London-bound plane with 242 on board crashes into doctors’ housing in India

A London-bound passenger plane crashed in the Indian city of Ahmedabad on Thursday and all 242 people on board were believed killed, with the jet smashing into buildings housing doctors and their families.An AFP journalist saw people recovering bodies and firefighters trying to douse the smouldering wreckage after the Boeing 787-8 Dreamliner hit buildings during lunchtime.”The tragedy in Ahmedabad has stunned and saddened us. It is heartbreaking beyond words,” Prime Minister Narendra Modi said after Air India’s flight 171 crashed after takeoff.City police commissioner GS Malik told AFP there “appears to be no survivor in the crash”. Rescue teams supported by the military had “found 204 bodies”, he said, with people aboard the plane and those on the ground among the dead.The AFP journalist saw a section of the plane lying on the ground and a building ablaze, with thick black smoke billowing into the air.”One half of the plane crashed into the residential building where doctors lived with their families,” said Krishna, a doctor who did not give his full name.”The nose and front wheel landed on the canteen building where students were having lunch,” he said.Krishna said he saw “about 15 to 20 burnt bodies”, while he and his colleagues rescued around 15 students.India’s civil aviation authority said there were 242 people aboard, including two pilots and 10 cabin crew. Air India said there were 169 Indian passengers, 53 British, seven Portuguese, and a Canadian on board the flight bound for London Gatwick.UK Prime Minister Keir Starmer said the scenes from the crash were “devastating”, while the country’s King Charles III said he was “desperately shocked”.- ‘Devastating’ -The plane issued a mayday call and “crashed immediately after takeoff” outside the airport perimeter, the Directorate General of Civil Aviation said.Ahmedabad, the main city of India’s Gujarat state, is home to around eight million people and the busy airport is surrounded by densely packed residential areas.”When we reached the spot there were several bodies lying around and firefighters were dousing the flames,” resident Poonam Patni told AFP.”Many of the bodies were burned,” she said.The AFP journalist saw medics using a cart to load bodies into an ambulance, while a charred metal bed frame stood surrounded by burnt wreckage.A photograph published by India’s Central Industrial Security Force, a national security agency, showed the tail of the plane jutting from a building.The plane came down in an area between a hospital and the city’s Ghoda Camp neighbourhood.The airport was shut, with all flights “suspended until further notice”, its operator said.US planemaker Boeing said it was in touch with Air India and stood “ready to support them” over the incident, which a source close to the case said was the first crash for a 787 Dreamliner.Air India ordered 100 more Airbus planes last year after a giant contract in 2023 for 470 aircraft — 250 Airbus and 220 Boeing. The airline’s chairman, Natarajan Chandrasekaran, said an emergency centre had been set up with a support team for families seeking information.”Our thoughts and deepest condolences are with the families and loved ones of all those affected by this devastating event,” he said.India has suffered a series of fatal air crashes, including a 1996 disaster when two jets collided mid-air over New Delhi, killing nearly 350 people.In 2010, an Air India Express jet crashed and burst into flames at Mangalore airport in southwest India, killing 158 of the 166 passengers and crew on board.India’s airline industry has boomed in recent years with Willie Walsh, director general of the International Air Transport Association (IATA), last month calling it “nothing short of phenomenal”.The growth of its economy has made India and its 1.4 billion people the world’s fourth-largest air market — domestic and international — with IATA projecting it will become the third biggest within the decade.India’s domestic air passenger traffic reached a milestone last year by “surpassing 500,000 passengers in a single day”, according to India’s Ministry of Civil Aviation.

