South Africa bus crash toll climbs to 16Tue, 11 Mar 2025 12:25:09 GMT
A bus overturned in an area of Johannesburg near South Africa’s main airport early on Tuesday, killing at least 16 people, city officials said, with dozens more injured.The bus was carrying more than 50 people to work when it crashed on a busy road near Johannesburg’s OR Tambo International Airport, officials said.The Road Traffic Management …
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L’Ukraine et les Etats-Unis discutent d’un cessez-le-feu partiel avec la Russie
L’Ukraine et les Etats-Unis ont entamé des discussions mardi en Arabie saoudite, avec une proposition ukrainienne de cessez-le-feu partiel avec la Russie sur la table, quelques heures après une attaque massive de drones visant notamment la région de Moscou. Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, et le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Andriy Sybiga, participent à cette réunion à Jeddah, ville au bord de la mer Rouge. Elle intervient à un moment où le président américain, Donald Trump, a accentué la pression sur l’Ukraine pour mettre fin à la guerre qui a débuté avec l’invasion russe du pays en février 2022.”Nous sommes prêts à tout faire pour parvenir à la paix”, a déclaré le chef du bureau présidentiel ukrainien, Andriï Iermak, à des journalistes en entrant dans la salle des négociations, ajoutant que la réunion avait débuté “de façon très constructive”.Mais au moment où l’Ukraine espère retrouver le soutien de Washington après le récent cataclysme dans leurs relations, le ministère russe de la Défense a annoncé avoir détruit 337 drones aériens ukrainiens, dont 91 dans les environs de la capitale russe, qui n’a que très exceptionnellement été frappée directement depuis le début il y a un peu plus de trois ans de l’offensive russe à grande échelle en Ukraine.L’attaque a fait trois morts selon les autorités municipales, le Kremlin accusant Kiev de frapper “des infrastructures sociales, des immeubles d’habitation”. Interrogé pour savoir si cette attaque visait à perturber d’éventuels pourparlers de paix, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a répondu: “Les Américains (…) essaient encore de comprendre dans quelle mesure l’Ukraine est prête pour des pourparlers de paix. Il n’y a pas encore de négociations, il n’y a donc rien à perturber”, a-t-il affirmé.Les négociateurs ukrainiens sont arrivés à Jeddah avec une proposition, avait indiqué lundi à l’AFP un haut responsable ukrainien sous couvert d’anonymat: une “trêve dans les airs” et “en mer” avec Moscou. “Ce sont les options de cessez-le-feu qui sont faciles à mettre en place et à surveiller et il est possible de commencer par elles”, avait-il ajouté.Il s’agit des premiers à ce niveau entre responsables ukrainiens et américains depuis la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche fin février, qui avait donné lieu à une spectaculaire joute verbale avec Donald Trump et son vice-président dans le Bureau ovale, devant la presse et le monde entier.Washington a, depuis, suspendu son aide militaire à Kiev et son partage de renseignements, conséquence fracassante de la transformation des relations entre les Etats-Unis et l’Ukraine depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.- “Concession” -Bien que le président américain ait multiplié les piques contre Volodymyr Zelensky, accusé d’être un “dictateur” ou de n’être pas assez reconnaissant envers Washington, le ton semble s’être apaisé.Donald Trump, qui a amorcé en parallèle un spectaculaire rapprochement avec la Russie, a estimé que son homologue ukrainien était prêt à négocier, et a même menacé Moscou de nouvelles sanctions.M. Zelensky est arrivé lundi à Jeddah pour rencontrer les dirigeants saoudiens mais a laissé à trois de ses hauts responsables le soin de participer aux pourparlers.Arrivé lui aussi lundi dans la ville saoudienne, M. Rubio a dit avoir bon espoir que la suspension de l’aide militaire américaine à Kiev soit résolue.Il a aussi jugé prometteuse l’idée d’un cessez-le-feu partiel, “le genre de concession nécessaire pour mettre fin au conflit”, avait-t-il dit à des journalistes peu avant son arrivée à Jeddah.M. Rubio a dit ne pas s’attendre à être assis dans une pièce à Jeddah avec les Ukrainiens “en train de dessiner des lignes sur une carte” en vue d’un accord final, et ajouté qu’il rapporterait les idées discutées à la Russie.- Kiev à la peine sur le front -Une éventuelle rencontre entre MM. Zelensky et Rubio n’a pas été annoncée.Allié historique des Etats-Unis, Ryad consolide son influence internationale avec cette rencontre.Après avoir été reçu par le prince héritier et dirigeant de facto de l’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, Volodymyr Zelensky a assuré aborder les discussions de mardi de manière “absolument constructive”, estimant que le royaume apportait “une plateforme très importante pour la diplomatie”.Selon la présidence ukrainienne, leur entretien a porté sur “une possible médiation de l’Arabie saoudite pour la libération de prisonniers militaires et civils et le retour d’enfants déportés”, ainsi que sur les garanties de sécurité réclamées par Kiev.Les pourparlers ont lieu à l’heure où Kiev est à la peine sur le front. Durant le weekend, la Russie a revendiqué d’importantes avancées dans sa région de Koursk et même une poussée dans la région ukrainienne de Soumy, une première depuis 2022.Un haut responsable ukrainien a prévenu lundi à l’AFP qu’un gel prolongé du partage des renseignements américains donnerait “un avantage significatif” à la Russie sur le champ de bataille.
