Trump administration unveils sweeping environment rollbacks

President Donald Trump’s administration on Wednesday announced a wave of environmental rollbacks targeting Biden-era green policies, including carbon limits on power plants, tailpipe emissions standards and protections for waterways.The 31 actions are part of what Environmental Protection Agency Administrator Lee Zeldin called “the greatest and most consequential day of deregulation in US history,” as he promised to “unleash American energy” and “revitalize the American auto industry.”Among the most significant of them is revisiting a 2024 rule that requires coal-fired plants to eliminate nearly all their carbon emissions or commit to shutting down altogether, a cornerstone of former Democratic president Joe Biden’s climate agenda.Hailed by environmental groups as a “gamechanger,” the regulations were set to take effect from 2032 and would have also required new, high capacity gas-fired plants to slash their carbon dioxide output by the same amount — 90 percent — achievable only through carbon capture technology.The Biden administration estimated the rule would prevent 1.4 billion metric tons of carbon entering the atmosphere through the year 2047, equivalent to nearly one year of total greenhouse gas emissions from the power sector in 2022.- ‘Polluters are celebrating’ -“Corporate polluters are celebrating today because Trump’s EPA just handed them a free pass to spew unlimited climate pollution, consequences be damned,” said Charles Harper, of the nonprofit Evergreen Action.President Trump has long dismissed climate change as a “scam” and his second administration has begun enacting sweeping staff cuts at the National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), vital to the nation’s climate research efforts. The new deregulation package also targets stricter vehicle emissions standards set to come into force by 2027, which Trump has derided as an “electric vehicle mandate.” Another major move involves redefining what constitutes “waters of the United States” under the Clean Water Act. Zeldin’s EPA argues that the Biden administration had failed to align with a 2023 Supreme Court ruling, which held that only “relatively permanent, standing or continuously flowing bodies of water,” such as streams, rivers, lakes, and oceans — should be covered.- Mass layoffs expected -Environmental group Earthjustice warned that it excluded tens of millions of acres of wetlands, vital ecosystems that filter water and provide flood protection, as well as millions of miles of small streams that provide drinking water and help generate tourism. The EPA is also set to eliminate the nation’s environmental justice offices that address pollution in low-income and minority communities across the United States, including Louisiana’s infamous “Cancer Alley,” which accounts for around a quarter of US petrochemical production.”President Trump wants us to help usher in a golden age in America that is for all Americans, regardless of race, gender, background,” Zeldin told reporters.But Matthew Tejada of the nonprofit Natural Resources Defense Council said “Trump’s EPA is taking us back to a time of unfettered pollution across the nation, leaving every American exposed to toxic chemicals, dirty air and contaminated water.”Grants that EPA has moved to cancel were “helping rural Virginia coal communities prepare for extreme flooding, installing sewage systems on rural Alabama homes, and turning an abandoned, polluted site in Tampa, Florida into a campus for healthcare, job training, and a small business development,” added Tejada, who led EPA’s environmental justice office under Biden.Zeldin’s EPA budget is expected to be reduced by 65 percent and the agency is preparing for mass layoffs.

