10 kidnapped as mass abductions shake NigeriaTue, 25 Nov 2025 15:48:22 GMT

Gunmen have seized 10 women and children in the latest kidnapping to rock Nigeria, police said Tuesday, as parents of dozens of children taken from a Catholic school last week pleaded for their release.Police said the Monday night raid in the western state of Kwara targeted the village of Isapa, which neighbours another village where …

10 kidnapped as mass abductions shake NigeriaTue, 25 Nov 2025 15:48:22 GMT Read More »

Ligue des champions: Joao Neves, l’improbable meilleur buteur du PSG

Le milieu portugais Joao Neves, incarnation de la jeunesse conquérante du Paris SG, n’en finit plus d’impressionner et de marquer, un atout non négligeable au moment de recevoir Tottenham en Ligue des champions mercredi (21h00).Parmi les retours de blessure des dernières semaines, celui de Joao Neves a été discret, mais sans doute tout aussi important que les autres.Car à 21 ans, l’activité et l’efficacité de ce joueur au physique pourtant peu imposant (1,74 m) sont précieuses pour une équipe championne d’Europe qui peine à retrouver la plénitude de sa saison dernière.Touché à l’ischio-jambier, Neves a dû ronger son frein de la mi-septembre à la fin octobre, observant les résultats en dents de scie de ses coéquipiers: défaite contre Marseille (1-0), matches nuls contre Lille (1-1) et Strasbourg (3-3)… Et ses premières minutes de reprise, entrant en cours de rencontre, ont été frustrantes contre Lorient (1-1) et le Bayern Munich (défaite 2-1).Mais son retour comme titulaire a coïncidé avec des victoires, contre Nice (1-0), Lyon (3-2) et Le Havre (3-0). Pas tout à fait un hasard…Joao Neves est complémentaire de l’autre relayeur Fabian Ruiz, plus grand et plus lent. Maillot rentré dans le short – une habitude gardée d’une obligation de son centre de formation dans le sud du Portugal -, Neves  est un travailleur infatigable à la récupération, doué techniquement et malin dans ses passes entre les lignes… Seul signe de ses 21 ans, il s’en remet encore beaucoup au chef d’orchestre Vitinha, situé un cran plus bas.- Renard des surfaces -Autre apport essentiel et spectaculaire, les buts. Des trois milieux, Joao Neves est désormais celui qui met le plus en pratique les principes de projection prônés par l’entraîneur Luis Enrique, avec six buts déjà cette saison en seulement neuf matches joués. Il est le meilleur buteur du PSG pour l’instant.Le Portugais avait notamment marqué les esprits par un triplé extraordinaire fin août contre Toulouse (6-3): deux retournés acrobatiques et une frappe lointaine en pleine lucarne. Il ne s’en est pas contenté et a aussi marqué pour redonner espoirs aux siens contre le Bayern, offrir la victoire à Lyon dans les derniers instants de la rencontre et enfoncer Le Havre.Retournés, tirs lointains, but de la tête et en renard des surfaces: Joao Neves a montré une panoplie digne d’un numéro 9. Il a raconté avoir travaillé des gestes de buteur depuis sa tendre enfance sur les pelouses de Tavira (sud du Portugal), et souvent encore à l’entraînement au Campus PSG. “J’essaie d’être intelligent” dans les déplacements, a-t-il aussi expliqué.La saison dernière aussi avait été remarquable sur le plan statistique, avec sept buts et 10 passes décisives. C’est peut-être dans ce domaine des “passes dé” que Neves peut faire mieux cette saison, puisqu’il n’en a tout simplement pas réussi. Contre Le Havre néanmoins, certaines inspirations ont débouché sur des caviars, gâchés par ses coéquipiers.Joao Neves fait preuve d’une détermination étonnante, comme lorsqu’il disait sans ciller, avant le huitième de finale de Ligue des champions contre Liverpool la saison dernière, que le PSG était une meilleure équipe… avant de le prouver sur le terrain (0-1, 1-0, qualification aux tirs aux buts).”C’est l’un des meilleurs joueurs de l’équipe actuellement. Peu importe qui marque, on veut juste gagner”, a estimé mardi l’attaquant du PSG Khvicha Kvaratskhelia.Sur le plan relationnel, parler les quatre langues utilisées dans le vestiaire (portugais, français, espagnol, anglais) a vite rendu “Joyau” Neves incontournable auprès de ses coéquipiers.En dehors des terrains, il n’a pas froid aux yeux, allant sur le délicat terrain de l’engagement citoyen. Dans une vidéo produite par les autorités portugaises à la mi-novembre, Neves a incité ses compatriotes à s’inscrire sur les listes électorales pour l’élection présidentielle de janvier.

