Bibas mother confirmed dead as Gaza hostage-prisoner swap set to go ahead

Israeli hostage Shiri Bibas’s community confirmed her death Saturday after new remains were returned from Gaza, as the seventh hostage-prisoner exchange under a fragile Gaza ceasefire was set to go ahead. Bibas and her two young sons, whose bodies were returned by Hamas to Israel on Thursday, had become symbols of the ordeal suffered by Israeli hostages since the Gaza war began. Hamas had said the mother’s remains were among those returned Thursday, but Israeli analysis concluded they were not in fact hers, sparking an outpouring of grief and anger.”Kibbutz Nir Oz announces with deep pain and sorrow the murder of Shiri Bibas, of blessed memory, who was abducted from her home on October 7 and killed in captivity in Gaza,” her community said in a statement, adding “she will be laid to rest in the land of Israel alongside her two young sons”.The International Committee of the Red Cross had earlier confirmed the transfer of more human remains to Israel “at the request of both parties” but did not say whose they were.On Friday, Prime Minister Benjamin Netanyahu vowed to “ensure that Hamas pays the full price for this cruel and evil violation of the agreement” and accused the Palestinian militant group of murdering young Ariel and Kfir Bibas.The group admitted “the possibility of an error or mix-up of bodies”, which it attributed to Israeli bombing of the area.Hamas also affirmed its “full commitment” to the ongoing ceasefire deal, which has so far seen 19 living Israeli hostages freed from Gaza in exchange for more than 1,100 Palestinian prisoners released from Israeli jails.The group’s armed wing confirmed it would release six living Israelis Saturday in the seventh swap since the ceasefire began.They are the last living hostages eligible for release under the truce deal’s first phase, which is due to expire in early March. Hamas has also promised to hand over four more bodies next week.The Palestinian Prisoners’ Club advocacy group said Friday that Israel would free 602 inmates on Saturday as part of the exchange.A spokeswoman for the NGO told AFP that 445 were Gazans arrested after the war began, while 60 were serving long sentences, 50 were serving life sentences and 47 were re-arrested after being freed in a 2011 prisoner exchange.She added that 108 of the prisoners would be deported outside of Israel and the Palestinian territories after their release.- ‘No forgiveness’ -Military spokesman Rear Admiral Daniel Hagari said after an analysis of the remains that Palestinian militants had killed the Bibas boys “with their bare hands”.Hamas, however, has long maintained an Israeli air strike killed them and their mother early in the war.Shiri’s sister-in-law, Ofri Bibas, said Friday that the family was “not seeking revenge right now”, while levelling a measure of the blame at Netanyahu, telling him there would be “no forgiveness” for abandoning the mother and her young sons.A fourth body, that of Oded Lifshitz, a veteran journalist and long-time defender of Palestinian rights, was also returned Thursday.Hamas and its allies took 251 people hostage during the October 7 attack that sparked the war. There are 67 hostages still in Gaza, including more than 30 the Israeli military has said are dead.The Hamas attack resulted in the deaths of 1,214 people, mostly civilians, according to an AFP tally until Friday of Israeli official figures.Israel’s retaliatory campaign has killed at least 48,319 people in Gaza, the majority of them civilians, according to figures from the health ministry in the Hamas-run territory that the United Nations considers reliable.

A la grand-messe des conservateurs américains, des Européens en quête d’inspiration

