Advocacy group fears US will steer broadband cash to Musk

An internet rights group on Tuesday raised alarm over reports the United States may steer billions of dollars to Elon Musk’s Starlink by making changes to a rural broadband deployment program.Net neutrality supporter Free Press spoke out after the Wall Street Journal reported that the Department of Commerce could set Musk up for a windfall by overhauling a $42.5 billion program established under former President Joe Biden to bring broadband internet service to rural parts of the country.Commerce Secretary Howard Lutnick has told staff he plans to significantly increase the share of money available to satellite-internet providers such as Starlink rather than firms that use fiber-optic cables to deliver high-speed internet service, the Journal reported, citing people familiar with the situation.Starlink is a unit of Musk’s SpaceX company.Musk — the world’s wealthiest person and a top donor to Donald Trump’s 2024 campaign — has status as a “special government employee” and “senior adviser to the president.”Trump put Musk in charge of the newly created Department of Government Efficiency that has been slashing the ranks of US agencies under the auspices of budget cutting.”The Trump administration is undermining an essential bipartisan program designed to bring reliable and affordable broadband to tens of millions of Americans — and it’s doing so just to line Elon Musk’s already bulging pockets,” Free Press co-chief Craig Aaron said in a statement.The Commerce Department did not respond to a request for comment.During the Biden administration, the Federal Communications Commission rejected Starlink’s application for nearly $900 million in subsidies on the grounds it failed to show it could meet service requirements, Free Press noted.Fiber optic cables are considered faster and more reliable than satellites for broadband internet service.Congress created the Broadband Equity, Access and Deployment Program as part of a 2021 infrastructure bill that Biden signed into law.Proposals from every US state have been approved, but critics argue the program is moving too slowly.The bill called on states to prioritize reliable, fast broadband service built to last, according to Free Press.”The Trump administration is throwing out this sensible approach to favor only providers who are stationed inside the White House,” Aaron said.”From the FAA to the Defense Department, giving billions to Musk seems to be the Trump administration’s top priority, and now the Commerce Department is getting in on the action,” he added.Starlink internet service can currently be accessed by anyone in the United States, and the company doesn’t need taxpayer subsidies, Free Press argued.

