US retail sales lose steam, consumer confidence falls as costs bite

US retail sales lost momentum in September and firms grappled with an uptick in business costs, government data showed Tuesday, underscoring growing concerns about affordability in the world’s biggest economy.Beyond these delayed economic figures — indicating that consumers turned cautious towards the end of the summer — a separate survey saw consumer confidence hitting its lowest level since April this month.Economists warn that the softening in sales is likely to persist as President Donald Trump’s tariffs add to cost increases, while the labor market weakens.Overall retail sales picked up by 0.2 percent on a month-on-month basis, said the Commerce Department, slightly below analyst expectations and cooling from August’s 0.6 percent increase.A report by the Labor Department meanwhile showed that wholesale inflation picked up in September, rising by 0.3 percent, in line with forecasts.This rise was driven by a 0.9-percent jump in goods prices, highlighting the steeper costs that businesses face. Much of it was attributed to the volatile food and energy segments.But for now, some retailers continue to shield customers from the full effects of higher business prices.- ‘Value-hunting’ -As Trump’s tariffs take hold, all eyes have been on how consumers — a key driver of the world’s biggest economy — respond to price pressures.Affordability has emerged as a key worry, with Democrats’ victories in off-year elections in New Jersey, New York and Virginia this month fueled by voters angry over rising costs.Trump has since widened tariff exemptions to cover various agriculture products as costs of living weigh on American voters.Besides the “muted growth” in September’s retail sales, Navy Federal Credit Union chief economist Heather Long flagged notable monthly declines in categories hard hit by tariffs.These include auto parts, electronics, appliances, sporting goods and instruments.”American consumers are in value-hunting mode,” Long said. “They are spending more on the basics and being extra choosy with where they spend their discretionary dollars.”- Rate cut ahead? -There is also a growing gap between higher earners and lower-income households.Although wealthier households continue to spend, “middle- and lower-income families are turning more cautious heading into the holiday season,” said EY-Parthenon senior economist Lydia Boussour.She noted mounting pressures from a weaker jobs market.The retail figures, alongside fresh evidence of soft private-sector hiring, boost the case for another Federal Reserve interest rate cut in December, Boussour added.Data released by The Conference Board showed Tuesday too that consumers are not only “less sanguine” about their current situations but “notably more pessimistic about business conditions six months from now.”Its consumer confidence index dropped to 88.7 in November, from 95.5 in October, the lowest reading in seven months.Looking ahead, Fed officials will be digesting the newer private sector indicators and delayed federal figures as they mull the need for another rate cut in December.Both government reports published Tuesday had been delayed as a shutdown between October and mid-November halted data releases on inflation, jobs and others.The stoppage hit the collection of consumer inflation and employment data for October in particular, resulting in the cancellation of full reports on both fronts. Instead, available numbers will be released with November’s figures.On Tuesday, Commerce Department figures showed that September retail sales were still up 4.3 percent from a year ago.The producer price index report, meanwhile, indicated that “the inflation impulse from the tariffs is modest and underlying services inflation is still slowing,” said Samuel Tombs of Pantheon Macroeconomics.Underlying PPI inflation “should ease after producers have finished passing on tariff costs in a few months’ time,” he added.

Le Sénat adopte le budget de “fin de gestion” pour 2025

Le Sénat a adopté mardi le projet de loi de “fin de gestion” pour 2025, un texte technique examiné en parallèle du budget 2026 pour fixer les derniers ajustements financiers de l’année en cours, marquée par un déficit atteignant 5,4% du PIB.Ce texte a été voté par la droite et l’ensemble du bloc central, tandis que la gauche s’y est opposée. L’Assemblée nationale, elle, l’avait rejeté en première lecture.Députés et sénateurs tenteront de se mettre d’accord sur une version de compromis lors d’une commission mixte paritaire (CMP) prévue jeudi matin. Il faudra ensuite que ce texte commun soit adopté dans les deux chambres la semaine prochaine, obligeant le gouvernement à espérer que certains groupes d’opposition s’abstiennent ou votent favorablement.La mission paraît néanmoins beaucoup moins périlleuse que sur le budget pour 2026, objet éminemment plus politique.”Ce texte est d’abord technique et il ne vise rien d’autre qu’à être collectivement capable de bien finir l’année”, a ainsi plaidé la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin. Il permet de “garantir précisément et en toute transparence les jalons essentiels qui nous permettront de respecter la cible de déficit de 5,4% (du PIB) en 2025”, a-t-elle ajouté.En effet, le budget de “fin de gestion” respecte l’engagement initial du gouvernement sans dégrader le déficit, au contraire des années précédentes. Il prévoit tout de même quelques ouvertures et annulations de crédits, comme 190 millions supplémentaires pour des dépenses de sécurité en Outre-mer et contre les incendies estivaux. Côté annulation, 1,6 milliard sont notamment ponctionnés sur le programme d’investissements “France 2030″, le gouvernement invoquant un surplus de trésorerie.”Il faut saluer l’effort accompli en 2025 et le considérer comme un point de départ du redressement, mais aucunement comme un point d’arrivée”, a reconnu le rapporteur général du budget au Sénat, Jean-François Husson (Les Républicains), qui est par ailleurs beaucoup plus critique sur le budget pour 2026, dont le Sénat se saisit jeudi dans l’hémicycle. Il a suggéré l’adoption du texte, non sans obtenir le vote de quelques amendements, comme une rallonge de 50 millions pour la “mission d’aménagement du territoire” dévolue à La Poste, par exemple.La gauche a regretté la priorité donnée à la baisse des dépenses. “C’est la technique du rabot qui est privilégiée, en ciblant d’abord le plus facile, le budget d’investissement”, a épinglé le sénateur Grégory Blanc (groupe écologiste).

