Trump to host military parade amid ‘No Kings’ protests

US President Donald Trump will preside over a huge military parade in Washington on his 79th birthday Saturday, as nationwide “No Kings” protests underscore America’s deep divisions over his second term.Trump’s long-held dream of a parade will come true as nearly 7,000 troops plus dozens of tanks and helicopters rumble through the capital in an event officially marking the 250th anniversary of the US army.The army says the event could cost up to $45 million.At the same time, protests by the so-called “No Kings” movement are expected across the United States against what organizers say is a Trump personality cult.Organizers said the rallies would be the largest since Trump returned to office in January, adding that they were “rejecting authoritarianism, billionaire-first politics, and the militarization of our democracy.”Thousands more demonstrators are expected to turn out in Los Angeles to protest against Trump’s deployment of troops in America’s second-largest city following clashes sparked by immigration raids.Trump says the Washington parade will be “like no other” — but has promised to use “very big force” if protesters attempt to disrupt the spectacle.The highly unusual show of US martial might meanwhile comes a day after Trump boasted about how Israel had used American military equipment in its strikes on Iran’s nuclear program.- Rain on Trump’s parade? – But the parade may face disruption from another source — the weather. Thunderstorms could hit Washington on Saturday when the parade is taking place.The US army said on Friday that the weather was being “closely monitored and taken into consideration, but at this point nothing has changed.”Trump meanwhile said he wasn’t bothered. “It doesn’t matter. It doesn’t affect the tanks at all, it doesn’t affect the soldiers. They’re used to it. They’re tough,” he said.The rare military parade is the largest in the United States since the end of the Gulf War in 1991. Nearly 7,000 soldiers will march past, wearing uniforms dating back through US history to its independence from Britain.More than 50 helicopters will also be involved including Apache gunships and Chinook and Black Hawk transport choppers.Around 150 military vehicles — including 28 Abrams battle tanks and 56 armored vehicles — will rumble past too.The parade is meant to end with a parachute display as members of the army’s Golden Knights team jump in and present Trump with a US flag.The route will take them past historic landmarks including the Lincoln Memorial and the Washington Monument, ending up near the White House.Trump has been obsessed with having a parade since his first term as president when he attended France’s annual Bastille Day parade in Paris at the invitation of President Emmanuel Macron in 2017.- ‘Vulgar display’ -But Trump’s opponents accuse him of using the event to feed his ego.”No Kings” organizers said they expected millions of people in more than 1,500 cities to take part in the protests.They said it was a “direct response to Donald Trump’s self-aggrandizing” parade, “funded by taxpayers while millions are told there’s no money.”California’s Democratic Governor Gavin Newsom, who slammed Trump for sending National Guard troops into Los Angeles without his consent, said it was a “vulgar display of weakness.””It’s the kind of thing you see with Kim Jong Un, you see it with Putin, you see it with dictators around the world,” Newsom said on Thursday. “To fete the Dear Leader on his birthday? What an embarrassment.”In Los Angeles, where organizers said they expected 25,000 people to protest against Trump’s immigration policies, there would be one huge balloon of Trump wearing a diaper and another of him wearing a Russian military uniform.

