‘Don’t care’: Hosts’ exit deflates Champions Trophy buzz in Pakistan

Champions Trophy fever in Pakistan has plummeted after the hosts crashed out of the first major cricket event in the country in three decades without winning a game.”It feels like attending a wedding where you don’t know the bride or groom,” said Kashan Khan, a medical student who watched Pakistan get beaten by New Zealand by 60 runs in the opening match in Karachi last week.The defending champions then lost to great rivals India by six wickets to seal their fate, before their dead-rubber last group game against Bangladesh on Thursday was washed out.”Pakistan’s poor performance has drained my enthusiasm. I don’t care about watching other teams now,” added Khan.Pakistan’s failure to advance beyond the group phase or even win a game was a huge letdown in a country that has been gradually returning to hosting international teams after years of militancy saw it marked as a no-go zone. Security in cities has vastly improved in recent years, including in Karachi, Lahore and Rawalpindi, where the matches are being held.But disheartened fans have begun abandoning the tournament.Outside Rawalpindi Stadium ticket-holders were seen trying to sell their unwanted seats ahead of Pakistan’s match against Bangladesh, but there were no takers.”I had three tickets but no one wanted to buy them,” said Farooq Ali.”I even tried giving them away for free, but my friends weren’t interested.”For many, the final on March 9 holds little appeal, particularly given its location is still undecided. Arch-rivals India, with which Pakistan has fought several wars, refused to visit its neighbour and are playing all their matches in Dubai. In painful contrast to Pakistan’s woes, India are into the semi-finals and if they reach the title decider, the final will be moved from Lahore to Dubai. “If Pakistan isn’t playing in it, why should we care?” asked Amna Mashadi, who watched the tournament on television. – Revenue losses -Pakistan’s latest flop dealt a severe blow not just to supporters, but also to the financial ecosystem surrounding the eight-nation event. With Pakistan out, TV viewership has nose-dived, advertising revenues have shrunk and sponsors are demanding reductions in their campaign costs. Pakistan’s stated-owned PTV and Ten Sports bought the joint broadcast shares of the 15 matches, each paying 1.2 billion rupees ($4.25 million).Sources with knowledge of the broadcast deal told AFP that the two broadcasters have already lost close to 180 million rupees in two rained off matches in Rawalpindi.Broadcasters are bracing for losses as they search for takers for the usually prime advertising spots in the semi-finals and final.”Sports advertising is always a gamble,” said a senior employee at a Pakistani company, one of the tournament’s top advertisers.”Sponsorship deals cover the whole tournament, so pulling out isn’t an option.”But when the national team exits early, consumers go away and the sale of the product suffers.”Shopkeeper Mohammad Rizwan — he coincidentally has the same name as the Pakistan captain — had anticipated selling 60,000 cricket shirts of the home team. Instead he only sold about a third of that.”The demand for Pakistan shirts was overwhelming and in the week leading up to the event, I doubled my order,” Rizwan told AFP.”But as soon as the team started losing, the demand plummeted. Now, I have huge unsold stock in my warehouse.”It’s a massive loss.”- Fears for future? -Renowned television and film actor Adnan Siddiqui fears that Pakistan’s underwhelming performance might push young fans away from the sport altogether. “I grew up watching cricket late at night or early in the morning,” Siddiqui told AFP.”But after these defeats, my son has lost interest completely. The real loss here is of the next generation of players and fans.” Siddiqui flew to watch the India-Pakistan match in Dubai on Sunday and returned heartbroken.”We used to beat India frequently but now they are well ahead of us in terms of skill and bravery. Our team looked scared.”Despite the gloom some remain hopeful. “This is a low point but the sun will rise again,” said Khalil Khan, a club-level cricket coach in Karachi. “Cricket is the only sport that puts Pakistan on the global map and I’m sure our team will bring joy again in the future.” 