2024, une année “record” pour Lego qui ne craint pas les tarifs douaniers
Les atermoiements de Donald Trump sur les droits de douane “ne m’empêchent pas de dormir”, a affirmé mardi dans un entretien à l’AFP le directeur général de Lego, qui a connu en 2024 une année record.Le groupe danois, premier fabricant de jouets du monde, a tiré son épingle du jeu l’an dernier dans un marché du jouet maussade, propulsant son chiffre d’affaires à un record de près de 10 milliards d’euros.”Nous avons des produits qui passionnent de nombreux groupes de consommateurs différents, et cela a fonctionné dans le monde entier”, s’est félicité auprès de l’AFP le directeur général du groupe, Niels Christiansen, en soulignant la hausse de 13% des ventes dans un marché mondial étale. Le bénéfice net de Lego a, lui, progressé de 5%, à 1,8 milliard d’euros.Après cette année faste, le dirigeant de cette entreprise familiale non cotée en Bourse se veut serein pour 2025, malgré les incertitudes géopolitiques et les menaces de droits de douane.”Cela ne m’empêche pas de dormir la nuit”, a-t-il affirmé à l’AFP, tout en reconnaissant “comme n’importe quel PDG préférer le libre-échange”. “Ce n’est pas la première fois que nous voyons ces fluctuations et chaque fois, nous avons été capables de ne pas surréagir.” Lego possède notamment une usine de fabrication au Mexique pour le marché américain et en construit une aux Etats-Unis, qui devrait être opérationnelle en 2027.Pour M. Christiansen, ce qui compte, c’est de maintenir Lego sur sa lancée et de maintenir la dynamique de croissance renforcée depuis la pandémie de Covid-19. Accroître les parts de marché “est bien plus important que savoir si nous aurons des droits de douane ou non”, a-t-il jugé. “En ce moment, il n’y a pas de droits de douane; s’ils devaient arriver et que nous estimions qu’ils seraient de nature plus permanente, alors je pense que nous trouverions des moyens de gérer cela”, a assuré M. Christiansen.- Un succès détonnant -Le succès généralisé de Lego détonne dans un marché du jouet morose. Ses ventes directes aux consommateurs ont augmenté de 12% l’an dernier, soit une croissance nettement supérieure à celle du marché mondial du jouet, qui s’est contracté de 1%.”Sur un marché qui, au cours des cinq dernières années, n’a pas ou très peu progressé, nous avons augmenté de l’ordre de 12, 13, 14% chaque année”, a noté M. Christiansen.Les franchises, par exemple Lego Star Wars ou Harry Potter, et les partenariats – avec notamment l’éditeur du jeu vidéo Fortnite ou Formula One – permettent au fleuron de l’industrie danoise de maintenir l’intérêt des consommateurs.En 2024, Lego proposait un portefeuille de 840 produits, dont 46% étaient nouveaux.”Nous voulons rester pertinents (…) avec les enfants et les adultes, donc nous devons aussi être présents en proposant des choses qui les excitent vraiment”, que ce soit le sport ou les jeux vidéos, a expliqué M. Christiansen. “L’avantage que nous avons avec cette forte marque Lego, c’est que la plupart des autres marques aimeraient vraiment travailler avec nous”, a souligné le chef d’entreprise.Et cela conquiert les consommateurs partout.”Il ne s’agit pas d’un pays en particulier, ni d’un produit ou d’un groupe de produits en particulier. Il s’agit d’un phénomène très large”, a insisté le directeur général.Le groupe, dont le nom est une contraction du danois “joue bien” (“leg godt”), a connu une plus forte demande dans les Amériques, en Europe et au Moyen-Orient qu’en Asie, notamment en Chine où il a largement investi ces dernières années.”Aux États-Unis, nous avons gagné plus de place en rayon dans les magasins et nous avons plus de consommateurs enthousiasmés par la marque Lego, donc nous pouvons nous permettre de prendre quelques années pour ramener la Chine à la croissance”, a relevé M. Christiansen.Lego, qui s’efforce de rendre ses briques en plastiques “vertes”, a indiqué que la moitié des matériaux achetés pour fabriquer ses briques provenaient de sources durables.S’il ne dévoile pas le montant de ses efforts en matière d’environnement, le groupe danois affirme avoir augmenté ses investissements en durabilité environnementale de 68% l’an dernier par rapport à 2023.
