Ecrans noirs sur la TNT: la fin de C8 et NRJ12

Au terme de vingt ans sur la télévision numérique terrestre (TNT), les chaînes C8 et NRJ12 ont disparu vendredi à minuit, après une décision inédite du régulateur de l’audiovisuel, devenue enjeu politique pour la droite et l’extrême droite au nom de la liberté d’expression.Les fréquences sur la TNT de C8 et NRJ12 n’ont pas été renouvelées par l’Arcom, régulateur indépendant.Sur ces canaux 8 et 12, les remerciements et larmes des présentateurs ont cédé la place à un écran noir ou gris. Des messages indiquant qu'”un nouveau programme sera proposé” ultérieurement sont diffusés.Juste avant cette extinction de C8, son ex-présentateur vedette Cyril Hanouna a lancé un “vive la liberté!”.Dans un dernier coup d’éclat, la chaîne a rediffusé en fin de soirée un film anti-avortement, “Unplanned”. C8 était la propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, catholique pratiquant.En dehors de cette fiction, les deux chaînes ont passé en revue vendredi soir leurs grands moments. On a pu voir Emmanuel Macron parler au téléphone en direct avec Cyril Hanouna sur C8 (qui s’est appelé Direct 8 puis D8), ou Nabilla dans “20 ans de grandes émotions” sur NRJ12.D’autres chaînes nationales ont cessé d’émettre dans le passé en France, comme TV6 et La Cinq, mais souvent pour des raisons économiques.L’arrêt de C8 a lui pris un tournant politique.- “Censure” -Marine Le Pen (RN) dénonçait sur X mercredi une “censure politique, sous la pression d’une extrême gauche aux relents totalitaires affirmés et les soupçons de plus en plus lourds d’interférence du pouvoir et de ses relais administratifs”.Comme d’autres, Laurent Wauquiez (LR) a sonné la charge contre l’Arcom, “un organisme administratif qui n’a pas de légitimité démocratique”. “Je souhaite supprimer l’Arcom, comme ces centaines d’organismes qui sont coûteux”, affirmait vendredi matin sur RMC Story le député UDR Éric Ciotti.Emmanuel Macron a dû, le week-end dernier, descendre dans l’arène pour expliquer que ce n’est “pas une décision politique”. Les fréquences de la TNT sont une “occupation du domaine public” et il est “donc normal qu’il y ait une autorisation”, “sous le contrôle des juges”, a souligné le chef de l’Etat.Des élus régulièrement pris pour cible sur l’antenne se sont félicités vendredi de l’arrêt de la chaîne.”Le départ de C8 du domaine public est une victoire. La chaîne de l’émission de Cyril Hanouna, relayant fake news, propos sexistes, homophobes, racistes ne pouvait plus émettre”, a écrit la députée écologiste Sophie Taillé-Polian.”On souhaite à [Cyril Hanouna] de bien respecter la convention Arcom de W9″, où il sera à partir de septembre, a ironisé le député LFI Aurélien Saintoul.C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de l’animateur star, aux manettes de l’émission quotidienne “Touche pas à mon poste” (TPMP). C’est l’une des motivations mises en avant par l’Arcom, qu’a validées le Conseil d’Etat le 19 février.D’après la chaîne, pour sa dernière jeudi soir, TPMP a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur sa tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.Et, avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France en janvier, selon Médiamétrie. Quelque 400 emplois sont touchés par son arrêt, d’après ses dirigeants.Cyril Hanouna va rebondir à partir de septembre dans le groupe M6, pour un talk-show en avant-soirée sur la chaîne gratuite de la TNT W9 et une émission sur Fun Radio l’après-midi.- “Pas démérité” -Concernant NRJ12, le régulateur de l’audiovisuel a relevé des “engagements de diffusion de programmes inédits” insuffisants et des “prévisions de croissance des recettes publicitaires” trop optimistes.Sur cette chaîne à faible audience, une centaine d’emplois seraient menacés. NRJ Group a indiqué “envisager la mise en oeuvre d’un plan de sauvegarde de l’emploi”, sans le chiffrer.”Cette sympathique chaîne n’a pas démérité”, a déploré vendredi sur X un ancien dirigeant du groupe, Max Guazzini. Selon lui, son arrêt “sert à justifier la suppression de C8”.D’après Jean-Paul Baudecroux, fondateur et PDG du groupe, son pôle TV se trouve fragilisé et “la cession de Chérie 25”, qui en fait partie, est “une question qui va se poser”, a-t-il affirmé au Figaro.C8 et NRJ12 pourraient en théorie perdurer sur câble, satellite ou internet, mais les ressources publicitaires y sont nettement moindres.Sur la TNT, elles vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV en septembre par le groupe Ouest-France.