Trump, radouci par un accord sur les minerais, accueille Zelensky

Donald Trump, qui a considérablement adouci ses commentaires à propos de Volodymyr Zelensky, accueille le président ukrainien vendredi pour une visite dont les enjeux vont bien au-delà d’un accord qu’ils signeront sur les minerais stratégiques.Le président républicain, qui a rompu avec la politique de soutien à Kiev de son prédécesseur Joe Biden tout en se rapprochant de Vladimir Poutine, doit recevoir le chef d’Etat vers 11H00 locales (16H00 GMT).L’imprévisible Donald Trump, connu pour ses volte-faces spectaculaires, a minimisé jeudi ses propos de la semaine dernière sur le président ukrainien, qu’il avait qualifié de “dictateur”.”J’ai dit ça?”, a feint de s’étonner le président américain. “J’arrive pas à croire que j’ai dit ça. Question suivante”, a-t-il ajouté, affirmant ensuite avoir “beaucoup de respect” pour son homologue ukrainien.Le changement de ton de l’ancien promoteur immobilier, qui en matière politique ou diplomatique n’aime rien tant que de conclure un “deal” forcément avantageux, est-il dû à la venue de Volodymyr Zelensky pour, justement, signer un de ces accords chéris du républicain?- “Creuser, creuser, creuser” -L’accord-cadre en question porte sur l’accès des Etats-Unis aux ressources du sous-sol ukrainien, exigé par Donald Trump en compensation de l’aide militaire et financière versée depuis trois ans.”Nous allons creuser, creuser, creuser”, s’est réjoui jeudi le républicain de 78 ans.L’accord ne correspond toutefois pas aux exigences initiales du président américain, qui voulait la mention d’un montant de 500 milliards de dollars, disparu du texte final. Il établit un fonds d’investissement commun dans les métaux, hydrocarbures et investissements.Le texte ne prévoit pas non plus de garanties de sécurité pures et dures pour l’Ukraine.”Mais l’idée est qu’avec un investissement conjoint dans les ressources du pays, les Etats-Unis resteront impliqués dans la sécurité et la stabilité “, soulignent Gracelin Baskaran et Meredith Schwartz dans une note d’analyse du Center for Strategic and International Studies.Donald Trump lui-même a dit jeudi que cet accord fonctionnerait comme une sorte de “filet de sécurité”.”Je ne pense pas que quiconque va chercher des ennuis si nous sommes (en Ukraine) avec beaucoup de travailleurs” pour exploiter des minerais, a ajouté le président américain.- Manganèse et graphite -L’Ukraine concentrerait quelque 5% des ressources minières mondiales mais celles que Donald Trump convoite sont pour la plupart inexploitées, difficiles à extraire, ou de facto sous contrôle russe, car dans des territoires occupés.Les enjeux de la venue de Volodymyr Zelensky vont toutefois bien au-delà du manganèse et graphite dont le sol ukrainien regorge.L’Ukraine et l’Europe ont suivi avec inquiétude le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine, qui se sont longuement parlés le 12 février et qui ont lancé des négociations pour mettre fin à la guerre, avec l’objectif, pour l’impatient milliardaire républicain, d’aller vite.Vendredi matin, le Premier ministre britannique Keir Starmer a invité plus d’une douzaine de dirigeants européens à un sommet prévu dimanche “pour faire avancer l’action européenne sur l’Ukraine”. Le président américain répète qu’il a confiance dans le président russe, malgré les avertissements répétés de Londres et Paris sur la fragilité de toute trêve qui ne serait pas accompagnée d’un solide dispositif de contrôle et de sécurité garanti par l’Amérique. Jeudi, il s’est dit convaincu que Vladimir Poutine “tiendrait parole” en cas de cessez-le-feu.Donald Trump refuse de considérer Moscou comme responsable de la guerre et est allé jusqu’à faire porter la faute sur l’Ukraine. Il a totalement fermé la porte à une potentielle adhésion à l’Otan, espérée par Volodymyr Zelensky, en l’invitant à “oublier” une telle perspective.Mais le président américain a jugé, jeudi, qu’en cas d’accord de paix Kiev pourrait retrouver certains territoires: “nous allons essayer d’en récupérer autant que possible.”Il a aussi estimé que les troupes ukrainiennes, “peu importe ce que vous en pensez, (avaient) combattu très vaillamment”.

