Before the ‘big beautiful breakup’: Musk and Trump’s bromance
It may have been one of the most predictable break-ups in history. But for a few brief months US President Donald Trump and tech tycoon Elon Musk were inseparable.Here are some key moments before the marriage of two huge egos imploded over Musk’s criticisms of Trump’s “big, beautiful” budget mega-bill.- Jumping on stage – The world’s richest man literally jumped for joy when he first stumped for Republican candidate Trump on the campaign trail on October, 5 2024. The South African-born Musk leapt in the air like one of his Space X rockets as he joined Trump on stage in Butler, Pennsylvania, where Trump escaped an assassination attempt three months earlier.”As you can see, I’m not just MAGA, I’m dark MAGA,” Trump told the crowd, tipping his all-black “Make America Great Again” hat.He would go on to become the campaign’s biggest donor, spending nearly $300 million.- ‘Lil’ X’ -Trump sprung a surprise on reporters when he brought Musk into the Oval Office for his first appearance before the media since his arrival in Washington.Even more surprising was that Musk brought his young son, named X Æ A-Xii but more widely known as “Lil’ X” — later putting him on his shoulders.”This is X and he’s a great guy,” said Trump, as the boy picked his nose while his father boasted about his cost-cutting exploits with the so-called Department of Government Efficiency (DOGE).- Tensions? What tensions? -There were already rumors of tensions between the hard-charging Musk and other members of Trump’s administration when the tycoon attended his first cabinet meeting in February.But Trump moved to squish any suggestions of trouble in paradise. “Anybody unhappy with Elon? If they are, we’ll throw ’em out of here,” said Trump, jumping in after AFP asked Musk whether the reports of strains were true.The rest of the cabinet then erupted into a round of applause for Musk — just as they would do three months later when it emerged he was stepping back from the role.At another meeting, Musk proudly wore a “Trump was right about everything” baseball hat.- Sleepovers -The president and the tech magnate seemed to spend most of their time together in the first feverish weeks of Trump’s return to power. They traveled together on Air Force One and his Marine One helicopter. Musk slept over at the White House, where he boasted of once eating a whole tub of ice cream.In a display of macho bonding, they also attended mixed martial arts fights together.Musk meanwhile proclaimed his loyalty on his social media platform, X. He declared himself the “First Buddy” and said: “I love @realDonaldTrump as much as a straight man can love another man.”- Tesla showroom -Musk’s Tesla car company took a major hit from his bromance with Trump. Trump, knowing that a threat to Musk’s businesses could drive him out of his role, decided to help out.The president turned the White House South Portico into a pop-up Tesla showroom for Musk, with a Cybertruck and a Model S parked outside. Trump even said he had purchased one. Two of Trump’s press aides were seen posing in the gleaming red car as recently as last week. After the spectacular break up it was still sitting in the White House parking lot on Thursday.
Retraites: l’Assemblée appelle à abroger la réforme, la CGT dans la rue
Plus de deux ans après la promulgation de la réforme des retraites, l’Assemblée nationale a appelé jeudi à son abrogation lors d’un premier vote à portée symbolique sur le sujet dans l’hémicycle, tandis que la CGT a tenté de remobiliser la rue contre une loi qui reste très impopulaire.A quelques jours de la fin des travaux du “conclave” entre partenaires sociaux sur les retraites, les députés ont adopté une proposition de résolution déposée par le groupe GDR (communistes et ultra-marins), lors d’une journée dédiée à ses textes.A la tribune, le président du groupe Stéphane Peu (PCF) a dénoncé le passage de l’âge légal de départ à 64 ans, adopté à l’époque sans vote, grâce à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. “La plus grande blessure démocratique depuis la négation du vote des Français lors du référendum de 2005”, a-t-il lancé.Adoptée par 198 voix contre 35, avec celles de la gauche, du