L’Allemagne sort le “bazooka” pour sa défense et son économie

L’Allemagne veut débloquer des investissements sans précédent de centaines de milliards d’euros pour renforcer son armée, au vu de la fracture en cours avec les Etats-Unis, et faire repartir son économie en récession, en s’affranchissant de ses règles de discipline budgétaire.Ces projets prévus pour les prochaines années, qualifiés de “grand bazooka” par les économistes et annoncés mardi soir par les partis conservateur et social-démocrate qui négocient la formation du futur gouvernement, traduisent une accélération spectaculaire des bouleversements à l’œuvre dans la première économie européenne.Ils ont été provoqués par la rupture transatlantique amorcée par le président Donald Trump et son rapprochement avec la Russie, aux dépens de l’Ukraine et de l’Europe.Après des décennies durant lesquelles l’Allemagne s’est placée sous la protection du parapluie américain, le pays s’engage dans un réarmement national et européen d’ampleur inédite. Il ouvre pour cela sans compter les vannes des dépenses publiques, quitte à mettre de côté des décennies d’orthodoxie budgétaire.”Compte tenu des dangers qui menacent notre liberté et la paix sur notre continent, le mot d’ordre pour notre défense doit être: quoi qu’il en coûte!”, a déclaré le futur chancelier conservateur allemand Friedrich Merz, en reprenant le mot d’ordre de la Banque centrale européenne pour sauver la zone euro durant la crise de la dette en 2012.- La BCE en exemple -Le vainqueur des récentes élections a annoncé dans la soirée à Berlin avoir conclu un accord en ce sens avec les sociaux-démocrates du SPD, avec qui il négocie la constitution de la future coalition gouvernementale.Concernant la défense, les deux formations vont demander la semaine prochaine un vote à la Chambre des députés pour assouplir les règles nationales constitutionnelles qui plafonnent strictement le déficit budgétaire annuel.Toutes les dépenses de défense dépassant le seuil de 1 point de pourcentage du Produit intérieur brut allemand pourront être votées sans tenir compte de ce mécanisme dit du “frein à l’endettement”. Ce dernier limite en principe le déficit annuel du gouvernement à 0,35% du PIB.   L’objectif envisagé est ainsi d’atteindre un ordre de grandeur d'”au moins 100 milliards d’euros par an” de dépenses pour la défense, a dit dans la soirée une des négociatrices du SPD, Manuela Schwesig, sur la chaîne ARD, soit deux fois plus que ce qui est prévu actuellement. Cela rapprocherait l’Allemagne du seuil annuel de 3% du PIB consacrés à la défense, correspondant au nouvel objectif que pourraient bientôt se fixer les pays de l’Otan. Le ministre de la Défense, Boris Pistorius, a parlé dans le Spiegel d'”un jour historique pour la Bundeswehr et l’Allemagne”, qui va pouvoir assumer “un rôle moteur” pour renforcer l’Otan et l’Europe.- ‘Signal’ -“Nous envoyons un signal aux amis et aux ennemis: l’Allemagne est là. L’Allemagne ne se retire pas. Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger, renforcer l’Allemagne. Et faire avancer l’Europe”, a dit de son côté un dirigeant conservateur, Markus Söder.Autre réforme du “frein à l’endettement” annoncée: les Etats régionaux vont être autorisés à faire du déficit, jusqu’à 0,35% du PIB annuel, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici. Dans le même temps, M. Merz a dit vouloir débloquer “rapidement” une aide militaire supplémentaire comprise entre 3 et 3,5 milliards d’euros pour l’Ukraine, suite à la décision des Etats-Unis de suspendre la leur.En outre, un accord a été trouvé sur un gigantesque plan de subventions publiques pour améliorer les infrastructures et la “compétitivité économique” du pays: le retour à la croissance, dans un pays en récession depuis deux ans, est perçu comme la condition pour pouvoir financer l’effort dans la défense. Concrètement les partis vont faire voter la création d’un fonds spécial de 500 milliards d’euros sur dix ans en ce sens.”L’Allemagne pense à nouveau en grand”, a commenté l’économiste Carsten Brzeski, de la banque ING.Les deux mesures nécessitent une majorité des deux-tiers à la Chambre des députés car elles requièrent une exception aux règles constitutionnelles. Cette majorité peut être trouvée dans l’actuel Bundestag fonctionnant jusqu’à fin mars – d’où l’urgence des annonces – mais elle serait beaucoup plus difficile à trouver dans la prochaine, issue des législatives, du fait de la poussée des partis extrémistes. 

