Sweden seeks arrest of Koran burner’s suspected murderer

Swedish prosecutors on Thursday sought the arrest a young Syrian man for killing Salwan Momika, who repeatedly burned copies of the Koran in 2023 and sparked outrage in the Muslim world.Momika, an Iraqi Christian, was shot on January 29 in an apartment in Sodertalje, south of Stockholm. He died soon after in hospital.”We have a clear picture of the sequence of events, and following extensive technical investigations and a review of the collected surveillance footage, we have requested that a person be remanded in custody,” senior prosecutor Rasmus Oman said in a statement.Oman added that “at present, the whereabouts of the suspect are unknown.” A court hearing will be held on Friday.According to documents filed with the Sodertalje district court, the suspect was a 24-year-old Syrian man.The prosecutor said the suspect “killed Salwan Momika by shooting him several times with a handgun,” adding that the murder had been extensively planned.Five men were originally arrested just hours after the shooting but were all released two days later.They were formally dismissed as suspects in March.Momika was killed just hours before a Stockholm court was due to rule whether he and co-defendant Salwan Najem were guilty of inciting ethnic hatred.After Momika’s murder, the Stockholm court postponed its ruling for several days.It ultimately convicted 50-year-old Najem, also of Iraqi origin, of inciting ethnic hatred during four Koran burnings in 2023. There was no ruling on Momika.Relations between Sweden and several Middle Eastern countries were strained by the pair’s actions.Iraqi protesters stormed the Swedish embassy in Baghdad twice in July 2023, starting fires in the compound on the second occasion.In August 2023, Sweden’s intelligence service Sapo raised its threat level to four on a scale of one to five, saying the Koran burnings had made the country a “prioritised target”.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Merz va demander à l’UE de prêter à l’Ukraine 140 milliards d’euros garantis par des avoirs russes

Le chancelier allemand Friedrich Merz a annoncé jeudi qu’il proposera la semaine prochaine, lors d’un sommet de l’UE, un plan pour prêter à l’Ukraine 140 milliards d’euros, garantis par des avoirs russes.Devant les députés allemands, il a appelé à utiliser les avoirs de la Banque centrale russe, gelés depuis l’invasion de février 2022, pour accorder à l’Ukraine “un total de 140 milliards d’euros de prêts sans intérêt”, qui seront utilisés exclusivement pour financer l’effort de guerre du pays.”Versés par tranches, (ces prêts) garantiraient la capacité de résistance militaire de l’Ukraine pour des années, si nécessaire”, a-t-il insisté dans un discours à la chambre basse du Parlement, consacré au sommet des 22-24 octobre.Trois ans et demi après l’invasion de l’Ukraine, l’UE débat encore de la manière dont peuvent être utilisés les 210 milliards d’euros de la Banque centrale russe gelés par les sanctions européennes. Car les Européens ne veulent pas les utiliser directement, craignant de créer un précédent qui minerait la confiance dans l’euro et mettrait en danger des actifs européens à l’étranger.Selon M. Merz, Kiev ne devra rembourser les crédits qu’après avoir touché des réparations russes, et ce n’est aussi qu’à cette condition que la Russie pourrait récupérer à terme son argent.Ce plan rejoint celui de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui avait lancé l’idée d’un prêt à l’Ukraine, remboursable après versement de réparations.M. Merz a reconnu que ce ne sera pas “anodin” de créer un mécanisme juridique viable, mais selon lui le président russe Vladimir Poutine doit ainsi comprendre que “notre soutien à l’Ukraine ne va pas s’arrêter, mais qu’il s’accroit”.  Quelque 210 milliards d’euros d’avoirs de la Banque centrale russe sont immobilisés dans l’UE, et une grande partie de ces avoirs, soit quelque 185 milliards d’euros sont ou vont arriver à maturité cette année et sont donc disponibles sous forme liquide, selon un document de la Commission remis aux 27, dont l’AFP a obtenu une copie en septembre.

