Markets start week on front foot as China unveils consumer plan
Markets rose on Monday as investors welcomed Chinese plans to kickstart consumption in the world’s number two economy, though worries about Donald Trump’s tariffs war continue to cast a shadow over trading floors.The gains follow a much-needed rally on Wall Street that was stoked by optimism US lawmakers would pass a spending bill to avert a painful government shutdown. Eyes were on Beijing as officials were set to outline their plans to kickstart spending by the country’s army of consumers after years of post-Covid weakness that has been a major drag on economic growth.The State Council unveiled a set of initiatives on Sunday that aim to “promote reasonable wage growth by strengthening employment support in response to economic conditions”, according to state news agency Xinhua.The plan looks to boost income with property reforms, stabilise the stock market and encourage lenders to provide more consumption loans with reasonable limits, terms and interest rates.Officials were also looking at raising pension benefits, establishing a childcare subsidy system, and ensuring workers’ rights to rest and holidays are legally protected.The move comes after data showed consumer prices dropped into deflation in February for the first time in a year, while producer prices continued to fall.However, observers warned that leaders had a tough job ahead of them amid Trump’s trade war.”While fiscal spending targeting domestic demand has expanded, government support is limited,” said economists at Moody’s Analytics, adding that “mercurial US economic policies are set to drag on global trade and hit China”.”With China firmly in US President Donald Trump’s sights, deflation concerns in China will worsen. The chaos of tariffs and rising unemployment will keep consumer spending weak, denting inflation’s demand drivers.”Manufacturers will have to look closer to home to sell tariff-targeted products. That combination — weaker demand and more domestic supply — will be a handbrake on price growth.”- Fed projections -Data on Monday provided a little support, with retail sales up slightly more than expected in the first two months of the year, while industrial production also topped estimates.Hong Kong gained to build on a blockbuster start to the year fuelled by a chase into Chinese tech giants, while Shanghai, Tokyo, Sydney, Singapore, Seoul, Taipei, Mumbai and Manila also enjoyed healthy buying.London and Paris edged up at the open while Frankfurt was flat.Gold was sitting around $2,985 per ounce, having broken to a record high near $3,005 on Friday owing to a rush into safe havens as traders fret over Trump’s tariffs.All three main indexes on Wall Street ended on the front foot on Friday on optimism a government shutdown would be averted. Later in the day lawmakers passed the spending bill that will keep business going through to September.Traders are also looking ahead to the Federal Reserve’s next policy decision as policymakers try to navigate Trump’s tariffs campaign, which some economists warn could reignite inflation and tip the economy into recession.While the bank is expected to stand pat on interest rates, it will release its summary of economic projections and its outlook for borrowing costs this year.The gathering comes after a consumer survey released by the University of Michigan last week said expectations for the future “deteriorated” with “many consumers”. It cited a “high level of uncertainty around policy and other economic factors”.- Key figures around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.9 percent at 37,396.52 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.8 percent at 24,145.57 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,426.13 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,647.67Euro/dollar: DOWN at $1.0872 from $1.0884 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.2932 from $1.2936Dollar/yen: UP at 148.92 yen from 148.62 yenEuro/pound: DOWN at 84.08 pence from 84.14 penceWest Texas Intermediate: UP 0.8 percent at $67.70 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.7 percent at $71.10 per barrelNew York – Dow: Up 1.7 percent at 41,488.19 (close)
Ballots de cocaïne en mer et ports secondaires, nouvelles vagues du trafic
