US trades barbs with Canada as steel, aluminum tariffs loom

The United States and Canada traded angry tariff warnings Tuesday, as trade tensions soared and President Donald Trump doubled down on provocative plans to annex his country’s northern neighbor.Despite a compromise arising after a day of threats and counter-threats, Canada and other US trading partners will still be hit at midnight by a blanket 25 percent levy imposed on all steel and aluminum imports.The move comes with “no exceptions or exemptions,” a White House spokesperson told AFP.The steel and aluminum levies threaten to affect everything from electronics to vehicles and construction equipment — and have manufacturers scrambling to find cost-effective domestic suppliers.Early Tuesday, Trump threatened to double the rate on imports of both metals from Canada, after its province of Ontario imposed an electricity surcharge on three US states.Canadian Prime Minister-elect Mark Carney, in turn, vowed that his incoming administration would hit back with “maximum impact.”But Ontario has since halted the surcharge after talks with Washington.Wall Street stocks slumped for a second straight day after major indexes fluctuated over Trump’s tariff threats.Ontario Premier Doug Ford, US Commerce Secretary Howard Lutnick and US Trade Representative Jamieson Greer are set to meet in Washington Thursday “to discuss a renewed USMCA ahead of the April 2 reciprocal tariff deadline,” according to a US-Canada joint statement.This refers to a North American trade pact that also includes Mexico.Canada, historically among the closest US allies, had been facing aggressive rhetoric and found itself the target of Trump’s ire on trade — alongside unprecedented questioning of and threats to its sovereignty.Canada supplies half of US aluminum imports and 20 percent of US steel imports, says industry consultant EY-Parthenon.- Electricity, autos -On Tuesday, Trump said on Truth Social that if Canada uses electricity as a bargaining chip “they will pay a financial price for this so big that it will be read about in History Books for many years to come!”He also threatened to boost tariffs on cars from April 2, saying this would “essentially, permanently shut down the automobile manufacturing business in Canada.”Trump has vowed reciprocal levies as soon as April 2 to remedy trade practices Washington deems unfair, raising the potential for more products and trading partners to be specifically targeted.Reacting to Trump’s announcement on MSNBC, Ontario Premier Doug Ford said the US president made “an unprovoked attack on our country, on families, on jobs.”Trump, meanwhile, backed up his tariff threats by saying again that Canada should be absorbed.The “only thing that makes sense” is for Canada to join the United States as a 51st state, he said. “This would make all Tariffs, and everything else, totally disappear.”- Costs and opportunities -Former US Treasury Secretary Larry Summers said on X that Trump’s tariff threats on Canada would be “a self-inflicted wound to the US economy that we cannot afford, at a moment when recession risks are rising.”Trump, however, played down fears over the economy, saying he does not see a recession coming while dismissing losses on Wall Street.If some companies were bracing for a damaging period of higher production costs, others sensed an opportunity.Drew Greenblatt, owner of Baltimore-based metal product manufacturer Marlin Steel, said incoming levies on imported steel have already boosted his new orders.”We only use American steel, so we’re thrilled with the tariffs,” he told AFP, adding that these helped him gain an edge over a competitor.For Robert Actis, whose firm makes stucco netting used in construction, the expanded scope of incoming levies is a relief.Currently, a business like his imports wire for manufacturing, facing added tariff costs. But foreign-made finished products could enter the US market.With incoming levies covering a range of finished metal products too, Actis said this levels the playing field.But higher import costs will likely ripple through the economy.A major US maker of steel products warned American steel prices would surge to match the elevated costs of foreign goods.Supply constraints nudge prices up too, making items like nails, for example, more expensive as much of their cost is in original steel.Purchasers in industries like homebuilding would therefore end up spending more and could pass costs to consumers, making homes less affordable.

