Trump ‘triumphs’ in Albanian art exhibition

In a former memorial to Albania’s Communist dictator, an art exhibition is celebrating Donald Trump’s return as US president with works portraying him as Prometheus, Caesar and the Wall Street bull.Artist Alvin Delvina says Trump — his “idol” — is the inspiration for the pieces in “The Triumph”, which include depictions of the US Republican in a range of historical and fictional scenes. “It’s a work of four years, born of strong indignation at the attacks on a free spirit like Trump,” the 69-year-old artist told AFP.One piece, called “None of You Will Betray Me”, bears a striking resemblance to Leonardo da Vinci’s “The Last Supper” only with each of the 12 apostles bearing Trump’s face. Another shows smiling European leaders on a lifeboat wearing orange life jackets, while a tuxedo-clad Trump plays a violin. Most of the works were crafted together with the use of digital images that re-imagine iconic works of art and other notable scenes from history and pop culture. Italian tourist Laura Brivio, who attended the opening of the exhibition, praised the show as “a very interesting vision of the real world and art which is thought-provoking — whether or not you support (Trump)”.”Delvina is a committed artist who has chosen to present his (visions of the) truth with rich and dynamic artistic language, provocative subjects and biting irony,” said curator Manjola Xhavara.The exhibition is housed in a brutalist pyramid in the capital Tirana that was once dedicated to former dictator Enver Hoxha. In recent years, the building has been renovated and is now home to office space for the country’s embryonic tech sector and art galleries. Pro-US sentiment remains relatively strong in Albania, where American flags are a common sight in some areas. After Trump’s first electoral victory in 2016, a town in central Albania renamed one of its streets in his honour.

Royaume-Uni: l’auteur présumé du meurtre de trois fillettes à l’origine d’émeutes plaide coupable

L’auteur présumé du meurtre de trois fillettes fin juillet dans le nord de l’Angleterre, une attaque au couteau qui avait déclenché de violentes émeutes dans le pays, a plaidé coupable lundi, au premier jour de son procès devant la cour criminelle de Liverpool. Agé de 18 ans, Axel Rudakubana a reconnu les meurtres de Bebe King, 6 ans, Elsie Dot Stancombe, 7 ans, et Alice da Silva, 9 ans, le 29 juillet à Southport.Les victimes participaient à un cours de danse inspiré de la star de la pop Taylor Swift. Dix autres personnes avaient été blessées, dont huit enfants, dans l’une des pires attaques à l’arme blanche dans ce pays depuis des années.Il a également admis avoir produit un poison extrêmement toxique, de la ricine, et avoir détenu un manuel d’entraînement d’Al-Qaïda. La motivation “terroriste” n’a toutefois pas été retenue pour ces meurtres.Lundi à son procès, Axel Rudakubana a refusé de se tenir debout devant le tribunal et a répondu “coupable” à chaque chef d’inculpation. Le fait qu’il plaide coupable écourte la procédure, et le juge a annoncé qu’il prononcerait sa condamnation jeudi.En décembre, le suspect avait refusé de parler au tribunal, qui avait alors considéré que ce silence équivalait à un plaidoyer de non-culpabilité et décidé de juger l’affaire lors d’un procès devant initialement durer quatre semaines.