“Make Europe Great Again”: dans les allées d’un gigantesque centre de conférences près de Washington, foisonnent casquettes et t-shirts bleus, adaptant le slogan de Donald Trump avec la couleur de l’Europe.En quête d’échanges et d’inspiration, les conservateurs européens ont afflué depuis jeudi à l’édition 2025 de la CPAC, le grand rassemblement annuel de la droite américaine, dans le sillage de la victoire électorale du milliardaire républicain.Derrière un stand, Raphaël Audouard explique à l’AFP qu’il était important de venir montrer que “ce mouvement qui a hissé Trump, il y a des gens en Europe qui le défendent aussi”.Ce Français de 32 ans est à la convention en tant que directeur de la Fondation des Patriotes pour l’Europe, un organisme affilié au groupe éponyme au Parlement européen, qui compte notamment le Rassemblement national français, la Ligue du Nord de l’Italien Matteo Salvini, et le Fidesz du Hongrois Viktor Orban.Selon Raphaël Audouard, beaucoup d’Américains à la CPAC “sont heureux de voir que le mouvement qu’ils ont créé aux Etats-Unis inspire aussi des Européens”, malgré des désaccords sur certains sujets.Et sans “naïveté”: “Trump veut l’+America First+. L’+America First+ c’est pas +Europe First+”, ajoute-t-il à propos du programme “l’Amérique d’abord” du président républicain.- “Curiosité” -Des chefs de parti comme le Britannique Nigel Farage, et quelques Premiers ministres comme le Slovaque Robert Fico, ont fait le déplacement en banlieue de la capitale américaine pour prêcher la bonne parole de leurs mouvements respectifs de droite ou d’extrême droite, mais aussi pour voir ce qui se fait de l’autre côté de l’Atlantique.L’eurodéputé français Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a lui annoncé vendredi annuler son intervention à la CPAC prévue dans la journée, en raison d’un “geste faisant référence à l’idéologie nazie” effectué à la convention la veille par Steve Bannon. Cet ex-conseiller de Donald Trump avait tendu ostensiblement le bras au terme d’un discours, suivant son mouvement d’un hochement de tête approbateur.Egalement députée au Parlement européen, la Roumaine Diana Iovanici-Sosoaca, explique être venue “d’abord par curiosité pour ce qui se passe ici”.”J’espère qu’on pourra nouer des liens avec des responsables, des élus du Congrès, des sénateurs”, ajoute cette élue, qui s’est d’abord fait connaître sur les réseaux sociaux en Roumanie pour son opposition aux mesures anti-Covid.Présidente du parti d’extrême droite S.O.S România, elle fait le parallèle entre son mouvement et celui du président américain.”Nous voulons rendre leur grandeur à l’Europe et à la Roumanie”, déclare Diana Iovanici-Sosoaca dans les allées de la CPAC, reprenant elle aussi le slogan “MAGA” du républicain.Le déclin du Vieux continent est un thème récurrent des interventions à la CPAC.- “Révolution Trump” -“On regarde de l’autre côté de l’Atlantique avec jalousie”, a lancé l’éphémère Première ministre britannique Liz Truss lors d’un discours enflammé et très élogieux à l’adresse du président américain.”Nous voulons une révolution Trump en Grande-Bretagne”, a-t-elle aussi déclaré.Venu sur scène avec une tronçonneuse offerte plus tôt par le président argentin, Javier Milei, Elon Musk a lui affirmé que l’Europe était en train de “s’effondrer”.”On dirait que la France était plus agréable il y a 50 ans qu’aujourd’hui”, a pris pour exemple l’homme le plus riche du monde, devenu allié et soutien financier de Donald Trump lors de la dernière campagne.Même son de cloche chez Mateusz Morawiecki, Premier ministre de Pologne entre 2017 et 2023.”C’était vraiment un grand continent, et je veux que l’on lui rende sa grandeur, parce que ce continent est en déclin”, a-t-il assuré dans son allocution.L’Europe s’est “concentrée sur les mauvaises priorités”, “comme le fait d’accueillir autant de migrants clandestins que possible”, estime-t-il ensuite dans un entretien à l’AFP.Président du Parti des conservateurs et réformistes européens, il dit que son “objectif principal” à la CPAC est de “traduire” le discours européen en langage américain, et “vice versa”, afin d’améliorer la coopération entre les deux bords de l’Atlantique.Et sur la question de savoir ce qu’il pourrait ramener en Pologne, l’ex-Premier ministre prend pour exemple la présence de Donald Trump “dans différents types de médias” lors de la campagne 2024, à “essayer d’aller à la rencontre de différentes parties de la société”.”C’est la leçon que je vais retenir du président Trump”, ajoute Mateusz Morawiecki.