Trump, radouci par un accord sur les minerais, accueille Zelensky

Donald Trump, qui a considérablement adouci ses commentaires à propos de Volodymyr Zelensky, accueille le président ukrainien vendredi pour une visite dont les enjeux vont bien au-delà d’un accord qu’ils signeront sur les minerais stratégiques.Le président républicain, qui a rompu avec la politique de soutien à Kiev de son prédécesseur Joe Biden tout en se rapprochant de Vladimir Poutine, doit recevoir le chef d’Etat vers 11H00 locales (16H00 GMT).L’imprévisible Donald Trump, connu pour ses volte-faces spectaculaires, a minimisé jeudi ses propos de la semaine dernière sur le président ukrainien, qu’il avait qualifié de “dictateur”.”J’ai dit ça?”, a feint de s’étonner le président américain. “J’arrive pas à croire que j’ai dit ça. Question suivante”, a-t-il ajouté, affirmant ensuite avoir “beaucoup de respect” pour son homologue ukrainien.Le changement de ton de l’ancien promoteur immobilier, qui en matière politique ou diplomatique n’aime rien tant que de conclure un “deal” forcément avantageux, est-il dû à la venue de Volodymyr Zelensky pour, justement, signer un de ces accords chéris du républicain?- “Creuser, creuser, creuser” -L’accord-cadre en question porte sur l’accès des Etats-Unis aux ressources du sous-sol ukrainien, exigé par Donald Trump en compensation de l’aide militaire et financière versée depuis trois ans.”Nous allons creuser, creuser, creuser”, s’est réjoui jeudi le républicain de 78 ans.L’accord ne correspond toutefois pas aux exigences initiales du président américain, qui voulait la mention d’un montant de 500 milliards de dollars, disparu du texte final. Il établit un fonds d’investissement commun dans les métaux, hydrocarbures et investissements.Le texte ne prévoit pas non plus de garanties de sécurité pures et dures pour l’Ukraine.”Mais l’idée est qu’avec un investissement conjoint dans les ressources du pays, les Etats-Unis resteront impliqués dans la sécurité et la stabilité “, soulignent Gracelin Baskaran et Meredith Schwartz dans une note d’analyse du Center for Strategic and International Studies.Donald Trump lui-même a dit jeudi que cet accord fonctionnerait comme une sorte de “filet de sécurité”.”Je ne pense pas que quiconque va chercher des ennuis si nous sommes (en Ukraine) avec beaucoup de travailleurs” pour exploiter des minerais, a ajouté le président américain.- Manganèse et graphite -L’Ukraine concentrerait quelque 5% des ressources minières mondiales mais celles que Donald Trump convoite sont pour la plupart inexploitées, difficiles à extraire, ou de facto sous contrôle russe, car dans des territoires occupés.Les enjeux de la venue de Volodymyr Zelensky vont toutefois bien au-delà du manganèse et graphite dont le sol ukrainien regorge.L’Ukraine et l’Europe ont suivi avec inquiétude le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine, qui se sont longuement parlés le 12 février et qui ont lancé des négociations pour mettre fin à la guerre, avec l’objectif, pour l’impatient milliardaire républicain, d’aller vite.Vendredi matin, le Premier ministre britannique Keir Starmer a invité plus d’une douzaine de dirigeants européens à un sommet prévu dimanche “pour faire avancer l’action européenne sur l’Ukraine”. Le président américain répète qu’il a confiance dans le président russe, malgré les avertissements répétés de Londres et Paris sur la fragilité de toute trêve qui ne serait pas accompagnée d’un solide dispositif de contrôle et de sécurité garanti par l’Amérique. Jeudi, il s’est dit convaincu que Vladimir Poutine “tiendrait parole” en cas de cessez-le-feu.Donald Trump refuse de considérer Moscou comme responsable de la guerre et est allé jusqu’à faire porter la faute sur l’Ukraine. Il a totalement fermé la porte à une potentielle adhésion à l’Otan, espérée par Volodymyr Zelensky, en l’invitant à “oublier” une telle perspective.Mais le président américain a jugé, jeudi, qu’en cas d’accord de paix Kiev pourrait retrouver certains territoires: “nous allons essayer d’en récupérer autant que possible.”Il a aussi estimé que les troupes ukrainiennes, “peu importe ce que vous en pensez, (avaient) combattu très vaillamment”.