Inondations en Argentine: Milei annonce un fonds d’aide de 172 millions d’euros

Le président argentin Javier Milei a annoncé mercredi la création d’un fonds de 200 milliards de pesos, soit environ 172 millions d’euros, pour venir en aide à la ville de Bahia Blanca, frappée vendredi par une tempête qui a fait au moins 16 morts. Les fonds seront attribués “sans intermédiaires”, a ajouté la présidence dans son communiqué publié sur X. Le dirigeant ultra-libéral s’est rendu plus tôt dans la journée dans la ville dévastée, où les inondations ont provoqué “des dégâts importants” pour plus de 70% des habitants, selon les déclarations du maire de Bahia Blanca, Federico Susbielles, lors d’une conférence de presse.”Nous allons nous relever”, a assuré le responsable, en indiquant que la zone était sortie de la phase d’urgence.La ville portuaire de 350.000 habitants, située dans le sud de la province de Buenos Aires, a été frappée vendredi par des pluies torrentielles.Face à l’émotion suscitée par la catastrophe, le gouvernement argentin avait rapidement décrété trois jours de deuil national et promis une aide de 10 milliards de pesos (environ 9,2 millions de dollars, 8,7 milliards d’euros) à Bahia Blanca.Le maire a estimé qu’environ 400 millions de dollars seraient nécessaires pour reconstruire la ville. Les secouristes continuent de rechercher les deux sÅ“urs âgées de 1 et 5 ans emportées par le courant avec leur mère, qui a survécu.”Il est probable qu’il y ait davantage de morts”, a prévenu mardi sur Radio Mitre le procureur général de Bahia Blanca, Juan Pablo Fernandez. La justice a reçu des dizaines de plaintes pour pillages de commerces et de maisons abandonnées. “Nous avons arrêté 17 personnes”, a indiqué M. Fernandez.Un train chargé de plusieurs tonnes de nourriture, de vêtements et de produits d’hygiène est arrivé mercredi dans la ville avec des dons recueillis le long des 600 km qui la séparent de la capitale argentine. Plus de 4.000 bénévoles ont répondu à un appel lancé par la mairie pour aider à la distribution et aux travaux de nettoyage. L’eau a inondé le principal hôpital de la ville qui a dû être évacué et endommagé de nombreuses écoles, toujours fermées. Elle a aussi détruit ponts et routes et tout balayé sur son passage, laissant derrière elle des voitures amoncelées, des maisons saccagées et un millier de personnes évacuées, dont environ 370 sont toujours hébergées dans des centres d’accueil. 

Inondations en Argentine: Milei annonce un fonds d’aide de 172 millions d’euros

Le président argentin Javier Milei a annoncé mercredi la création d’un fonds de 200 milliards de pesos, soit environ 172 millions d’euros, pour venir en aide à la ville de Bahia Blanca, frappée vendredi par une tempête qui a fait au moins 16 morts. Les fonds seront attribués “sans intermédiaires”, a ajouté la présidence dans son communiqué publié sur X. Le dirigeant ultra-libéral s’est rendu plus tôt dans la journée dans la ville dévastée, où les inondations ont provoqué “des dégâts importants” pour plus de 70% des habitants, selon les déclarations du maire de Bahia Blanca, Federico Susbielles, lors d’une conférence de presse.”Nous allons nous relever”, a assuré le responsable, en indiquant que la zone était sortie de la phase d’urgence.La ville portuaire de 350.000 habitants, située dans le sud de la province de Buenos Aires, a été frappée vendredi par des pluies torrentielles.Face à l’émotion suscitée par la catastrophe, le gouvernement argentin avait rapidement décrété trois jours de deuil national et promis une aide de 10 milliards de pesos (environ 9,2 millions de dollars, 8,7 milliards d’euros) à Bahia Blanca.Le maire a estimé qu’environ 400 millions de dollars seraient nécessaires pour reconstruire la ville. Les secouristes continuent de rechercher les deux sÅ“urs âgées de 1 et 5 ans emportées par le courant avec leur mère, qui a survécu.”Il est probable qu’il y ait davantage de morts”, a prévenu mardi sur Radio Mitre le procureur général de Bahia Blanca, Juan Pablo Fernandez. La justice a reçu des dizaines de plaintes pour pillages de commerces et de maisons abandonnées. “Nous avons arrêté 17 personnes”, a indiqué M. Fernandez.Un train chargé de plusieurs tonnes de nourriture, de vêtements et de produits d’hygiène est arrivé mercredi dans la ville avec des dons recueillis le long des 600 km qui la séparent de la capitale argentine. Plus de 4.000 bénévoles ont répondu à un appel lancé par la mairie pour aider à la distribution et aux travaux de nettoyage. L’eau a inondé le principal hôpital de la ville qui a dû être évacué et endommagé de nombreuses écoles, toujours fermées. Elle a aussi détruit ponts et routes et tout balayé sur son passage, laissant derrière elle des voitures amoncelées, des maisons saccagées et un millier de personnes évacuées, dont environ 370 sont toujours hébergées dans des centres d’accueil. 