10 kidnapped as mass abductions shake NigeriaTue, 25 Nov 2025 15:48:22 GMT

Gunmen have seized 10 women and children in the latest kidnapping to rock Nigeria, police said Tuesday, as parents of dozens of children taken from a Catholic school last week pleaded for their release.Police said the Monday night raid in the western state of Kwara targeted the village of Isapa, which neighbours another village where …

10 kidnapped as mass abductions shake NigeriaTue, 25 Nov 2025 15:48:22 GMT Read More »

Ligue des champions: Joao Neves, l’improbable meilleur buteur du PSG

Le milieu portugais Joao Neves, incarnation de la jeunesse conquérante du Paris SG, n’en finit plus d’impressionner et de marquer, un atout non négligeable au moment de recevoir Tottenham en Ligue des champions mercredi (21h00).Parmi les retours de blessure des dernières semaines, celui de Joao Neves a été discret, mais sans doute tout aussi important que les autres.Car à 21 ans, l’activité et l’efficacité de ce joueur au physique pourtant peu imposant (1,74 m) sont précieuses pour une équipe championne d’Europe qui peine à retrouver la plénitude de sa saison dernière.Touché à l’ischio-jambier, Neves a dû ronger son frein de la mi-septembre à la fin octobre, observant les résultats en dents de scie de ses coéquipiers: défaite contre Marseille (1-0), matches nuls contre Lille (1-1) et Strasbourg (3-3)… Et ses premières minutes de reprise, entrant en cours de rencontre, ont été frustrantes contre Lorient (1-1) et le Bayern Munich (défaite 2-1).Mais son retour comme titulaire a coïncidé avec des victoires, contre Nice (1-0), Lyon (3-2) et Le Havre (3-0). Pas tout à fait un hasard…Joao Neves est complémentaire de l’autre relayeur Fabian Ruiz, plus grand et plus lent. Maillot rentré dans le short – une habitude gardée d’une obligation de son centre de formation dans le sud du Portugal -, Neves  est un travailleur infatigable à la récupération, doué techniquement et malin dans ses passes entre les lignes… Seul signe de ses 21 ans, il s’en remet encore beaucoup au chef d’orchestre Vitinha, situé un cran plus bas.- Renard des surfaces -Autre apport essentiel et spectaculaire, les buts. Des trois milieux, Joao Neves est désormais celui qui met le plus en pratique les principes de projection prônés par l’entraîneur Luis Enrique, avec six buts déjà cette saison en seulement neuf matches joués. Il est le meilleur buteur du PSG pour l’instant.Le Portugais avait notamment marqué les esprits par un triplé extraordinaire fin août contre Toulouse (6-3): deux retournés acrobatiques et une frappe lointaine en pleine lucarne. Il ne s’en est pas contenté et a aussi marqué pour redonner espoirs aux siens contre le Bayern, offrir la victoire à Lyon dans les derniers instants de la rencontre et enfoncer Le Havre.Retournés, tirs lointains, but de la tête et en renard des surfaces: Joao Neves a montré une panoplie digne d’un numéro 9. Il a raconté avoir travaillé des gestes de buteur depuis sa tendre enfance sur les pelouses de Tavira (sud du Portugal), et souvent encore à l’entraînement au Campus PSG. “J’essaie d’être intelligent” dans les déplacements, a-t-il aussi expliqué.La saison dernière aussi avait été remarquable sur le plan statistique, avec sept buts et 10 passes décisives. C’est peut-être dans ce domaine des “passes dé” que Neves peut faire mieux cette saison, puisqu’il n’en a tout simplement pas réussi. Contre Le Havre néanmoins, certaines inspirations ont débouché sur des caviars, gâchés par ses coéquipiers.Joao Neves fait preuve d’une détermination étonnante, comme lorsqu’il disait sans ciller, avant le huitième de finale de Ligue des champions contre Liverpool la saison dernière, que le PSG était une meilleure équipe… avant de le prouver sur le terrain (0-1, 1-0, qualification aux tirs aux buts).”C’est l’un des meilleurs joueurs de l’équipe actuellement. Peu importe qui marque, on veut juste gagner”, a estimé mardi l’attaquant du PSG Khvicha Kvaratskhelia.Sur le plan relationnel, parler les quatre langues utilisées dans le vestiaire (portugais, français, espagnol, anglais) a vite rendu “Joyau” Neves incontournable auprès de ses coéquipiers.En dehors des terrains, il n’a pas froid aux yeux, allant sur le délicat terrain de l’engagement citoyen. Dans une vidéo produite par les autorités portugaises à la mi-novembre, Neves a incité ses compatriotes à s’inscrire sur les listes électorales pour l’élection présidentielle de janvier.