- “Période traumatisante” -La ministre britannique de l’Intérieur, Yvette Cooper, avait estimé lundi matin que le procès allait être “une période profondément traumatisante et angoissante pour les familles”.Elle avait appelé à ce “qu’il y ait un procès équitable et que justice soit rendue”.Dans la foulée de l’attaque, de violentes manifestations anti-immigration se sont déroulées dans des dizaines de villes en Angleterre et en Irlande du Nord, attisées par des agitateurs d’extrême droite sur fond de rumeurs sur internet concernant le suspect.Alors âgé de 17 ans, Axel Rudakubana avait été présenté à tort comme un demandeur d’asile musulman alors qu’il est né au Pays de Galles dans une famille originaire du Rwanda, et vivait à Banks, une commune située près de Southport.Les violences avaient duré plusieurs jours, durant lesquels des émeutiers s’en étaient pris à des hôtels hébergeant des demandeurs d’asile, des mosquées, et des affrontements avaient eu lieu avec les forces de l’ordre, mobilisées en masse, ou avec des contre-manifestants.Le 8 août, des milliers de personnes se sont rassemblées à travers le pays pour dire “stop à l’extrême droite” et contre le racisme et l’islamophobie.Bien qu’Axel Rudakubana soit mineur au moment des faits, la justice a autorisé la révélation de son identité face aux rumeurs circulant sur lui.- Plus de 400 condamnations après les émeutes -Le Premier ministre travailliste Keir Starmer, arrivé au pouvoir début juillet, avait dénoncé des émeutes d'”extrême droite” et promis la plus grande fermeté pour les auteurs de ces violences et pour ceux qui les ont attisées en ligne.A la mi-décembre, plus de 410 personnes avaient été condamnées dans tout le pays en lien avec ces émeutes, dont plus de 360 à de la prison ferme, selon un décompte réalisé par l’agence de presse britannique PA.Deux hommes ont notamment écopé de neuf ans de prison, la peine la plus lourde prononcée contre les auteurs de ces violences.Un organisme chargé de contrôler l’action de la police a estimé que celle-ci avait sous-estimé le climat de violence et le poids de la désinformation qui a culminé avec les émeutes de cet été.L’attaque de Southport avait suscité une vague de réactions horrifiées dans le pays. Le roi Charles III s’était rendu en août sur les lieux pour rencontrer les enfants ayant survécu.Au lendemain de l’attaque, la chanteuse Taylor Swift, alors au milieu de sa tournée planétaire, s’était dite “complètement choquée”. Selon plusieurs médias, la star avait rencontré deux des fillettes blessées en marge de ses concerts à Londres en août.Le prince William et son épouse Kate s’étaient eux aussi rendus à Southport en octobre, rendant hommage aux secours.