Les Marines dépêchés par Trump se déploient dans les rues de Los Angeles

Des Marines armés dépêchés par Donald Trump à Los Angeles ont commencé leurs opérations sur le terrain, avant une journée de manifestations samedi à travers les Etats-Unis pour protester contre la politique du président républicain, jugée de plus en plus autoritaire par ses opposants.En treillis, fusil semi-automatique à la main, les membres de ces troupes d’élite d’ordinaire déployées à l’étranger ont pris position vendredi autour d’un immeuble fédéral qui héberge notamment le FBI.Les passants sont abasourdis car aucune manifestation n’a eu lieu dans le quartier de Westwood, dans l’ouest de Los Angeles. “L’argent des contribuables pourrait servir à autre chose”, lance RonNell Weaver à l’AFP. “Est-ce vraiment nécessaire?”Ces unités font partie d’un groupe d’environ 700 Marines qui doivent rejoindre 4.000 réservistes de la Garde nationale dont Donald Trump a ordonné le déploiement dans la deuxième ville des Etats-Unis, contre l’avis des autorités démocrates locales.Ils doivent protéger les bâtiment fédéraux. La police locale doit elle gérer les manifestations de protestation contre les raids anti-migrants de la police de l’immigration (ICE) survenus ces derniers jours dans la mégapole, où vit une importante population hispanique.Des Marines ont participé vendredi à l’interpellation près d’un immeuble d’une personne, selon une image prise par un photographe de l’AFP, sans qu’il soit immédiatement possible d’en connaître le motif.Le calme règne par ailleurs dans la ville, où aucune manifestation d’ampleur n’a été rapportée.Face au déploiement des militaires, le gouverneur démocrate de la Californie, Gavin Newsom, a dénoncé le “fantasme fou d’un président dictatorial” et saisi la justice.En première instance, un juge fédéral a estimé illégal jeudi l’ordre donné par le président de déployer la Garde nationale avant qu’un juge d’appel n’accorde un répit à Donald Trump, en lui laissant provisoirement le contrôle des soldats.Ce bras de fer judiciaire survient au moment où les opposants à l’administration Trump se réuniront samedi dans tout le pays sous le slogan “No Kings” (“Pas de rois”). Des manifestations sont prévues sur 2.000 sites, dont un défilé à Los Angeles où selon les organisateurs sera déployé “un ballon de six mètres à l’effigie d’un Donald Trump portant des couches”.Les manifestations devraient être “encore plus importantes en raison de ce qui s’est passé dans notre ville”, a déclaré lors d’une conférence de presse la maire de Los Angeles, Karen Bass.”Nous appelons les gens à manifester pacifiquement ce week-end” et “à ne pas servir de prétexte pour déployer des troupes dans notre ville”, a-t-elle ajouté.- Grande parade militaire -Le même jour, qui est aussi celui de son 79e anniversaire, le président américain présidera à Washington une grande parade militaire destinée à célébrer les 250 ans de l’armée.”Si je n’avais pas envoyé les militaires à Los Angeles, la ville serait en train de brûler complètement en ce moment”, a réaffirmé vendredi le milliardaire républicain, qui a exagéré de manière répétée l’échelle de la violence dans la ville.Figure centrale de l’opposition démocrate, M. Newsom, 57 ans, est considéré comme un possible candidat démocrate à la présidentielle de 2028.Les tensions à Los Angeles ont éclaté le 6 juin quand des manifestants ont commencé à protester contre des raids musclés menés contre des sans-papiers.Largement pacifiques, les manifestations ont été marquées par des violences parfois spectaculaires, avec des voitures brûlées, des commerces pillés, des jets de feux d’artifices et une grande voie rapide bloquée.Les rassemblements se sont étendus ces derniers jours à d’autres villes américaines, dans des proportions limitées, comme à Las Vegas, Dallas, Austin, Chicago, Atlanta ou Boston.Les tensions sont montées d’un cran jeudi quand le sénateur démocrate de Californie Alex Padilla a été extirpé sans ménagement, menottes aux poignets, d’une conférence de presse donnée par la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Donald Trump a promis pendant sa campagne de s’en prendre aux “criminels venus de l’étranger”. Mais ses efforts pour lutter contre l’immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d’activité.Sur le plan économique, il a admis devoir “faire quelque chose” rapidement pour préserver les nombreux travailleurs immigrés qui font dans une large part tourner l’agriculture et l’hôtellerie.Au Mexique, d’où sont originaires nombre de sans-papiers présents au Etats-Unis, la présidente Claudia Sheinbaum a expliqué avoir dit à un haut responsable américain qu’elle n’était “pas d’accord sur le fait de recourir à des descentes de police pour arrêter des personnes qui travaillent honnêtement”.