L’Allemagne sort le “bazooka” pour sa défense et son économie

L’Allemagne veut débloquer des investissements sans précédent de centaines de milliards d’euros pour renforcer son armée, au vu de la fracture en cours avec les Etats-Unis, et faire repartir son économie en récession, en s’affranchissant de ses règles de discipline budgétaire.Ces projets prévus pour les prochaines années, qualifiés de “grand bazooka” par les économistes et annoncés mardi soir par les partis conservateur et social-démocrate qui négocient la formation du futur gouvernement, traduisent une accélération spectaculaire des bouleversements à l’œuvre dans la première économie européenne.Ils ont été provoqués par la rupture transatlantique amorcée par le président Donald Trump et son rapprochement avec la Russie, aux dépens de l’Ukraine et de l’Europe.Après des décennies durant lesquelles l’Allemagne s’est placée sous la protection du parapluie américain, le pays s’engage dans un réarmement national et européen d’ampleur inédite. Il ouvre pour cela sans compter les vannes des dépenses publiques, quitte à mettre de côté des décennies d’orthodoxie budgétaire.”Compte tenu des dangers qui menacent notre liberté et la paix sur notre continent, le mot d’ordre pour notre défense doit être: quoi qu’il en coûte!”, a déclaré le futur chancelier conservateur allemand Friedrich Merz, en reprenant le mot d’ordre de la Banque centrale européenne pour sauver la zone euro durant la crise de la dette en 2012.- La BCE en exemple -Le vainqueur des récentes élections a annoncé dans la soirée à Berlin avoir conclu un accord en ce sens avec les sociaux-démocrates du SPD, avec qui il négocie la constitution de la future coalition gouvernementale.Concernant la défense, les deux formations vont demander la semaine prochaine un vote à la Chambre des députés pour assouplir les règles nationales constitutionnelles qui plafonnent strictement le déficit budgétaire annuel.Toutes les dépenses de défense dépassant le seuil de 1 point de pourcentage du Produit intérieur brut allemand pourront être votées sans tenir compte de ce mécanisme dit du “frein à l’endettement”. Ce dernier limite en principe le déficit annuel du gouvernement à 0,35% du PIB.   L’objectif envisagé est ainsi d’atteindre un ordre de grandeur d'”au moins 100 milliards d’euros par an” de dépenses pour la défense, a dit dans la soirée une des négociatrices du SPD, Manuela Schwesig, sur la chaîne ARD, soit deux fois plus que ce qui est prévu actuellement. Cela rapprocherait l’Allemagne du seuil annuel de 3% du PIB consacrés à la défense, correspondant au nouvel objectif que pourraient bientôt se fixer les pays de l’Otan. Le ministre de la Défense, Boris Pistorius, a parlé dans le Spiegel d'”un jour historique pour la Bundeswehr et l’Allemagne”, qui va pouvoir assumer “un rôle moteur” pour renforcer l’Otan et l’Europe.- ‘Signal’ -“Nous envoyons un signal aux amis et aux ennemis: l’Allemagne est là. L’Allemagne ne se retire pas. Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger, renforcer l’Allemagne. Et faire avancer l’Europe”, a dit de son côté un dirigeant conservateur, Markus Söder.Autre réforme du “frein à l’endettement” annoncée: les Etats régionaux vont être autorisés à faire du déficit, jusqu’à 0,35% du PIB annuel, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici. Dans le même temps, M. Merz a dit vouloir débloquer “rapidement” une aide militaire supplémentaire comprise entre 3 et 3,5 milliards d’euros pour l’Ukraine, suite à la décision des Etats-Unis de suspendre la leur.En outre, un accord a été trouvé sur un gigantesque plan de subventions publiques pour améliorer les infrastructures et la “compétitivité économique” du pays: le retour à la croissance, dans un pays en récession depuis deux ans, est perçu comme la condition pour pouvoir financer l’effort dans la défense. Concrètement les partis vont faire voter la création d’un fonds spécial de 500 milliards d’euros sur dix ans en ce sens.”L’Allemagne pense à nouveau en grand”, a commenté l’économiste Carsten Brzeski, de la banque ING.Les deux mesures nécessitent une majorité des deux-tiers à la Chambre des députés car elles requièrent une exception aux règles constitutionnelles. Cette majorité peut être trouvée dans l’actuel Bundestag fonctionnant jusqu’à fin mars – d’où l’urgence des annonces – mais elle serait beaucoup plus difficile à trouver dans la prochaine, issue des législatives, du fait de la poussée des partis extrémistes. 