A la grand-messe des conservateurs américains, des Européens en quête d’inspiration

“Make Europe Great Again”: dans les allées d’un gigantesque centre de conférences près de Washington, foisonnent casquettes et t-shirts bleus, adaptant le slogan de Donald Trump avec la couleur de l’Europe.En quête d’échanges et d’inspiration, les conservateurs européens ont afflué depuis jeudi à l’édition 2025 de la CPAC, le grand rassemblement annuel de la droite américaine, dans le sillage de la victoire électorale du milliardaire républicain.Derrière un stand, Raphaël Audouard explique à l’AFP qu’il était important de venir montrer que “ce mouvement qui a hissé Trump, il y a des gens en Europe qui le défendent aussi”.Ce Français de 32 ans est à la convention en tant que directeur de la Fondation des Patriotes pour l’Europe, un organisme affilié au groupe éponyme au Parlement européen, qui compte notamment le Rassemblement national français, la Ligue du Nord de l’Italien Matteo Salvini, et le Fidesz du Hongrois Viktor Orban.Selon Raphaël Audouard, beaucoup d’Américains à la CPAC “sont heureux de voir que le mouvement qu’ils ont créé aux Etats-Unis inspire aussi des Européens”, malgré des désaccords sur certains sujets.Et sans “naïveté”: “Trump veut l’+America First+. L’+America First+ c’est pas +Europe First+”, ajoute-t-il à propos du programme “l’Amérique d’abord” du président républicain.- “Curiosité” -Des chefs de parti comme le Britannique Nigel Farage, et quelques Premiers ministres comme le Slovaque Robert Fico, ont fait le déplacement en banlieue de la capitale américaine pour prêcher la bonne parole de leurs mouvements respectifs de droite ou d’extrême droite, mais aussi pour voir ce qui se fait de l’autre côté de l’Atlantique.L’eurodéputé français Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a lui annoncé vendredi annuler son intervention à la CPAC prévue dans la journée, en raison d’un “geste faisant référence à l’idéologie nazie” effectué à la convention la veille par Steve Bannon. Cet ex-conseiller de Donald Trump avait tendu ostensiblement le bras au terme d’un discours, suivant son mouvement d’un hochement de tête approbateur.Egalement députée au Parlement européen, la Roumaine Diana Iovanici-Sosoaca, explique être venue “d’abord par curiosité pour ce qui se passe ici”.”J’espère qu’on pourra nouer des liens avec des responsables, des élus du Congrès, des sénateurs”, ajoute cette élue, qui s’est d’abord fait connaître sur les réseaux sociaux en Roumanie pour son opposition aux mesures anti-Covid.Présidente du parti d’extrême droite S.O.S România, elle fait le parallèle entre son mouvement et celui du président américain.”Nous voulons rendre leur grandeur à l’Europe et à la Roumanie”, déclare Diana Iovanici-Sosoaca dans les allées de la CPAC, reprenant elle aussi le slogan “MAGA” du républicain.Le déclin du Vieux continent est un thème récurrent des interventions à la CPAC.- “Révolution Trump” -“On regarde de l’autre côté de l’Atlantique avec jalousie”, a lancé l’éphémère Première ministre britannique Liz Truss lors d’un discours enflammé et très élogieux à l’adresse du président américain.”Nous voulons une révolution Trump en Grande-Bretagne”, a-t-elle aussi déclaré.Venu sur scène avec une tronçonneuse offerte plus tôt par le président argentin, Javier Milei, Elon Musk a lui affirmé que l’Europe était en train de “s’effondrer”.”On dirait que la France était plus agréable il y a 50 ans qu’aujourd’hui”, a pris pour exemple l’homme le plus riche du monde, devenu allié et soutien financier de Donald Trump lors de la dernière campagne.Même son de cloche chez Mateusz Morawiecki, Premier ministre de Pologne entre 2017 et 2023.”C’était vraiment un grand continent, et je veux que l’on lui rende sa grandeur, parce que ce continent est en déclin”, a-t-il assuré dans son allocution.L’Europe s’est “concentrée sur les mauvaises priorités”, “comme le fait d’accueillir autant de migrants clandestins que possible”, estime-t-il ensuite dans un entretien à l’AFP.Président du Parti des conservateurs et réformistes européens, il dit que son “objectif principal” à la CPAC est de “traduire” le discours européen en langage américain, et “vice versa”, afin d’améliorer la coopération entre les deux bords de l’Atlantique.Et sur la question de savoir ce qu’il pourrait ramener en Pologne, l’ex-Premier ministre prend pour exemple la présence de Donald Trump “dans différents types de médias” lors de la campagne 2024, à “essayer d’aller à la rencontre de différentes parties de la société”.”C’est la leçon que je vais retenir du président Trump”, ajoute Mateusz Morawiecki.

