La Bourse de Paris termine en légère baisse

La Bourse de Paris a terminé en léger recul lundi, sans entrain en attendant l’issue de la nouvelle série de discussions commerciales entre les deux premières puissances économiques du monde, les États-Unis et la Chine.Le CAC 40 a perdu 0,17%, en recul de 13,40 points, à 7.791,47 points. Vendredi, le CAC 40 avait gagné 14,60 points (+0,19%) pour s’établir à 7.804,87 points à la clôture.Les marchés sont “sans tendance, en attendant les résultats des négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine, dans l’espoir que la situation s’apaise entre les deux pays”, explique à l’AFP Vincent Juvyns, stratégiste chez ING.Washington et Pékin ont entamé à Londres ce lundi une nouvelle série de négociations, dont l’un des principaux enjeux portera sur les exportations chinoises de terres rares, éléments essentiels à de nombreux produits, notamment les batteries de véhicules électriques. Elles constituent depuis longtemps un sujet de tension.”La semaine dernière, un appel entre les présidentes américain Donald Trump et chinois Xi Jinping a permis d’annoncer que la Chine allait assouplir ses contrôles à l’exportation de terres rares vers les États-Unis, ce qui suggère que ceux-ci pourraient également alléger les restrictions sur certaines exportations technologiques”, a estimé Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.Il y a donc “une humeur attentiste mais globalement positive”, estime Vincent Juvyns.Les titres des spiritueux Rémy Cointreau (+5,02% à 49,36 euros) et Pernod Ricard (+3,16% à 90,78 euros), très dépendants du commerce international, ont d’ailleurs fini en hausse.Cette deuxième rencontre intervient après un brusque accès de tension la semaine dernière, Donald Trump ayant accusé Pékin de ne pas respecter les termes de l’accord de désescalade signé à Genève.Un premier échange téléphonique a ensuite eu lieu jeudi entre les présidents américain et chinois, conversation qualifiée de “très positive” par Donald Trump alors que Xi Jinping a demandé à son homologue de “redresser la trajectoire du grand navire des relations sino-américaines”, selon la presse chinoise.Lors de précédentes négociations en Suisse, Washington avait accepté de ramener les droits de douane sur les produits chinois de 145% à 30%, en échange d’un mouvement similaire par Pékin, de 125% à 10% sur les produits américains, pour une durée de 90 jours.Côté obligataire, l’emprunt à dix ans français a atteint 3,25%, contre 3,24% la veille.L’Oréal majoritaire dans Medik8Le géant français de la beauté L’Oréal (-0,64% à 378,90 euros) a annoncé lundi qu’il allait prendre une participation majoritaire dans la marque britannique de soins de la peau Medik8, pour un montant non précisé.

Trump blames ‘insurrectionists’ for Los Angeles unrest

US President Donald Trump on Monday blamed “insurrectionists” for unrest in Los Angeles, after he sent in National Guard troops to quell protests against immigration raids.”The people that are causing the problems are professional agitators and insurrectionists,” Trump told reporters at the White House.”They’re bad people, they should be in jail,” he added when asked about the clashes occurring in parts of the second biggest US city.The Republican, who turns 79 on Saturday, did not give evidence of why the street protesters are insurrectionists.Trump was returning to the White House after meeting with senior US officials and military officers at his Camp David presidential retreat. Before talking to reporters he greeted workers at the site of a new flagpole he has ordered to be erected outside the White House.Trump did not reply when asked several times by reporters whether he plans to invoke the Insurrection Act, which would allow the military to be used as a domestic police force.The White House has previously said Trump relied on a seldom used law, known as Title 10, to deploy the National Guard to Los Angeles despite California’s Democratic governor Gavin Newsom saying the move was unnecessary, given the limited nature of the protests.Trump lashed out at Newsom, who has been widely tipped as a possible 2028 presidential candidate, over the unrest.”He’s done a terrible job. Look, I like Gavin Newsom, he’s a nice guy — but he’s grossly incompetent, everybody knows,” Trump said.Newsom dared Trump’s border czar Tom Homan over the weekend to arrest him, after Homan said the governor and LA Mayor Karen Bass could face federal charges of trying to impede immigration agents.”I would do it if I were Tom,” Trump said when asked if Homan should arrest Newsom.