Chanel et Saint Laurent se jouent des proportions pour clore la Fashion Week

Les ténors du luxe français Chanel et Saint Laurent ont clos mardi la Fashion Week féminine de Paris avec des collections automne-hiver qui se jouent des proportions, dans un contexte toujours marqué par la valse des directeurs artistiques.Chanel a ouvert la bal dans la matinée avec un défilé organisé comme d’habitude au centre de la nef du Grand Palais, où un monumental ruban noir serpentant jusqu’au plafond avait été installé.Une veste noire en tweed à boutons-bijoux se transforme en longue robe manteau, une grande chemise en popeline descend jusqu’aux chevilles, et sur un ensemble tailleur-short rose sont superposées une fine veste et une longue jupe transparentes de la même couleur. Un jeu de couches multiples et transparence qui se retrouve beaucoup dans ce nouveau vestiaire pour twister les iconiques tailleurs de la marque française de luxe.Les jeux d’échelle se retrouvent également dans les accessoires, avec des sacs qui ressemblent à d’immenses colliers de perles, d’énormes bagues en perle et des grosses pochettes ou, à l’inverse, des micro-sacs. Cette nouvelle collection a été imaginée par le studio de création dans l’attente de la prise de fonction du Franco-Belge Matthieu Blazy. Le discret et très respecté créateur a été nommé directeur artistique de Chanel en décembre, six mois après le brusque départ de la Française Virginie Viard. Mais il ne présentera pas de collection avant la Fashion Week printemps-été de septembre.Pas de quoi rebuter les célébrités, cependant: la papesse de la mode Anna Wintour, la top Naomi Campbell, Charlotte Casiraghi, membre de la famille princière à Monaco, la chanteuse sud-africaine Tyla ou encore les actrices françaises Anna Mouglalis et Carole Bouquet étaient de la partie.- Jeux de volume chez Saint Laurent -Dans la soirée, Saint Laurent a présenté une collection aux traits minimalistes, avec un gros jeu sur les volumes et très inspirée des années 1980, devant un parterre de stars, dont les actrices Catherine Deneuve, Virginie Efira et Charlotte Gainsbourg, la star américano-cubaine oscarisée Zoe Saldaña ou encore le réalisateur espagnol Pedro Almodóvar.Que ce soit sur les manteaux, les blouses ou les robes courtes, les épaules sont très larges et le col haut, dans des couleurs très vives, orange, rose ou encore ocre. Les blouses en soie ou en plastique s’associent à des jupes crayons et d’imposantes boucles d’oreille.Pour le soir, le créateur belge Anthony Vaccarello a imaginé des robes nuisettes à la jupe crinoline portée très bas sur les hanches. Pour la version jour, elles se revêtent avec des pulls à col roulé et de gros blousons de cuir.La maison italienne Miu Miu a, quant à elle, mis de côté ses mini-jupes caractéristiques pour présenter une collection avec un thème prédominant: des chaussettes longues, colorées, argentées ou dorées, associées à des baskets, des bottes et des chaussures à talons.Un vestiaire qui sent bon les sixties, dans un savant mélange de tons vifs, d’amples vestes à carreaux style bûcheron, de chemisiers bleu ciel soigneusement cintrés par des jupes longues ou des pantalons sobres.- Du changement chez Dior? -Cette semaine de la mode a été marquée par les débuts de nombreux créateurs, illustration du jeu de chaises musicales des directeurs artistiques. Les premiers shows de l’Anglaise Sarah Burton chez Givenchy, du Belge Julian Klausner chez Dries Van Noten et du Français Haider Ackermann chez Tom Ford ont été particulièrement scrutés.Tous les regards étaient également tournés vers Dior et ce qui était peut-être le dernier défilé de l’Italienne Maria Grazia Chiuri. Le bruit court, depuis plusieurs mois, que la directrice artistique des collections femme pourrait partir, peut-être pour Gucci.Selon la presse spécialisée, LVMH cherche à confier les rênes de la maison française à Jonathan Anderson, à la tête de la griffe espagnole Loewe, également propriété du géant français du luxe.Dernier mouvement en date de ce vaste mercato, l’arrivée à la tête de Carven de Mark Thomas, passé notamment par Helmut Lang. Le Britannique, qui occupait le poste de designer senior au sein de la maison française depuis 2023, succède à sa compatriote Louise Trotter, nommée chez Bottega Veneta en décembre pour remplacer… Matthieu Blazy.Les annonces devraient se poursuivre, les maisons Celine et Fendi étant toujours l’une comme l’autre sans directeur artistique, après les départs respectifs du Français Hedi Slimane et de Kim Jones.Parti de Maison Margiela en décembre, après dix ans, le Britannique John Galliano n’a toujours pas de point de chute. 