Roi ou Empereur, la galaxie MAGA rêve de garder Trump

Président Donald Trump. Et pourquoi pas le Roi Trump ou Donald César? Cette idée, drastiquement antinomique au regard de l’histoire américaine, commence à trotter dans les têtes à Washington, depuis le début du deuxième mandat du milliardaire républicain le 20 janvier.Bien sûr, ses soutiens les plus radicaux du mouvement MAGA, Make America Great Again, rêvent de voir ce destin se réaliser. L’ancien promoteur immobilier lui-même commence à l’évoquer.”Longue vie au roi”, a signé mercredi Donald Trump, en lettres capitales, dans un message vantant l’offensive de son gouvernement pour abolir le péage urbain de New York, la ville où il est né.Puis la Maison Blanche a publié une fausse couverture de magazine sur son compte officiel sur X, répétant le slogan, “long live the king” en anglais, avec le dessin d’un Donald Trump souriant, couronne en or sur la tête, devant la skyline de Manhattan. Le milliardaire de 78 ans a plusieurs fois évoqué l’idée d’effectuer plus de deux mandats, pourtant inconstitutionnelle.Appréciée comme une boutade lors de son premier mandat, sa suggestion a paru moins incongrue quand il a refusé de reconnaître sa défaite à l’élection de 2020 face à Joe Biden, une séquence tendue pour la démocratie américaine, culminant avec l’attaque de ses partisans contre le Capitole.Son deuxième mandat a commencé sur les chapeaux de roue, avec un recours inédit au pouvoir exécutif -à coups de nombreux décrets- et enchanté ses supporters les plus fidèles. Le premier d’entre eux, l’homme le plus riche du monde, Elon Musk, a d’ailleurs été mis à contribution pour mener une vaste offensive de coupes budgétaires.  Alors ses partisans en veulent encore. – “Figure à la Jules César” -“Nous adorons l’idée de voir Trump comme notre figure à la Jules César”, a confié Shane Trejo à des journalistes depuis la convention CPAC, grand-messe des conservateurs américains organisée près de Washington.M. Trejo, membre d’un groupe baptisé “Les Républicains pour un Renouveau National”, se tenait près d’une affiche d’un Donald Trump en empereur romain, couronne de laurier et toge.Filant ses métaphores impériales, il a également décrit le président américain comme une “figure Napoléonienne”, capable de mener “notre pays de la perdition à la grandeur”.Son groupe tente de faire adopter par le Congrès un amendement à la Constitution pour supprimer la limite des deux mandats. Selon l’élu républicain du Tennessee, qui a introduit la proposition, Andy Ogles, Donald Trump est “le seul personnage dans l’histoire moderne capable de renverser notre nation en déclin et de restaurer à l’Amérique sa grandeur”. M. Ogles estime ainsi qu’il doit rester plus longtemps au pouvoir. Amender la Constitution est quasiment impossible, notamment sur une telle proposition: il faut réunir deux tiers des voix de la Chambre des Représentants et du Sénat. Mais “Les Républicains pour un Renouveau National” ont une autre idée: faire comme en Russie, quand Vladimir Poutine est devenu, pendant un mandat, le Premier ministre de Dmitri Medvedev. Dans la copie américaine, le fils de l’ex-magnat de l’immobilier, Donald Trump Jr. “pourrait se présenter”, avec son père comme colistier. Il démissionnerait au lendemain de son investiture, le 21 janvier 2028, remplacé par Donald Trump. “Ce plan, bien que peu orthodoxe, montrerait que MAGA ne peut pas être arrêté par des règles de procédure”, défend le groupe, sur un site internet satellite.Autre soutien de poids pour prolonger l’aventure Trump, son ex-conseiller, Steve Bannon. “Nous voulons Trump en 2028”, a dit cet idéologue d’extrême droite, lors de la convention CPAC. “Un homme comme Trump, ça n’arrive qu’une ou deux fois dans l’histoire d’un pays”, a-t-il dit, encensant le milliardaire républicain. A la fin de son discours, Steve Bannon a tendu le bras droit, rappelant le geste d’Elon Musk. M. Bannon a contesté toute allusion nazie.Donald Trump, lui, ne fait rien pour dissiper les doutes quant à ses futures intentions. Il a même enfoncé le clou jeudi, lors d’un événement à la Maison Blanche. “Devrais-je me représenter?”, a-t-il demandé. “Quatre ans de plus”, a répondu la foule.Aucune chance, selon le 22e amendement à la Constitution américaine; ratifié en 1951. Mais Donald Trump, qui raffole des polémiques, est persuadé que le costume lui sied bien.”Celui qui sauve sa patrie ne viole aucune loi”, avait-il écrit sur son réseau Truth Social la semaine dernière. Une citation attribuée à Napoléon Bonaparte. Lui s’était couronné empereur en 1804.              