Trump, radouci par un accord sur les minerais, accueille Zelensky

Donald Trump, qui a considérablement adouci ses commentaires à propos de Volodymyr Zelensky, accueille le président ukrainien vendredi pour une visite dont les enjeux vont bien au-delà d’un accord qu’ils signeront sur les minerais stratégiques.Le président républicain, qui a rompu avec la politique de soutien à Kiev de son prédécesseur Joe Biden tout en se rapprochant de Vladimir Poutine, doit recevoir le chef d’Etat vers 11H00 locales (16H00 GMT).L’imprévisible Donald Trump, connu pour ses volte-faces spectaculaires, a minimisé jeudi ses propos de la semaine dernière sur le président ukrainien, qu’il avait qualifié de “dictateur”.”J’ai dit ça?”, a feint de s’étonner le président américain. “J’arrive pas à croire que j’ai dit ça. Question suivante”, a-t-il ajouté, affirmant ensuite avoir “beaucoup de respect” pour son homologue ukrainien.Le changement de ton de l’ancien promoteur immobilier, qui en matière politique ou diplomatique n’aime rien tant que de conclure un “deal” forcément avantageux, est-il dû à la venue de Volodymyr Zelensky pour, justement, signer un de ces accords chéris du républicain?- “Creuser, creuser, creuser” -L’accord-cadre en question porte sur l’accès des Etats-Unis aux ressources du sous-sol ukrainien, exigé par Donald Trump en compensation de l’aide militaire et financière versée depuis trois ans.”Nous allons creuser, creuser, creuser”, s’est réjoui jeudi le républicain de 78 ans.L’accord ne correspond toutefois pas aux exigences initiales du président américain, qui voulait la mention d’un montant de 500 milliards de dollars, disparu du texte final. Il établit un fonds d’investissement commun dans les métaux, hydrocarbures et investissements.Le texte ne prévoit pas non plus de garanties de sécurité pures et dures pour l’Ukraine.”Mais l’idée est qu’avec un investissement conjoint dans les ressources du pays, les Etats-Unis resteront impliqués dans la sécurité et la stabilité “, soulignent Gracelin Baskaran et Meredith Schwartz dans une note d’analyse du Center for Strategic and International Studies.Donald Trump lui-même a dit jeudi que cet accord fonctionnerait comme une sorte de “filet de sécurité”.”Je ne pense pas que quiconque va chercher des ennuis si nous sommes (en Ukraine) avec beaucoup de travailleurs” pour exploiter des minerais, a ajouté le président américain.- Manganèse et graphite -L’Ukraine concentrerait quelque 5% des ressources minières mondiales mais celles que Donald Trump convoite sont pour la plupart inexploitées, difficiles à extraire, ou de facto sous contrôle russe, car dans des territoires occupés.Les enjeux de la venue de Volodymyr Zelensky vont toutefois bien au-delà du manganèse et graphite dont le sol ukrainien regorge.L’Ukraine et l’Europe ont suivi avec inquiétude le rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine, qui se sont longuement parlés le 12 février et qui ont lancé des négociations pour mettre fin à la guerre, avec l’objectif, pour l’impatient milliardaire républicain, d’aller vite.Vendredi matin, le Premier ministre britannique Keir Starmer a invité plus d’une douzaine de dirigeants européens à un sommet prévu dimanche “pour faire avancer l’action européenne sur l’Ukraine”. Le président américain répète qu’il a confiance dans le président russe, malgré les avertissements répétés de Londres et Paris sur la fragilité de toute trêve qui ne serait pas accompagnée d’un solide dispositif de contrôle et de sécurité garanti par l’Amérique. Jeudi, il s’est dit convaincu que Vladimir Poutine “tiendrait parole” en cas de cessez-le-feu.Donald Trump refuse de considérer Moscou comme responsable de la guerre et est allé jusqu’à faire porter la faute sur l’Ukraine. Il a totalement fermé la porte à une potentielle adhésion à l’Otan, espérée par Volodymyr Zelensky, en l’invitant à “oublier” une telle perspective.Mais le président américain a jugé, jeudi, qu’en cas d’accord de paix Kiev pourrait retrouver certains territoires: “nous allons essayer d’en récupérer autant que possible.”Il a aussi estimé que les troupes ukrainiennes, “peu importe ce que vous en pensez, (avaient) combattu très vaillamment”.