Ecrans noirs sur la TNT: la fin de C8 et NRJ12

Au terme de vingt ans sur la télévision numérique terrestre (TNT), les chaînes C8 et NRJ12 ont disparu vendredi à minuit, après une décision inédite du régulateur de l’audiovisuel, devenue enjeu politique pour la droite et l’extrême droite au nom de la liberté d’expression.Les fréquences sur la TNT de C8 et NRJ12 n’ont pas été renouvelées par l’Arcom, régulateur indépendant.Sur ces canaux 8 et 12, les remerciements et larmes des présentateurs ont cédé la place à un écran noir ou gris. Des messages indiquant qu'”un nouveau programme sera proposé” ultérieurement sont diffusés.Juste avant cette extinction de C8, son ex-présentateur vedette Cyril Hanouna a lancé un “vive la liberté!”.Dans un dernier coup d’éclat, la chaîne a rediffusé en fin de soirée un film anti-avortement, “Unplanned”. C8 était la propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, catholique pratiquant.En dehors de cette fiction, les deux chaînes ont passé en revue vendredi soir leurs grands moments. On a pu voir Emmanuel Macron parler au téléphone en direct avec Cyril Hanouna sur C8 (qui s’est appelé Direct 8 puis D8), ou Nabilla dans “20 ans de grandes émotions” sur NRJ12.D’autres chaînes nationales ont cessé d’émettre dans le passé en France, comme TV6 et La Cinq, mais souvent pour des raisons économiques.L’arrêt de C8 a lui pris un tournant politique.- “Censure” -Marine Le Pen (RN) dénonçait sur X mercredi une “censure politique, sous la pression d’une extrême gauche aux relents totalitaires affirmés et les soupçons de plus en plus lourds d’interférence du pouvoir et de ses relais administratifs”.Comme d’autres, Laurent Wauquiez (LR) a sonné la charge contre l’Arcom, “un organisme administratif qui n’a pas de légitimité démocratique”. “Je souhaite supprimer l’Arcom, comme ces centaines d’organismes qui sont coûteux”, affirmait vendredi matin sur RMC Story le député UDR Éric Ciotti.Emmanuel Macron a dû, le week-end dernier, descendre dans l’arène pour expliquer que ce n’est “pas une décision politique”. Les fréquences de la TNT sont une “occupation du domaine public” et il est “donc normal qu’il y ait une autorisation”, “sous le contrôle des juges”, a souligné le chef de l’Etat.Des élus régulièrement pris pour cible sur l’antenne se sont félicités vendredi de l’arrêt de la chaîne.”Le départ de C8 du domaine public est une victoire. La chaîne de l’émission de Cyril Hanouna, relayant fake news, propos sexistes, homophobes, racistes ne pouvait plus émettre”, a écrit la députée écologiste Sophie Taillé-Polian.”On souhaite à [Cyril Hanouna] de bien respecter la convention Arcom de W9″, où il sera à partir de septembre, a ironisé le député LFI Aurélien Saintoul.C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de l’animateur star, aux manettes de l’émission quotidienne “Touche pas à mon poste” (TPMP). C’est l’une des motivations mises en avant par l’Arcom, qu’a validées le Conseil d’Etat le 19 février.D’après la chaîne, pour sa dernière jeudi soir, TPMP a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur sa tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.Et, avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France en janvier, selon Médiamétrie. Quelque 400 emplois sont touchés par son arrêt, d’après ses dirigeants.Cyril Hanouna va rebondir à partir de septembre dans le groupe M6, pour un talk-show en avant-soirée sur la chaîne gratuite de la TNT W9 et une émission sur Fun Radio l’après-midi.- “Pas démérité” -Concernant NRJ12, le régulateur de l’audiovisuel a relevé des “engagements de diffusion de programmes inédits” insuffisants et des “prévisions de croissance des recettes publicitaires” trop optimistes.Sur cette chaîne à faible audience, une centaine d’emplois seraient menacés. NRJ Group a indiqué “envisager la mise en oeuvre d’un plan de sauvegarde de l’emploi”, sans le chiffrer.”Cette sympathique chaîne n’a pas démérité”, a déploré vendredi sur X un ancien dirigeant du groupe, Max Guazzini. Selon lui, son arrêt “sert à justifier la suppression de C8”.D’après Jean-Paul Baudecroux, fondateur et PDG du groupe, son pôle TV se trouve fragilisé et “la cession de Chérie 25”, qui en fait partie, est “une question qui va se poser”, a-t-il affirmé au Figaro.C8 et NRJ12 pourraient en théorie perdurer sur câble, satellite ou internet, mais les ressources publicitaires y sont nettement moindres.Sur la TNT, elles vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV en septembre par le groupe Ouest-France.