Les députés adoptent une résolution de soutien à l’Ukraine appelant à saisir les avoirs russes

Les députés ont adopté mercredi une résolution sur le renforcement du soutien à l’Ukraine, contenant notamment un appel à la saisie des avoirs russes gelés, à laquelle s’oppose le gouvernement.Sur cette question, comme sur celle de la construction d’une Europe de la défense ou encore du soutien au processus d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, l’hémicycle s’est toutefois montré divisé lors des débats, parfois houleux. Le texte a été adopté avec 288 voix pour, et 54 contre, avec le soutien notamment des députés macronistes, socialistes, écologistes, et des partis de droite Les Républicains et Horizons. La France insoumise (LFI) et des députés communistes ont voté contre. Le Rassemblement national (RN) s’est lui abstenu.L’examen de ce texte intervient en plein tumulte géopolitique, marqué par l’accélération des négociations de paix, avec l’accord de l’Ukraine à une proposition américaine de cessez-le-feu de 30 jours avec la Russie.La résolution a essentiellement une valeur symbolique, mais les députés espèrent qu’elle leur permette de peser sur la ligne du gouvernement. La résolution appelle l’UE, l’Otan et “les autres pays alliés” à “poursuivre et à accroître leur soutien politique, économique et militaire à l’Ukraine”.Les députés ont en outre amendé le texte pour inviter l’UE “à bâtir une défense européenne indépendante”.Mais le sujet des avoirs russes s’est particulièrement imposé, alors que les appels se multiplient en Europe en faveur d’une saisie.Le texte final “exhorte l’Union européenne et ses États membres à procéder sans délai à la saisie des avoirs russes gelés et immobilisés, (…), afin de financer le soutien militaire à l’Ukraine dans sa résistance, et sa reconstruction.”Des députés LFI et RN se sont opposés à cette idée, qui enfreint selon eux le droit international. Selon le député du groupe indépendant Liot Laurent Mazaury (Liot), rapporteur du texte, le “droit coutumier” permet d’utiliser les avoirs s’ils sont “bien dédiés à la problématique de la soutenance à l’Ukraine et à la reconstruction de l’Ukraine”, sans “en faire d’autres usages”.- Levier -Les intérêt que génèrent les avoirs russes servent déjà à aider Kiev.Mais “la saisie totale du principal de ces avoirs pose des questions juridiques” et “la question du précédent économique que ça pourrait représenter pour les investisseurs étrangers”, a déclaré dans l’hémicycle le ministre chargé de l’Europe Benjamin Haddad. “Cela étant dit, (…) c’est un levier dont nous disposons dans le rapport de force et dans la négociation avec la Russie”, a-t-il ajouté, en ne s’opposant pas frontalement à l’inclusion de cette mesure dans le texte, et émettant un “avis de sagesse”, ni favorable ni défavorable, sur l’amendement discuté.Le député socialiste Thierry Sother s’est félicité du “chemin” parcouru “collectivement” sur la question. Et a accusé certains députés d’être des “patriotes de pacotille” qui “disent la main sur le coeur, oui, nous soutenons l’Ukraine, mais dès qu’il faut agir, ils ne sont plus là”.LFI et le RN ont par ailleurs accusé la résolution de porter un message belliciste. Elle “va nourrir les hostilités et porte en elle les germes d’une nouvelle guerre”, a tonné la députée insoumise Sophia Chikirou. “Lorsqu’on vote la guerre, il faut être capable d’aller la mener. Vous avez des suppléants? Démissionnez quand nous rentrons en guerre et allez au front”, a même lancé le député RN Marc de Fleurian. “Nous voulons que l’Union européenne soit forte précisément pour arrêter la guerre, pour défendre l’Ukraine”, a rétorqué Patrick Mignola, ministre des Relations avec le Parlement. – Gaz et troupes -Marine Le Pen avait fait savoir mardi être opposée à la résolution en raison d’un alinéa sur l’adhésion de l’Ukraine à l’UE. Le texte dans sa version finale invite l’UE à “accompagner le processus d’adhésion”.Autre point ayant soulevé des débats: la question de l’importation de gaz russe par les pays de l’UE, à laquelle la résolution appelle à “mettre fin”, et celle de la présence sur le sol ukrainien de soldats français en cas d’accord de paix. Le texte final, amendé, “encourage le gouvernement français et ses partenaires européens à étudier l’eventualité d’un déploiement de forces européennes de maintien de la paix en Ukraine”.Le député François Ruffin (groupe écologiste) a critiqué un texte formulant un “appui à l’Ukraine”, mais pas seulement: “derrière, il faudrait qu’on soit automatiquement d’accord sur l’Europe de la défense”. “Ce pêle-mêle empêche qu’il y ait un consensus large dans cette assemblée”, a-t-il déploré. 