L’Allemagne sort le “bazooka” pour sa défense et son économie

L’Allemagne veut débloquer des investissements sans précédent de centaines de milliards d’euros pour renforcer son armée, au vu de la fracture en cours avec les Etats-Unis, et faire repartir son économie en récession, en s’affranchissant de ses règles de discipline budgétaire.Ces projets prévus pour les prochaines années, qualifiés de “grand bazooka” par les économistes et annoncés mardi soir par les partis conservateur et social-démocrate qui négocient la formation du futur gouvernement, traduisent une accélération spectaculaire des bouleversements à l’œuvre dans la première économie européenne.Ils ont été provoqués par la rupture transatlantique amorcée par le président Donald Trump et son rapprochement avec la Russie, aux dépens de l’Ukraine et de l’Europe.Après des décennies durant lesquelles l’Allemagne s’est placée sous la protection du parapluie américain, le pays s’engage dans un réarmement national et européen d’ampleur inédite. Il ouvre pour cela sans compter les vannes des dépenses publiques, quitte à mettre de côté des décennies d’orthodoxie budgétaire.”Compte tenu des dangers qui menacent notre liberté et la paix sur notre continent, le mot d’ordre pour notre défense doit être: quoi qu’il en coûte!”, a déclaré le futur chancelier conservateur allemand Friedrich Merz, en reprenant le mot d’ordre de la Banque centrale européenne pour sauver la zone euro durant la crise de la dette en 2012.- La BCE en exemple -Le vainqueur des récentes élections a annoncé dans la soirée à Berlin avoir conclu un accord en ce sens avec les sociaux-démocrates du SPD, avec qui il négocie la constitution de la future coalition gouvernementale.Concernant la défense, les deux formations vont demander la semaine prochaine un vote à la Chambre des députés pour assouplir les règles nationales constitutionnelles qui plafonnent strictement le déficit budgétaire annuel.Toutes les dépenses de défense dépassant le seuil de 1 point de pourcentage du Produit intérieur brut allemand pourront être votées sans tenir compte de ce mécanisme dit du “frein à l’endettement”. Ce dernier limite en principe le déficit annuel du gouvernement à 0,35% du PIB.   L’objectif envisagé est ainsi d’atteindre un ordre de grandeur d'”au moins 100 milliards d’euros par an” de dépenses pour la défense, a dit dans la soirée une des négociatrices du SPD, Manuela Schwesig, sur la chaîne ARD, soit deux fois plus que ce qui est prévu actuellement. Cela rapprocherait l’Allemagne du seuil annuel de 3% du PIB consacrés à la défense, correspondant au nouvel objectif que pourraient bientôt se fixer les pays de l’Otan. Le ministre de la Défense, Boris Pistorius, a parlé dans le Spiegel d'”un jour historique pour la Bundeswehr et l’Allemagne”, qui va pouvoir assumer “un rôle moteur” pour renforcer l’Otan et l’Europe.- ‘Signal’ -“Nous envoyons un signal aux amis et aux ennemis: l’Allemagne est là. L’Allemagne ne se retire pas. Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger, renforcer l’Allemagne. Et faire avancer l’Europe”, a dit de son côté un dirigeant conservateur, Markus Söder.Autre réforme du “frein à l’endettement” annoncée: les Etats régionaux vont être autorisés à faire du déficit, jusqu’à 0,35% du PIB annuel, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici. Dans le même temps, M. Merz a dit vouloir débloquer “rapidement” une aide militaire supplémentaire comprise entre 3 et 3,5 milliards d’euros pour l’Ukraine, suite à la décision des Etats-Unis de suspendre la leur.En outre, un accord a été trouvé sur un gigantesque plan de subventions publiques pour améliorer les infrastructures et la “compétitivité économique” du pays: le retour à la croissance, dans un pays en récession depuis deux ans, est perçu comme la condition pour pouvoir financer l’effort dans la défense. Concrètement les partis vont faire voter la création d’un fonds spécial de 500 milliards d’euros sur dix ans en ce sens.”L’Allemagne pense à nouveau en grand”, a commenté l’économiste Carsten Brzeski, de la banque ING.Les deux mesures nécessitent une majorité des deux-tiers à la Chambre des députés car elles requièrent une exception aux règles constitutionnelles. Cette majorité peut être trouvée dans l’actuel Bundestag fonctionnant jusqu’à fin mars – d’où l’urgence des annonces – mais elle serait beaucoup plus difficile à trouver dans la prochaine, issue des législatives, du fait de la poussée des partis extrémistes. 