Royaume-Uni: l’auteur présumé du meurtre de trois fillettes à l’origine d’émeutes plaide coupable

L’auteur présumé du meurtre de trois fillettes fin juillet dans le nord de l’Angleterre, une attaque au couteau qui avait déclenché de violentes émeutes dans le pays, a plaidé coupable lundi, au premier jour de son procès devant la cour criminelle de Liverpool. Agé de 18 ans, Axel Rudakubana a reconnu les meurtres de Bebe King, 6 ans, Elsie Dot Stancombe, 7 ans, et Alice da Silva, 9 ans, le 29 juillet à Southport.Les victimes participaient à un cours de danse inspiré de la star de la pop Taylor Swift. Dix autres personnes avaient été blessées, dont huit enfants, dans l’une des pires attaques à l’arme blanche dans ce pays depuis des années.Il a également admis avoir produit un poison extrêmement toxique, de la ricine, et avoir détenu un manuel d’entraînement d’Al-Qaïda. La motivation “terroriste” n’a toutefois pas été retenue pour ces meurtres.Lundi à son procès, Axel Rudakubana a refusé de se tenir debout devant le tribunal et a répondu “coupable” à chaque chef d’inculpation. Le fait qu’il plaide coupable écourte la procédure, et le juge a annoncé qu’il prononcerait sa condamnation jeudi.En décembre, le suspect avait refusé de parler au tribunal, qui avait alors considéré que ce silence équivalait à un plaidoyer de non-culpabilité et décidé de juger l’affaire lors d’un procès devant initialement durer quatre semaines.- “Période traumatisante” -La ministre britannique de l’Intérieur, Yvette Cooper, avait estimé lundi matin que le procès allait être “une période profondément traumatisante et angoissante pour les familles”.Elle avait appelé à ce “qu’il y ait un procès équitable et que justice soit rendue”.Dans la foulée de l’attaque, de violentes manifestations anti-immigration se sont déroulées dans des dizaines de villes en Angleterre et en Irlande du Nord, attisées par des agitateurs d’extrême droite sur fond de rumeurs sur internet concernant le suspect.Alors âgé de 17 ans, Axel Rudakubana avait été présenté à tort comme un demandeur d’asile musulman alors qu’il est né au Pays de Galles dans une famille originaire du Rwanda, et vivait à Banks, une commune située près de Southport.Les violences avaient duré plusieurs jours, durant lesquels des émeutiers s’en étaient pris à des hôtels hébergeant des demandeurs d’asile, des mosquées, et des affrontements avaient eu lieu avec les forces de l’ordre, mobilisées en masse, ou avec des contre-manifestants.Le 8 août, des milliers de personnes se sont rassemblées à travers le pays pour dire “stop à l’extrême droite” et contre le racisme et l’islamophobie.Bien qu’Axel Rudakubana soit mineur au moment des faits, la justice a autorisé la révélation de son identité face aux rumeurs circulant sur lui.- Plus de 400 condamnations après les émeutes -Le Premier ministre travailliste Keir Starmer, arrivé au pouvoir début juillet, avait dénoncé des émeutes d'”extrême droite” et promis la plus grande fermeté pour les auteurs de ces violences et pour ceux qui les ont attisées en ligne.A la mi-décembre, plus de 410 personnes avaient été condamnées dans tout le pays en lien avec ces émeutes, dont plus de 360 à de la prison ferme, selon un décompte réalisé par l’agence de presse britannique PA.Deux hommes ont notamment écopé de neuf ans de prison, la peine la plus lourde prononcée contre les auteurs de ces violences.Un organisme chargé de contrôler l’action de la police a estimé que celle-ci avait sous-estimé le climat de violence et le poids de la désinformation qui a culminé avec les émeutes de cet été.L’attaque de Southport avait suscité une vague de réactions horrifiées dans le pays. Le roi Charles III s’était rendu en août sur les lieux pour rencontrer les enfants ayant survécu.Au lendemain de l’attaque, la chanteuse Taylor Swift, alors au milieu de sa tournée planétaire, s’était dite “complètement choquée”. Selon plusieurs médias, la star avait rencontré deux des fillettes blessées en marge de ses concerts à Londres en août.Le prince William et son épouse Kate s’étaient eux aussi rendus à Southport en octobre, rendant hommage aux secours.