Rejets toxiques à Mourenx: Sanofi, mis en examen pour une partie des faits, conteste les infractions

Une victoire d’étape en demi-teinte pour les plaignants: Sanofi a été mis en examen fin 2024 pour plusieurs infractions qu’il conteste dans l’enquête sur les rejets toxiques de son usine à Mourenx (Pyrénées-Atlantiques) mais échappe à ce stade au principal grief, la mise en danger d’autrui.Le parquet de Paris a confirmé l’information obtenue par l’AFP de source proche du dossier selon laquelle Sanofi a été mise en examen le 28 novembre pour un délit, obstacle à un contrôle administratif environnemental, et pour deux infractions contraventionnelles, exploitation irrégulière d’une installation ainsi que non-déclaration d’accident ou d’incident industriel.Dans le détail, le groupe se voit ainsi reprocher, selon le parquet, de n’avoir, entre 2012 et 2018, pas respecté les limites d’émission du bromopropane, un composé organique volatil (COV) ou encore d’avoir tardé à informer les inspecteurs de l’environnement de ces rejets de bromopropane.Sollicité par l’AFP, Sanofi a indiqué “contester” les infractions qui lui valent sa mise en examen et avoir “mis en avant toute une série d’éléments démontrant qu’il n’y a pas eu de dépassement des seuils réglementaires”.Le groupe a en revanche été placé, à ce stade, sous le statut de témoin assisté pour l’infraction la plus lourde, mise en danger d’autrui. Sanofi a avancé mardi “plusieurs études indépendantes (qui) ont conclu à une absence d’impact sanitaire lié à de possibles émissions pour les salariés et les riverains.”L’association France Nature Environnement (FNE) avait révélé ces rejets toxiques hors normes en 2018 de bromopropane et de valproate de sodium, principe actif de la Dépakine, un médicament anti-épileptique accusé d’être à l’origine de troubles neuro-développementaux chez les enfants.”Sanofi ne contrôlait pas ses trois colonnes (de l’usine), mais une seule (…). Les deux autres ont envoyé ces quantités astronomiques de polluants dans l’air”, accusait l’association.L’usine avait été mise à l’arrêt immédiatement après les révélations de FNE, avant de reprendre sa production par étapes, sous contraintes environnementales et contrôles accrus. En juin 2020, la Fédération nationale des industries chimiques CGT, le Syndicat CGT des industries chimiques Sisteron et Mourenx et l’Union locale CGT de Mourenx, Bassin de Lacq-Orthez et environs avaient déposé une plainte avec constitution de partie civile.L’information judiciaire au pôle santé publique de Paris avait été ouverte en août 2022.- “Troubles neurocomportementaux” -“On peut démontrer que certains des riverains ont été contaminés par la Dépakine”, soutient mardi Me Charles Joseph-Oudin, avocat d’une riveraine partie civile et de l’Association des victimes de la Dépakine (Apesac).Une quinzaine de riverains sont en train de se constituer partie civile dans ce dossier, selon le conseil.Me Oudin a déjà déposé plainte en novembre 2023 pour une mère de deux enfants “atteints de troubles neurocomportementaux” qui travaillait, lors de ses grossesses, “en face” de l’usine.”Je regrette que la mise en danger de la vie d’autrui n’ait pas été retenue car cela a engendré de graves dommages sur les personnes directement exposées ou leur descendance”, a réagi auprès de l’AFP Marine Martin, présidente de l’Apesac et figure emblématique des victimes de la Dépakine.En avril 2024, la justice administrative a contraint Sanofi à réaliser une étude des risques sanitaires autour de Mourenx.Dans une autre information judiciaire, ouverte en 2016 et portant sur le coeur du scandale de la Dépakine et de ses impacts éventuels sur la santé, le groupe est mis en examen pour tromperie aggravée et blessures involontaires depuis 2020. En juin 2023, la Cour de cassation avait validé la prescription d’un certain nombre de plaintes, un “fort affaiblissement” du dossier selon une source proche de celui-ci.Dans les procédures ouvertes à l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam), “120 millions d’euros d’argent public ont déjà été engagés en lieu et place de Sanofi” pour près de 2.000 victimes, selon Me Oudin.”Il n’y a pas de lien entre la procédure judiciaire sur les émissions de bromopropane du site de Mourenx et les autres procédures judiciaires liées à la prescription de valproate de sodium”, a souligné Sanofi dans sa réaction.Selon des estimations des autorités sanitaires françaises, la molécule serait responsable de malformations chez 2.150 à 4.100 enfants et de troubles neurodéveloppementaux chez 16.600 à 30.400 enfants.ngu-gd-jpa-pan/mat

Rejets toxiques à Mourenx: Sanofi, mis en examen pour une partie des faits, conteste les infractions