Merz va demander à l’UE de prêter à l’Ukraine 140 milliards d’euros garantis par des avoirs russes

Le chancelier allemand Friedrich Merz a annoncé jeudi qu’il proposera la semaine prochaine, lors d’un sommet de l’UE, un plan pour prêter à l’Ukraine 140 milliards d’euros, garantis par des avoirs russes.Devant les députés allemands, il a appelé à utiliser les avoirs de la Banque centrale russe, gelés depuis l’invasion de février 2022, pour accorder à l’Ukraine “un total de 140 milliards d’euros de prêts sans intérêt”, qui seront utilisés exclusivement pour financer l’effort de guerre du pays.”Versés par tranches, (ces prêts) garantiraient la capacité de résistance militaire de l’Ukraine pour des années, si nécessaire”, a-t-il insisté dans un discours à la chambre basse du Parlement, consacré au sommet des 22-24 octobre.Trois ans et demi après l’invasion de l’Ukraine, l’UE débat encore de la manière dont peuvent être utilisés les 210 milliards d’euros de la Banque centrale russe gelés par les sanctions européennes. Car les Européens ne veulent pas les utiliser directement, craignant de créer un précédent qui minerait la confiance dans l’euro et mettrait en danger des actifs européens à l’étranger.Selon M. Merz, Kiev ne devra rembourser les crédits qu’après avoir touché des réparations russes, et ce n’est aussi qu’à cette condition que la Russie pourrait récupérer à terme son argent.Ce plan rejoint celui de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui avait lancé l’idée d’un prêt à l’Ukraine, remboursable après versement de réparations.M. Merz a reconnu que ce ne sera pas “anodin” de créer un mécanisme juridique viable, mais selon lui le président russe Vladimir Poutine doit ainsi comprendre que “notre soutien à l’Ukraine ne va pas s’arrêter, mais qu’il s’accroit”.  Quelque 210 milliards d’euros d’avoirs de la Banque centrale russe sont immobilisés dans l’UE, et une grande partie de ces avoirs, soit quelque 185 milliards d’euros sont ou vont arriver à maturité cette année et sont donc disponibles sous forme liquide, selon un document de la Commission remis aux 27, dont l’AFP a obtenu une copie en septembre.

Last member of the first successful Everest expedition dies

The last surviving member of the first mountaineering expedition to successfully reach the summit of Mount Everest died in Kathmandu on Thursday, aged 92, his family said. Kanchha Sherpa was a teenager when he accompanied the historic 1953 team led by Edmund Hillary and Tenzing Norgay Sherpa, who became the first mountaineers to reach the peak of the world’s highest mountain.The cause of Kanchha Sherpa’s death early on Thursday morning was not clear.”He had been unwell for a few days,” his grandson, Tenzing Chogyal Sherpa, told AFP.Born in 1933, Kanchha Sherpa was 19 when he joined the expedition as a porter despite no prior mountaineering experience.He undertook the arduous trek, lasting more than two weeks, to Mount Everest’s Base Camp, carrying food, tents and equipment, before climbing to an altitude of more than 8,000 metres (26,200 feet) close to the peak.”He was a living legend and an inspiration for all in mountaineering and those working in the industry,” said Fur Gelje Sherpa, the president of Nepal’s mountaineering association. “We’ve lost our guardian.”Kanchha Sherpa worked in the Himalayan mountains for two more decades after the expedition until his wife asked him to stop the dangerous journeys after many of his friends died assisting other climbing treks, his family said.

La Chine défend l’achat “légitime” de pétrole russe, rejette les “intimidations” de Trump (diplomatie)

La Chine a défendu jeudi comme “légitimes” ses achats de pétrole russe et a qualifié de tentative “d’intimidation” les pressions du président américain Donald Trump pour qu’elle cesse d’en acheter.”La Chine mène une coopération économique, commerciale et énergétique normale et légitime avec les pays à travers le monde, y compris la Russie”, a dit devant la presse un porte-parole des Affaires étrangères, Lin Jian, réagissant à des propos du président américain mercredi.M. Trump a déclaré avoir reçu la promesse du Premier ministre Narendra Modi que l’Inde cesserait d’acheter du pétrole russe, sous l’effet des droits de douanes punitifs américains.”Maintenant, je dois convaincre la Chine d’en faire de même”, a-t-il ajouté.”Les agissements des États-Unis sont un exemple typique d’intimidation unilatérale et de coercition économique, qui portent gravement atteinte aux règles économiques et commerciales internationales et menacent la sécurité et la stabilité des chaînes industrielles et d’approvisionnement mondiales”, a dit le porte-parole chinois lors d’un point presse quotidien.