Surveillante tuée: vers la mise en examen du collégien, minute de silence dans les établissements

Le collège de Nogent (Haute-Marne), comme des établissements scolaires de toute la France, a observé jeudi midi une minute de silence en hommage à sa surveillante tuée mardi, tandis que l’adolescent auteur des coups de couteau doit être mis en examen.Le parquet a requis la mise en examen de ce collégien de 14 ans pour “meurtre d’une personne chargée de mission de service public” ainsi que pour “violences volontaires ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours” contre un gendarme blessé lors de son interpellation, a annoncé dans un communiqué le procureur de Dijon, Olivier Caracotch.Son placement en détention provisoire a également été requis.Du fait de sa minorité, le suspect encourt une peine de 20 ans de réclusion criminelle au lieu d’une peine de prison à perpétuité. Il est présenté jeudi à un juge d’instruction de Dijon à l’issue de deux jours de garde à vue.Le collège Françoise-Dolto de Nogent a rouvert ses portes jeudi matin, mais seules quelques dizaines d’élèves y sont retournés en matinée, a constaté l’AFP sur place.Ils y ont respecté à midi une minute de silence en mémoire de Mélanie, la surveillante de 31 ans poignardée, un hommage demandé par la ministre de l’Education Elisabeth Borne dans tous les établissements scolaires du pays.Thomas, 16 ans, un élève dans la classe de 3e du meurtrier, qui a assisté à la minute de silence de son collège, se souvient d’une surveillante “gentille et adorable”, “une belle personne”. Concernant l’auteur des faits, il parle d’un garçon “plutôt sympa” mais qui “des fois, (n’)avait pas le moral”.Ce temps de recueillement marque “l’expression collective de notre refus absolu de toute forme de violence et de notre détermination à soutenir ensemble, plus que jamais, notre école et ceux qui la font”, a déclaré jeudi Mme Borne.- “Désinhibition de la violence” -Le président de la République Emmanuel Macron a déploré jeudi en Conseil des ministres une “désinhibition de la violence (…) pour laquelle il va falloir évidemment apporter des solutions”, a rapporté la porte-parole du gouvernement Sophie Primas.”Face à la tristesse, à l’indignation, au choc que nous partageons, nous devons porter haut nos valeurs humanistes, notre fraternité, notre attention à chacune et chacun”, a écrit la proviseure d’un lycée parisien dans un message destiné à l’ensemble de sa communauté scolaire consulté par l’AFP.”On voit l’état psychologique de nos élèves se dégrader d’année en année”, alerte Chloé Juvin, 27 ans, surveillante dans un collège de Rennes. “On est multi-casquette, on fait un peu l’infirmière, un peu le psy, en fait on est la première ligne qu’ils trouvent”, souligne une de ses collègues, Clémentine Bidaud, 29 ans.Pendant sa garde à vue, le collégien de 14 ans a dit vouloir tuer une surveillante, “n’importe laquelle”, a rapporté mercredi le procureur de Chaumont Denis Devallois, dressant le portrait glaçant d’un adolescent “fasciné par la violence” et “en perte de repères”.Il avait été interpellé mardi juste après les faits, lors d’un contrôle inopiné des sacs des élèves par des gendarmes devant son établissement.- Besoin d’expertises -Le suspect ne présente “aucun signe évoquant un possible trouble mental”, avait aussi souligné M. Duvallois.Antoine Chateau, l’avocat de l’adolescent, a dit dans un communiqué transmis jeudi à l’AFP se dissocier “de certaines affirmations faites” par le procureur de Chaumont.Me Chateau dit avoir “pris note qu’il y aurait des expertises psychologiques et psychiatriques en cours de procédure”, et rappelle “qu’il est d’usage de faire procéder aux expertises au plus tôt de l’enquête”.Le drame de Nogent a eu un énorme retentissement dans les sphères éducatives et politiques.Au-delà de l’interdiction immédiate de la vente de couteaux aux mineurs, et “l’expérimentation” de portiques de sécurité voulue par le Premier ministre François Bayrou, le camp présidentiel et la gauche préviennent que la réponse est multiple et qu’il n’y a pas de “solution magique”. La droite, elle, insiste sur “la sanction”.Les proches de la victime ont annoncé une marche blanche au départ du collège de Nogent, vendredi à 18H00.bur-sl-ved-lv-kau-bj/etb/ale

Surveillante tuée: vers la mise en examen du collégien, minute de silence dans les établissements