Une victoire d’étape en demi-teinte pour les plaignants: Sanofi a été mis en examen fin 2024 pour plusieurs infractions qu’il conteste dans l’enquête sur les rejets toxiques de son usine à Mourenx (Pyrénées-Atlantiques) mais échappe à ce stade au principal grief, la mise en danger d’autrui.Le parquet de Paris a confirmé l’information obtenue par l’AFP de source proche du dossier selon laquelle Sanofi a été mise en examen le 28 novembre pour un délit, obstacle à un contrôle administratif environnemental, et pour deux infractions contraventionnelles, exploitation irrégulière d’une installation ainsi que non-déclaration d’accident ou d’incident industriel.Dans le détail, le groupe se voit ainsi reprocher, selon le parquet, de n’avoir, entre 2012 et 2018, pas respecté les limites d’émission du bromopropane, un composé organique volatil (COV) ou encore d’avoir tardé à informer les inspecteurs de l’environnement de ces rejets de bromopropane.Sollicité par l’AFP, Sanofi a indiqué “contester” les infractions qui lui valent sa mise en examen et avoir “mis en avant toute une série d’éléments démontrant qu’il n’y a pas eu de dépassement des seuils réglementaires”.Le groupe a en revanche été placé, à ce stade, sous le statut de témoin assisté pour l’infraction la plus lourde, mise en danger d’autrui. Sanofi a avancé mardi “plusieurs études indépendantes (qui) ont conclu à une absence d’impact sanitaire lié à de possibles émissions pour les salariés et les riverains.”L’association France Nature Environnement (FNE) avait révélé ces rejets toxiques hors normes en 2018 de bromopropane et de valproate de sodium, principe actif de la Dépakine, un médicament anti-épileptique accusé d’être à l’origine de troubles neuro-développementaux chez les enfants.”Sanofi ne contrôlait pas ses trois colonnes (de l’usine), mais une seule (…). Les deux autres ont envoyé ces quantités astronomiques de polluants dans l’air”, accusait l’association.L’usine avait été mise à l’arrêt immédiatement après les révélations de FNE, avant de reprendre sa production par étapes, sous contraintes environnementales et contrôles accrus. En juin 2020, la Fédération nationale des industries chimiques CGT, le Syndicat CGT des industries chimiques Sisteron et Mourenx et l’Union locale CGT de Mourenx, Bassin de Lacq-Orthez et environs avaient déposé une plainte avec constitution de partie civile.L’information judiciaire au pôle santé publique de Paris avait été ouverte en août 2022.- “Troubles neurocomportementaux” -“On peut démontrer que certains des riverains ont été contaminés par la Dépakine”, soutient mardi Me Charles Joseph-Oudin, avocat d’une riveraine partie civile et de l’Association des victimes de la Dépakine (Apesac).Une quinzaine de riverains sont en train de se constituer partie civile dans ce dossier, selon le conseil.Me Oudin a déjà déposé plainte en novembre 2023 pour une mère de deux enfants “atteints de troubles neurocomportementaux” qui travaillait, lors de ses grossesses, “en face” de l’usine.”Je regrette que la mise en danger de la vie d’autrui n’ait pas été retenue car cela a engendré de graves dommages sur les personnes directement exposées ou leur descendance”, a réagi auprès de l’AFP Marine Martin, présidente de l’Apesac et figure emblématique des victimes de la Dépakine.En avril 2024, la justice administrative a contraint Sanofi à réaliser une étude des risques sanitaires autour de Mourenx.Dans une autre information judiciaire, ouverte en 2016 et portant sur le coeur du scandale de la Dépakine et de ses impacts éventuels sur la santé, le groupe est mis en examen pour tromperie aggravée et blessures involontaires depuis 2020. En juin 2023, la Cour de cassation avait validé la prescription d’un certain nombre de plaintes, un “fort affaiblissement” du dossier selon une source proche de celui-ci.Dans les procédures ouvertes à l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam), “120 millions d’euros d’argent public ont déjà été engagés en lieu et place de Sanofi” pour près de 2.000 victimes, selon Me Oudin.”Il n’y a pas de lien entre la procédure judiciaire sur les émissions de bromopropane du site de Mourenx et les autres procédures judiciaires liées à la prescription de valproate de sodium”, a souligné Sanofi dans sa réaction.Selon des estimations des autorités sanitaires françaises, la molécule serait responsable de malformations chez 2.150 à 4.100 enfants et de troubles neurodéveloppementaux chez 16.600 à 30.400 enfants.ngu-gd-jpa-pan/mat