C1: le Real Madrid, immortel, élimine l’Atlético aux tirs au but et verra les quarts

Au bout d’un effort titanesque et d’une séance de tirs au but où la réussite a tourné en sa faveur (4-2), le Real Madrid, battu dans le temps réglementaire (1-0), est venu à bout de l’Atlético, et s’est qualifié pour les quarts de finale de Ligue des champions.Seul le Roi d’Europe et ses quinze couronnes auraient pu survivre à un tel combat.Au bout de la nuit, les hommes de Carlo Ancelotti ont surmonté les crampes et les ischios qui sifflent, pour sortir vainqueurs d’une bataille dont la plupart des équipes européennes ne seraient probablement jamais sortis vivantes.Ils vont donc poursuivre leur route vers un seizième sacre, objectif affiché l’été dernier lors de la signature de Kylian Mbappé, grâce à une séance de tirs au but qui a tourné en leur faveur. L’Argentin Julian Alvarez, qui pensait avoir marqué, a été le héros malheureux du soir pour l’Atlético, en voyant dans une scène assez surréaliste son penalty refusé après intervention de la VAR car il avait touché la balle du pied gauche en glissant.L’Espagnol Marcos Llorente a, lui, trouvé la barre transversale, avant que l’Allemand Antonio Rüdiger ne transforme le cinquième tir des siens pour envoyer le Real en quarts (4-2), faisant chavirer les plusieurs milliers de supporters madrilènes présents dans l’enceinte rivale.Les Colchoneros peuvent penser qu’ils sont toujours maudits, eux qui n’ont jamais pu battre leurs voisins et rivaux en C1, en six confrontations désormais (1958-59, 2013-14, 2014-15, 2015-2016, 2016-2017 et 2024-25).- Courtois encore en sauveur -Les hommes de Diego Simeone, dont la devise est “coeur et courage”, ont eu beaucoup de coeur, et peut-être encore plus de courage. Poussés jusqu’au bout par le souffle de leur supporters, ils ont réalisé un grand match, qui aurait certainement fait plier n’importe quelle autre écurie européenne.Mais cela n’a pas suffi, face au Roi d’Europe et son armada de stars, capable de plier sans rompre, et de vaincre sans briller. Il en a fait la démonstration mercredi, malgré une ambiance électrique et hostile, et un début de match complètement raté.Même dans ses rêves, l’emblématique coach argentin Diego Simeone n’aurait, de fait, pas pu rêver d’un meilleur scenario. Et les Madrilènes d’un pire départ.Les Rojiblancos ont effacé leur retard dès la 28e seconde de jeu, sur leur première action: le milieu anglais Conor Gallagher, qui avait bien suivi un centre de l’Argentin Rodrigo De Paul, dévié au premier poteau par son compatriote Julian Alvarez, a ouvert le score et fait chavirer le Metropolitano (1e, 1-0).Affamés sur chaque ballon, ils sont ensuite tombés sur un immense Thibaut Courtois, à nouveau déterminant pour maintenir la Maison Blanche à flot, malgré une violente houle.Le gardien belge, impérial sur sa ligne, a sauvé les siens avec plusieurs parades décisives devant Julian Alvarez (26e, 39e, 47e), et l’intenable Giuliano Simeone (71e), pas récompensé pour son immense match côté droit.Le Real, sans solutions face à deux lignes de quatre extrêmement disciplinées, et dont les attaquants ont été bien contenus, ont su souffrir, en sachant que l’un de ses quatre fantastiques pourrait faire la différence.Et le plus attendu d’entre eux, Kylian Mbappé, a saisi sa chance, sur son seul ballon lancé avec un peu d’espace, pour se faufiler entre Mario Gimenez et Clément Lenglet, contraint à la faute dans la surface pour le stopper (69e).Son compère Vinicius Jr, transparent à gauche, a voulu jouer les sauveurs, mais a envoyé le penalty en tribune (70e), laissant le buteur français de marbre.Mbappé n’a ensuite pas tremblé lors de la séance, comme premier tireur, pour placer les siens sur la route d’un nouveau succès dont eux seuls ont le secret.