Municipales à Paris: l’écologiste Yannick Jadot sort du bois

La gauche se bouscule au portillon pour la mairie de Paris: après les socialistes Emmanuel Grégoire et Rémi Féraud, l’écologiste Yannick Jadot a déclaré sa candidature pour succéder à Anne Hidalgo en 2026, avec l’ambition de rassembler face à une “droite unie”.”Je souhaite que le prochain maire de Paris soit écologiste”, a déclaré lundi dans un entretien au Parisien Yannick Jadot, dont le nom circulait pour se lancer dans la bataille de l’Hôtel de Ville depuis que la maire socialiste a renoncé à briguer un troisième mandat en novembre. “Le bilan commun, le désir d’unité de notre électorat, la menace d’une droite unie m’amènent à proposer un autre chemin: le rassemblement des écologistes immédiatement, celui des écologistes et de la gauche rapidement”, expose le sénateur de Paris. Fustigeant le “déni climatique” d’une “droite trumpisée”, il  propose de “porter ce rassemblement face à Rachida Dati” (LR).”Maire de Paris, c’est un mandat extraordinaire, qui permet de changer la vie quotidienne de nos concitoyens, avec eux, dans cette capitale qui rayonne dans le monde entier”, a poursuivi Yannick Jadot, qui avait assisté aux voeux d’Anne Hidalgo aux élus la semaine dernière.Sa “priorité absolue”: “rendre Paris plus accessible aux classes moyennes et populaires qui la font vivre”.La candidature du sénateur de 57 ans, qui habite à Paris “depuis quarante ans”, rebat les cartes au sein d’une gauche déjà morcelée. Elle compte désormais trois candidats déclarés pour prendre les rênes de la capitale dirigée par les socialistes depuis 2001. Au sein du PS, deux candidats briguent l’investiture: le député Emmanuel Grégoire, ancien premier adjoint d’Anne Hidalgo avec laquelle il est en froid, et le sénateur Rémi Féraud, chef de la majorité au Conseil de Paris, adoubé par l’édile.Les deux concurrents sont en pleine campagne auprès des quelque 3.700 militants parisiens qui devront les départager lors d’un vote dont la date fait débat au sein de la fédération.  – “Percuter des ambitions” -Yannick Jadot entend d’abord convaincre les écologistes parisiens de s’unir derrière lui. “J’ai rencontré les différents candidats potentiels, Fatoumata Koné (cheffe de file des Ecologistes au Conseil de Paris), Anne-Claire Boux (adjointe en charge de la Santé), Aminata Niakaté (conseillère de Paris) et David Belliard (adjoint chargé des Transports).””Le bilan d’Anne Hidalgo, c’est aussi le leur”, explique-t-il. Les écologistes ont jusqu’à fin janvier pour déposer leur candidature à leur primaire et le parti EELV décidera à la mi-mars lequel briguera la mairie. Avec la volonté d’une union des forces de gauche dès le premier tour, alors que les écologistes parisiens avaient jusqu’ici toujours présenté des listes autonomes au premier tour des municipales.”Yannick Jadot apporte une coloration nationale à cette campagne et une visibilité que les autres candidats, mis à part Rachida Dati, n’ont pas”, a souligné auprès de l’AFP l’élu écologiste Emile Meunier qui soutiendra néanmoins Fatoumata Koné.Yannick Jadot espère ensuite “très vite unir” derrière lui “les socialistes, les communistes et tous ceux de la société civile qui voudront faire gagner l’écologie et la gauche”. Dans l’optique de “valoriser le formidable héritage” d’Anne Hidalgo, tout en “accélérant” dans certains domaines.”J’ai hâte que nous confrontions nos idées et qu’un projet de progrès se dégage pour Paris”, a réagi auprès de l’AFP Emmanuel Grégoire. Interrogé sur la présidentielle – à laquelle il dit renoncer – Yannick Jadot juge qu’une “union derrière Jean-Luc Mélenchon n’était ni souhaitable ni efficace”. Rémi Féraud et Emmanuel Grégoire ont exclu toute alliance avec LFI, tandis que certains candidats Verts potentiels, comme David Belliard, disent vouloir parler avec les Insoumis. Aucun candidat ne s’est pour l’instant déclaré chez LFI. “Sans nous, la gauche n’arrivera pas à gagner Paris”, a estimé auprès de l’AFP Rodrigo Arenas, député LFI parisien.Les communistes, qui font partie de la majorité municipale, ont de leur côté désigné le sénateur Ian Brossat pour mener une liste.

Open d’Australie: Svitolina allume une “petite lueur”, Sinner passe malgré la chaleur