Le collège de Nogent (Haute-Marne), comme des établissements scolaires de toute la France, a observé jeudi midi une minute de silence en hommage à sa surveillante tuée mardi, tandis que l’adolescent auteur des coups de couteau doit être mis en examen.Le parquet a requis la mise en examen de ce collégien de 14 ans pour “meurtre d’une personne chargée de mission de service public” ainsi que pour “violences volontaires ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours” contre un gendarme blessé lors de son interpellation, a annoncé dans un communiqué le procureur de Dijon, Olivier Caracotch.Son placement en détention provisoire a également été requis.Du fait de sa minorité, le suspect encourt une peine de 20 ans de réclusion criminelle au lieu d’une peine de prison à perpétuité. Il est présenté jeudi à un juge d’instruction de Dijon à l’issue de deux jours de garde à vue.Le collège Françoise-Dolto de Nogent a rouvert ses portes jeudi matin, mais seules quelques dizaines d’élèves y sont retournés en matinée, a constaté l’AFP sur place.Ils y ont respecté à midi une minute de silence en mémoire de Mélanie, la surveillante de 31 ans poignardée, un hommage demandé par la ministre de l’Education Elisabeth Borne dans tous les établissements scolaires du pays.Thomas, 16 ans, un élève dans la classe de 3e du meurtrier, qui a assisté à la minute de silence de son collège, se souvient d’une surveillante “gentille et adorable”, “une belle personne”. Concernant l’auteur des faits, il parle d’un garçon “plutôt sympa” mais qui “des fois, (n’)avait pas le moral”.Ce temps de recueillement marque “l’expression collective de notre refus absolu de toute forme de violence et de notre détermination à soutenir ensemble, plus que jamais, notre école et ceux qui la font”, a déclaré jeudi Mme Borne.- “Désinhibition de la violence” -Le président de la République Emmanuel Macron a déploré jeudi en Conseil des ministres une “désinhibition de la violence (…) pour laquelle il va falloir évidemment apporter des solutions”, a rapporté la porte-parole du gouvernement Sophie Primas.”Face à la tristesse, à l’indignation, au choc que nous partageons, nous devons porter haut nos valeurs humanistes, notre fraternité, notre attention à chacune et chacun”, a écrit la proviseure d’un lycée parisien dans un message destiné à l’ensemble de sa communauté scolaire consulté par l’AFP.”On voit l’état psychologique de nos élèves se dégrader d’année en année”, alerte Chloé Juvin, 27 ans, surveillante dans un collège de Rennes. “On est multi-casquette, on fait un peu l’infirmière, un peu le psy, en fait on est la première ligne qu’ils trouvent”, souligne une de ses collègues, Clémentine Bidaud, 29 ans.Pendant sa garde à vue, le collégien de 14 ans a dit vouloir tuer une surveillante, “n’importe laquelle”, a rapporté mercredi le procureur de Chaumont Denis Devallois, dressant le portrait glaçant d’un adolescent “fasciné par la violence” et “en perte de repères”.Il avait été interpellé mardi juste après les faits, lors d’un contrôle inopiné des sacs des élèves par des gendarmes devant son établissement.- Besoin d’expertises -Le suspect ne présente “aucun signe évoquant un possible trouble mental”, avait aussi souligné M. Duvallois.Antoine Chateau, l’avocat de l’adolescent, a dit dans un communiqué transmis jeudi à l’AFP se dissocier “de certaines affirmations faites” par le procureur de Chaumont.Me Chateau dit avoir “pris note qu’il y aurait des expertises psychologiques et psychiatriques en cours de procédure”, et rappelle “qu’il est d’usage de faire procéder aux expertises au plus tôt de l’enquête”.Le drame de Nogent a eu un énorme retentissement dans les sphères éducatives et politiques.Au-delà de l’interdiction immédiate de la vente de couteaux aux mineurs, et “l’expérimentation” de portiques de sécurité voulue par le Premier ministre François Bayrou, le camp présidentiel et la gauche préviennent que la réponse est multiple et qu’il n’y a pas de “solution magique”. La droite, elle, insiste sur “la sanction”.Les proches de la victime ont annoncé une marche blanche au départ du collège de Nogent, vendredi à 18H00.bur-sl-ved-lv-kau-bj/etb/ale

Hundreds of civilians were tortured by Wagner mercenaries in Mali: reportThu, 12 Jun 2025 13:12:26 GMT