Warner Bros Discovery va séparer sa plateforme de streaming du reste du groupe

Warner Bros Discovery (WBD) va séparer sa plateforme de streaming et son studio de production du reste du groupe de médias, un nouveau signal de la transition de l’industrie télévisuelle vers la vidéo en ligne.Cette scission, qui devrait être finalisée vers mi-2026 sous réserve du feu vert des régulateurs, va déboucher sur la cotation de deux entités distinctes, selon un communiqué publié lundi.Dans le détail, le service de streaming Max, qui va être rebaptisé HBO Max cet été, va être logé dans une nouvelle société, appelée Streaming & Studios, de même que les studios de production de télévision et de cinéma, ainsi que les parcs à thème.L’autre entreprise cotée, nommée Global Networks, comprendra les chaînes du groupe de New York, en particulier CNN, la station TNT, très orientée vers le sport, ou Discovery (nature et aventure).Ces chaînes tirent encore aujourd’hui l’essentiel de leurs revenus des abonnements au câble, une industrie en contraction continue depuis plusieurs années.Selon le cabinet spécialisé IBIS World, le nombre d’abonnés payants au câble aux Etats-Unis est passé de 105 millions en 2010 à 66 millions en 2024 (-37%).Dans le même temps, les audiences de CNN ont chuté de 15% et la chaîne n’était plus regardée, aux Etats-Unis, que par moins d’un demi-million de personnes par jour en moyenne (481.000) l’an dernier.La scission est une stratégie classique pour des sociétés qui affichent des taux de croissance sensiblement différents par activité.”Cette séparation va revigorer chaque entité en lui permettant de capitaliser sur ses forces et son profil financier spécifique”, a commenté le patron de WBD, David Zaslav, cité dans le communiqué.A l’issue du démantèlement du groupe, Global Networks conservera une participation de 20% au capital de Streaming & Services, qu’il revendra dans un second temps, le produit de cette cession étant consacré à son désendettement.La stratégie de scission est en vogue dans la télévision. En novembre, le cablo-opérateur américain Comcast a annoncé la création d’une nouvelle société cotée dans laquelle il logera ses chaînes de télévision câblée, notamment CNBC et MSNBC.

Warner Bros Discovery va séparer sa plateforme de streaming du reste du groupe

Warner Bros Discovery (WBD) va séparer sa plateforme de streaming et son studio de production du reste du groupe de médias, un nouveau signal de la transition de l’industrie télévisuelle vers la vidéo en ligne.Cette scission, qui devrait être finalisée vers mi-2026 sous réserve du feu vert des régulateurs, va déboucher sur la cotation de deux entités distinctes, selon un communiqué publié lundi.Dans le détail, le service de streaming Max, qui va être rebaptisé HBO Max cet été, va être logé dans une nouvelle société, appelée Streaming & Studios, de même que les studios de production de télévision et de cinéma, ainsi que les parcs à thème.L’autre entreprise cotée, nommée Global Networks, comprendra les chaînes du groupe de New York, en particulier CNN, la station TNT, très orientée vers le sport, ou Discovery (nature et aventure).Ces chaînes tirent encore aujourd’hui l’essentiel de leurs revenus des abonnements au câble, une industrie en contraction continue depuis plusieurs années.Selon le cabinet spécialisé IBIS World, le nombre d’abonnés payants au câble aux Etats-Unis est passé de 105 millions en 2010 à 66 millions en 2024 (-37%).Dans le même temps, les audiences de CNN ont chuté de 15% et la chaîne n’était plus regardée, aux Etats-Unis, que par moins d’un demi-million de personnes par jour en moyenne (481.000) l’an dernier.La scission est une stratégie classique pour des sociétés qui affichent des taux de croissance sensiblement différents par activité.”Cette séparation va revigorer chaque entité en lui permettant de capitaliser sur ses forces et son profil financier spécifique”, a commenté le patron de WBD, David Zaslav, cité dans le communiqué.A l’issue du démantèlement du groupe, Global Networks conservera une participation de 20% au capital de Streaming & Services, qu’il revendra dans un second temps, le produit de cette cession étant consacré à son désendettement.La stratégie de scission est en vogue dans la télévision. En novembre, le cablo-opérateur américain Comcast a annoncé la création d’une nouvelle société cotée dans laquelle il logera ses chaînes de télévision câblée, notamment CNBC et MSNBC.

Foot: Cherki proche d’un transfert à Manchester City

L’attaquant français Rayan Cherki est proche d’un transfert à Manchester City après qu’un accord a été trouvé entre l’Olympique lyonnais et le club anglais, a indiqué lundi à l’AFP une source proche du joueur, confirmant des informations de presse.Des détails restent cependant à régler entre le joueur de 21 ans et Manchester City, mais l’optimisme était de mise lundi soir pour l’établissement d’un contrat de cinq ans, jusqu’en 2030, selon la source interrogée.Le club dirigé par Pep Guardiola espère finaliser l’opération avant mardi soir, date de fermeture de la première fenêtre des transferts estivaux en Angleterre, afin de pouvoir utiliser le Français dès la Coupe du monde des clubs (14 juin-13 juillet) aux Etats-Unis.Le montant de la transaction devrait avoisiner 40 millions d’euros, selon plusieurs médias français, dont L’Equipe. Contacté par l’AFP, l’OL n’a pas souhaité faire de commentaire.Cherki, devenu international avec les Bleus en juin, s’apprête à franchir un nouveau palier dans sa prometteuse carrière en rejoignant les champions d’Europe 2023, poids lourd de la Premier League en reconstruction après le départ du maître à jouer Kevin De Bruyne.Il s’agirait de la première expérience à l’étranger pour le meneur offensif ou ailier, arrivé à l’OL en 2010 à l’âge de sept ans.Ce talent précoce, lancé en équipe première à 16 ans seulement, a débuté la saison dernière à l’écart du groupe lyonnais en raison d’un différend contractuel. Il a finalement prolongé son contrat en septembre “pour deux saisons supplémentaires, dont une conditionnée” selon l’OL.Il a terminé la saison de Ligue 1 comme meilleur passeur (onze passes décisives), avec huit buts en trente apparitions, auxquelles s’ajoutent des prestations remarquées en Ligue Europa, notamment contre Manchester United, le voisin et rival historique de City.La régularité et l’efficacité affichées lui ont ouvert les portes de l’équipe de France en juin.Sous le maillot bleu, il a brillé après son entrée contre l’Espagne (défaite 5-3) en demi-finale de la Ligue des nations, qu’il a agrémentée d’un but magnifique et d’une passe décisive, entre autres. Didier Deschamps l’a titularisé pour la “petite finale” gagnée contre l’Allemagne (2-0).