Fin de partie vendredi soir pour les chaînes C8 et NRJ12 sur la TNT

Les chaînes télé C8 et NRJ12, vingt ans d’âge, vont s’éteindre sur la TNT vendredi soir, sur une décision inédite du régulateur de l’audiovisuel, devenue enjeu politique pour la droite et l’extrême droite, au nom de la liberté d’expression.Les fréquences sur la télévision numérique terrestre de C8 et NRJ12 n’ont pas été renouvelées par l’Arcom, régulateur indépendant.Pour leur dernière vendredi, les deux chaînes ont prévu de rediffuser leurs grands moments. On pourra voir Laurence Ferrari et Roselyne Bachelot dans “La grande soirée de C8” (ex-D8) ou Nabilla dans “20 ans de grandes émotions” sur NRJ12.Et à partir de samedi 00H00, des messages seront diffusés sur leurs canaux indiquant qu'”un nouveau programme sera proposé” ultérieurement.D’autres chaînes nationales ont cessé d’émettre dans le passé, comme TV6 et La Cinq, mais dans d’autres circonstances.L’arrêt de C8, propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, a pris un tournant politique.- “Censure politique” -Marine Le Pen (RN) a dénoncé sur X mercredi une “censure politique, sous la pression d’une extrême gauche aux relents totalitaires affirmés et les soupçons de plus en plus lourds d’interférence du pouvoir et de ses relais administratifs”.Comme d’autres, Laurent Wauquiez (LR) a sonné la charge contre l’Arcom, “un organisme administratif qui n’a pas de légitimité démocratique”. “Il y a un arrière-plan idéologique” derrière la coupure de fréquence de C8, selon lui.Emmanuel Macron a dû, le week-end dernier, descendre dans l’arène pour expliquer que ce n’est “pas une décision politique”. Les fréquences de la TNT sont une “occupation du domaine public” et il est “donc normal qu’il y ait une autorisation”, “sous le contrôle des juges”, a souligné le chef de l’Etat.”Si une majorité de responsables politiques considèrent que ces règles sont injustes, il revient au législateur de les modifier”, a relevé la ministre de la Culture Rachida Dati (LR) dans le JDD.C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de Cyril Hanouna, aux manettes de l’émission quotidienne “Touche pas à mon poste” (TPMP). C’est l’une des motivations mises en avant par l’Arcom, qu’a validées le Conseil d’Etat le 19 février.D’après la chaîne, pour sa dernière jeudi soir, TPMP a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur sa tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.Et, avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France en janvier, selon Médiamétrie. Quelque 400 emplois sont touchés par son arrêt, d’après ses dirigeants.Cyril Hanouna, lui, va rebondir à partir de septembre dans le groupe M6, pour un talk-show en avant-soirée sur la chaîne gratuite de la TNT W9 et une émission sur Fun Radio l’après-midi.- “Jeteurs de sort” -Concernant NRJ12, le régulateur de l’audiovisuel a relevé des “engagements de diffusion de programmes inédits” insuffisants et des “prévisions de croissance des recettes publicitaires” trop optimistes.La chaîne, qui cible notamment les jeunes, a elle réalisé une part d’audience de 1%. Une centaine d’emplois seraient concernés. NRJ Group a indiqué jeudi “envisager la mise en oeuvre d’un plan de sauvegarde de l’emploi”, sans le chiffrer.D’après Jean-Paul Baudecroux, fondateur et PDG du groupe, son pôle TV se trouve fragilisé et “la cession de Chérie 25”, qui en fait partie, est “une question qui va se poser”, a-t-il affirmé au Figaro.C8 et NRJ12 pourraient en théorie perdurer sur câble, satellite ou internet, mais les ressources publicitaires y sont jugées insuffisantes.Sur la TNT, elles vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV en septembre par le groupe Ouest-France.Avant le compte à rebours de vendredi soir, les animateurs font leurs adieux. Sur C8 jeudi, Jordan de Luxe et William Leymergie ont lâché, les larmes aux yeux, que “c’est fini”, quand Philippe Labro, qui avait ouvert la chaîne en 2005, a épinglé les “jeteurs de sort, Arcom de sort”, sur l’air des “Copains d’abord”.Pour leur part, des militants de l’association Action Justice Climat, masqués à l’effigie de Cyril Hanouna, s’étaient rassemblés mercredi devant ses locaux de tournage, ont-ils fait savoir sur les réseaux sociaux. Ils brandissaient une banderole proclamant “Bollorisation médiatique, péril démocratique”. 