Ecrans noirs sur la TNT: la fin de C8 et NRJ12

Au terme de vingt ans sur la télévision numérique terrestre (TNT), les chaînes C8 et NRJ12 ont disparu vendredi à minuit, après une décision inédite du régulateur de l’audiovisuel, devenue enjeu politique pour la droite et l’extrême droite au nom de la liberté d’expression.Les fréquences sur la TNT de C8 et NRJ12 n’ont pas été renouvelées par l’Arcom, régulateur indépendant.Sur ces canaux 8 et 12, les remerciements et larmes des présentateurs ont cédé la place à un écran noir ou gris. Des messages indiquant qu'”un nouveau programme sera proposé” ultérieurement sont diffusés.Juste avant cette extinction de C8, son ex-présentateur vedette Cyril Hanouna a lancé un “vive la liberté!”.Dans un dernier coup d’éclat, la chaîne a rediffusé en fin de soirée un film anti-avortement, “Unplanned”. C8 était la propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, catholique pratiquant.En dehors de cette fiction, les deux chaînes ont passé en revue vendredi soir leurs grands moments. On a pu voir Emmanuel Macron parler au téléphone en direct avec Cyril Hanouna sur C8 (qui s’est appelé Direct 8 puis D8), ou Nabilla dans “20 ans de grandes émotions” sur NRJ12.D’autres chaînes nationales ont cessé d’émettre dans le passé en France, comme TV6 et La Cinq, mais souvent pour des raisons économiques.L’arrêt de C8 a lui pris un tournant politique.- “Censure” -Marine Le Pen (RN) dénonçait sur X mercredi une “censure politique, sous la pression d’une extrême gauche aux relents totalitaires affirmés et les soupçons de plus en plus lourds d’interférence du pouvoir et de ses relais administratifs”.Comme d’autres, Laurent Wauquiez (LR) a sonné la charge contre l’Arcom, “un organisme administratif qui n’a pas de légitimité démocratique”. “Je souhaite supprimer l’Arcom, comme ces centaines d’organismes qui sont coûteux”, affirmait vendredi matin sur RMC Story le député UDR Éric Ciotti.Emmanuel Macron a dû, le week-end dernier, descendre dans l’arène pour expliquer que ce n’est “pas une décision politique”. Les fréquences de la TNT sont une “occupation du domaine public” et il est “donc normal qu’il y ait une autorisation”, “sous le contrôle des juges”, a souligné le chef de l’Etat.Des élus régulièrement pris pour cible sur l’antenne se sont félicités vendredi de l’arrêt de la chaîne.”Le départ de C8 du domaine public est une victoire. La chaîne de l’émission de Cyril Hanouna, relayant fake news, propos sexistes, homophobes, racistes ne pouvait plus émettre”, a écrit la députée écologiste Sophie Taillé-Polian.”On souhaite à [Cyril Hanouna] de bien respecter la convention Arcom de W9″, où il sera à partir de septembre, a ironisé le député LFI Aurélien Saintoul.C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de l’animateur star, aux manettes de l’émission quotidienne “Touche pas à mon poste” (TPMP). C’est l’une des motivations mises en avant par l’Arcom, qu’a validées le Conseil d’Etat le 19 février.D’après la chaîne, pour sa dernière jeudi soir, TPMP a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur sa tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.Et, avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France en janvier, selon Médiamétrie. Quelque 400 emplois sont touchés par son arrêt, d’après ses dirigeants.Cyril Hanouna va rebondir à partir de septembre dans le groupe M6, pour un talk-show en avant-soirée sur la chaîne gratuite de la TNT W9 et une émission sur Fun Radio l’après-midi.- “Pas démérité” -Concernant NRJ12, le régulateur de l’audiovisuel a relevé des “engagements de diffusion de programmes inédits” insuffisants et des “prévisions de croissance des recettes publicitaires” trop optimistes.Sur cette chaîne à faible audience, une centaine d’emplois seraient menacés. NRJ Group a indiqué “envisager la mise en oeuvre d’un plan de sauvegarde de l’emploi”, sans le chiffrer.”Cette sympathique chaîne n’a pas démérité”, a déploré vendredi sur X un ancien dirigeant du groupe, Max Guazzini. Selon lui, son arrêt “sert à justifier la suppression de C8”.D’après Jean-Paul Baudecroux, fondateur et PDG du groupe, son pôle TV se trouve fragilisé et “la cession de Chérie 25”, qui en fait partie, est “une question qui va se poser”, a-t-il affirmé au Figaro.C8 et NRJ12 pourraient en théorie perdurer sur câble, satellite ou internet, mais les ressources publicitaires y sont nettement moindres.Sur la TNT, elles vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV en septembre par le groupe Ouest-France.

