”S’il y a une pollution ponctuelle en amont, on est informé, donc on pourra prendre les mesures nécessaires”, rétorque Pierre Rabadan, faisant aussi valoir que le fleuve est aujourd’hui débarrassé de la plupart des polluants industriels. Preuve que la qualité de l’eau s’est améliorée: on recense 36 espèces de poissons en Seine contre seulement 4 en 1970, pointe le Siaap.Une avancée que la ville de Paris voudrait sanctuariser en dotant le fleuve d’une personnalité juridique, dans le cadre d’un mouvement mondial de reconnaissance de la nature qui a déjà attribué ce droit à plusieurs sites comme le fleuve Whanganui en Nouvelle-Zélande.

Les Bourses européennes ouvrent dans le vert

Les Bourses européennes ont ouvert en hausse vendredi, soulagées après la décision de Donald Trump de temporiser sur une éventuelle participation américaine dans la guerre Iran-Israël.Dans les premiers échanges, la Bourse de Paris prenait 0,46%, Francfort +0,66%, Londres +0,33%, et Milan +0,36%.

Monsters and memes: Labubu dolls ride China soft-power wave

Small, fuzzy and baring sharp teeth, Chinese toymaker Pop Mart’s Labubu monster dolls have taken over the world, drawing excited crowds at international stores and adorning the handbags of celebrities such as Rihanna and Cher.Beijing-based Pop Mart is part of a rising tide of Chinese cultural exports gaining traction abroad, furry ambassadors of a “cool” China even in places associated more with negative public opinion of Beijing such as Europe and North America.Labubus, which typically sell for around $40, are released in limited quantities and sold in “blind boxes”, meaning buyers don’t know the exact model they will receive.The dolls are “a bit quirky and ugly and very inclusive, so people can relate”, interior designer Lucy Shitova told AFP at a Pop Mart store in London, where in-person sales of Labubus have been suspended over fears that fans could turn violent in their quest for the toys.”Now everything goes viral… because of social media. And yes, it’s cool. It’s different.”While neighbouring East Asian countries South Korea and Japan are globally recognised for their high-end fashion, cinema and pop songs, China’s heavily censored film and music industry have struggled to attract international audiences, and the country’s best-known clothing exporter is fast-fashion website Shein.There have been few success stories of Chinese companies selling upmarket goods under their own brands, faced with stereotypes of cheap and low-quality products.”It has been hard for the world’s consumers to perceive China as a brand-creating nation,” the University of Maryland’s Fan Yang told AFP.Pop Mart has bucked the trend, spawning copycats dubbed by social media users as “lafufus” and detailed YouTube videos on how to verify a doll’s authenticity. Brands such as designer womenswear label Shushu/Tong, Shanghai-based Marchen and Beijing-based handbag maker Songmont have also gained recognition abroad over the past few years.”It might just be a matter of time before even more Chinese brands become globally recognisable,” Yang said.- TikTok effect -Through viral exports like Labubu, China is “undergoing a soft-power shift where its products and image are increasingly cool among young Westerners,” said Allison Malmsten, an analyst at China-based Daxue Consulting. Malmsten said she believed social media could boost China’s global image “similar to that of Japan in the 80s to 2010s with Pokemon and Nintendo”.Video app TikTok  —  designed by China’s ByteDance — paved the way for Labubu’s ascent when it became the first Chinese-branded product to be indispensable for young people internationally.Joshua Kurlantzick from the Council on Foreign Relations (CFR) told AFP that “TikTok probably played a role in changing consumers’ minds about China”.TikTok, which is officially blocked within China but still accessible with VPN software, has over one billion users, including what the company says is nearly half of the US population.The app has become a focus of national security fears in the United States, with a proposed ban seeing American TikTok users flock to another Chinese app, Rednote, where they were welcomed as digital “refugees”.A conduit for Chinese social media memes and fashion trends, TikTok hosts over 1.7 million videos about Labubu.- Labubumania -Cultural exports can “improve the image of China as a place that has companies that can produce globally attractive goods or services”, CFR’s Kurlantzick told AFP.”I don’t know how much, if at all, this impacts images of China’s state or government,” he said, pointing to how South Korea’s undeniable soft power has not translated into similar levels of political might.While plush toys alone might not translate into actual power, the United States’ chaotic global image under the Trump presidency could benefit perceptions of China, the University of Maryland’s Yang said.”The connection many make between the seeming decline of US soft power and the potential rise in China’s global image may reflect how deeply intertwined the two countries are in the minds of people whose lives are impacted by both simultaneously,” she told AFP.At the very least, Labubu’s charms appear to be promoting interest in China among the younger generation.”It’s like a virus. Everyone just wants it,” Kazakhstani mother-of-three Anelya Batalova told AFP at Pop Mart’s theme park in Beijing. Qatari Maryam Hammadi, 11, posed for photos in front of a giant Labubu statue.”In our country, they love Labubu,” she said. “So, when they realise that the origin of Labubu is in China, they’d like to come to see the different types of Labubu in China.”