Rassemblement national et d’une partie du groupe centriste Liot, la résolution n’aura aucune valeur normative. Mais les communistes espèrent en faire un levier politique pour ranimer la contestation.Dans la rue, la CGT avait prévu 165 points de rassemblement ce jeudi, mais ses habituels partenaires de Solidaires et de la FSU n’ont pas relayé leur appel. Depuis Strasbourg, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a salué un “grand événement” à l’Assemblée, qui montre que “quand la démocratie parle, elle défait cette réforme”, dont elle a de nouveau demandé l’abrogation. – “Aucune légitimité” -Le vote de l’Assemblée est “une preuve supplémentaire que cette réforme n’a aucune légitimité, ni populaire, ni parlementaire”, a déclaré le groupe Insoumis dans un communiqué.Le chef du groupe communiste, qui a commencé son discours devant un hémicycle quasiment vide, a exigé du gouvernement qu’il respecte le vote de la résolution, en abrogeant la réforme ou en convoquant un référendum.”La démographie et l’allongement de la durée de vie constituent des contraintes qui conditionnent les recettes et les dépenses de notre système de retraite. Que vous le vouliez ou non”, a rétorqué Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail. Le texte “affirme l’impérieuse nécessité d’aboutir à l’abrogation des mesures les plus régressives” de la loi du 14 avril 2023, à savoir “le recul de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’augmentation de la durée de cotisation portée à 43 annuités dès 2027″.”Une simple pétition de principe”, a critiqué Théo Bernhardt (RN), reprochant à la gauche de ne pas avoir soutenu les initiatives de son groupe pour une abrogation.Le RN mais aussi le groupe Liot et les Insoumis ont mené différentes initiatives parlementaires pour tenter d’obtenir un vote, sans succès. La dernière en date étant celle de LFI, fin novembre: la proposition de loi des Insoumis n’avait pu aboutir, victime de l’obstruction du camp gouvernemental.- Et la censure ? -Le sujet des retraites a retrouvé une actualité en janvier, à la faveur du compromis noué entre le Premier ministre François Bayrou et le groupe PS à l’Assemblée.Ces derniers ont accepté de ne pas censurer son gouvernement, contre un ensemble de promesses, dont la remise en chantier de la réforme des retraites.Mais l’enthousiasme a rapidement fait place à la déception. Après avoir appelé à des discussions “sans totem ni tabou”, le Premier ministre a successivement imposé l’objectif d’un équilibre financier en 2030, puis fermé la porte à un retour aux 62 ans. Les syndicats FO et CGT ont claqué la porte dès le début des discussions.Les organisations restant autour de la table, qui se retrouvaient jeudi après-midi, prévoient de clore leurs travaux le 17 juin. La réunion s’est terminée sans avancée concrète.Quant aux députés socialistes, ils agitent de nouveau la menace d’une censure du gouvernement Bayrou, si ce dernier ne soumet pas au Parlement un éventuel accord entre les partenaires sociaux.Les communistes ont obtenu jeudi l’adoption de plusieurs autres textes, sur le logement dans les Outre-mer (adoption définitive), pour le versement d’allocations familiales dès le premier enfant (première lecture), ou encore pour la création d’une commission d’enquête sur les carences de la justice dans les Outre-mer.sl-sac-av-boc/alu/hdz/alh
Retraites: l’Assemblée appelle à abroger la réforme, la CGT dans la rue
Plus de deux ans après la promulgation de la réforme des retraites, l’Assemblée nationale a appelé jeudi à son abrogation lors d’un premier vote à portée symbolique sur le sujet dans l’hémicycle, tandis que la CGT a tenté de remobiliser la rue contre une loi qui reste très impopulaire.A quelques jours de la fin des travaux du “conclave” entre partenaires sociaux sur les retraites, les députés ont adopté une proposition de résolution déposée par le groupe GDR (communistes et ultra-marins), lors d’une journée dédiée à ses textes.A la tribune, le président du groupe Stéphane Peu (PCF) a dénoncé le passage de l’âge légal de départ à 64 ans, adopté à l’époque sans vote, grâce à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. “La plus grande blessure démocratique depuis la négation du vote des Français