Les Marines dépêchés par Trump se déploient dans les rues de Los Angeles

Des Marines armés dépêchés par Donald Trump à Los Angeles ont commencé leurs opérations sur le terrain, avant une journée de manifestations samedi à travers les Etats-Unis pour protester contre la politique du président républicain, jugée de plus en plus autoritaire par ses opposants.En treillis, fusil semi-automatique à la main, les membres de ces troupes d’élite d’ordinaire déployées à l’étranger ont pris position vendredi autour d’un immeuble fédéral qui héberge notamment le FBI.Les passants sont abasourdis car aucune manifestation n’a eu lieu dans le quartier de Westwood, dans l’ouest de Los Angeles. “L’argent des contribuables pourrait servir à autre chose”, lance RonNell Weaver à l’AFP. “Est-ce vraiment nécessaire?”Ces unités font partie d’un groupe d’environ 700 Marines qui doivent rejoindre 4.000 réservistes de la Garde nationale dont Donald Trump a ordonné le déploiement dans la deuxième ville des Etats-Unis, contre l’avis des autorités démocrates locales.Ils doivent protéger les bâtiment fédéraux. La police locale doit elle gérer les manifestations de protestation contre les raids anti-migrants de la police de l’immigration (ICE) survenus ces derniers jours dans la mégapole, où vit une importante population hispanique.Des Marines ont participé vendredi à l’interpellation près d’un immeuble d’une personne, selon une image prise par un photographe de l’AFP, sans qu’il soit immédiatement possible d’en connaître le motif.Le calme règne par ailleurs dans la ville, où aucune manifestation d’ampleur n’a été rapportée.Face au déploiement des militaires, le gouverneur démocrate de la Californie, Gavin Newsom, a dénoncé le “fantasme fou d’un président dictatorial” et saisi la justice.En première instance, un juge fédéral a estimé illégal jeudi l’ordre donné par le président de déployer la Garde nationale avant qu’un juge d’appel n’accorde un répit à Donald Trump, en lui laissant provisoirement le contrôle des soldats.Ce bras de fer judiciaire survient au moment où les opposants à l’administration Trump se réuniront samedi dans tout le pays sous le slogan “No Kings” (“Pas de rois”). Des manifestations sont prévues sur 2.000 sites, dont un défilé à Los Angeles où selon les organisateurs sera déployé “un ballon de six mètres à l’effigie d’un Donald Trump portant des couches”.Les manifestations devraient être “encore plus importantes en raison de ce qui s’est passé dans notre ville”, a déclaré lors d’une conférence de presse la maire de Los Angeles, Karen Bass.”Nous appelons les gens à manifester pacifiquement ce week-end” et “à ne pas servir de prétexte pour déployer des troupes dans notre ville”, a-t-elle ajouté.- Grande parade militaire -Le même jour, qui est aussi celui de son 79e anniversaire, le président américain présidera à Washington une grande parade militaire destinée à célébrer les 250 ans de l’armée.”Si je n’avais pas envoyé les militaires à Los Angeles, la ville serait en train de brûler complètement en ce moment”, a réaffirmé vendredi le milliardaire républicain, qui a exagéré de manière répétée l’échelle de la violence dans la ville.Figure centrale de l’opposition démocrate, M. Newsom, 57 ans, est considéré comme un possible candidat démocrate à la présidentielle de 2028.Les tensions à Los Angeles ont éclaté le 6 juin quand des manifestants ont commencé à protester contre des raids musclés menés contre des sans-papiers.Largement pacifiques, les manifestations ont été marquées par des violences parfois spectaculaires, avec des voitures brûlées, des commerces pillés, des jets de feux d’artifices et une grande voie rapide bloquée.Les rassemblements se sont étendus ces derniers jours à d’autres villes américaines, dans des proportions limitées, comme à Las Vegas, Dallas, Austin, Chicago, Atlanta ou Boston.Les tensions sont montées d’un cran jeudi quand le sénateur démocrate de Californie Alex Padilla a été extirpé sans ménagement, menottes aux poignets, d’une conférence de presse donnée par la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Donald Trump a promis pendant sa campagne de s’en prendre aux “criminels venus de l’étranger”. Mais ses efforts pour lutter contre l’immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d’activité.Sur le plan économique, il a admis devoir “faire quelque chose” rapidement pour préserver les nombreux travailleurs immigrés qui font dans une large part tourner l’agriculture et l’hôtellerie.Au Mexique, d’où sont originaires nombre de sans-papiers présents au Etats-Unis, la présidente Claudia Sheinbaum a expliqué avoir dit à un haut responsable américain qu’elle n’était “pas d’accord sur le fait de recourir à des descentes de police pour arrêter des personnes qui travaillent honnêtement”.

