Les Bourses européennes tentent un rebond à l’ouverture

Les Bourses européennes ont ouvert en hausse mercredi, tentant un rebond après avoir vacillé sous le poids de craintes grandissantes d’une récession aux Etats-Unis, première économie mondiale, et attendent la publication d’indices d’inflation américains.Dans les premiers échanges, la Bourse de Paris prenait 0,86%, Francfort 0,87%, Londres 0,20% et Milan 1,00%.

Le fabricant de batteries Northvolt se déclare en faillite en Suède

Le fabricant suédois de batteries de véhicules électriques Northvolt, qui ploie sous une forte dette depuis des mois, s’est déclaré en faillite mercredi en Suède, incapable de réunir les financements nécessaires pour survivre.”Après avoir avoir exploré de manière exhaustive toutes les options disponibles pour négocier et mettre en Å“uvre une restructuration financière, y compris une procédure de restructuration sous le chapitre 11 aux États-Unis (…) l’entreprise n’a pas réussi à réunir les conditions financières nécessaires pour poursuivre ses activités sous sa forme actuelle”, a-t-elle indiqué dans un communiqué.Northvolt avait annoncé la suppression de 1.600 emplois en septembre, soit un quart de ses effectifs, ramenés alors à moins de 5.000 personnes.Le fabricant suédois avait demandé le 21 novembre son placement sous la protection de la loi américaine sur les faillites pour faciliter sa réorganisation, qu’il prévoyait de terminer au premier trimestre de 2025. “Comme de nombreuses entreprises du secteur des batteries, Northvolt a été confronté ces derniers mois à une série de défis cumulés qui ont affaibli sa situation financière, notamment la hausse des coûts du capital, l’instabilité géopolitique, des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement et les évolutions de la demande du marché”, a-t-elle ajouté. En janvier les actionnaires avaient donné leur feu vert à la poursuite de l’activité et de la recherche de nouveaux actionnaires. Les deux principaux actionnaires du groupe suédois sont le constructeur automobile allemand Volkswagen, lui-même en difficulté financière, et la banque d’affaires américaine Goldman Sachs.Tout au long “de cette procédure, l’entreprise a suscité un intérêt significatif de la part de partenaires potentiels et d’investisseurs (…)Toutefois, en raison du temps et des ressources financières limités, l’entreprise n’a pas été en mesure de conclure les accords nécessaires pour assurer son avenir”, a souligné Northvolt dans son communiqué.Fondé en 2016, le fabricant suédois était perçu comme la pierre angulaire des tentatives européennes visant à rattraper l’Asie et les États-Unis dans la production de cellules de batterie, composant crucial des voitures zéro émission.L’Europe ne représente que 3% de la production mondiale de cellules de batterie, mais vie 25% du marché d’ici la fin de la décennie. 