L’Ukrainienne Elina Svitolina (27e mondiale) a espéré lundi apporter une “petite lueur” à ses compatriotes après sa victoire contre la Russe Veronika Kudermetova (75e) en huitièmes de finale de l’Open d’Australie, Jannik Sinner (1er) et Iga Swiatek (2e) gagnant aussi leur billet pour les quarts malgré la chaleur.Au lendemain du boycott de la traditionnelle interview d’après-match par Novak Djokovic, en raison des commentaires d’un journaliste jugés “insultants” par le Serbe, l’ex-N.1 mondial “passe à autre chose”, ont par ailleurs assuré les organisateurs du tournoi.Comme l’avait demandé Djokovic, le journaliste australien qui s’était moqué de la star serbe et de ses supporters a présenté publiquement ses “excuses”.. Svitolina bat Kudermetova, Swiatek expéditiveLe match entre Svitolina et Kudermetova a tourné à l’avantage de l’Ukrainienne 6-4, 6-1, après que celle-ci a tout de même été menée 4-1 dans la première manche.Comme d’ordinaire depuis le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine en février 2022, les deux joueuses n’ont pas posé ensemble pour la photo officielle au début de la partie et ne se sont pas serré la main à la fin du match.En conférence de presse, l’ex-N.3 mondiale s’est estimée “responsable de trouver un moyen de gagner des matches, d’apporter une petite lueur, une petite victoire au peuple ukrainien”.Au prochain tour, Svitolina sera opposée à l’Américaine Madison Keys (14e), tombeuse de la N.7 mondiale Elena Rybakina 6-3, 1-6, 6-3.La droitière de l’Illinois, qui compte le plus de victoires (11) sur le circuit WTA depuis le début de la saison, tentera face à l’Ukrainienne de se hisser dans le dernier carré à Melbourne pour la troisième fois de sa carrière, après 2015 et 2022.En début de soirée, la N.2 mondiale Iga Swiatek a été, comme depuis le début du tournoi, expéditive pour balayer l’Allemande Eva Lys (128e) 6-0, 6-1 en 59 minutes.La Polonaise de 23 ans, qui n’a perdu aucun set depuis le début du tournoi, retrouve pour la première fois depuis 2022 les quarts de finale à Melbourne. En parallèle du tournoi, l’Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé lundi qu’elle ne ferait pas appel après la suspension d’un mois de Swiatek, sanctionnée pour un contrôle positif à une substance interdite effectué mi-août 2024.”Satisfaite de parvenir à une forme de conclusion” de cette affaire et de pouvoir “passer à autre chose”, la Polonaise affrontera mercredi l’Américaine Emma Navarro (8e), victorieuse de son quatrième match en trois sets en autant de rencontres dans le tournoi face à la Russe Daria Kasatkina (10e) 6-4, 5-7, 7-5.. Sinner vainc la chaleur, pas MonfilsLe tenant du titre Jannik Sinner est au seuil du dernier carré: en battant le Danois Holger Rune (13e) 6-3, 3-6, 6-3, 6-2, l’Italien de 23 ans s’est qualifié pour son dixième quart de finale en Grand Chelem.Mais la partie n’aura pas été une promenade de santé pour Sinner. En plus de la perte d’un set, le N.1 mondial a semblé souffrir des plus de 30°C à Melbourne.”Je pense qu’on a vu que je ne me sentais pas bien (…) J’ai eu quelques vertiges à certains moments”, a avoué l’Italien.Au prochain tour, il affrontera le dernier Australien du tableau Alex De Minaur (8e), tombeur sans trembler du jeune Américain Alex Michelsen (42e), 6-0, 7-6 (7/5), 6-3.Le local se hisse pour la première fois en quarts de finale à l’Open d’Australie, un stade de la compétition qu’il avait déjà atteint dans les trois autres tournois majeurs la saison dernière.Sinner ne sera d’ailleurs pas le seul Italien présent en quarts de finale. Son compatriote Lorenzo Sonego (55e) a mis fin à l’épopée du jeune talent américain Learner Tien (19 ans, 121e) 6-3, 6-2, 3-6, 6-1.Sonego affrontera au prochain tour l’Américain Ben Shelton (20e), vainqueur sur abandon du Français Gaël Monfils (41e).”Aujourd’hui, c’était vraiment difficile pour moi sur le plan physique. J’étais déjà très proche de la limite et je l’ai malheureusement franchie”, a souligné Monfils, émoussé par sa longue tournée en Océanie.Alors que les trois premiers sets s’étaient achevés au tie-break, le vétéran français de 38 ans s’est dirigé vers le filet en souriant à 7-6 (7/3), 6-7 (3/7), 7-6 (7/2), 1-0 pour Shelton, lui signifiant qu’il cessait le combat au bout de près de trois heures de bataille et huit victoires d’affilée.