Trump’s ‘The Apprentice’ re-runs hit Amazon

Re-runs of “The Apprentice” reality show that propelled Donald Trump into the US national consciousness, are showing on Prime Video, the latest indication of warming relations between the US president and Amazon tycoon Jeff Bezos. Following a frosty few years between tech titans and the US president, the move is another sign of a rapprochment that  saw key figures from Apple, Amazon, Google and Meta bag front-row seats at Trump’s January inauguration after making hefty donations.Bezos has also sought to make his Washington Post newspaper less hostile to the president, ordering its opinion section not to run columns opposed to “personal liberties and free markets,” and quashing its planned endorsement of Democrat Kamala Harris before the US election.Amazon’s announcement comes after its streaming arm said it would also air a behind-the-scenes documentary about First Lady Melania Trump.The first season of “The Apprentice” became available on the platform on Monday and by Tuesday was being advertised on the landing page, where it was showing as “#6 in the US.”Amazon said new seasons would become available every week until the seventh season, which will be released in April.In a statement released by Amazon, Trump welcomed the return of the show — of which he was a producer, and therefore likely to gain revenue from re-runs.”I look forward to watching this show myself — such great memories, and so much fun, but most importantly, it was a learning experience for all of us!” he said.Mark Burnett, the British-American producer considered the brains behind the format, said he hoped the show would attract a new generation of viewers, two decades after it first aired.”The Apprentice is one of the best shows that I ever produced,” he said in a statement.”The charismatic onscreen presence of President Donald J. Trump made it a bona fide hit! Now, thanks to Prime Video, a whole new audience will experience a new season every Monday.”While Trump was already a celebrity figure in New York in the 1980s and 1990s, “The Apprentice” catapulted him to broader national fame when it launched in 2004.Producers cast the real estate mogul as an archly successful businessman, who oversaw a cut-throat competition between budding entrepreneurs.Contestants would vie for Trump’s approval, allowing them to progress to the following installment, with those who failed summarily dismissed by Trump’s now-famous catchphrase “You’re fired!”The ultimate winner of the series was given a six-figure salary to work within the Trump empire.”The Apprentice” was a huge network television hit for several years and is credited with creating the public persona that Trump leveraged to run for the White House in 2016.It also spawned dozens of international off-shoots including some that outlasted the US progenitor. While Trump was fired from the US show in 2015 over remarks he made about Mexican immigrants, the British version is still shown on the BBC.”The Apprentice” is owned by MGM Alternative, whose parent company was bought by Amazon three years ago.

Gaza: les négociations sur la trêve ont débuté à Doha

Les négociations indirectes sur la poursuite de la trêve dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas, en vigueur depuis le 19 janvier, ont débuté mardi à Doha, le mouvement islamiste palestinien disant espérer des “progrès tangibles”.La situation humanitaire reste dramatique dans le petit territoire dévasté par plus de 15 mois de guerre. Pour faire pression sur le Hamas, Israël bloque pour le 10e jour consécutif l’entrée de l’aide humanitaire et a cessé dimanche la fourniture d’électricité vers la principale usine de dessalement d’eau qui alimente au moins 600.000 personnes.   Et malgré la trêve, l’armée israélienne a poursuivi ses frappes aériennes sur Gaza, qui ont fait au moins cinq morts.”Un nouveau cycle de négociations de cessez-le-feu a commencé” et “nous espérons qu'(il) aboutira à des progrès tangibles vers le lancement de la deuxième phase”, a indiqué dans un communiqué un haut responsable du Hamas, Abdel Rahmane Shadid.”Nous espérons que les efforts de l’envoyé américain (Steve Witkoff) aboutiront au début des négociations pour la deuxième phase” de cet accord, a-t-il ajouté, soulignant que l’administration américaine, allié historique d’Israël, portait “la responsabilité de son soutien illimité” au gouvernement israélien.- Désaccords -M. Shadid a dénoncé le blocage de l’aide qui “a fait flamber les prix de la nourriture et provoqué une pénurie de fournitures médicales, exacerbant la crise humanitaire” en plein ramadan.L’Egypte, l’Arabie saoudite, le Qatar et la Jordanie ont condamné mardi la coupure de l’électricité à Gaza, exhortant la communauté internationale à prendre des mesures.L’accord de trêve, arraché par les Etats-Unis, le Qatar et l’Egypte, a abouti à un cessez-le-feu le 19 janvier après 15 mois de guerre provoquée par l’attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.Cette attaque a entraîné du côté israélien la mort de 1.218 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité parmi les 251 personnes enlevées. En riposte, Israël a juré d’anéantir le Hamas et lancé une offensive à Gaza qui a fait au moins 48.503 morts, majoritairement des civils, d’après les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU. Durant la première phase de la trêve, qui a pris fin le 1er mars, le Hamas a rendu 33 otages, dont huit morts, et Israël a libéré environ 1.800 détenus palestiniens.Les deux délégations tentent, à travers les médiateurs américains et qataris, de surmonter les désaccords portant sur la deuxième phase.- “Où est la trêve?” -Celle-ci prévoit, selon le Hamas, un cessez-le-feu permanent, le retrait complet israélien de Gaza et la libération des derniers otages. Israël, de son côté, souhaite une extension de la première phase jusqu’à la mi-avril, et réclame, pour passer à la deuxième, la “démilitarisation totale” du territoire, le départ du Hamas et le retour des derniers otages.Il reste selon l’armée 58 otages détenus à Gaza, dont 34 ont été déclarés morts.Si les combats se sont arrêtés à Gaza, l’aviation israélienne mène quasi quotidiennement des frappes sur le territoire.  Quatre hommes, âgés d’une vingtaine d’années et parmi lesquels deux frères, ont été tués dans le sud de la ville de Gaza, selon la Défense civile du territoire. Les quatre hommes faisaient partie d’un groupe qui se trouvait dans le quartier de Netzarim, a précisé le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal. L’armée israélienne a confirmé avoir visé plusieurs individus se livrant à des “activités suspectes” et qui “représentaient une menace” pour les troupes au sol.”Où est la trêve dont ils parlent? Ils tuent nos jeunes et parlent d’une trêve!”, a lancé Oumm Tariq Obaïd, à l’hôpital Al-Ahli Arab de Gaza-Ville où les corps de membres de sa famille ont été transportés. “Ils n’ont rien fait!”Une autre frappe aérienne, dans le sud du territoire, a tué un combattant qui “utilisait des appareils de surveillance” des troupes, selon l’armée.En Israël, les familles et les proches des otages tentent aussi de faire pression sur le Premier ministre Benjamin Netanyahu pour accélérer la libération des captifs. Plusieurs centaines d’entre eux campent depuis samedi dans des tentes devant le ministère de la Défense à Tel-Aviv.