Pakistan launches ‘full-scale’ operation to free train hostages

Pakistan forces launched a “full-scale” operation on Wednesday to rescue train passengers taken hostage by militants in the mountainous southwest, with security sources saying 155 had been freed in the past 24 hours.More than 450 passengers were on board when militants captured the train at the entrance of a tunnel in a remote frontier district, with an unknown number of hostages still being held. “Information suggests that some militants have fled, taking an unknown number of hostages into the local mountainous areas,” a security official in the area told AFP.Militants bombed a section of the railway track and stormed the train on Tuesday afternoon in southwest Balochistan province, which borders Iran and Afghanistan, where attacks by separatists have been on the rise.According to security sources, the “terrorists have positioned suicide bombers right next to innocent hostage passengers”.Three people have been killed, including the train driver, during the siege in mountainous Sibi district.A security official told AFP “a full-scale operation” would aim to free the rest of the captives.”Security forces have safely rescued 155 passengers… 27 terrorists have been eliminated,” a security source said. An earlier count included at least “31 women and 15 children”.It was not immediately clear how many people remained onboard.Muhammad Kashif, a senior railway government official in the provincial capital Quetta, told AFP on Tuesday afternoon that the 450 passengers on board had been taken hostage. Passengers freed on Tuesday described walking for hours through mountainous terrain to reach safety.”I can’t find the words to describe how we managed to escape. It was terrifying,” Muhammad Bilal, who had been travelling with his mother on the Jafar Express train, told AFP.The assault was immediately claimed by the Baloch Liberation Army (BLA), a separatist group that has staged a series of daring recent attacks against security forces and ethnic groups from outside the province.The group has demanded an exchange with security forces for its imprisoned members. Authorities restrict access to some areas of Balochistan where many energy and infrastructure projects are backed by China, which has invested billions in the region including in a major port and airport.- Punjabis ‘taken away’ -The driver of the train, a police officer and a soldier were killed in the assault, according to paramedic Nazim Farooq and railway official Muhammad Aslam.One passenger described gunmen sorting through identity cards to confirm who was from outside the province, similar to a spate of recent attacks carried out by the BLA. “They came and checked IDs and service cards and shot two soldiers in front of me and took the other four to… I don’t know where,” said one passenger who asked not to be identified, after walking four hours to the nearest train station.”Those who were Punjabis were taken away by the terrorists,” he said.Around 80 of the released passengers were taken to the provincial capital Quetta under “tight security”, said a police official who was not authorised to speak to the media.- Growing insurgency -The BLA claim the region’s natural resources are being exploited by outsiders and has increased attacks targeting Pakistanis from other regions.The group launched coordinated overnight attacks last year that included taking control of a major highway and shooting dead travellers from other ethnic groups, stunning the country.Punjabi and Sindhi labourers are regularly targeted in attacks, as well as security forces and foreign infrastructure projects.The BLA claimed an attack in February that killed 17 paramilitary soldiers and a woman suicide bomber killed a soldier this month. “The valuable natural resources in Balochistan belong to the Baloch nation,” a BLA statement said at the time.”Pakistani military generals and their Punjabi elite are looting these resources for their own luxury.”Baloch residents regularly stage protests against the state, which they accuse of rounding up innocent people in its crackdown on militancy.Security forces have been battling a decades-long insurgency in impoverished Balochistan but last year saw a surge in violence in the province compared with 2023, according to the independent Centre for Research and Security Studies. It found 2024 was the deadliest year for Pakistan in a decade, with violence rising along the Afghanistan border from north to south since the Taliban government took back power in Kabul in 2021. Pakistan blames its neighbours for allowing militant groups safe haven to plan and launch attacks on Pakistan, a charge Kabul denies. 