Pour contourner les terminaux géants de conteneurs maritimes comme Le Havre, davantage surveillés, les trafiquants de cocaïne ciblent les ports secondaires hexagonaux et larguent aussi des ballots à l’approche des côtes, récupérés ensuite par des complices.”Il y a quelques années, on ne voyait pas ces phénomènes”, expose à l’AFP Jean-Pierre Stephan, représentant du syndicat Solidaires des douanes de l’inter-région de Bretagne-Pays de la Loire. “Maintenant on revoit complètement notre façon de penser: on est peut-être au début de l’histoire ici, la marchandise rentre par ici, plus seulement par les grands ports”, développe-t-il.Le transport maritime est le vecteur majeur d’acheminement de la cocaïne en France et Le Havre la principale porte d’entrée, d’après le dernier bilan de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Or, “le renforcement des mesures de sécurité au port du Havre a permis de réduire son utilisation par les narcotrafiquants”, stipule l’organisme public.Les flux se reportent ailleurs. “Dunkerque, Rouen, Montoir-de-Bretagne” sont des ports “parmi les plus exposés”, cite depuis 2024 une commission d’enquête sénatoriale sur le narcotrafic. D’autres facteurs expliquent que des ports pas concernés jusqu’ici apparaissent dans les radars. “Le trafic de stupéfiants n’est pas du tout monolithique ni monopolistique”, résume pour l’AFP l’économiste Clotilde Champeyrache. “On a énormément d’organisations criminelles qui coopèrent pour acheminer les stupéfiants. Donc chacun a un peu ses portes d’entrée”, enchaîne cette experte, auditionnée par une autre commission sénatoriale sur le financement de la criminalité organisée.- “Quantités jamais vues” -“Pour les ports qui me concernent, du Finistère Nord et un peu la Bretagne plus largement, à partir de 2023, on est sur des saisies de quantités jamais vues auparavant, des centaines de kilos”, détaille Jean-Pierre Stephan.Le quart nord-ouest n’est pas seul concerné. La Rochelle (sud-ouest) a aussi fait les gros titres pour plus de 124 kg de cocaïne découverts en 2022 dans une cargaison de pâte à papier venue du Brésil. “Ça rentre par différents vecteurs maritimes, que ce soit les navires de commerce, navires de plaisance”, synthétise le douanier.Il n’y a pas besoin “d’avoir une capacité d’emport énorme, un volume de 400 kg de cocaïne sur un voilier, c’est quand même extrêmement rentable”, éclaire pour l’AFP un agent de terrain de la lutte anti-trafics, souhaitant rester anonyme. Les ballots largués en mer reviennent également de manière récurrente dans l’actualité depuis une poignée d’années. Comme les près de 700 kilos, conditionnés et imperméabilisés en plusieurs dizaines de paquets, flottant au large de Fécamp (Seine-Maritime) en 2023. C’est la technique dite du “drop-off”: “pour éviter un éventuel risque de contrôle dans l’enceinte portuaire, on va larguer la marchandise avant destination”, décrit Clotilde Champeyrache. Le bateau à la feuille de route suspecte évite ainsi une inspection et une embarcation locale moins repérable récupère la marchandise. Quand le stratagème capote, des ballots échouent sur les plages. – “Marins pêcheurs sollicités” -“On peut imaginer que certains marins pêcheurs sont sollicités par les trafiquants pour récupérer les colis munis de AirTag (traceur disponible dans le commerce pour une somme modique, ndlr) ou de balises”, reprend l’agent de terrain anonyme. Et d’ajouter: “les pêcheurs sont en ce moment un peu, comment dire, pas sous surveillance, mais ça fait partie des hypothèses”.”On a des indices, ça reste des indices”, pointe Jean-Pierre Stephan au sujet d’éventuels marins pêcheurs impliqués. “Le monde de la pêche connaît des difficultés actuellement. Et ce n’est pas un mystère, le monde de la pêche est touché par la consommation de stupéfiants”, poursuit le douanier. Une fois “le doigt mis dans la consommation” de stupéfiants-stimulants pour tenir les cadences, des pêcheurs sont susceptibles d’être en “lien avec des réseaux”.Face à ces nouveaux ressorts, la source anonyme déplore “des trous dans la raquette”, avec un maillage contraint budgétairement. “On a fermé beaucoup de services, notamment répartis sur les côtes”, regrette aussi Jean-Pierre Stephan. “Les moyens humains et techniques des douanes ne sont pas au niveau de la menace”, a alerté une commission d’enquête sénatoriale l’an dernier.Â
La Grande mosquée de Paris prise dans la brouille diplomatique franco-algérienne
