Trump says Iran-Israel truce holds after berating both countries
US President Donald Trump said Tuesday that a ceasefire between Iran and Israel was holding, shortly after he lashed out at both countries and cursed as he accused them of violating the truce.In a fast-moving series of declarations, the 79-year-old Republican, who was on his way to attend a NATO summit in The Hague, posted on his Truth Social app that “the Ceasefire is in effect!””ISRAEL is not going to attack Iran. All planes will turn around and head home, while doing a friendly ‘Plane Wave’ to Iran. Nobody will be hurt,” Trump wrote.Minutes earlier, he had castigated Iran and also close US ally Israel for violating a ceasefire he had originally announced late Monday.The two countries have been “fighting so long and so hard that they don’t know what the fuck they’re doing, do you understand that?” the president told reporters at the White House.Iran violated the ceasefire, “but Israel violated it too,” Trump told reporters on the White House’s South Lawn as he departed for the NATO summit.”So I’m not happy with them. I’m not happy with Iran either. But I’m really unhappy if Israel is going out this morning.””I’ve got to get Israel to calm down,” he said. “Israel, as soon as we made the deal, they came out and dropped a load of bombs the likes of which I’ve never seen before.”Trump’s unusually public display of anger at Israel saw the US leader apparently trying to cajole his ally to call off warplanes in real time.Earlier the same morning, he had posted on Truth Social: “ISRAEL. DO NOT DROP THOSE BOMBS” — without it being clear which bombs he was referring to.”IF YOU DO IT IS A MAJOR VIOLATION. BRING YOUR PILOTS HOME, NOW!”If it holds, the truce would be a big political win for Trump in the wake of his risky decision to send US bombers over the weekend to attack three nuclear facilities in Iran that Israel and the United States say were being used to build an atomic bomb in secret.The US leader had said the truce would be a phased 24-hour process beginning at around 0400 GMT Tuesday, with Iran unilaterally halting all operations first. He said Israel would follow suit 12 hours later.Israel has been bombing Iran in an offensive that began June 13. The United States joined the attack with a mission starting overnight Friday to Saturday against the deeply buried Fordow complex and two other sites.Speaking to reporters at the White House, Trump insisted that the US bombing mission was a success.”I think it’s been completely demolished,” he said, savaging US journalists for “fake news” and calling two networks “scum” for reporting that it remains unclear whether the Iranian nuclear infrastructure was truly dismantled.”IRAN WILL NEVER REBUILD THEIR NUCLEAR FACILITIES!” he posted separately on Truth Social.
IS-linked group abducting children in Mozambique: HRWTue, 24 Jun 2025 13:11:01 GMT
Islamic State-linked militants active in northern Mozambique are increasingly abducting children, with at least 120 kidnapped this year although some have already been released, Human Rights Watch said Tuesday. The gas-rich region has been plagued for years by jihadist violence that has killed thousands of people, caused others to flee and forced the suspension of a …
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Retraites: les syndicats renvoient la balle à François Bayrou
Les trois syndicats participant au conclave ont demandé mardi à François Bayrou de prendre ses “responsabilités” après l’échec des discussions, rejetant toute nouvelle séance de négociation avec le patronat.”L’idée est qu’il n’y ait pas de nouvelle séance de négociation, charge au Premier ministre de prendre acte et de décider d’ici la fin de la semaine ce qu’il fait de ce qui est aujourd’hui sur la table”, a déclaré Marylise Léon à la sortie d’un rendez-vous des trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) avec M. Bayrou à Matignon.Catherine Vautrin et Astrid Panosyan-Bouvet, les deux ministres en charge du Travail, étaient également présentes à cette réunion.Patrick Martin, le président du Medef, a immédiatement succédé aux trois organisations syndicales.”S’il