C1: Ethan Mbappé, un pari en demi-teinte pour Genesio face à Dortmund

Titularisé avec Lille mardi soir pour la première fois en Ligue des champions à 18 ans, Ethan Mbappé n’a pas connu la même réussite contre le Borussia Dortmund au Westfalenstadion que son frère Kylian il y a huit ans.C’était la surprise du chef sortie du chapeau de l’entraîneur de Lille Bruno Genesio, une heure avant le coup d’envoi, sur la traditionnelle feuille de match. A la place de Mitchel Bakker, c’est Ethan Mbappé qui a été préféré dans l’animation offensive lilloise sur l’aile droite.”Ethan a fait une bonne rentrée à Paris (défaite 4-1 samedi, NDLR) et j’avais envie aussi d’avoir de la percussion, de la vitesse devant, s’est expliqué le Lyonnais de 58 ans après la rencontre. On a beaucoup de problèmes avec les joueurs offensifs: certains sont encore blessés, d’autres reviennent simplement de blessures, je pense à Matias Fernandez-Pardo, à Rémy Cabella. On voulait exploiter la profondeur et les espaces dans le dos de la défense. Ethan Mbappé a fait, je trouve, une heure très intéressante.”Le technicien lillois est un habitué des paris tactiques tentés cette saison en Ligue des champions. Contre l’Atlético de Madrid, il avait aligné une équipe extrêmement jeune qui s’était imposée au Metropolitano (3-1). À Bologne, ça lui avait aussi bien réussi en alignant Ngal’ayel Mukau en meneur de jeu, avec une victoire à la clef (2-1).- Le plus dangereux en première période -Depuis le début de la saison, les occasions de titulariser Ethan Mbappé étaient assez rares pour Bruno Genesio.Victime d’une entorse en juillet, puis blessé à une cuisse en début de saison, le frère cadet de Kylian Mbappé a ensuite dû être opéré début octobre d’une rupture d’un quadriceps.Cette intervention chirurgicale l’a éloigné des terrains jusqu’au début jusqu’à la fin janvier 2025, avec quelques minutes grappillées lors de la défaite en Ligue 1 contre Strasbourg (2-1).Mardi soir, dans l’imposant Westfalenstadion de Dortmund, avec ses 80.000 spectateurs environ et son immense tribune debout (25.000 personnes) du “Mur jaune” des ultras de Dortmund, il a été l’un des Lillois les plus en vue, dans une partie très fermée et assez avare en occasions de but.C’est lui qui a amené les principales et rares situations de danger en première période sur le but de Gregor Kobel, pour une équipe lilloise plus que timide.Dès la 5e minute, son centre a été repoussé de la tête par le capitaine de Dortmund Emre Can. Et à la 30e minute, son centre fuyant du pied gauche a été capté sans problème par le portier suisse du BVB.- “Qualités fortes pour le football moderne” -“C’est un garçon qui a, je trouve, des qualités fortes pour le football moderne, notamment pour un joueur offensif. Il va vite, est capable de percuter balle au pied, possède une grande confiance en lui”, avait estimé Bruno Genesio après le match contre Le Havre (défaite 2-1), au cours duquel Ethan Mbappé avait disputé la seconde période.En seconde période, juste avant l’égalisation de son équipe par le duo Jonathan David-Hakon Haraldsson, il a tenté sa chance du pied gauche sur un coup franc provoqué par David, mais sa frappe n’a pas franchi le mur de Dortmund.”Lorsque le joueur revient à la compétition, il a besoin de retrouver du rythme, le rythme des matches, parce que rien ne remplace les matches”, avait glissé Genesio début février.Mbappé n’avait probablement pas encore 90 minutes dans les jambes et est sorti à la 71e pour laisser sa place à Mathias Fernandez-Pardo, qui revient lui aussi de blessure.Lille a quitté Dortmund avec le match nul (1-1) et l’espoir intact de rejoindre les quarts de finale, quand huit ans plus tôt, en avril 2017, le frère aîné d’Ethan avait inscrit un doublé à 18 ans pour mettre Monaco sur la voie des demi-finales de la Ligue des champions.