A Oulan-Bator, les enfants étouffent dans un nuage de pollution

Devant son fils d’à peine cinq mois en soins intensifs, couvert de tubes et de fils, Uyanga se lamente d’être née dans la capitale mongole, sujette à des épisodes répétés de pollution atmosphérique.Depuis plus d’une décennie, un smog toxique enveloppe Oulan-Bator en hiver.Les cas de maladies respiratoires se multiplient, à tel point qu’en Mongolie, la pneumonie constitue la deuxième principale cause de décès chez les enfants de moins de cinq ans.Le fils d’Uyanga en est atteint. Hospitalisé comme d’autres enfants victimes de cet air parmi les plus nocifs de la planète, le bambin a ensuite développé une surinfection.”J’ai eu si peur lorsqu’il a été admis en soins intensifs”, raconte Uyanga à l’AFP.”J’aime ma ville et je veux continuer à y vivre. Mais du point de vue de la santé de mes enfants, cette nuit-là, je me suis en quelque sorte sentie maudite d’être née à Oulan-Bator.”A la saison hivernale, la concentration quotidienne de PM2,5 – des microparticules polluantes pouvant pénétrer les systèmes respiratoire et sanguin – peut représenter 27 fois le seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).Face à elles, les plus vulnérables sont les jeunes enfants, dont la respiration est notamment plus rapide que les adultes.Les trois enfants d’Uyanga ont tous été hospitalisés avant leur premier anniversaire et son cas ne fait pas exception dans son groupe d’amies.Cela “fait maintenant partie de notre quotidien”, regrette-t-elle.- Chauffage au charbon -La topographie d’Oulan-Bator, située dans une cuvette cernée par les montagnes, y piège les fumées des centrales à charbon et des logements.Les yourtes traditionnelles, appelées ici “ger”, sont nombreuses dans sa périphérie, gagnée par des centaines de milliers de nomades en quête de revenus stables et de meilleurs services publics.Nombreux sont ceux à utiliser des brûleurs à charbon pour se chauffer au creux de l’hiver, quand la température peut plonger jusqu’à -40°C.Ce matin-là, des livreurs chargent des briquettes de charbon dans un petit pick-up à proximité de yourtes.”Je ne pense pas que quiconque en Mongolie ne soit pas inquiet de la pollution de l’air”, admet Bayarkhuu Bold, vendeur de charbon de 67 ans.Oyunbileg, une hôtesse de caisse, dit utiliser 25 kg de briquettes tous les deux jours.A l’intérieur de sa yourte, elle confesse cependant être “vraiment inquiète” pour la santé de ses trois enfants. Pour éviter la pollution atmosphérique, celle-ci raconte même avoir installé sa tente sur les hauteurs, à dessein.”Mais cette année, c’est vraiment catastrophique”, déplore-t-elle. Sa famille a tenté de passer au chauffage électrique, mais “n’a pas eu les moyens de payer la facture”.Le nombre de cas de maladies respiratoires chez les enfants augmente dans les quartiers de yourtes comme celui-ci, décrit Yanjmaa, une médecin scolaire.”C’est impossible pour les gens qui respirent cet air d’avoir des poumons en bonne santé”, explique-t-elle.