y a une responsabilité, elle est collective”, a-t-il lancé en arrivant, en référence à l’échec des discussions du conclave. “Si quelqu’un a fait des avancées, c’est bien le Medef”.Le patron de la CPME, Amir Reza-Tofighi, est pour sa part attendu à 20h00. Le Premier ministre a décidé de recevoir les partenaires sociaux dans une tentative de la dernière chance de surmonter les blocages sur les retraites.”Je ne peux pas accepter sans réagir qu’on se satisfasse d’échouer si près du but”, a-t-il expliqué tôt mardi matin, quelques heures après le constat d’un “échec” du conclave qui est aussi un revers pour la méthode de dialogue social qu’il prônait. Depuis Oslo, le président de la République a “encouragé ardemment” les partenaires sociaux “à savoir aller au-delà des désaccords qui persistent et à trouver ensemble une solution qui soit bonne pour le pays”. “Je pense que le Premier ministre a tout à fait raison de s’engager et d’insister sur l’importance d’un accord”, a souligné Emmanuel Macron.- “Voie de passage” -Le conclave qui a échoué lundi était le fruit d’un compromis noué avec les socialistes pour éviter une censure du gouvernement lors du vote du budget 2025. Et le Premier ministre s’était engagé à en présenter les conclusions devant le Parlement. FO et la CGT, qui étaient sorties très rapidement des discussions, n’ont pas été invitées à Matignon mardi, malgré la demande sur RMC de la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Mardi matin, le président du Medef Patrick Martin a estimé sur France Info “qu’on n’est pas loin d’un accord”. Selon lui, l’un des principaux points d’achoppement avec les syndicats est le dispositif des carrières longues, qui permet de partir plus tôt que l’âge légal si on a commencé à travailler tôt et que le patronat voulait restreindre pour financer entre autres des mesures en faveur des femmes.”Au motif qu’ils ont fait des stages, le système permet aujourd’hui à des gens de partir plus tôt que l’âge légal alors qu’ils ont exercé des métiers qui ne sont pas éprouvants”, a-t-il expliqué. “Il y a là une poche financière et en définitive, ça réparerait une iniquité. Donc la voie de passage, elle existe”, a estimé le président du Medef. “Si l’objectif, c’est que 50% d’une classe d’âge parte avant l’âge légal, ça ne marchera pas”, a-t-il ajouté.A l’issue de l’ultime séance de négociations, syndicats et patronats s’étaient renvoyés la responsabilité de l’impasse. Le principal désaccord tournait autour de la finalité d’une reconnaissance de l’usure professionnelle: les syndicats y voient une perspective de départ anticipé à la retraite, le patronat privilégie d’autres pistes, telles la prévention ou la reconversion.- “vers la censure” -Dans son intervention mardi matin, François Bayrou a estimé que “de nombreux points d’accord étaient sur le point d’être actés” pendant le conclave “sur le sujet si important d’une amélioration des calculs de retraite des mères de famille, sur l’âge auquel on peut partir à taux plein, sur un certain nombre de principes de financement”.Il s’est également satisfait d’un “pas décisif”: le fait que “le principe des règles d’âge pour garantir l’équilibre financier de notre système de retraite” ait été “reconnu par tous”. La question de revenir sur le départ à la retraite à 64 ans avait été vite balayée. Cette mesure phare, et impopulaire, de la réforme Borne de 2023 sera donc toujours en vigueur pour les salariés nés à partir du 1er janvier 1968.François Bayrou joue gros sur ce dossier.La France insoumise a appelé les autres groupes de gauche à se joindre à une motion de censure contre son gouvernement. “Si le Parlement n’est pas saisi, si nous n’avons pas la possibilité de déposer des amendements qui permettraient de définir quelles seraient les conditions d’un retour à l’équilibre en échange d’un retour à 62 ans, effectivement, nous irons vers la censure”, a averti le premier secrétaire du PS Olivier Faure.Mais en l’absence des voix du Rassemblement national qui a prévenu qu’il ne s’y associerait pas, le gouvernement semble assuré de se maintenir. Avant d’affronter les débats budgétaires encore plus périlleux, cet été et à l’automne.