Gaza: les négociations sur la trêve ont débuté à Doha

Les négociations indirectes sur la poursuite de la trêve dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas, en vigueur depuis le 19 janvier, ont débuté mardi à Doha, le mouvement islamiste palestinien disant espérer des “progrès tangibles”.La situation humanitaire reste dramatique dans le petit territoire dévasté par plus de 15 mois de guerre. Pour faire pression sur le Hamas, Israël bloque pour le 10e jour consécutif l’entrée de l’aide humanitaire et a cessé dimanche la fourniture d’électricité vers la principale usine de dessalement d’eau qui alimente au moins 600.000 personnes.   Et malgré la trêve, l’armée israélienne a poursuivi ses frappes aériennes sur Gaza, qui ont fait au moins cinq morts.”Un nouveau cycle de négociations de cessez-le-feu a commencé” et “nous espérons qu'(il) aboutira à des progrès tangibles vers le lancement de la deuxième phase”, a indiqué dans un communiqué un haut responsable du Hamas, Abdel Rahmane Shadid.”Nous espérons que les efforts de l’envoyé américain (Steve Witkoff) aboutiront au début des négociations pour la deuxième phase” de cet accord, a-t-il ajouté, soulignant que l’administration américaine, allié historique d’Israël, portait “la responsabilité de son soutien illimité” au gouvernement israélien.- Désaccords -M. Shadid a dénoncé le blocage de l’aide qui “a fait flamber les prix de la nourriture et provoqué une pénurie de fournitures médicales, exacerbant la crise humanitaire” en plein ramadan.L’Egypte, l’Arabie saoudite, le Qatar et la Jordanie ont condamné mardi la coupure de l’électricité à Gaza, exhortant la communauté internationale à prendre des mesures.L’accord de trêve, arraché par les Etats-Unis, le Qatar et l’Egypte, a abouti à un cessez-le-feu le 19 janvier après 15 mois de guerre provoquée par l’attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.Cette attaque a entraîné du côté israélien la mort de 1.218 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité parmi les 251 personnes enlevées. En riposte, Israël a juré d’anéantir le Hamas et lancé une offensive à Gaza qui a fait au moins 48.503 morts, majoritairement des civils, d’après les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU. Durant la première phase de la trêve, qui a pris fin le 1er mars, le Hamas a rendu 33 otages, dont huit morts, et Israël a libéré environ 1.800 détenus palestiniens.Les deux délégations tentent, à travers les médiateurs américains et qataris, de surmonter les désaccords portant sur la deuxième phase.- “Où est la trêve?” -Celle-ci prévoit, selon le Hamas, un cessez-le-feu permanent, le retrait complet israélien de Gaza et la libération des derniers otages. Israël, de son côté, souhaite une extension de la première phase jusqu’à la mi-avril, et réclame, pour passer à la deuxième, la “démilitarisation totale” du territoire, le départ du Hamas et le retour des derniers otages.Il reste selon l’armée 58 otages détenus à Gaza, dont 34 ont été déclarés morts.Si les combats se sont arrêtés à Gaza, l’aviation israélienne mène quasi quotidiennement des frappes sur le territoire.  Quatre hommes, âgés d’une vingtaine d’années et parmi lesquels deux frères, ont été tués dans le sud de la ville de Gaza, selon la Défense civile du territoire. Les quatre hommes faisaient partie d’un groupe qui se trouvait dans le quartier de Netzarim, a précisé le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal. L’armée israélienne a confirmé avoir visé plusieurs individus se livrant à des “activités suspectes” et qui “représentaient une menace” pour les troupes au sol.”Où est la trêve dont ils parlent? Ils tuent nos jeunes et parlent d’une trêve!”, a lancé Oumm Tariq Obaïd, à l’hôpital Al-Ahli Arab de Gaza-Ville où les corps de membres de sa famille ont été transportés. “Ils n’ont rien fait!”Une autre frappe aérienne, dans le sud du territoire, a tué un combattant qui “utilisait des appareils de surveillance” des troupes, selon l’armée.En Israël, les familles et les proches des otages tentent aussi de faire pression sur le Premier ministre Benjamin Netanyahu pour accélérer la libération des captifs. Plusieurs centaines d’entre eux campent depuis samedi dans des tentes devant le ministère de la Défense à Tel-Aviv.