In its more than three years in Mali, the Russian paramilitary group Wagner kidnapped, detained and tortured hundreds of civilians, including at former UN bases and camps shared with the country’s army, according to a report published Thursday by a journalist collective.The victims, who were interviewed by a consortium of reporters led by investigative outlet …

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Pakistan’s Akram praises his statue amid social media flak

Legendary Pakistan cricketer Wasim Akram saluted on Thursday the “effort” of the artist who created a statue of him that has spawned scorn on social media.The statue of Akram –- one of the greatest left-arm fast bowlers to play the game -– was installed outside the southwestern city of Hyderabad’s Niaz Stadium in April.Akram is shown bowling wearing the kit of the 1999 World Cup team, when Pakistan were runners-up.Nearby is a statue of a tiger.One fan mocked the statue, saying: “The only thing that looks real is the ball,” adding the face looked more like Hollywood hero Sylvester Stallone.The affable Akram, however, took to social media to praise the effort.”Lots of talk about my sculpture being erected at Niaz Stadium, Hyderabad. Mine is definitely better than the tiger,” he posted on X.”It’s the idea that matters. Credit to the creators, full marks for the effort and thanks to everyone involved.”Australia has a history of placing statues of their iconic players outside their stadiums, while India unveiled one of master batter Sachin Tendulkar outside a stadium in Mumbai in 2023.Niaz stadium chief Shiraz Leghari told AFP: “The artist did his best effort, but accepts it doesn’t resemble (Akram) a hundred percent.”Akram is one of the country’s most celebrated cricketers, having represented Pakistan in 104 Tests and 356 ODIs with 414 and 502 wickets respectively. He was the leading wicket-taker in the 1992 World Cup when Pakistan claimed the trophy.

In Nigeria, the juntas are history, but street names live foreverThu, 12 Jun 2025 12:36:22 GMT

As President Bola Tinubu praised his country’s quarter century of democratic rule Thursday, many of the streets around the Nigerian capital carried a different, perhaps less-inspiring message.To name a few: Sani Abacha Way takes commuters into downtown Abuja. Ibrahim Babangida Way meanwhile cuts through upscale Maitama. Murtala Muhammed Expressway passes next to the presidency and …

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787 Dreamliner is Boeing’s flagship long-distance plane

The Boeing 787 Dreamliner that crashed in India on Thursday is the pride of the US company’s catalogue for long-distance planes: a fuel-efficient, wide-body aircraft able to transport up to 330 people.- Lightweight -After first entering service in October 2011, with Japan’s All Nippon Airways, 2,598 of the planes have been ordered by more than 80 airlines around the world, with 889 still awaiting delivery.Its appeal is its lightweight structure, half of which is made from composite materials, allowing it to burn up to 20 percent less fuel over long distances than older, equivalent-sized passenger planes.It can be used for “point-to-point” services, meaning it can fly direct to a destination instead of relying on a “hub” system used by heavier aircraft.Boeing says the use of the 787 has opened up 180 such “point-to-point” routes, more than the 80 initially banked upon.- Three versions -There are currently three versions of the 787: the 787-8, which can carry up to 248 passengers over distances up to 13,530 kilometres (8,400 miles); the 787-9, carrying up to 296 passengers up to 14,010 kilometres; and the 787-10, with up to 330 passengers, up to 11,910 kilometres.The one that went down in Ahmedabad, India on Thursday was the 787-8 version, carrying 242 passengers and crew. It was scheduled to fly to London, but crashed shortly after taking off from the western Indian city.Boeing said it was “aware” of the reports of of the crash and was “working to gather more information”.It was the first deadly crash of a 787 Dreamliner.- Boeing setbacks -Boeing’s programme for the plane had suffered several setbacks, including repeated and costly delivery suspensions between 2021 and 2023, mainly due to assembly faults and manufacturing quality issues.The US Federal Aviation Administration ended up reinforcing quality assurance checks and inspections on the production lines.In April this year, the FAA authorised Boeing to step up its production pace to make seven planes a month, from five previously.In terms of sales, Boeing is facing headwinds.The manufacturer did not deliver any aircraft to China in May, despite having a green light from Beijing, which the month before had temporarily barred Chinese airlines from dealing with the company because of the trade war unleashed by Washington.