Retraites: les syndicats renvoient la balle à François Bayrou
Les trois syndicats participant au conclave ont demandé mardi à François Bayrou de prendre ses “responsabilités” après l’échec des discussions, rejetant toute nouvelle séance de négociation avec le patronat.”L’idée est qu’il n’y ait pas de nouvelle séance de négociation, charge au Premier ministre de prendre acte et de décider d’ici la fin de la semaine ce qu’il fait de ce qui est aujourd’hui sur la table”, a déclaré Marylise Léon à la sortie d’un rendez-vous des trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) avec M. Bayrou à Matignon.Catherine Vautrin et Astrid Panosyan-Bouvet, les deux ministres en charge du Travail, étaient également présentes à cette réunion.Patrick Martin, le président du Medef, a immédiatement succédé aux trois organisations syndicales.”S’il y a une responsabilité, elle est collective”, a-t-il lancé en arrivant, en référence à l’échec des discussions du conclave. “Si quelqu’un a fait des avancées, c’est bien le Medef”.Le patron de la CPME, Amir Reza-Tofighi, est pour sa part attendu à 20h00. Le Premier ministre a décidé de recevoir les partenaires sociaux dans une tentative de la dernière chance de surmonter les blocages sur les retraites.”Je ne peux pas accepter sans réagir qu’on se satisfasse d’échouer si près du but”, a-t-il expliqué tôt mardi matin, quelques heures après le constat d’un “échec” du conclave qui est aussi un revers pour la méthode de dialogue social qu’il prônait. Depuis Oslo, le président de la République a “encouragé ardemment” les partenaires sociaux “à savoir aller au-delà des désaccords qui persistent et à trouver ensemble une solution qui soit bonne pour le pays”. “Je pense que le Premier ministre a tout à fait raison de s’engager et d’insister sur l’importance d’un accord”, a souligné Emmanuel Macron.- “Voie de passage” -Le conclave qui a échoué lundi était le fruit d’un compromis noué avec les socialistes pour éviter une censure du gouvernement lors du vote du budget 2025. Et le Premier ministre s’était engagé à en présenter les conclusions devant le Parlement. FO et la CGT, qui étaient sorties très rapidement des discussions, n’ont pas été invitées à Matignon mardi, malgré la demande sur RMC de la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Mardi matin, le président du Medef Patrick Martin a estimé sur France Info “qu’on n’est pas loin d’un accord”. Selon lui, l’un des principaux points d’achoppement avec les syndicats est le dispositif des carrières longues, qui permet de partir plus tôt que l’âge légal si on a commencé à travailler tôt et que le patronat voulait restreindre pour financer entre autres des mesures en faveur des femmes.”Au motif qu’ils ont fait des stages, le système permet aujourd’hui à des gens de partir plus tôt que l’âge légal alors qu’ils ont exercé des métiers qui ne sont pas éprouvants”, a-t-il expliqué. “Il y a là une poche financière et en définitive, ça réparerait une iniquité. Donc la voie de passage, elle existe”, a estimé le président du Medef. “Si l’objectif, c’est que 50% d’une classe d’âge parte avant l’âge légal, ça ne marchera pas”, a-t-il ajouté.A l’issue de l’ultime séance de négociations, syndicats et patronats s’étaient renvoyés la responsabilité de l’impasse. Le principal désaccord tournait autour de la finalité d’une reconnaissance de l’usure professionnelle: les syndicats y voient une perspective de départ anticipé à la retraite, le patronat privilégie d’autres pistes, telles la prévention ou la reconversion.- “vers la censure” -Dans son intervention mardi matin, François Bayrou a estimé que “de nombreux points d’accord étaient sur le point d’être actés” pendant le conclave “sur le sujet si important d’une amélioration des calculs de retraite des mères de famille, sur l’âge auquel on peut partir à taux plein, sur un certain nombre de principes de financement”.Il s’est également satisfait d’un “pas décisif”: le fait que “le principe des règles d’âge pour garantir l’équilibre financier de notre système de retraite” ait été “reconnu par tous”. La question de revenir sur le départ à la retraite à 64 ans avait été vite balayée. Cette mesure phare, et impopulaire, de la réforme Borne de 2023 sera donc toujours en vigueur pour les salariés nés à partir du 1er janvier 1968.François Bayrou joue gros sur ce dossier.La France insoumise a appelé les autres groupes de gauche à se joindre à une motion de censure contre son gouvernement. “Si le Parlement n’est pas saisi, si nous n’avons pas la possibilité de déposer des amendements qui permettraient de définir quelles seraient les conditions d’un retour à l’équilibre en échange d’un retour à 62 ans, effectivement, nous irons vers la censure”, a averti le premier secrétaire du PS Olivier Faure.Mais en l’absence des voix du Rassemblement national qui a prévenu qu’il ne s’y associerait pas, le gouvernement semble assuré de se maintenir. Avant d’affronter les débats budgétaires encore plus périlleux, cet été et à l’automne.