Collision en mer du Nord: incendie toujours en cours, craintes pour l’environnement
L’incendie déclenché par la collision entre un cargo et un pétrolier lundi en mer du Nord, au large de l’Angleterre, est toujours en cours mardi, alors que l’incident fait redouter une catastrophe écologique et suscite de nombreuses questions.”L’incendie a fait rage toute la nuit et il est toujours en cours mardi matin”, a affirmé à l’AFP Martyn Boyers, le directeur du port de Grimsby, non loin du lieu de la collision à l’issue de laquelle une personne a disparu.Des images diffusées par la BBC montrent d’épais panaches d’une fumée noire s’échappant du lieu du lieu de la collision. Le pétrolier Stena Immaculate, affrété par l’armée américaine, apparaît lui endommagé, avec un trou béant sur un ses côtés.Ce pétrolier était à l’ancre à environ 16 km au large de la ville de Hull dans le Yorkshire, sur la côte est du Royaume-Uni, quand il a été percuté par le porte-conteneurs Solong, dans des circonstances encore inconnues.L’un des réservoirs du Stena Immaculate contenant du kérosène a été brisé, ce qui a provoqué une fuite et fait craindre d’importants dégâts environnementaux.Le Solong “a surgi de nulle part”, a raconté à la BBC un membre d’équipage du pétrolier, qui bat pavillon américain.Le cargo, battant pavillon portugais, transportait une quantité non déterminée d’alcool et quinze conteneurs de cyanure de sodium –un composé qui produit un gaz inflammable et toxique au contact de l’eau–, selon le site spécialisé Lloyd’s List Intelligence.- “Feux de l’enfer” -Les recherches pour retrouver un membre d’équipage disparu du cargo ont été stoppées dans la nuit. Il n’était pas immédiatement possible de savoir si les recherches allaient reprendre.Au total, trente-six membres d’équipage ont été ramenés à terre sains et saufs.La collision fait la Une de la totalité des journaux britanniques mardi. “Catastrophe”, s’alarme The Mirror, tandis que le Sun s’inquiète de ces “Feux de l’enfer”. Le Daily Mail s’interroge: “comment un bateau transportant du cyanure de sodium a-t-il pu percuter un pétrolier plein de kérosène pour l’armée américaine, en plein jour?”.Le Daily Telegraph cite une source gouvernementale selon laquelle rien ne permet d’affirmer à ce stade que l’incident est de nature criminelle, sans toutefois pouvoir l’exclure.Le secrétaire d’Etat au logement Matthew Pennycook a indiqué mardi à Times Radio que les autorités américaines et portugaises étaient en charge de l’enquête. Les navires battaient pavillon de ces pays.Un porte-parole du Premier ministre britannique Keir Starmer a qualifié la situation “d’extrêmement préoccupante”, tandis que les garde-côtes ont lancé une “évaluation” pour décider des “mesures de lutte contre la pollution probablement nécessaires” après la collision.L’ampleur de la pollution n’a, à ce stade, pas été déterminée.- Peur pour la faune -La Branche d’investigation des accidents maritimes (MAIB) a annoncé lundi avoir envoyé une équipe sur place pour procéder à de premières constatations. De son côté, l’ONG Greenpeace s’est dite “extrêmement préoccupée” par “les “multiples risques toxiques que ces produits chimiques pourraient poser à la vie marine”.”Le kérosène qui a pénétré dans l’eau à proximité d’une zone de reproduction des marsouins est toxique pour les poissons et autres créatures marines”, a déclaré Paul Johnston, scientifique aux laboratoires de recherche de Greenpeace à l’université d’Exeter.Des habitants de Grimsby rencontrés par l’AFP ont fait part de leur craintes. “Nous ne voulons pas voir la faune mourir”, a déclaré à l’AFP Laura Scrimshaw, 47 ans.Mais selon Nicolas Tamic, adjoint au directeur du Cedre, un centre d’expertise international qui travaille pour l’UE, la fuite de kérosène est “impressionnante mais pas forcément hyper grave”.En revanche, le porte-conteneurs transportant du cyanure de sodium pourrait poser davantage de problèmes, selon M. Tamic.Le Stena Immaculate, appartenant à la société suédoise Stena Bulk, mesure 183 mètres de longueur et 32 mètres de largeur. Il a été mis en service en 2017. Selon Lloyd’s List, il transportait 220.000 barils de kérosène.Il était parti le 27 février d’Agio Theodoroi, en Grèce, à destination de Killinghome, dans le nord de l’Angleterre, selon le site Vessel Finder.Le Solong était parti lundi soir de Grangemouth, en Ecosse,  pour se rendre à Rotterdam, aux Pays-Bas.