Italie: l’Inter Milan fait du neuf avec Chivu

Pour tourner la page Simone Inzaghi, les dirigeants de l’Inter Milan tentent un sacré pari: ils ont confié lundi leur équipe, vice-championne d’Italie et finaliste de la Ligue des champions, à Cristian Chivu, qui n’a qu’une poignée de matches de Serie A comme entraîneur à son actif.Chivu a signé un contrat de deux ans, jusqu’en juin 2027, avec le club nerazzurro, qui aura mis six jours pour trouver un successeur à Inzaghi, parti à la surprise générale entraîner le club saoudien d’Al-Hilal. “L’Inter Milan souhaite la bienvenue à Cristian Chivu, nouvel entraîneur de son équipe première”, a annoncé l’Inter dans une communiqué.”Je suis honoré d’avoir été nommé à la tête de cette équipe, je reviens avec la même passion et la même ambition que j’avais quand j’étais joueur et je veux les transmettre à mon équipe”, a déclaré Chivu sur le site internet du club.Chivu, 44 ans, connaît bien l’Inter pour avoir porté son maillot, de 2007 à 2014, à 169 reprises (3 buts) avec en point d’orgue, en 2010, un sacre en Ligue des champions, le dernier d’un club italien dans la compétition, et un inédit triplé Serie A/Coupe d’Italie/C1.- 13 matches de Serie A -L’ancien défenseur international roumain (75 sélections, 3 buts), reconnaissable lorsqu’il était joueur au casque qu’il portait depuis une fracture du crâne, a fait ensuite ses débuts d’entraîneur dans le club milanais, d’abord avec les équipes de jeunes de 2018 à 2021, puis à la tête de la réserve, de 2021 à 2024.Aux commandes de la réserve, il a notamment remporté le Championnat Primavera en 2022, fini premier de la saison régulière en 2024, avant d’être éliminé en demi-finale.Il avait quitté l’Inter en fin de saison dernière, avant d’être recruté en février 2025 par le promu Parme, alors mal en point. Pour sa première expérience comme entraîneur en Serie A, Chivu a assuré le maintien de Parme (16e) avec un bilan de trois victoires, notamment contre la Juventus et l’Atalanta, sept nuls et trois défaites.C’est donc avec une expérience limitée à 13 matches au plus haut niveau qu’il va devoir assumer le lourd héritage laissé par Inzaghi après quatre saisons (2021-25).Sous la conduite de l’ancien buteur de la Lazio, l’Inter est devenu l’une des références du football européen avec un scudetto (2024), deux éditions de la Coupe d’Italie (2022, 2023) et surtout deux des trois dernières finales de la Ligue des champions.- Objectif Coupe du monde des clubs -Mais Chivu va recupérer une équipe traumatisée par sa déroute contre le Paris SG (5-0) en finale de la dernière Ligue des champions.Il n’a pas de temps à perdre: l’Inter va rapidement s’envoler pour les Etats-Unis et la Coupe du monde des clubs (15 juin-13 juillet) où les Nerazzurri affronteront en phase de poules les Argentins de River Plate, les Japonais d’Urawa Red Diamonds et les Mexicains du CF Monterrey.”L’objectif pour un club comme l’Inter c’est de remporter cette compétition”, a prévenu Chivu.L’intersaison sera ensuite chargée, puisqu’il faudra remodeler un effectif vieillissant, comme l’a montré la déroute face au PSG, un rajeunissement qui a débuté avec les arrivées de l’ailier brésilien Luis Henrique (Marseille) du milieu croate Petar Sucic (Dinamo Zagreb).Chivu n’était pas le premier choix de l’Inter. Le club lombard, devancé d’un point par Naples pour le titre 2025 de champion d’Italie, voulait initialement recruter Cesc Fabregas.L’ancien international espagnol a frappé les esprits lors de sa première saison aux commandes de Côme et a suscité beaucoup d’intérêt, également du Bayer Leverkusen et de l’AS Rome. Mais Côme, qu’il a conduit à la 10e place de la Serie A, n’a pas voulu le laisser partir.