Retraites: les syndicats renvoient la balle à François Bayrou
Les trois syndicats participant au conclave ont demandé mardi à François Bayrou de prendre ses “responsabilités” après l’échec des discussions, rejetant toute nouvelle séance de négociation avec le patronat.”L’idée est qu’il n’y ait pas de nouvelle séance de négociation, charge au Premier ministre de prendre acte et de décider d’ici la fin de la semaine ce qu’il fait de ce qui est aujourd’hui sur la table”, a déclaré Marylise Léon à la sortie d’un rendez-vous des trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) avec M. Bayrou à Matignon.Catherine Vautrin et Astrid Panosyan-Bouvet, les deux ministres en charge du Travail, étaient également présentes à cette réunion.Patrick Martin, le président du Medef, a immédiatement succédé aux trois organisations syndicales.”S’il y a une responsabilité, elle est collective”, a-t-il lancé en arrivant, en référence à l’échec des discussions du conclave. “Si quelqu’un a fait des avancées, c’est bien le Medef”.Le patron de la CPME, Amir Reza-Tofighi, est pour sa part attendu à 20h00. Le Premier ministre a décidé de recevoir les partenaires sociaux dans une tentative de la dernière chance de surmonter les blocages sur les retraites.”Je ne peux pas accepter sans réagir qu’on se satisfasse d’échouer si près du but”, a-t-il expliqué tôt mardi matin, quelques heures après le constat d’un “échec” du conclave qui est aussi un revers pour la méthode de dialogue social qu’il prônait. Depuis Oslo, le président de la République a “encouragé ardemment” les partenaires sociaux “à savoir aller au-delà des désaccords qui persistent et à trouver ensemble une solution qui soit bonne pour le pays”. “Je pense que le Premier ministre a tout à fait raison de s’engager et d’insister sur l’importance d’un accord”, a souligné Emmanuel Macron.- “Voie de passage” -Le conclave qui a échoué lundi était le fruit d’un compromis noué avec les socialistes pour éviter une censure du gouvernement lors du vote du budget 2025. Et le Premier ministre s’était engagé à en présenter les conclusions devant le Parlement. FO et la CGT, qui étaient sorties très rapidement des discussions, n’ont pas été invitées à Matignon mardi, malgré la demande sur RMC de la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Mardi matin, le président du Medef Patrick Martin a estimé sur France Info “qu’on n’est pas loin d’un accord”. Selon lui, l’un des principaux points d’achoppement avec les syndicats est le dispositif des carrières longues, qui permet de partir plus tôt que l’âge légal si on a commencé à travailler tôt et que le patronat voulait restreindre pour financer entre autres des mesures en faveur des femmes.”Au motif qu’ils ont fait des stages, le système permet aujourd’hui à des gens de partir plus tôt que l’âge légal alors qu’ils ont exercé des métiers qui ne sont pas éprouvants”, a-t-il expliqué. “Il y a là une poche financière et en définitive, ça réparerait une iniquité. Donc la voie de passage, elle existe”, a estimé le président du Medef. “Si l’objectif, c’est que 50% d’une classe d’âge parte avant l’âge légal, ça ne marchera pas”, a-t-il ajouté.A l’issue de l’ultime séance de négociations, syndicats et patronats s’étaient renvoyés la responsabilité de l’impasse. Le principal désaccord tournait autour de la finalité d’une reconnaissance de l’usure professionnelle: les syndicats y voient une perspective de départ anticipé à la retraite, le patronat privilégie d’autres pistes, telles la prévention ou la reconversion.