La brouille diplomatique franco-algérienne place en position inconfortable la Grande mosquée de Paris, attaquée plus ou moins directement sur son lien avec Alger, et qui organise mardi son quatrième “iftar des ambassadeurs”. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot est annoncé à ce repas de rupture de jeûne du ramadan, mais pas Bruno Retailleau, alors que le précédent ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin répondait à l’invitation depuis 2022.L’institution doit composer avec d’autres changements, en cette période de ramadan qui voit traditionnellement l’envoi, en renfort temporaire, d’environ 80 “imams psalmodieurs” algériens. Cette année, aucun n’est venu: “le consulat n’a pas reçu de demande de visa” de la part d’Alger, explique une source gouvernementale.”La situation est compliquée”, soupire le recteur de la Grande mosquée Chems-eddine Hafiz.Pour le sociologue et chercheur au CNRS Franck Frégosi, “la Grande mosquée de Paris fait les frais de la détérioration des relations franco-algériennes”.En janvier, l’institution a été accusée d’avoir organisé, avec l’appui des autorités algériennes, un très rentable système monopolistique de certification halal pour les produits européens destinés à l’Algérie.Le lien de M. Hafiz avec l’Algérie a aussi été questionné, notamment par l’ancien ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt qui l’a invité début janvier sur CNews à s’occuper “de religion et non de politique”, n’étant “pas l’ambassadeur officieux de l’Algérie”.Le recteur, qui a dénoncé des “attaques totalement mensongères”, défend son institution. “La Grande mosquée de Paris ne s’est jamais cachée d’avoir une relation (construite) entre l’Algérie et la France. Nous sommes une passerelle vertueuse entre les deux. Ce n’est pas une question d’influence ou de quoi que ce soit”, affirmait-il début mars à des journalistes.Inaugurée en 1926, la Grande moquée bénéficie depuis le début des années 1980 d’un financement annuel de l’Etat algérien d’environ 2 millions d’euros.L’institution a été montrée du doigt après le refus du recteur de participer à la manifestation contre l’antisémitisme du 12 novembre 2023, pour ne pas défiler aux côtés du Rassemblement national.Un “tournant” pour Chems-eddine Hafiz: “avant, j’étais le musulman qu’il fallait fréquenter à tout prix. Après je deviens le pire des antisémites”.- “laxisme” -La Grande mosquée “avait jusqu’à présent été présentée comme le bon soldat de la République, un peu comme le modèle du bon islam républicain”, note Franck Fregosi, auteur d’un récent ouvrage “Gouverner l’islam en France” (Ed. Seuil).Au point d’apparaître comme l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics, après la disgrâce en 2021 du Conseil français du culte musulman (CFCM), représentant de l’islam de France depuis 2003.En 2022, entre les deux tours de la présidentielle, M. Hafiz avait même organisé un “iftar républicain de soutien à la réélection d’Emmanuel Macron”, en présence de l’ancien ministre de l’Intérieur Christophe Castaner.”La Grande mosquée de Paris s’est sentie pointée du doigt par un ministère qui avait plutôt été bienveillant à son égard”, explique M. Fregosi, en soulignant la stratégie de fermeté de Bruno Retailleau, qui “veut apparaître comme celui qui a réussi ce que les autres n’ont jamais osé faire” sur la structuration de l’islam en France.La crise diplomatique entre Paris et Alger, née de la reconnaissance par la France de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental fin juillet 2024, s’est enflammée autour de l’emprisonnement de l’écrivain Boualem Sansal, arrêté le 16 novembre 2024 à Alger. Dans ce contexte le recteur s’est aussi vu reprocher de ne pas avoir appelé à sa libération.”Le regarde laxiste qu’on portait sur la Grande mosquée de Paris ne peut plus être le même depuis l’affaire Sansal”, estime un bon connaisseur du dossier, qui voit l’institution “prise dans ses ambiguïtés”.La crise a aussi un volet migratoire, et Bruno Retailleau a menacé samedi de démissionner si Paris cédait sur le renvoi de ressortissants algériens en situation irrégulière.Dans un billet très politique début mars, M. Hafiz avait lui dénoncé les “faiseurs de peurs” qui dans la classe politique et les médias nourrissent “une éternelle mise en procès” de l’immigration algérienne.
Nigeria seek World Cup redemption, Sudan eye historyMon, 17 Mar 2025 07:11:33 GMT
Underperforming Nigeria and disadvantaged Sudan share the spotlight ahead of two 2026 World Cup qualifying matchdays in Africa from Wednesday. Seeded to win Group C and automatically qualify, a Nigerian team boasting the past two African Footballers of the Year Victor Osimhen and Ademola Lookman lie fifth in a six-team section.In a qualifying competition spanning three …
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