Faure (PS) pense toujours possible un vote du budget avant fin décembre

“Je pense que nous allons y arriver”, a déclaré mardi le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, à propos d’une adoption des budgets de l’État et de la Sécurité sociale par le Parlement avant fin décembre.”Nous avons besoin de faire avancer le pays et je pense que nous allons y arriver”, a estimé le député sur franceinfo, refusant “un échec collectif”.”Ce serait quand même un vrai désastre que de voir un Parlement qui, pour la première fois depuis 1958, a la possibilité de travailler en liberté, sans 49.3, n’arrive pas à accoucher d’un budget”, a-t-il argumenté, regrettant que LFI et RN cherchent à “faire dérailler le train”. L’examen des budgets de l’Etat et de la Sécu se poursuivent cette semaine au Sénat mais les perspectives de compromis sont faibles alors que la partie recettes du premier a été rejetée quasi unanimement par l’Assemblée vendredi soir et que la chambre haute est en train de détricoter celui de la Sécurité sociale. “Il ne s’agit pas de dire que nous allons trouver un consensus, il n’y aura pas, à la fin, des gens qui seront totalement heureux de ce budget”, a défendu Olivier Faure parlant d’un budget “hybride” au final. Sébastien Lecornu se dit lui aussi toujours convaincu d'”une majorité” possible à l’Assemblée, estimant que la loi spéciale – palliatif en cas d’absence de budget avant le 31 décembre – n’est “pas la solution”.Mais il a proposé un changement de méthode à l’Assemblée d’ici la reprise des débats mi-décembre au Palais-Bourbon: discuter avec les formations politiques et les partenaires sociaux de cinq thèmes vus comme des “priorités (…) absolues” : le déficit, la réforme de l’État, l’énergie, l’agriculture ainsi que la sécurité intérieure et extérieure, avec débats et éventuellement votes à la clé.- “Ca suffit” -Contrairement au président du groupe PS au Sénat, Patrick Kanner, qui a dénoncé “des mesures dilatoires”, Olivier Faure s’est dit “toujours partant pour le débat parce que je crois que ce serait une folie que de refuser que le Parlement joue son rôle”. Il a néanmoins souhaité que d’autres thèmes soient abordés, comme l’environnement ou la jeunesse.Interrogé sur les déclarations de M. Faure, lors de la conférence de presse de son groupe mardi, le député PCF Nicolas Sansu a vivement réagi: “Olivier Faure, il ne fait pas partie de la section de Vierzon du PCF. Je trouve qu’il parle beaucoup pour notre compte et ce serait bien qu’il parle pour lui et pas pour les autres. C’est insupportable”.Le président du groupe, Stéphane Peu, s’en est lui pris au député PS Laurent Baumel, qui avait appelé dans Le Monde lundi à “un +deal+ entre macronistes, socialistes, écologistes et communistes”.”Il n’y aura pas de deal, et les communistes et le groupe GDR ne participeront à aucun deal avec la macronie finissante”, a-t-il protesté. “Et donc, je demande aux porte-parole des groupes socialistes d’arrêter de parler en notre nom (…) maintenant, on leur dit +ça suffit+”.

Décès à 111 ans d’une des dernières survivantes du massacre raciste de Tulsa

Elle a survécu à l’un des pires déchaînements de violence raciste qu’ont connu les Etats-Unis au début du 20e siècle et aura porté sa mémoire jusqu’au bout. Viola Fletcher, une des dernières survivantes du massacre de Tulsa, est décédée à l’âge de 111 ans.”Aujourd’hui, notre ville pleure la disparition de +Maman+ Viola Fletcher, rescapée de …

Décès à 111 ans d’une des dernières survivantes du massacre raciste de Tulsa Read More »

Le Pakistan dément avoir frappé l’Afghanistan, après des raids ayant fait 10 morts

Le Pakistan a démenti mardi avoir mené des frappes sur l’Afghanistan, où le gouvernement taliban l’a accusé d’avoir ciblé des civils, tuant dix personnes dont neuf enfants.”Chaque fois que nous menons une frappe, celle-ci est assumée”, a assuré le lieutenant-général Ahmed Chaudhry sur la chaîne de télévision d’Etat pakistanaise PTV. Il a martelé que les …