- “vers la censure” -Dans son intervention mardi matin, François Bayrou a estimé que “de nombreux points d’accord étaient sur le point d’être actés” pendant le conclave “sur le sujet si important d’une amélioration des calculs de retraite des mères de famille, sur l’âge auquel on peut partir à taux plein, sur un certain nombre de principes de financement”.Il s’est également satisfait d’un “pas décisif”: le fait que “le principe des règles d’âge pour garantir l’équilibre financier de notre système de retraite” ait été “reconnu par tous”. La question de revenir sur le départ à la retraite à 64 ans avait été vite balayée. Cette mesure phare, et impopulaire, de la réforme Borne de 2023 sera donc toujours en vigueur pour les salariés nés à partir du 1er janvier 1968.François Bayrou joue gros sur ce dossier.La France insoumise a appelé les autres groupes de gauche à se joindre à une motion de censure contre son gouvernement. “Si le Parlement n’est pas saisi, si nous n’avons pas la possibilité de déposer des amendements qui permettraient de définir quelles seraient les conditions d’un retour à l’équilibre en échange d’un retour à 62 ans, effectivement, nous irons vers la censure”, a averti le premier secrétaire du PS Olivier Faure.Mais en l’absence des voix du Rassemblement national qui a prévenu qu’il ne s’y associerait pas, le gouvernement semble assuré de se maintenir. Avant d’affronter les débats budgétaires encore plus périlleux, cet été et à l’automne.
Reprise au ralenti et sous surveillance policière de travaux sur le chantier de l’A69
Les travaux de l’autoroute A69, arrêtés depuis près de quatre mois, reprennent au ralenti et sous surveillance policière, des équipes d’ouvriers et des engins étant actifs en plusieurs endroits du chantier, ont constaté mardi des journalistes de l’AFP.En fin de matinée, une équipe d’une dizaine d’ouvriers était par exemple en train de travailler autour d’un pont en construction à Saint-Germain-des-Prés (Tarn) et des pelleteuses remodelaient des fossés sur d’autres points du tracé.De nombreux véhicules de gendarmerie et de CRS circulaient sur la route nationale qui serpente entre les morceaux de l’autoroute en construction ou étaient positionnés sur certains sites, où les engins de chantier stationnés étaient plus nombreux que quelques jours auparavant, selon les constatations de l’AFP.Le 28 mai, la cour administrative d’appel de Toulouse a autorisé une reprise du chantier, interrompu par un jugement du tribunal administratif qui avait annulé fin février l’autorisation environnementale accordée à ce projet controversé d’autoroute entre Toulouse et Castres.Dans la foulée de la décision des juges d’appel, le ministre des Transports Philippe Tabarot avait évoqué une reprise du chantier à la mi-juin, sans qu’elle soit véritablement perceptible jusque-là sur le terrain.Contacté par l’AFP, le ministère a confirmé en ce début de semaine une reprise effective depuis le 17 juin mais qui se fait progressivement.”Ça redémarre avec les mesures d’aménagement environnemental, notamment tout ce qui a trait à l’assainissement”, a-t-on ainsi expliqué au ministère.Contacté par l’AFP, Atosca, futur concessionnaire de l’autoroute et actuel maître d’Å“uvre des travaux, n’était pas joignable en début d’après-midi pour un point d’étape.”Il nous faut le temps, maintenant, de nous remettre en marche”, avait déclaré dans un entretien à l’AFP, début juin, Martial Gerlinger, directeur général d’Atosca.A la mi-juin, avait-il précisé, devaient ainsi démarrer “l’état des lieux, y compris environnemental, de l’ensemble du tracé dans sa configuration actuelle”, une évaluation de “la situation des équipements de protection de l’environnement” et des équipements d’assainissement.