Ligue des champions: rêve brisé pour Lille, le Real se fait très peur

L’aventure de Lille en Ligue des champions a pris fin douloureusement au stade des 8e de finale avec une défaite 2-1 à domicile mercredi face au Borussia Dortmund, alors que le Real Madrid, tenant du titre, a dû en passer par la séance des tirs au but pour écarter son vieux rival, l’Atletico (0-1, 4  t.a.b à 2). Le Losc, qui avait réussi à ramener un nul (1-1) d’Allemagne il y a une semaine, a manqué le match retour devant son public, incapable de se hisser à la hauteur de l’évènement et laissant échapper une occasion unique d’accéder pour la première fois de son histoire aux quarts de finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes. Malgré l’ouverture du score rapide de Jonathan David (5e) après une énorme bourde du gardien du Borussia Gregor Kobel, les Lillois ont très vite été malmenés, ne résistant que grâce aux multiples arrêts de Lucas Chevalier. Mais le jeune gardien international français (23 ans) a tout de même fini par céder à deux reprises, sur un penalty transformé par Emre Can (54e) puis sur une frappe puissante de Maximilian Beler (66e). Le Borussia, finaliste de la dernière édition, a été supérieur mais le dénouement est tout de même très frustrant après le très beau parcours de l’équipe de Bruno Genesio, victorieuse du Real Madrid et de l’Atletico de Madrid en phase de ligue et qualifiée directement pour les 8e de finale sans passer par les barrages. Le Real Madrid a lui connu toutes les peines du monde à venir à bout de l’Atlético. Le champion d’Europe, qui avait une petite longueur d’avance après l’aller à Santiago-Bernabeu (2-1), a rendu une copie très terne, encaissant un but au bout de seulement 27 secondes, et ses stars offensives ont été impuissantes face à la défense de fer bâtie par Diego Simeone, à l’image de Kylian Mbappé, parfaitement muselé.Vinicius a lui totalement raté un penalty en forme de balle de match en seconde période (69e), sifflé pour une faute de Clément Lenglet sur Kylian Mbappé, fauché dans la surface de réparation après un raid fantastique. La décision s’est faite aux tirs au but, l’Atlético échouant deux fois (Julian Alvarez, Marcos Lllorente) et permettant au Real de s’éviter une sortie de route précoce qui n’aurait pas manqué de produire des secousses au sein du club aux 15 C1. Les deux clubs anglais en lice mercredi ont eux logiquement passé le cap des 8e de finale après avoir fait l’essentiel à l’aller. Le PSG connait ainsi son adversaire au prochain tour puisqu’Aston Villa, fort de son succès 3-1 en Belgique, a pu dérouler à Birmingham (3-0) contre Bruges, réduit à dix dès la 16e minute après l’exclusion de Kyriani Sabbe.Arsenal, qui avait étrillé le PSV à Eindhoven (7-1), s’est contenté d’un nul contre les Bataves à l’Emirates Stadium (2-2) et s’est offert le droit de défier le Real Madrid.      Â