Trump fires top-ranked US military officer as shake-ups spread

President Donald Trump fired top US military officer General Charles “CQ” Brown on Friday, part of a major shake-up of the armed forces’ leadership.Trump offered no explanation for Brown’s dismissal less than two years into his four-year term as chairman of the Joint Chiefs of Staff, which followed sweeping layoffs of federal workers and moves to dismantle government institutions just a month into the president’s second term.Brown had been nominated to the top military role by Democratic president Joe Biden and became only the second Black person to hold the position. Following Trump’s announcement on Brown, Defense Secretary Pete Hegseth said he was seeking a replacement for Admiral Lisa Franchetti, the first woman to serve as the top US Navy officer.Trump thanked Brown for “his over 40 years of service to our country” in a post on his Truth Social platform, describing him as “a fine gentleman and an outstanding leader.”Brown has commanded a fighter squadron and two fighter wings, as well as US air forces under the Central Command and Indo-Pacific Command. He had served as Joint Chiefs chairman since October 2023.Following the 2020 murder of a Black man, George Floyd, by a white police officer in Minnesota, Brown — an experienced fighter pilot with more than 3,000 flight hours, 130 of them in combat — recorded an emotional video about his personal experiences, including with discrimination in the US military.”I’m thinking about my Air Force career, where I was often the only African American in my squadron or as a senior officer, the only African American in the room,” Brown said.”I’m thinking about the pressure I felt to perform error-free, especially for supervisors I perceive had expected less from me as an African American.”- Top Navy officer being replaced -Hegseth had advocated for Brown’s firing in a November podcast appearance, saying any top officers “involved in any of the DEI (diversity, equity and inclusion) woke shit has got to go,” but told journalists last month that he was “looking forward to working” with the general.Trump said he was nominating Air Force Lieutenant General Dan Caine to replace Brown.He said Caine — whom he recently described meeting in Iraq during his first term — is “an accomplished pilot, national security expert, successful entrepreneur, and a ‘warfighter’ with significant interagency and special operations experience.”Caine served in positions including associate director for military affairs at the CIA, as well as in various operational and staff roles, including more than 150 hours in combat as an F-16 pilot, an aircraft in which he logged more than 2,800 hours.Trump, in his trademark showman style, told a Saudi investor forum in Miami on Wednesday about meeting Caine in Iraq, where he was among a group of “handsome people, everybody’s like from a movie set.”According to Trump, Caine told the president that he went by the nickname “Razin.””I said, wait a minute, your name is Razin Caine? I love you, I’ve been looking for you for five years … this is what I want,” Trump recounted.In another major Pentagon shakeup, Hegseth said he was seeking a replacement for Franchetti, the first woman to serve as chief of naval operations and on the Joint Chiefs of Staff.”I am… requesting nominations for the positions of chief of naval operations and Air Force vice chief of staff,” Hegseth said in a statement.”The incumbents in these important roles, Admiral Lisa Franchetti and General James Slife, respectively, have had distinguished careers. We thank them for their service and dedication to our country,” he said, without providing an explanation for their departures.Franchetti had previously served on a series of surface vessels, commanding a guided missile destroyer, a destroyer squadron and two carrier strike groups.She was deputy commander of US naval forces in Europe and as well as in Africa, and deputy chief of naval operations for warfighting development. She became vice chief of naval operations — the service’s number two position — in September 2022, and took over the Navy’s top job in November 2023.