Collision en mer du Nord: incendie toujours en cours, craintes pour l’environnement
L’incendie déclenché par la collision entre un cargo et un pétrolier lundi en mer du Nord, au large de l’Angleterre, est toujours en cours mardi, alors que l’incident fait redouter une catastrophe écologique et suscite de nombreuses questions.”L’incendie a fait rage toute la nuit et il est toujours en cours mardi matin”, a affirmé à l’AFP Martyn Boyers, le directeur du port de Grimsby, non loin du lieu de la collision à l’issue de laquelle une personne a disparu.Des images diffusées par la BBC montrent d’épais panaches d’une fumée noire s’échappant du lieu du lieu de la collision. Le pétrolier Stena Immaculate, affrété par l’armée américaine, apparaît lui endommagé, avec un trou béant sur un ses côtés.Ce pétrolier était à l’ancre à environ 16 km au large de la ville de Hull dans le Yorkshire, sur la côte est du Royaume-Uni, quand il a été percuté par le porte-conteneurs Solong, dans des circonstances encore inconnues.L’un des réservoirs du Stena Immaculate contenant du kérosène a été brisé, ce qui a provoqué une fuite et fait craindre d’importants dégâts environnementaux.Le Solong “a surgi de nulle part”, a raconté à la BBC un membre d’équipage du pétrolier, qui bat pavillon américain.Le cargo, battant pavillon portugais, transportait une quantité non déterminée d’alcool et quinze conteneurs de cyanure de sodium –un composé qui produit un gaz inflammable et toxique au contact de l’eau–, selon le site spécialisé Lloyd’s List Intelligence.- “Feux de l’enfer” -Les recherches pour retrouver un membre d’équipage disparu du cargo ont été stoppées dans la nuit. Il n’était pas immédiatement possible de savoir si les recherches allaient reprendre.Au total, trente-six membres d’équipage ont été ramenés à terre sains et saufs.La collision fait la Une de la totalité des journaux britanniques mardi. “Catastrophe”, s’alarme The Mirror, tandis que le Sun s’inquiète de ces “Feux de l’enfer”. Le Daily Mail s’interroge: “comment un bateau transportant du cyanure de sodium a-t-il pu percuter un pétrolier plein de kérosène pour l’armée américaine, en plein jour?”.Le Daily Telegraph cite une source gouvernementale selon laquelle rien ne permet d’affirmer à ce stade que l’incident est de nature criminelle, sans toutefois pouvoir l’exclure.Le secrétaire d’Etat au logement Matthew Pennycook a indiqué mardi à Times Radio que les autorités américaines et portugaises étaient en charge de l’enquête. Les navires battaient pavillon de ces pays.Un porte-parole du Premier ministre britannique Keir Starmer a qualifié la situation “d’extrêmement préoccupante”, tandis que les garde-côtes ont lancé une “évaluation” pour décider des “mesures de lutte contre la pollution probablement nécessaires” après la collision.L’ampleur de la pollution n’a, à ce stade, pas été déterminée.- Peur pour la faune -La Branche d’investigation des accidents maritimes (MAIB) a annoncé lundi avoir envoyé une équipe sur place pour procéder à de premières constatations. De son côté, l’ONG Greenpeace s’est dite “extrêmement préoccupée” par “les “multiples risques toxiques que ces produits chimiques pourraient poser à la vie marine”.”Le kérosène qui a pénétré dans l’eau à proximité d’une zone de reproduction des marsouins est toxique pour les poissons et autres créatures marines”, a déclaré Paul Johnston, scientifique aux laboratoires de recherche de Greenpeace à l’université d’Exeter.Des habitants de Grimsby rencontrés par l’AFP ont fait part de leur craintes. “Nous ne voulons pas voir la faune mourir”, a déclaré à l’AFP Laura Scrimshaw, 47 ans.Mais selon Nicolas Tamic, adjoint au directeur du Cedre, un centre d’expertise international qui travaille pour l’UE, la fuite de kérosène est “impressionnante mais pas forcément hyper grave”.En revanche, le porte-conteneurs transportant du cyanure de sodium pourrait poser davantage de problèmes, selon M. Tamic.Le Stena Immaculate, appartenant à la société suédoise Stena Bulk, mesure 183 mètres de longueur et 32 mètres de largeur. Il a été mis en service en 2017. Selon Lloyd’s List, il transportait 220.000 barils de kérosène.Il était parti le 27 février d’Agio Theodoroi, en Grèce, à destination de Killinghome, dans le nord de l’Angleterre, selon le site Vessel Finder.Le Solong était parti lundi soir de Grangemouth, en Ecosse,  pour se rendre à Rotterdam, aux Pays-Bas.