Marines deploy in LA ahead of mass anti-Trump protests

Armed Marines arrived on the streets of Los Angeles Friday, part of a large deployment of troops ordered by Donald Trump that has raised the stakes between the US president and opponents criticizing him of growing authoritarianism.Men in fatigues and carrying semiautomatic rifles were seen around a federal building, where passersby questioned why they were in an area 11 miles (18 kilometers) from the protests against immigration raids.”Taxpayer dollars could be used for other things,” RonNell Weaver told AFP. “Is this really necessary?”AFP witnessed Marines temporarily detaining one man at the federal building before they handed him over to law enforcement.The US military would not say why he was detained, despite multiple requests, but the incident appeared to be a minor — albeit extremely rare — example of federal troops detaining a US civilian.Seven hundred Marines — normally used as crack troops in foreign conflicts — along with 4,000 National Guard soldiers are tasked with protecting federal buildings, while local police handle protests over Trump’s sweeps for undocumented migrants.An intense legal battle is underway over Trump’s authority to deploy troops on US soil as the country braces for widespread protests Saturday, when the Republican will be overseeing a rare large-scale military parade in Washington.The parade celebrates the 250th anniversary of the US Army but also coincides with Trump’s 79th birthday, and will be the first time tanks and other heavy weaponry have rolled through the capital city in three decades.In response, a “No Kings” movement has sprung up promising to stage protests in more than 2,000 places across the country, including a large demonstration expected in Los Angeles, which organizers say will feature a “20-foot-tall balloon of Trump wearing a diaper.””Unprecedented” crowds could attend, Los Angeles Police Chief Jim McDonnell told reporters Friday.Los Angeles County Sheriff Robert Luna, whose deputies are part of a large law enforcement response in the enormous city, urged protesters to behave properly.”It’s a good cause, but we do not want violent agitators out there destroying property or committing acts of violence,” he said.Mayor Karen Bass said demonstrations are expected to be “even larger because of what has happened in our city.” “We do call on people over the weekend to demonstrate peacefully, to exercise your first amendment right, to not play into the hands where it could be used as a pretext to roll out troops in our city,” she said in a news conference.- California v Trump -In a show of political force, Trump overrode the objections of Democratic Governor Gavin Newsom to deploy California’s National Guard.The president has repeatedly exaggerated the scale of violence, claiming that without troops, Los Angeles would be “burning to the ground right now.”On Thursday, District Judge Charles Breyer ruled Trump’s actions were “illegal” and ordered that he return control of the guard to Newsom. Breyer said the LA unrest fell “far short” of the “rebellion” Trump had described.However, a higher court quickly paused the order pending an appeal hearing with the Trump administration next Tuesday.The Department of Justice slammed Breyer’s ruling as “an extraordinary intrusion on the President’s constitutional authority as Commander in Chief.”The dispute mirrors multiple other tussles over Trump’s attempts to expand the limits of presidential power — but is the first to involve troops.- Hamlet -Many in Los Angeles are angry about immigration raids carried out as part of Trump’s ambition to deport vast numbers of undocumented migrants from the country.About 100 mostly good-natured protesters gathered Friday evening outside the federal detention center in Los Angeles that has been at the heart of the rallies, ahead of a nightly curfew placed on the downtown area by the mayor.In a sign of how contained the demonstrations have been, however, those attending a performance of “Hamlet” — Shakespeare’s play about a mad prince — and other shows at nearby venues were exempt from the curfew.Outrage at Trump’s raids and the use of masked, armed immigration agents backed by uniformed soldiers have also sparked protests in other cities, including San Francisco, New York, Chicago and San Antonio, Texas.Tensions hiked further Thursday when California Senator Alex Padilla, a Democrat, was handcuffed and forcibly removed from a news conference by Homeland Security Secretary Kristi Noem.

Mondial des clubs: sans Dembélé, le PSG s’en remet à Doué et “Kvara”