lors du référendum de 2005”, a-t-il lancé.Adoptée par 198 voix contre 35, avec celles de la gauche, du Rassemblement national et d’une partie du groupe centriste Liot, la résolution n’aura aucune valeur normative. Mais les communistes espèrent en faire un levier politique pour ranimer la contestation.Dans la rue, la CGT avait prévu 165 points de rassemblement ce jeudi, mais ses habituels partenaires de Solidaires et de la FSU n’ont pas relayé leur appel. Depuis Strasbourg, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a salué un “grand événement” à l’Assemblée, qui montre que “quand la démocratie parle, elle défait cette réforme”, dont elle a de nouveau demandé l’abrogation. – “Aucune légitimité” -Le vote de l’Assemblée est “une preuve supplémentaire que cette réforme n’a aucune légitimité, ni populaire, ni parlementaire”, a déclaré le groupe Insoumis dans un communiqué.Le chef du groupe communiste, qui a commencé son discours devant un hémicycle quasiment vide, a exigé du gouvernement qu’il respecte le vote de la résolution, en abrogeant la réforme ou en convoquant un référendum.”La démographie et l’allongement de la durée de vie constituent des contraintes qui conditionnent les recettes et les dépenses de notre système de retraite. Que vous le vouliez ou non”, a rétorqué Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail. Le texte “affirme l’impérieuse nécessité d’aboutir à l’abrogation des mesures les plus régressives” de la loi du 14 avril 2023, à savoir “le recul de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’augmentation de la durée de cotisation portée à 43 annuités dès 2027″.”Une simple pétition de principe”, a critiqué Théo Bernhardt (RN), reprochant à la gauche de ne pas avoir soutenu les initiatives de son groupe pour une abrogation.Le RN mais aussi le groupe Liot et les Insoumis ont mené différentes initiatives parlementaires pour tenter d’obtenir un vote, sans succès. La dernière en date étant celle de LFI, fin novembre: la proposition de loi des Insoumis n’avait pu aboutir, victime de l’obstruction du camp gouvernemental.- Et la censure ? -Le sujet des retraites a retrouvé une actualité en janvier, à la faveur du compromis noué entre le Premier ministre François Bayrou et le groupe PS à l’Assemblée.Ces derniers ont accepté de ne pas censurer son gouvernement, contre un ensemble de promesses, dont la remise en chantier de la réforme des retraites.Mais l’enthousiasme a rapidement fait place à la déception. Après avoir appelé à des discussions “sans totem ni tabou”, le Premier ministre a successivement imposé l’objectif d’un équilibre financier en 2030, puis fermé la porte à un retour aux 62 ans. Les syndicats FO et CGT ont claqué la porte dès le début des discussions.Les organisations restant autour de la table, qui se retrouvaient jeudi après-midi, prévoient de clore leurs travaux le 17 juin. La réunion s’est terminée sans avancée concrète.Quant aux députés socialistes, ils agitent de nouveau la menace d’une censure du gouvernement Bayrou, si ce dernier ne soumet pas au Parlement un éventuel accord entre les partenaires sociaux.Les communistes ont obtenu jeudi l’adoption de plusieurs autres textes, sur le logement dans les Outre-mer (adoption définitive), pour le versement d’allocations familiales dès le premier enfant (première lecture), ou encore pour la création d’une commission d’enquête sur les carences de la justice dans les Outre-mer.sl-sac-av-boc/alu/hdz/alh
Retraites: l’Assemblée appelle à abroger la réforme, la CGT dans la rue
Plus de deux ans après la promulgation de la réforme des retraites, l’Assemblée nationale a appelé jeudi à son abrogation lors d’un premier vote à portée symbolique sur le sujet dans l’hémicycle, tandis que la CGT a tenté de remobiliser la rue contre une loi qui reste très impopulaire.A quelques jours de la fin des travaux du “conclave” entre partenaires sociaux sur les retraites, les députés ont adopté une proposition de résolution déposée par le groupe GDR (communistes et ultra-marins), lors d’une journée dédiée à ses textes.A la tribune, le président du groupe Stéphane Peu (PCF) a dénoncé le passage de l’âge légal de départ à 64 ans, adopté à l’époque sans vote, grâce à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. “La