Le Pakistan dément avoir frappé l’Afghanistan, après des raids ayant fait 10 morts Read More »

A la Cour de cassation, l’influence de Vincent Bolloré sur Vivendi en question

Avec son influence, son autorité, Vincent Bolloré contrôlait-il de fait Vivendi lors de sa scission en 2024? Non, a plaidé mardi son avocat devant la Cour de cassation. A l’inverse, des actionnaires minoritaires ont estimé son contrôle bien effectif, dans un “théâtre d’ombres”.La Cour, saisie par les sociétés Bolloré et Vivendi, doit pour la première fois se prononcer sur la notion de “contrôle de fait” d’une entreprise. Elle rendra vendredi sa décision, très attendue par le monde des affaires et les juristes.Concrètement, il s’agit pour la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire de décider “si le contrôle de fait exercé par les personnes physiques ou morales sur une société s’apprécie uniquement sur la base des droits de vote dont elle dispose en assemblée générale ou s’il faut tenir compte d’autres critères d’influence sans forcément de lien direct avec les droits de vote”, a exposé le président de la chambre commerciale, financière et économique Vincent Vigneau.Mardi matin, la Grand’chambre était comble pour ce dossier technique aux lourds enjeux financiers. Si les magistrats ne lui donnent pas gain de cause, M. Bolloré, premier actionnaire, s’expose en effet à devoir indemniser les petits actionnaires de Vivendi, à hauteur de plusieurs milliards d’euros.   Le milliardaire conservateur était absent à l’audience mais présent dans toutes les têtes. Il a une “notoriété indéniable” et une “crédibilité”, mais “convaincre n’est pas contrôler”, a fait valoir l’avocat de sa société, Emmanuel Piwnica.”Qui contrôle Vivendi ? (…) Il est constant que Bolloré ne contrôle pas Vivendi”, “ni en droit ni en fait”, a déroulé Me Piwnica, à l’unisson de l’avocat de Vivendi, Alain Bénabent.Mais le défenseur du fonds Ciam, actionnaire minoritaire qui a contesté l’opération de scission de Vivendi, a pris l’image du “rideau” dans le théâtre d’ombres, qui cache le principal acteur. Me Patrice Spinosi a ainsi demandé de “faire prévaloir la réalité sur l’apparence” dans la vie des affaires. Et selon lui, “Vincent Bolloré exerçait bien un contrôle de fait” sur Vivendi au moment du découpage du conglomérat en décembre 2024 en quatre entités cotées: outre Vivendi, Canal+ (médias), Havas (communication) et Louis Hachette Group (édition). – “Faisceau d’indices” -Le fonds Ciam avait saisi l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour trouver une issue équitable.Initialement, le gendarme français des marchés avait estimé que la société Bolloré ne pouvait “pas être considéré(e) comme contrôlant Vivendi”. Elle détenait un peu moins de 30% de son capital, soit en dessous du seuil requis pour lancer une offre publique de retrait du marché (OPR), un rachat d’action réclamé par une partie des petits actionnaires.La cour d’appel de Paris avait ensuite demandé en avril à l’AMF de réexaminer sa décision. La cour avait en effet pris en considération un “faisceau d’indices”, en soulignant “l’influence” particulière de Vincent Bolloré sur les actionnaires, compte tenu notamment de son autorité personnelle et de sa personnalité.L’AMF avait donc décidé en juillet que la société Bolloré et l’entrepreneur breton étaient “tenus au dépôt d’un projet d’offre publique de retrait” des titres Vivendi dans un délai de six mois. Mardi, la première avocate générale Irène Luc, dont le rôle est de défendre la bonne application de la loi, a considéré que la cour d’appel avait “enfreint les termes clairs du Code du commerce”. Elle préconise de “casser” cet arrêt d’avril, ce qui serait favorable à la société Bolloré.L’avocat de l’industriel a relevé le risque pour la “sécurité juridique” des entreprises en cas de décision contraire. Mais c’est “un épouvantail”, a opposé Me Spinosi pour le fonds Ciam. Un autre fonds est partie à l’affaire, Independent franchise partners, afin également de faire valoir le droit des investisseurs.Vivendi pèse aujourd’hui environ 2,5 milliards contre près de 9 milliards avant la scission qui, quelle que soit l’issue, n’est pas remise en question.