A peine installé, Lecornu affronte deux motions de censure

Un dernier obstacle avant d’entamer l’examen du budget: deux motions de censure contre le gouvernement de Sébastien Lecornu, l’une de LFI et l’autre du RN, ont commencé à être débattues par les députés jeudi matin, et devraient être rejetées, dans un scrutin serré, faute de soutien du PS.Le Parti socialiste a pris sa décision après avoir obtenu mardi satisfaction sur plusieurs revendications clés, dont l’annonce par le Premier ministre, dans sa déclaration de politique générale, de la suspension de la réforme des retraites.Cette suspension “n’est qu’un leurre, une tromperie, un subterfuge”, a dénoncé la députée de la France insoumise (LFI) Aurélie Trouvé, en lançant le débat commun aux deux motions à 09H00. “Vous tous qui avez été élus pour abroger la réforme des retraites, allez-vous vraiment vous laisser abuser par cette aumône en trompe-l’œil ?”, a-t-elle lancé aux députés socialistes… absents de l’hémicycle, tout comme la plupart des élus de la droite et du camp présidentiel.Seuls votent en effet ceux qui sont pour la censure. A l’issue des débats, prévus pour durer deux heures et demie, le scrutin sera ensuite ouvert pour trente minutes sur une motion, puis l’autre.Si la gauche ne soutiendra pas la motion du RN, celle de la France insoumise devrait recueillir les voix de l’extrême droite, ainsi que des députés écologistes et communistes.Manqueraient alors environ une vingtaine de députés pour atteindre la majorité (289 voix) qui ferait tomber le gouvernement, tout juste nommé dimanche.Marine Le Pen, qui a défendu dans la foulée la motion de son groupe et de ses alliés ciottistes, s’en est pris “aux partis unis par la terreur de la dissolution” que le RN réclame pour “sortir” le pays “de l’impasse”. Elle a prédit que l’année blanche prévue dans le projet de budget serait “une année noire”.En réponse, Sébastien Lecornu a appelé à “un moment de vérité entre ordre républicain et désordre”, demandant aux censeurs de ne pas “prendre en otage” le budget. – “Quasi-unanime -Combien de députés franchiront le pas en s’affranchissant de la consigne de leur parti?Chez les LR “deux ou trois” devraient voter la censure, selon une source interne.”Quelques votes pour” sont également possibles chez les indépendants Liot, selon une source au sein du groupe centriste.Chez les socialistes, le patron du parti Olivier Faure et le chef des députés Boris Vallaud ont appelé leurs troupes à s’en tenir à la ligne décidée de façon “quasi-unanime”. Mais le député Paul Christophle a fait savoir qu’il censurerait malgré tout: “mon sujet, c’est la justice fiscale et le pouvoir d’achat, il n’y a pas d’engagement du gouvernement sur ces sujets”, a-t-il dit à l’AFP. Cinq députés ultramarins du groupe PS ont également annoncé censurer.Le socialiste Pierrick Courbon dit lui hésiter. Il s’inquiète que la suspension de la réforme des retraites, qui passera selon M. Lecornu par un amendement au projet de loi de financement de la sécurité sociale, implique que les socialistes soutiennent ce texte dans son ensemble pour qu’il soit adopté. Or “le PLFSS du budget Macron” n’obtiendra “jamais ma voix”, confie-t-il à l’AFP.Un argument d’ailleurs repris en chœur par La France insoumise, les écologistes et les communistes. – Gouvernement “très fragile” -Ces mesures font partie de l’effort budgétaire prévu par le gouvernement d’une trentaine de milliards d’euros, dont 14 milliards de nouveaux prélèvements obligatoires.Si le gouvernement de Sébastien Lecornu survit, les débats autour du budget, dont le texte a été présenté en Conseil des ministres mardi, pourront enfin commencer à l’Assemblée.La commission des Finances s’en emparera lundi, et il devrait arriver dans l’hémicycle vendredi. Sans recours au 49.3, que M. Lecornu s’est engagé à ne pas utiliser, la bataille entre une gauche désunie, un socle commun fracturé et l’extrême droite s’annonce dantesque, dans des délais très contraints.Les socialistes se réservent d’ailleurs la possibilité de censurer le gouvernement au cours des discussions. Un député Horizons résume: “Je ne pense pas que le gouvernement sera censuré demain, mais il sera très fragile.”