Over 100 hostages freed in deadly Pakistan train siege

Three people were killed and around a hundred hostages freed by Pakistani troops on Tuesday after armed militants attacked a train carrying over 450 passengers in the country’s southwestern Balochistan province.It was not immediately clear how many people remained on board the train as security forces continued operations overnight.Before seizing the train Tuesday afternoon, militants blew up the railway track, forcing it to a halt in a remote area.”People began hiding under the seats in panic. The militants separated the men from the women. They allowed me and my family to go because I told them I’m a heart patient,” 49-year-old Allahditta told AFP from a makeshift hospital at the train station in Mach.”I was on the train with my father and brother when militants took us hostage. They let me go but they are still there,” added a 32-year-old woman, who asked not to be named.Interior minister Mohsin Naqvi said security forces had rescued over 100 people, adding that 16 “terrorists” had been killed.Security sources told AFP that the “clearance operation is ongoing”, after reporting heavy gunfire between militants and security forces.The assault was immediately claimed by the Baloch Liberation Army (BLA), a separatist group behind rising violence in the province which borders Afghanistan and Iran.Muhammad Kashif, a senior railway government official in Quetta, the capital of the province, earlier told AFP that “over 450 passengers onboard” had been taken hostage. Some of the passengers were freed by the militants and walked for hours to reach the nearest railway station, from which they boarded other trains to Mach.The driver of the train, a police officer and soldier were killed in the assault, according to paramedic Nazim Farooq and railway official Muhammad Aslam, both at Mach railway station.- Decades-long insurgency -In a statement, the BLA said gunmen bombed the railway track before storming aboard the train. “The militants swiftly took control of the train and have taken all passengers hostage,” said the statement released to media. The incident happened around 1:00 pm (0800 GMT) in rural Sibi district, near to a city station where the train had been due to stop. The train had left Quetta for Peshawar, in northwestern Khyber Pakhtunkhwa — a more than 30-hour journey — at around 9:00 am.The area is a mountainous region making it easier for militants to have hideouts and plan attacks. Security forces have been battling a decades-long insurgency in impoverished Balochistan, which militant groups claim is being exploited by outsiders, with wealth from its natural resources syphoned off with little benefit to the local population.But violence has soared in the western border regions with Afghanistan, from north to south, since the Taliban took back power in 2021. Pakistan accuses the Taliban government in Kabul of offering safe haven to militants to plan attacks. The Taliban government denies the charge. The BLA have launched larger scale attacks in recent months, including holding a motorway overnight and identifying travellers from outside the province and shooting them dead. BLA militants also killed seven Punjabi travellers in February after they were ordered off a bus. In November, the BLA claimed responsibility for a bombing at Quetta’s main railway station that killed 26 people, including 14 soldiers.Last year was the deadliest year in almost a decade, with more than 1,600 people killed in attacks in Pakistan, mostly in the border regions, according to the Center for Research and Security Studies, an Islamabad-based analysis group.