Fin de partie vendredi soir pour les chaînes C8 et NRJ12 sur la TNT

Les chaînes télé C8 et NRJ12, vingt ans d’âge, vont s’éteindre sur la TNT vendredi soir, sur une décision inédite du régulateur de l’audiovisuel, devenue enjeu politique pour la droite et l’extrême droite, au nom de la liberté d’expression.Les fréquences sur la télévision numérique terrestre de C8 et NRJ12 n’ont pas été renouvelées par l’Arcom, régulateur indépendant.Pour leur dernière vendredi, les deux chaînes ont prévu de rediffuser leurs grands moments. On pourra voir Laurence Ferrari et Roselyne Bachelot dans “La grande soirée de C8” (ex-D8) ou Nabilla dans “20 ans de grandes émotions” sur NRJ12.Et à partir de samedi 00H00, des messages seront diffusés sur leurs canaux indiquant qu'”un nouveau programme sera proposé” ultérieurement.D’autres chaînes nationales ont cessé d’émettre dans le passé, comme TV6 et La Cinq, mais dans d’autres circonstances.L’arrêt de C8, propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, a pris un tournant politique.- “Censure politique” -Marine Le Pen (RN) a dénoncé sur X mercredi une “censure politique, sous la pression d’une extrême gauche aux relents totalitaires affirmés et les soupçons de plus en plus lourds d’interférence du pouvoir et de ses relais administratifs”.Comme d’autres, Laurent Wauquiez (LR) a sonné la charge contre l’Arcom, “un organisme administratif qui n’a pas de légitimité démocratique”. “Il y a un arrière-plan idéologique” derrière la coupure de fréquence de C8, selon lui.Emmanuel Macron a dû, le week-end dernier, descendre dans l’arène pour expliquer que ce n’est “pas une décision politique”. Les fréquences de la TNT sont une “occupation du domaine public” et il est “donc normal qu’il y ait une autorisation”, “sous le contrôle des juges”, a souligné le chef de l’Etat.”Si une majorité de responsables politiques considèrent que ces règles sont injustes, il revient au législateur de les modifier”, a relevé la ministre de la Culture Rachida Dati (LR) dans le JDD.C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de Cyril Hanouna, aux manettes de l’émission quotidienne “Touche pas à mon poste” (TPMP). C’est l’une des motivations mises en avant par l’Arcom, qu’a validées le Conseil d’Etat le 19 février.D’après la chaîne, pour sa dernière jeudi soir, TPMP a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur sa tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.Et, avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France en janvier, selon Médiamétrie. Quelque 400 emplois sont touchés par son arrêt, d’après ses dirigeants.Cyril Hanouna, lui, va rebondir à partir de septembre dans le groupe M6, pour un talk-show en avant-soirée sur la chaîne gratuite de la TNT W9 et une émission sur Fun Radio l’après-midi.- “Jeteurs de sort” -Concernant NRJ12, le régulateur de l’audiovisuel a relevé des “engagements de diffusion de programmes inédits” insuffisants et des “prévisions de croissance des recettes publicitaires” trop optimistes.La chaîne, qui cible notamment les jeunes, a elle réalisé une part d’audience de 1%. Une centaine d’emplois seraient concernés. NRJ Group a indiqué jeudi “envisager la mise en oeuvre d’un plan de sauvegarde de l’emploi”, sans le chiffrer.D’après Jean-Paul Baudecroux, fondateur et PDG du groupe, son pôle TV se trouve fragilisé et “la cession de Chérie 25”, qui en fait partie, est “une question qui va se poser”, a-t-il affirmé au Figaro.C8 et NRJ12 pourraient en théorie perdurer sur câble, satellite ou internet, mais les ressources publicitaires y sont jugées insuffisantes.Sur la TNT, elles vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV en septembre par le groupe Ouest-France.Avant le compte à rebours de vendredi soir, les animateurs font leurs adieux. Sur C8 jeudi, Jordan de Luxe et William Leymergie ont lâché, les larmes aux yeux, que “c’est fini”, quand Philippe Labro, qui avait ouvert la chaîne en 2005, a épinglé les “jeteurs de sort, Arcom de sort”, sur l’air des “Copains d’abord”.Pour leur part, des militants de l’association Action Justice Climat, masqués à l’effigie de Cyril Hanouna, s’étaient rassemblés mercredi devant ses locaux de tournage, ont-ils fait savoir sur les réseaux sociaux. Ils brandissaient une banderole proclamant “Bollorisation médiatique, péril démocratique”. 