The last carriage horses of Indonesia’s capital endure harsh lives

In a dark stable under a heaving highway in Indonesia’s capital, trucks rumble past emaciated carriage horses tied to pillars in ramshackle wooden stalls, their ribs protruding.The steeds are used to pull traditional wooden carriages known as delman, once a staple of colonial-era transportation, but fading from view in Jakarta in an era dominated by ride-hailing apps.Now limited to just a few areas of the city, only several hundred delman horses remain to ferry tourists on weekends or public holidays. Animal rights activists say the conditions under which the horses are kept are so harsh the practice must end.”Thank God, in here, at least the horses are protected from the sun’s heat and rain,” 52-year-old carriage driver Sutomo told AFP under the highway. On central Jakarta’s bustling streets, the horse-drawn carriage bells can be heard clinking in rhythm with clopping hooves that compete with the blare of car engines and horns.But Sutomo says a 4.5-kilometre (2.8-mile) jaunt around Indonesia’s national monument, or Monas, can fetch just 50,000 rupiah ($3.10) — a trip he only makes two or three times a day.”When income is low, my son, who works at a company, shares some of his salary. Thank God at least that can cover food for my family. But for the horse, we have to reduce its food,” he said.Rights groups say such limited income has forced owners and some who rent the horses to ignore proper horse care, leading to malnutrition and poor living conditions.There are about 200 carthorses still in service at around 20 stables, according to estimates, including one squalid encampment holding 15 horses seen by AFP. It was surrounded by garbage and plastic debris next to a smelly, polluted river.”The conditions are really, really bad,” said Karin Franken, co-founder of Jakarta Animal Aid Network (JAAN), an NGO that has been advocating for delman horses since 2014.”They are not treating the horses very well (but) very aggressively, very rough.”- ‘Extreme abuse, neglect’ -To a tourist’s eye, the delman can appear as a colourful addition to the city, adorned by decorations and small bells that jingle when the horse moves.But some owners still rely on harmful traditional medications, including puncturing the horse’s muscles with bamboo sticks to pass a rope through to “cleanse” its blood. During the Covid-19 pandemic some horses also died of starvation, said Franken, calling for the delman to be gradually phased out. “The life as a delman horse, especially in Jakarta, is really terrible,” said Franken.While there is a national law on animal protection, there is little monitoring of violations according to JAAN.The local government said it remained committed to animal welfare but needed more help.”We need support from other parties… to be able to provide services such as free medical check-ups,” Suharini Eliawati, head of the Jakarta Food Security, Maritime and Agriculture Agency, told AFP.”The owners must obey the rules in animal welfare protection.”Franken said JAAN also tries to educate the delman workers on how to provide better treatment for the horses, in exchange for free medical care for the animals.But many people do not comply on grounds of tradition or financial issues.”They can barely take care of themselves and their families, let alone horses. It’s very sad for both,” Franken said.”There still are, unfortunately, cases of extreme abuse or neglect.”Young delman drivers are open to moving to other jobs like ride-hailing motor-taxi driver, but older ones are more stubborn “because they say it’s the only thing they can do”, said Franken.Some are likely to keep trying to make a penny, despite pushing their equine breadwinners to the brink.”I like animals, I also like this job,” said delman owner Novan Yuge Prihatmoko, as he guided his horse through West Jakarta, adding that he can earn 150,000 rupiah ($9.20) a day.”I feel comfortable, so why not? I just keep doing this for a living.”