Ukraine: Macron lance la planification des “garanties de sécurité” avec les armées de 34 pays

Emmanuel Macron a lancé mardi, devant les chefs des armées de plus de 30 pays réunis à Paris, les travaux opérationnels pour passer à la planification des “garanties de sécurité crédibles” à apporter à l’Ukraine en cas d’accord de paix avec la Russie.”Face à l’accélération des négociations de paix”, le président français à affirmé “qu’il fallait aujourd’hui +passer du concept au plan+ pour définir des garanties de sécurité crédibles, afin qu’une paix solide et durable soit possible en Ukraine”, a rapporté l’Elysée. Autrement dit, de la théorie à la pratique, après plusieurs sommets politiques organisés par la France ou le Royaume-Uni.Le chef de l’Etat a aussi appelé les alliés européens à prendre collectivement leurs “responsabilités”, car “c’est le moment où l’Europe doit peser de tout son poids, pour l’Ukraine, et pour elle-même”.Emmanuel Macron avait convié les chefs d’état-major des pays prêts à contribuer à ces garanties d’une manière ou d’une autre. En tout, 34 pays étaient représentés, appartenant à l’Union européenne et/ou à l’Otan pour la plupart, dont le Royaume-Uni et la Turquie, mais aussi certains qui n’appartiennent à aucune des deux organisations, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon.Des représentants de l’Alliance atlantique et de l’UE étaient aussi présents, ainsi qu’un émissaire ukrainien, mais pas les Etats-Unis.La rencontre à huis clos s’est déroulée en parallèle de pourparlers cruciaux entre diplomates américains et ukrainiens en Arabie saoudite qui ont marqué une nette accélération vers des négociations avec la Russie pour mettre fin à la guerre, trois ans après l’invasion russe de l’Ukraine.Kiev a soutenu une proposition américaine de cessez-le-feu de 30 jours avec Moscou, les Etats-Unis acceptant de leur côté de lever les restrictions sur l’aide militaire à l’Ukraine. Selon le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio, les autorités ukrainiennes ont accepté des “négociations immédiates” avec la Russie.”La balle est aujourd’hui clairement dans le camp de la Russie”, a réagi Emmanuel Macron mardi soir, saluant ces “avancées”.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump se montre déterminé à mettre fin à ce conflit, quitte à opérer un rapprochement inédit avec le président russe Vladimir Poutine.Face à ce bouleversement géopolitique, les Européens se démènent pour ne pas être exclus des négociations, et martèlent que seul un accord de paix durable, assorti de garanties de sécurité pour l’Ukraine, pourra prévenir une reprise des combats.Selon la présidence française, les participants à la réunion de Paris “sont convenus que ces garanties de sécurité soient crédibles et s’inscrivent dans le temps long, s’accompagnent d’un soutien sans faille à l’armée ukrainienne”.Ils ont aussi estimé qu’elles ne devaient pas être “disjointes de l’Otan et de ses capacités”, au moment où de nombreux pays ne semblent prêts à s’engager qu’avec l’assurance d’un “filet de sécurité” des Etats-Unis, principal pays de l’Alliance atlantique.- “Première pierre” -La rencontre des chefs militaires était donc “importante”, a estimé le ministre français des Armées Sébastien Lecornu, également présent, car elle “vient poser une première pierre sur ces garanties de sécurité”.L’idée de déployer des troupes européennes en Ukraine dans le cadre d’un accord de paix avec la Russie été évoquée à plusieurs reprises ces dernières semaines.Paris et Londres notamment sont étroitement impliqués dans les discussions sur cette option, qui devait être abordée dans la réunion de mardi. Le Premier ministre britannique Keir Starmer organise à son tour samedi une réunion virtuelle avec les dirigeants des pays prêts à s’engager.”La décision finale dépend de l’établissement de conditions claires: quelle est la mission, quel est l’objectif, quel est le mandat et quelles sont les garanties en termes de protection américaine”, a expliqué mardi à Paris le ministre néerlandais de la Défense Ruben Brekelmans, estimant que Washington restait un “allié fiable” dans l’Otan.Sébastien Lecornu réunira mercredi ses homologues du groupe E5 (France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Pologne), ainsi que des représentants de l’Union européenne et de l’Otan avec, en visioconférence, le ministre ukrainien de la Défense.Le ministre des Armées doit ensuite rencontrer jeudi les présidents des groupes parlementaires, en présence du Premier ministre François Bayrou.Le chef de l’Etat doit enfin réunir vendredi les industriels français de la défense, appelés à augmenter leur cadence depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022 et qui doivent se préparer à un afflux potentiel de nouvelles commandes.mra-dab-la-fff/hj