Fin de partie vendredi soir pour les chaînes C8 et NRJ12 sur la TNT

Les chaînes télé C8 et NRJ12, vingt ans d’âge, vont s’éteindre sur la TNT vendredi soir, sur une décision inédite du régulateur de l’audiovisuel, devenue enjeu politique pour la droite et l’extrême droite, au nom de la liberté d’expression.Les fréquences sur la télévision numérique terrestre de C8 et NRJ12 n’ont pas été renouvelées par l’Arcom, régulateur indépendant.Pour leur dernière vendredi, les deux chaînes ont prévu de rediffuser leurs grands moments. On pourra voir Laurence Ferrari et Roselyne Bachelot dans “La grande soirée de C8” (ex-D8) ou Nabilla dans “20 ans de grandes émotions” sur NRJ12.Et à partir de samedi 00H00, des messages seront diffusés sur leurs canaux indiquant qu'”un nouveau programme sera proposé” ultérieurement.D’autres chaînes nationales ont cessé d’émettre dans le passé, comme TV6 et La Cinq, mais dans d’autres circonstances.L’arrêt de C8, propriété du groupe Canal+, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, a pris un tournant politique.- “Censure politique” -Marine Le Pen (RN) a dénoncé sur X mercredi une “censure politique, sous la pression d’une extrême gauche aux relents totalitaires affirmés et les soupçons de plus en plus lourds d’interférence du pouvoir et de ses relais administratifs”.Comme d’autres, Laurent Wauquiez (LR) a sonné la charge contre l’Arcom, “un organisme administratif qui n’a pas de légitimité démocratique”. “Il y a un arrière-plan idéologique” derrière la coupure de fréquence de C8, selon lui.Emmanuel Macron a dû, le week-end dernier, descendre dans l’arène pour expliquer que ce n’est “pas une décision politique”. Les fréquences de la TNT sont une “occupation du domaine public” et il est “donc normal qu’il y ait une autorisation”, “sous le contrôle des juges”, a souligné le chef de l’Etat.”Si une majorité de responsables politiques considèrent que ces règles sont injustes, il revient au législateur de les modifier”, a relevé la ministre de la Culture Rachida Dati (LR) dans le JDD.C8 a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende en raison des dérapages de Cyril Hanouna, aux manettes de l’émission quotidienne “Touche pas à mon poste” (TPMP). C’est l’une des motivations mises en avant par l’Arcom, qu’a validées le Conseil d’Etat le 19 février.D’après la chaîne, pour sa dernière jeudi soir, TPMP a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur sa tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.Et, avec une part d’audience de 3,1%, C8 a été la sixième chaîne de France en janvier, selon Médiamétrie. Quelque 400 emplois sont touchés par son arrêt, d’après ses dirigeants.Cyril Hanouna, lui, va rebondir à partir de septembre dans le groupe M6, pour un talk-show en avant-soirée sur la chaîne gratuite de la TNT W9 et une émission sur Fun Radio l’après-midi.- “Jeteurs de sort” -Concernant NRJ12, le régulateur de l’audiovisuel a relevé des “engagements de diffusion de programmes inédits” insuffisants et des “prévisions de croissance des recettes publicitaires” trop optimistes.La chaîne, qui cible notamment les jeunes, a elle réalisé une part d’audience de 1%. Une centaine d’emplois seraient concernés. NRJ Group a indiqué jeudi “envisager la mise en oeuvre d’un plan de sauvegarde de l’emploi”, sans le chiffrer.D’après Jean-Paul Baudecroux, fondateur et PDG du groupe, son pôle TV se trouve fragilisé et “la cession de Chérie 25”, qui en fait partie, est “une question qui va se poser”, a-t-il affirmé au Figaro.C8 et NRJ12 pourraient en théorie perdurer sur câble, satellite ou internet, mais les ressources publicitaires y sont jugées insuffisantes.Sur la TNT, elles vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV en septembre par le groupe Ouest-France.Avant le compte à rebours de vendredi soir, les animateurs font leurs adieux. Sur C8 jeudi, Jordan de Luxe et William Leymergie ont lâché, les larmes aux yeux, que “c’est fini”, quand Philippe Labro, qui avait ouvert la chaîne en 2005, a épinglé les “jeteurs de sort, Arcom de sort”, sur l’air des “Copains d’abord”.Pour leur part, des militants de l’association Action Justice Climat, masqués à l’effigie de Cyril Hanouna, s’étaient rassemblés mercredi devant ses locaux de tournage, ont-ils fait savoir sur les réseaux sociaux. Ils brandissaient une banderole proclamant “Bollorisation médiatique, péril démocratique”. 