Argentine: “marée rouge” d’algues sur les plages atlantiques

Plusieurs plages atlantiques d’Argentine ont été envahies vendredi, en pleine saison estivale, par une spectaculaire “marée rouge”, phénomène naturel dû à des macroalgues, à la prolifération non nécessairement liée au changement climatique, selon un spécialiste local.Dans plusieurs stations balnéaires, comme l’ultra-populaire Mar del Plata (420 km au sud de Buenos Aires), les algues dégageaient, après plusieurs heures au soleil sur le sable, une forte odeur incommodant nombre de baigneurs, a constaté l’AFP.”C’est un phénomène naturel qu’on appelle ici +arribazones+ (plus ou moins +méga-survenues+, NDLR) de macroalgues”, a expliqué à l’AFP Ricardo Silva, biologiste marin à l’Institut national de recherche et de développement de la pêche (Inidep).Ces algues “vivent accrochées à des matières rocheuses” sous l’eau, mais peuvent se détacher sous l’effet d’une forte houle, et les courants “les font dériver jusqu’à la côte”. Phénomène pas inhabituel les mois d’été, “mais cet été il y en a eu davantage”, observe-t-il.On ne peut affirmer avec certitude que cette prolifération est liée au changement climatique, a déclaré M. Silva, citant notamment l’augmentation de “vents atypiques” de nord-est. Mais “si on l’étudiait davantage sur la durée, au long des années, on trouverait sûrement une relation”.Il y a huit jours, c’est au vert façon “Hulk” qu’avait viré un lac du nord-est argentin –et avec lui ses habitants, les grands rongeurs cabiaïs : l’effet de cyanobactéries, phénomène de microalgues cette fois, naturel mais dont l’accroissement est en partie liée au réchauffement climatique.Mais vendredi, les images de vagues atlantiques rouge sang dans les médias ont surtout rappelé l’impressionnante pollution –humaine, celle-là– d’un cours d’eau dans la banlieue de Buenos Aires, il y a dix jours. Pendant quelques heures, le “Sarandi”, cours d’eau partiellement canalisé, avait viré au rouge carmin, suscitant l’inquiétude des riverains devant ce ruisseau qu’ils savent régulièrement pollué, mais cette fois “de sang”.Des résultats préliminaires d’analyses menées par le ministère de l’Environnement de la province de Buenos Aires ont relevé plusieurs “nuances de pigment organique rouge (Acid Red), permettant de circonscrire (l’origine) à des secteurs industriels qui utilisent le pigment dans leurs processus de production : tanneries, agroalimentaire, textile, pharmaceutique”.Les autorités provinciales ont indiqué dans un communiqué jeudi être “en cours d’inspection de tous les établissements industriels qui utilisent ce pigment” dans le secteur.Des analyses préliminaires distinctes ont par ailleurs “exclu a priori la présence de cyanobactéries potentiellement toxiques et bactéries”, ajoute le ministère.

Argentine: “marée rouge” d’algues sur les plages atlantiques

Plusieurs plages atlantiques d’Argentine ont été envahies vendredi, en pleine saison estivale, par une spectaculaire “marée rouge”, phénomène naturel dû à des macroalgues, à la prolifération non nécessairement liée au changement climatique, selon un spécialiste local.Dans plusieurs stations balnéaires, comme l’ultra-populaire Mar del Plata (420 km au sud de Buenos Aires), les algues dégageaient, après plusieurs heures au soleil sur le sable, une forte odeur incommodant nombre de baigneurs, a constaté l’AFP.”C’est un phénomène naturel qu’on appelle ici +arribazones+ (plus ou moins +méga-survenues+, NDLR) de macroalgues”, a expliqué à l’AFP Ricardo Silva, biologiste marin à l’Institut national de recherche et de développement de la pêche (Inidep).Ces algues “vivent accrochées à des matières rocheuses” sous l’eau, mais peuvent se détacher sous l’effet d’une forte houle, et les courants “les font dériver jusqu’à la côte”. Phénomène pas inhabituel les mois d’été, “mais cet été il y en a eu davantage”, observe-t-il.On ne peut affirmer avec certitude que cette prolifération est liée au changement climatique, a déclaré M. Silva, citant notamment l’augmentation de “vents atypiques” de nord-est. Mais “si on l’étudiait davantage sur la durée, au long des années, on trouverait sûrement une relation”.Il y a huit jours, c’est au vert façon “Hulk” qu’avait viré un lac du nord-est argentin –et avec lui ses habitants, les grands rongeurs cabiaïs : l’effet de cyanobactéries, phénomène de microalgues cette fois, naturel mais dont l’accroissement est en partie liée au réchauffement climatique.Mais vendredi, les images de vagues atlantiques rouge sang dans les médias ont surtout rappelé l’impressionnante pollution –humaine, celle-là– d’un cours d’eau dans la banlieue de Buenos Aires, il y a dix jours. Pendant quelques heures, le “Sarandi”, cours d’eau partiellement canalisé, avait viré au rouge carmin, suscitant l’inquiétude des riverains devant ce ruisseau qu’ils savent régulièrement pollué, mais cette fois “de sang”.Des résultats préliminaires d’analyses menées par le ministère de l’Environnement de la province de Buenos Aires ont relevé plusieurs “nuances de pigment organique rouge (Acid Red), permettant de circonscrire (l’origine) à des secteurs industriels qui utilisent le pigment dans leurs processus de production : tanneries, agroalimentaire, textile, pharmaceutique”.Les autorités provinciales ont indiqué dans un communiqué jeudi être “en cours d’inspection de tous les établissements industriels qui utilisent ce pigment” dans le secteur.Des analyses préliminaires distinctes ont par ailleurs “exclu a priori la présence de cyanobactéries potentiellement toxiques et bactéries”, ajoute le ministère.