Reprise au ralenti et sous surveillance policière de travaux sur le chantier de l’A69
Les travaux de l’autoroute A69, arrêtés depuis près de quatre mois, reprennent au ralenti et sous surveillance policière, des équipes d’ouvriers et des engins étant actifs en plusieurs endroits du chantier, ont constaté mardi des journalistes de l’AFP.En fin de matinée, une équipe d’une dizaine d’ouvriers était par exemple en train de travailler autour d’un pont en construction à Saint-Germain-des-Prés (Tarn) et des pelleteuses remodelaient des fossés sur d’autres points du tracé.De nombreux véhicules de gendarmerie et de CRS circulaient sur la route nationale qui serpente entre les morceaux de l’autoroute en construction ou étaient positionnés sur certains sites, où les engins de chantier stationnés étaient plus nombreux que quelques jours auparavant, selon les constatations de l’AFP.Le 28 mai, la cour administrative d’appel de Toulouse a autorisé une reprise du chantier, interrompu par un jugement du tribunal administratif qui avait annulé fin février l’autorisation environnementale accordée à ce projet controversé d’autoroute entre Toulouse et Castres.Dans la foulée de la décision des juges d’appel, le ministre des Transports Philippe Tabarot avait évoqué une reprise du chantier à la mi-juin, sans qu’elle soit véritablement perceptible jusque-là sur le terrain.Contacté par l’AFP, le ministère a confirmé en ce début de semaine une reprise effective depuis le 17 juin mais qui se fait progressivement.”Ça redémarre avec les mesures d’aménagement environnemental, notamment tout ce qui a trait à l’assainissement”, a-t-on ainsi expliqué au ministère.Contacté par l’AFP, Atosca, futur concessionnaire de l’autoroute et actuel maître d’Å“uvre des travaux, n’était pas joignable en début d’après-midi pour un point d’étape.”Il nous faut le temps, maintenant, de nous remettre en marche”, avait déclaré dans un entretien à l’AFP, début juin, Martial Gerlinger, directeur général d’Atosca.A la mi-juin, avait-il précisé, devaient ainsi démarrer “l’état des lieux, y compris environnemental, de l’ensemble du tracé dans sa configuration actuelle”, une évaluation de “la situation des équipements de protection de l’environnement” et des équipements d’assainissement.
US Fed chair to signal no rush for rate cuts despite Trump pressure
US Federal Reserve Chair Jerome Powell will tell Congress Tuesday that the central bank can afford to wait for the impact of tariffs before deciding on further interest rate cuts — despite President Donald Trump’s calls to do so.The Fed has a duty to prevent a one-time spike in prices from becoming an “ongoing inflation problem,” Powell said in prepared remarks to the House Committee on Financial Services.”For the time being, we are well positioned to wait to learn more about the likely course of the economy before considering any adjustments to our policy stance,” he added.Powell’s reiteration that the Fed can wait to lower rates comes after two Fed officials recently expressed openness to cuts as early as in July.The Fed has held the benchmark lending rate steady this year after its last reduction in December, bringing the level to a range between 4.25 percent and 4.50 percent.After unveiling the Fed’s latest announcement to keep rates unchanged for a fourth straight policy meeting last week, Powell told reporters that the bank would make smarter decisions if it waited to understand how Trump’s tariffs impact the economy.But hours before Powell’s testimony Tuesday, Trump again urged the Fed chair to slash rates, saying these should be “at least two to three points lower” given that inflation remains benign.”I hope Congress really works this very dumb, hardheaded person, over,” Trump wrote on his Truth Social platform.Powell is expected to maintain Tuesday that it remains unclear how concerns over US trade policies could affect future spending and investment.”Increases in tariffs this year are likely to push up prices and weigh on economic activity,” he said in the prepared remarks.For now, Powell added: “Despite elevated uncertainty, the economy is in a solid position.”Since returning to the presidency, Trump has imposed a 10 percent tariff on almost all trading partners and steeper rates on imports of steel, aluminum and autos.Economists warn the levies could fuel inflation and bog down economic growth, although widespread effects have so far been muted.This is partly because Trump has backed off or postponed his most punishing salvos. Businesses also stocked up on inventory in anticipation of the duties, avoiding immediate consumer price hikes.But Powell expects to learn more about the tariffs’ effects over the summer, given that these take time to filter through.Although the Fed has penciled in two rate cuts this year, there is growing divergence among policymakers about whether the central bank can lower rates at all this year.While inflation has eased significantly from highs in mid-2022, Powell said in remarks Tuesday that it remains “somewhat elevated” relative to the bank’s longer-run two percent goal.