- “Aucun résultat” -Pour Oyunbileg, les options sont limitées: “Je ne laisse pas beaucoup mes enfants sortir” mais, sinon, “je leur mets généralement un masque.”Pour ses plus riches compatriotes, en revanche, quitter la Mongolie en hiver est une solution.Uyanga et son époux ont dépensé toute leur épargne pour louer un logement dans une région plus respirable, et ce pendant trois mois, lorsqu’est né leur premier enfant.Mais “peu importe à quel point on essaie de rendre meilleur l’air à l’intérieur (…) nos enfants (doivent) sortir”, dit-elle.En 2019, le gouvernement a remplacé le charbon brut par des briquettes de charbon raffiné, permettant une brève amélioration de la qualité de l’air, relate le météorologue Barkhasragchaa Baldorj.Les bénéfices de cette mesure sont toutefois limités par la hausse de la combustion de charbon dans un pays où le secteur industriel est essentiel à l’économie.Les briquettes de charbon ont été associées à des cas d’empoisonnement au monoxyde de carbone, mais aussi à des niveaux accrus de polluants.Barkhasragchaa est une des deux seules personnes s’occupant des stations de contrôle de la qualité de l’air à Oulan-Bator.”Si vous connaissiez le budget alloué à la maintenance, vous ririez (…) il est juste impossible de maintenir un fonctionnement constant”, explique-t-il. A travers la ville, beaucoup disent leur scepticisme quant à la politique du gouvernement en la matière.”Personnellement, je ne vois aucun résultat”, admet le vendeur de charbon, Bayarkhuu Bold.- “Génération suivante” -L’adjoint au gouverneur de la ville chargé de la pollution atmosphérique, Amartuvshin Amgalanbayar, a promis le changement.Cette année, 20.000 foyers doivent délaisser le charbon au profit du gaz, explique-t-il, anticipant une réduction de la pollution.Quelque 20.000 ménages doivent par ailleurs quitter les quartiers de yourtes pour emménager dans des appartements à partir de 2025.Et face aux embouteillages monstres d’Oulan-Bator, un métro attendu de longue date doit voir le jour d’ici 2028, affirme-t-il.”Les sujets que nous cherchions à résoudre il y a 20 ans, lorsque j’étais étudiant, sont toujours là”, explique le responsable de 40 ans.”On a confié à la génération suivante le soin de les résoudre.”Face à tant de promesses pour trop peu de résultats, des dizaines de milliers de Mongols, exaspérés, ont réclamé l’an dernier dans une pétition une audience publique sur les politiques de lutte contre la pollution atmosphérique.”C’est ma mère (tombée gravement malade) qui a vraiment suscité” chez moi “de la colère” et “un sentiment d’impuissance”, explique l’une des organisatrices du mouvement, Enkhuun Byambadorj, 23 ans, à l’AFP.Celle-ci regrette que les solutions proposées jusqu’à maintenant n’aient pas adopté une approche transversale.L’audience souhaitée, qui appelait précisément à prendre en compte le problème de la pollution de manière intersectorielle, s’est tenue en février. Un premier pas porteur d’espoir pour Enkhuun Byambadorj.”Nous avons (…) redynamisé un mouvement citoyen”, dit-elle. “Ce que nous devons faire, c’est continuer à faire pression sur les décideurs pour qu’ils bâtissent sur ce qu’ils ont fait.”