Faure (PS) pense toujours possible un vote du budget avant fin décembre

“Je pense que nous allons y arriver”, a déclaré mardi le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, à propos d’une adoption des budgets de l’État et de la Sécurité sociale par le Parlement avant fin décembre.”Nous avons besoin de faire avancer le pays et je pense que nous allons y arriver”, a estimé le député sur franceinfo, refusant “un échec collectif”.”Ce serait quand même un vrai désastre que de voir un Parlement qui, pour la première fois depuis 1958, a la possibilité de travailler en liberté, sans 49.3, n’arrive pas à accoucher d’un budget”, a-t-il argumenté, regrettant que LFI et RN cherchent à “faire dérailler le train”. L’examen des budgets de l’Etat et de la Sécu se poursuivent cette semaine au Sénat mais les perspectives de compromis sont faibles alors que la partie recettes du premier a été rejetée quasi unanimement par l’Assemblée vendredi soir et que la chambre haute est en train de détricoter celui de la Sécurité sociale. “Il ne s’agit pas de dire que nous allons trouver un consensus, il n’y aura pas, à la fin, des gens qui seront totalement heureux de ce budget”, a défendu Olivier Faure parlant d’un budget “hybride” au final. Sébastien Lecornu se dit lui aussi toujours convaincu d'”une majorité” possible à l’Assemblée, estimant que la loi spéciale – palliatif en cas d’absence de budget avant le 31 décembre – n’est “pas la solution”.Mais il a proposé un changement de méthode à l’Assemblée d’ici la reprise des débats mi-décembre au Palais-Bourbon: discuter avec les formations politiques et les partenaires sociaux de cinq thèmes vus comme des “priorités (…) absolues” : le déficit, la réforme de l’État, l’énergie, l’agriculture ainsi que la sécurité intérieure et extérieure, avec débats et éventuellement votes à la clé.- “Ca suffit” -Contrairement au président du groupe PS au Sénat, Patrick Kanner, qui a dénoncé “des mesures dilatoires”, Olivier Faure s’est dit “toujours partant pour le débat parce que je crois que ce serait une folie que de refuser que le Parlement joue son rôle”. Il a néanmoins souhaité que d’autres thèmes soient abordés, comme l’environnement ou la jeunesse.Interrogé sur les déclarations de M. Faure, lors de la conférence de presse de son groupe mardi, le député PCF Nicolas Sansu a vivement réagi: “Olivier Faure, il ne fait pas partie de la section de Vierzon du PCF. Je trouve qu’il parle beaucoup pour notre compte et ce serait bien qu’il parle pour lui et pas pour les autres. C’est insupportable”.Le président du groupe, Stéphane Peu, s’en est lui pris au député PS Laurent Baumel, qui avait appelé dans Le Monde lundi à “un +deal+ entre macronistes, socialistes, écologistes et communistes”.”Il n’y aura pas de deal, et les communistes et le groupe GDR ne participeront à aucun deal avec la macronie finissante”, a-t-il protesté. “Et donc, je demande aux porte-parole des groupes socialistes d’arrêter de parler en notre nom (…) maintenant, on leur dit +ça suffit+”.