Stock markets mixed as Trump-fuelled economy fears weigh
European and Asian stock markets diverged Tuesday after a sharp sell-off on Wall Street fuelled by fears about the US economy as President Donald Trump presses ahead with steep tariffs.Traders had initially welcomed Trump’s election win in late 2024, optimistic that his promised tax cuts and deregulation would boost the world’s biggest economy and help equities push to further record highs.But there is now a growing pessimism that a recession could be on the cards amid warnings that tariffs imposed on key trading partners will reignite inflation, forcing the Federal Reserve to again start raising interest rates.”Markets are jittery and volatility seems like the only certainty while the White House pushes hard to usher in a new era, seemingly happy for stock markets to be collateral damage,” said Matt Britzman, senior equity analyst at Hargreaves Lansdown.The president’s weekend comments that the economy was facing “a period of transition” and his refusal to rule out a recession did little to soothe investor worries.London’s stock market dipped in morning deals Tuesday, while Paris and Frankfurt edged higher, helped by gains for infrastructure and defence stocks on European spending plans. A new wave of US tariffs due this week will see levies of 25 percent on steel and aluminium imports.Fears about the future battered Wall Street on Monday, where the Nasdaq tanked four percent owing to another plunge in high-flying tech titans including Apple, Amazon and Tesla.Asia followed suit in early trading Tuesday, with big losses across the board, though they recovered a bit as the day wore on.Tokyo was hit after Japanese Trade Minister Yoji Muto said he had failed to win an immediate exemption from US tariffs.Hong Kong was flat and Shanghai ended higher despite falling sharply at the open.US futures also inched higher, having first extended Monday’s losses.”Trump’s trade policies, including ongoing tariff discussions, are creating uncertainty and fears of economic slowdown,” said Shaun Murison, senior market analyst at the online trading platform IG.”These tariffs could potentially elevate prices and complicate efforts to reduce interest rates,” he said.The weak sentiment also filtered through to bitcoin, which tumbled below $80,000 on Monday to its lowest level since November — having hit a record of close to $110,000 in January. But it also pared its losses Tuesday to sit just above the $80,000 mark.The cryptocurrency’s losses have also been driven by disappointment that Trump signed an executive order to establish a “Strategic Bitcoin Reserve” without planning any public purchases of it.Oil prices rebounded after dropping more than one percent Monday on worries about demand as US recession speculation builds. However, both main contracts remain down around seven percent for the year so far.In company news, shares in Volkswagen climbed two percent as the German auto giant signalled higher revenue for the year ahead after posting a sharp loss in annual profits for 2024.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,590.29 pointsParis – CAC 40: UP 0.3 percent at 8,068.88Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 22,707.54Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 36,793.11 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: FLAT at 23,782.14 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,379.83 (close)New York – Dow: DOWN 2.1 percent at 41,911.71 points (close)Euro/dollar: UP at $1.0898 from $1.0836 on MondayPound/dollar: UP at $1.2930 from $1.2878Dollar/yen: UP at 147.52 yen from 147.26 yenEuro/pound: UP at 84.27 pence from 84.13 penceWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $66.76 per barrelBrent North Sea Crude: UP 1.1 percent at $70.06 per barrel