Avec la blessure du patron de l’attaque Ousmane Dembélé, le PSG compte sur ses nouvelles stars Désiré Doué et Khvicha Kvaratskhelia pour franchir sans encombre le premier tour du Mondial des clubs.Dembélé, en lice pour le Ballon d’or après une saison exceptionnelle, fait partie du groupe qui s’entraîne tous les matins au camp universitaire de Crawford Field, à Irvine, banlieue sud de Los Angeles. Seulement, lui travaille seul à la récupération de sa blessure à la cuisse subie lors de France-Espagne le 5 juin.Le virevoltant numéro 10 ne pourra très probablement pas jouer contre l’Atlético Madrid dimanche (21h00) au Rose Bowl stadium de Pasadena. Et il est vraisemblable que son entraîneur Luis Enrique veuille le préserver lors du match contre Botafogo, jeudi. Même un retour pour affronter les Seattle Sounders le 23 juin n’est pas garanti.Il va donc falloir se débrouiller sans l’homme aux 33 buts et 15 passes décisives toutes compétitions confondues avec le PSG cette saison. D’autant que son influence à la construction du jeu et au pressing à la perte du ballon dépasse le seul aspect statistique.Pourtant, le PSG peut s’enorgueillir de l’émergence, ces derniers mois, de deux artistes et gros caractères en attaque, qui auront pour mission de porter l’équipe au premier tour: Khvicha Kvaratskhelia et Désiré Doué.- Un manque de faux 9 -Le premier n’est, à 24 ans, pas une révélation à proprement parler. Il a été l’artisan principal du titre du Napoli en 2023 et le leader de la séduisante sélection géorgienne à l’Euro-2024. Mais “Kvara” a surpris jusqu’à Luis Enrique en ajoutant à son panel de dribbles fous et de passes inspirées une rare détermination à défendre. Sa finale de C1 à Munich a été à son image, généreuse, parfois dispersée avec plusieurs occasions manquées, mais en dernière analyse décisive, avec en cerise sur le gâteau un but.Désiré Doué, déjà auteur d’un très bon début d’année 2025, a fait irruption avec fracas sur la scène des plus grands, le 31 mai, à trois jours de ses 20 ans: un doublé, une passe décisive et des dribbles virtuoses. Sa maturité mentale et physique suggère qu’il peut être un leader d’attaque, déjà, pour ce PSG au Mondial des clubs.Dembélé lui-même avait adoubé l’international français en avril, louant son “professionnalisme, pour son âge”: “Doué est pétri de talent, il va aller loin, il est très mature, très professionnel”.Reste à savoir à quel joueur ces deux attaquants seront associés. L’un comme l’autre, placés la plupart du temps comme ailiers, peuvent théoriquement remplacer Ousmane Dembélé en faux 9, mais les tentatives de Luis Enrique en la matière n’ont pour l’instant pas convaincu.Le Sud-Coréen Lee Kang-in avait fait plusieurs piges à ce poste, mais l’entraîneur ne semble plus le considérer comme un joueur de premier plan dans l’équipe. Le Portugais Gonçalo Ramos est davantage un pur avant-centre et ne joue plus beaucoup, lui non plus. Quant à Bradley Barcola, il a lui aussi été touché lors de France-Espagne. L’ancien Lyonnais pourrait jouer contre Botafogo mais dimanche, sa participation est tout sauf certaine.La présence en face d’un Julian Alvarez qui excelle dans le rôle d’attaquant-passeur-dribbleur avec l’Atlético Madrid, et que les rumeurs avaient un temps envoyé au PSG à son départ de Manchester City, risque de remuer le couteau dans la plaie.

India plane crash death toll rises to 279

Grieving families waited Saturday for news after one of the deadliest air disasters in decades, with the toll rising to 279 people killed in the Indian passenger jet crash.The Air India Boeing 787-8 Dreamliner issued a mayday call shortly before it crashed around lunchtime on Thursday, bursting into a fireball as it hit residential buildings.On Saturday, a police source said that 279 bodies had been recovered from the crash site in the northern Indian city of Ahmedabad, one of the worst plane disasters of the 21st century.There was one survivor out of 242 passengers and crew on board the jet when it crashed, leaving the tailpiece of the aircraft jutting out of a hostel for medical staff.At least 38 people were killed on the ground.”I saw my child for the first time in two years, it was a great time,” said Anil Patel, whose son and daughter-in-law had surprised him with a visit before boarding the Air India flight.”And now, there is nothing,” he said, breaking down in tears. “Whatever the gods wanted has happened.”- Search for black box -Distraught relatives of passengers have been providing DNA samples in Ahmedabad, with some having to fly to India to help the process.The official casualty number will not be finalised until the slow process of DNA identification is completed.Air India said there were 169 Indian passengers, 53 British, seven Portuguese and a Canadian on board the flight, as well as 12 crew members.Those killed ranged from a top politician to a teenage tea seller.The lone survivor, Vishwash Kumar Ramesh, 40, said even he could not explain how he survived.”Initially, I too thought that I was about to die, but then I opened my eyes and realised that I was still alive,” Ramesh, a British citizen, told national broadcaster DD News from his hospital bed.Aviation Minister Ram Mohan Naidu Kinjarapu said Friday that a flight data recorder, or black box, had been recovered, saying it would “significantly aid” investigations.Forensic teams are still looking for the second black box, as they probe why the plane crashed after lifting barely 100 metres (330 feet) from the ground.US planemaker Boeing said it was in touch with Air India and stood “ready to support them” over the incident, which a source close to the case said was the first crash for a 787 Dreamliner.