US stocks finish gloomy week on positive note

Wall Street stocks finished a downcast week on a positive note Friday on a mixed day for global equities, while bitcoin slid below $80,000 for the first time since November.US stocks, which have been under pressure in recent days, slipped into negative territory near midday following an extraordinary clash between US President Donald Trump and Ukrainian leader Volodymyr Zelensky at the White House.Following the stormy televised meeting with Trump, Zelensky left without a deal for joint development of his country’s minerals resources that was to be part of a post-war recovery in a potential US-brokered truce.But US stocks soon recovered, with major indices surging more than one percent. The late-day rally lifted the Dow into positive territory for the week while cutting losses for the S&P 500 and the Nasdaq.”It’s normal when the market is oversold for it to bounce,” said Adam Sarhan of 50 Park Investments, noting that markets were also encouraged by US inflation data released earlier Friday that did not show an uptick in pricing pressures. “Cooler heads” prevailed on trading desks after an initial sell-off following the Zelensky meeting as investors concluded there was no immediate market impact, Sarhan said.Markets are also grappling with Trump’s myriad tariff plans that are in various stages of execution.Trump this week confirmed that 25 percent tariffs on products from Mexico and Canada would be effective from March 4.He also announced another 10 percent hike on Chinese goods would go into effect next week, and warned the European Union that it could be hit with 25 percent duties.”The countdown to Trump’s tariffs coming into force is now in the final few days and investors have got the jitters,” said Russ Mould, investment director at AJ Bell.Hong Kong and mainland Chinese stock markets fell sharply Friday, with China hitting back, saying further US tariffs would “seriously impact dialogue” between the two countries on narcotics control — Trump’s stated reason to hike tariffsIn Europe, London posted a solid gain after Trump held out the prospect of a “great” trade deal with Britain after meeting with Prime Minister Keir Starmer at the White House on Thursday.Eurozone stocks struggled for most of the day due to tariff concerns, but Paris ended the day with a small gain and Frankfurt flat.Bitcoin dived below $80,000 on Friday for the first time since November.”The crypto sector is suffering a bit of a meltdown today,” said Trade Nation analyst David Morrison.He noted that another popular cryptocurrency, ethereum, had lost nearly half its value since mid-December. “According to some analysts, that represents not just a correction, but a full-blown bear market,” he added, noting that bitcoin had lost most of the gains made since Trump was elected in November.Morrison said the gains were driven by hopes of a much friendlier regulatory environment, which have now unraveled to some extent.- Key figures around 2150 GMT -New York – Dow: UP 1.4 percent at 43,840.91 (close)New York – S&P 500: UP 1.6 percent at 5,954.50 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 1.6 percent at 18,847.28 (close)London – FTSE 100: UP 0.6 percent at 8,809.74 (close)Paris – CAC 40: UP 0.1 percent at 8,111.63 (close)Frankfurt – DAX: FLAT at 22,551.43 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 2.9 percent at 37,155.50 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 3.3 percent at 22,941.32 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.9 percent at 3,370.52 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0375 from $1.0398 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2578 from $1.2601Dollar/yen: UP at 150.59 from 149.81 yenEuro/pound: DOWN at 82.48 pence from 82.51 pence West Texas Intermediate: DOWN 0.8 percent at $69.76 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.2 percent at $73.18 per barrelburs-jmb/wd