A Oulan-Bator, les enfants étouffent dans un nuage de pollution

Devant son fils d’à peine cinq mois en soins intensifs, couvert de tubes et de fils, Uyanga se lamente d’être née dans la capitale mongole, sujette à des épisodes répétés de pollution atmosphérique.Depuis plus d’une décennie, un smog toxique enveloppe Oulan-Bator en hiver.Les cas de maladies respiratoires se multiplient, à tel point qu’en Mongolie, la pneumonie constitue la deuxième principale cause de décès chez les enfants de moins de cinq ans.Le fils d’Uyanga en est atteint. Hospitalisé comme d’autres enfants victimes de cet air parmi les plus nocifs de la planète, le bambin a ensuite développé une surinfection.”J’ai eu si peur lorsqu’il a été admis en soins intensifs”, raconte Uyanga à l’AFP.”J’aime ma ville et je veux continuer à y vivre. Mais du point de vue de la santé de mes enfants, cette nuit-là, je me suis en quelque sorte sentie maudite d’être née à Oulan-Bator.”A la saison hivernale, la concentration quotidienne de PM2,5 – des microparticules polluantes pouvant pénétrer les systèmes respiratoire et sanguin – peut représenter 27 fois le seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).Face à elles, les plus vulnérables sont les jeunes enfants, dont la respiration est notamment plus rapide que les adultes.Les trois enfants d’Uyanga ont tous été hospitalisés avant leur premier anniversaire et son cas ne fait pas exception dans son groupe d’amies.Cela “fait maintenant partie de notre quotidien”, regrette-t-elle.- Chauffage au charbon -La topographie d’Oulan-Bator, située dans une cuvette cernée par les montagnes, y piège les fumées des centrales à charbon et des logements.Les yourtes traditionnelles, appelées ici “ger”, sont nombreuses dans sa périphérie, gagnée par des centaines de milliers de nomades en quête de revenus stables et de meilleurs services publics.Nombreux sont ceux à utiliser des brûleurs à charbon pour se chauffer au creux de l’hiver, quand la température peut plonger jusqu’à -40°C.Ce matin-là, des livreurs chargent des briquettes de charbon dans un petit pick-up à proximité de yourtes.”Je ne pense pas que quiconque en Mongolie ne soit pas inquiet de la pollution de l’air”, admet Bayarkhuu Bold, vendeur de charbon de 67 ans.Oyunbileg, une hôtesse de caisse, dit utiliser 25 kg de briquettes tous les deux jours.A l’intérieur de sa yourte, elle confesse cependant être “vraiment inquiète” pour la santé de ses trois enfants. Pour éviter la pollution atmosphérique, celle-ci raconte même avoir installé sa tente sur les hauteurs, à dessein.”Mais cette année, c’est vraiment catastrophique”, déplore-t-elle. Sa famille a tenté de passer au chauffage électrique, mais “n’a pas eu les moyens de payer la facture”.Le nombre de cas de maladies respiratoires chez les enfants augmente dans les quartiers de yourtes comme celui-ci, décrit Yanjmaa, une médecin scolaire.”C’est impossible pour les gens qui respirent cet air d’avoir des poumons en bonne santé”, explique-t-elle.- “Aucun résultat” -Pour Oyunbileg, les options sont limitées: “Je ne laisse pas beaucoup mes enfants sortir” mais, sinon, “je leur mets généralement un masque.”Pour ses plus riches compatriotes, en revanche, quitter la Mongolie en hiver est une solution.Uyanga et son époux ont dépensé toute leur épargne pour louer un logement dans une région plus respirable, et ce pendant trois mois, lorsqu’est né leur premier enfant.Mais “peu importe à quel point on essaie de rendre meilleur l’air à l’intérieur (…) nos enfants (doivent) sortir”, dit-elle.En 2019, le gouvernement a remplacé le charbon brut par des briquettes de charbon raffiné, permettant une brève amélioration de la qualité de l’air, relate le météorologue Barkhasragchaa Baldorj.Les bénéfices de cette mesure sont toutefois limités par la hausse de la combustion de charbon dans un pays où le secteur industriel est essentiel à l’économie.Les briquettes de charbon ont été associées à des cas d’empoisonnement au monoxyde de carbone, mais aussi à des niveaux accrus de polluants.Barkhasragchaa est une des deux seules personnes s’occupant des stations de contrôle de la qualité de l’air à Oulan-Bator.”Si vous connaissiez le budget alloué à la maintenance, vous ririez (…) il est juste impossible de maintenir un fonctionnement constant”, explique-t-il. A travers la ville, beaucoup disent leur scepticisme quant à la politique du gouvernement en la matière.”Personnellement, je ne vois aucun résultat”, admet le vendeur de charbon, Bayarkhuu Bold.- “Génération suivante” -L’adjoint au gouverneur de la ville chargé de la pollution atmosphérique, Amartuvshin Amgalanbayar, a promis le changement.Cette année, 20.000 foyers doivent délaisser le charbon au profit du gaz, explique-t-il, anticipant une réduction de la pollution.Quelque 20.000 ménages doivent par ailleurs quitter les quartiers de yourtes pour emménager dans des appartements à partir de 2025.Et face aux embouteillages monstres d’Oulan-Bator, un métro attendu de longue date doit voir le jour d’ici 2028, affirme-t-il.”Les sujets que nous cherchions à résoudre il y a 20 ans, lorsque j’étais étudiant, sont toujours là”, explique le responsable de 40 ans.”On a confié à la génération suivante le soin de les résoudre.”Face à tant de promesses pour trop peu de résultats, des dizaines de milliers de Mongols, exaspérés, ont réclamé l’an dernier dans une pétition une audience publique sur les politiques de lutte contre la pollution atmosphérique.”C’est ma mère (tombée gravement malade) qui a vraiment suscité” chez moi “de la colère” et “un sentiment d’impuissance”, explique l’une des organisatrices du mouvement, Enkhuun Byambadorj, 23 ans, à l’AFP.Celle-ci regrette que les solutions proposées jusqu’à maintenant n’aient pas adopté une approche transversale.L’audience souhaitée, qui appelait précisément à prendre en compte le problème de la pollution de manière intersectorielle, s’est tenue en février. Un premier pas porteur d’espoir pour Enkhuun Byambadorj.”Nous avons (…) redynamisé un mouvement citoyen”, dit-elle. “Ce que nous devons faire, c’est continuer à faire pression sur les décideurs pour qu’ils bâtissent sur ce qu’ils ont fait.”