Cyclone winds tear off roofs on battered French islandFri, 28 Feb 2025 09:55:52 GMT

Authorities ordered all people on La Reunion island to stay indoors for several hours Friday as Cyclone Garance’s fierce winds caused destruction across the French Indian Ocean territory.Winds of up to 230 kilometres (143 miles) per hour battered the territory of 900,000 people and the storm earlier forced the closure of the main airport on …

Cyclone winds tear off roofs on battered French islandFri, 28 Feb 2025 09:55:52 GMT Read More »

Les SDJ de M6 et RTL “vigilantes” face à l’arrivée de Cyril Hanouna

Les Sociétés des journalistes (SDJ) de M6 et de RTL sont “vigilantes” face à l’arrivée de l’animateur Cyril Hanouna dans le groupe, ont-elles annoncé vendredi dans un communiqué. L’animateur vedette a présenté jeudi soir la dernière de “Touche pas à mon poste” (TPMP) sur C8, avant la fermeture de la chaîne vendredi. D’après la chaîne, le programme a battu un “record historique” en réunissant près de 3,7 millions de téléspectateurs, soit 18,4% de part d’audience, sur la tranche la plus regardée, selon les chiffres de Médiamétrie.L’arrêt de C8 a été décidé par le régulateur de l’audiovisuel, l’Arcom, après des “manquements réitérés” de la chaîne, qui a cumulé 7,6 millions d’euros d’amendes liées à des dérapages de Cyril Hanouna. Jeudi soir, l’animateur a annoncé rejoindre le groupe M6 pour une émission télé quotidienne sur W9, également sur la TNT, ainsi qu’un programme sur Fun Radio, à partir du 1er septembre.”Cette annonce est l’épilogue de plusieurs semaines de tractations, au cours desquelles les Sociétés des Journalistes (SDJ) de M6 et RTL, ainsi que les représentants syndicaux du groupe ont fait part de leur vive inquiétude face à l’arrivée potentielle de cette personnalité médiatique”, ont déclaré les deux instances. Pour elles, les “garde-fous” proposés par la direction du groupe, qui incluent notamment un léger différé dans la diffusion des émissions du présentateur et des sanctions internes en cas de débordement, “n’ont pas convaincu”.Fin janvier, elles avaient signifié qu’une “vaste majorité des journalistes (s’était) prononcée contre l’arrivée potentielle de Cyril Hanouna au sein du groupe”.Les SDJ de M6 et RTL ont également annoncé se réunir “bientôt pour envisager la suite”.Â