plus grande blessure démocratique depuis la négation du vote des Français lors du référendum de 2005”, a-t-il lancé.Adoptée par 198 voix contre 35, avec celles de la gauche, du Rassemblement national et d’une partie du groupe centriste Liot, la résolution n’aura aucune valeur normative. Mais les communistes espèrent en faire un levier politique pour ranimer la contestation.Dans la rue, la CGT avait prévu 165 points de rassemblement ce jeudi, mais ses habituels partenaires de Solidaires et de la FSU n’ont pas relayé leur appel. Depuis Strasbourg, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a salué un “grand événement” à l’Assemblée, qui montre que “quand la démocratie parle, elle défait cette réforme”, dont elle a de nouveau demandé l’abrogation. – “Aucune légitimité” -Le vote de l’Assemblée est “une preuve supplémentaire que cette réforme n’a aucune légitimité, ni populaire, ni parlementaire”, a déclaré le groupe Insoumis dans un communiqué.Le chef du groupe communiste, qui a commencé son discours devant un hémicycle quasiment vide, a exigé du gouvernement qu’il respecte le vote de la résolution, en abrogeant la réforme ou en convoquant un référendum.”La démographie et l’allongement de la durée de vie constituent des contraintes qui conditionnent les recettes et les dépenses de notre système de retraite. Que vous le vouliez ou non”, a rétorqué Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail. Le texte “affirme l’impérieuse nécessité d’aboutir à l’abrogation des mesures les plus régressives” de la loi du 14 avril 2023, à savoir “le recul de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’augmentation de la durée de cotisation portée à 43 annuités dès 2027″.”Une simple pétition de principe”, a critiqué Théo Bernhardt (RN), reprochant à la gauche de ne pas avoir soutenu les initiatives de son groupe pour une abrogation.Le RN mais aussi le groupe Liot et les Insoumis ont mené différentes initiatives parlementaires pour tenter d’obtenir un vote, sans succès. La dernière en date étant celle de LFI, fin novembre: la proposition de loi des Insoumis n’avait pu aboutir, victime de l’obstruction du camp gouvernemental.- Et la censure ? -Le sujet des retraites a retrouvé une actualité en janvier, à la faveur du compromis noué entre le Premier ministre François Bayrou et le groupe PS à l’Assemblée.Ces derniers ont accepté de ne pas censurer son gouvernement, contre un ensemble de promesses, dont la remise en chantier de la réforme des retraites.Mais l’enthousiasme a rapidement fait place à la déception. Après avoir appelé à des discussions “sans totem ni tabou”, le Premier ministre a successivement imposé l’objectif d’un équilibre financier en 2030, puis fermé la porte à un retour aux 62 ans. Les syndicats FO et CGT ont claqué la porte dès le début des discussions.Les organisations restant autour de la table, qui se retrouvaient jeudi après-midi, prévoient de clore leurs travaux le 17 juin. La réunion s’est terminée sans avancée concrète.Quant aux députés socialistes, ils agitent de nouveau la menace d’une censure du gouvernement Bayrou, si ce dernier ne soumet pas au Parlement un éventuel accord entre les partenaires sociaux.Les communistes ont obtenu jeudi l’adoption de plusieurs autres textes, sur le logement dans les Outre-mer (adoption définitive), pour le versement d’allocations familiales dès le premier enfant (première lecture), ou encore pour la création d’une commission d’enquête sur les carences de la justice dans les Outre-mer.sl-sac-av-boc/alu/hdz/alh
Retraites: l’Assemblée appelle à abroger la réforme, la CGT dans la rue
Plus de deux ans après la promulgation de la réforme des retraites, l’Assemblée nationale a appelé jeudi à son abrogation lors d’un premier vote à portée symbolique sur le sujet dans l’hémicycle, tandis que la CGT a tenté de remobiliser la rue contre une loi qui reste très impopulaire.A quelques jours de la fin des travaux du “conclave” entre partenaires sociaux sur les retraites, les députés ont adopté une proposition de résolution déposée par le groupe GDR (communistes et ultra-marins), lors d’une journée dédiée à ses textes.A la tribune, le président du groupe Stéphane Peu (PCF) a dénoncé le passage de l’âge légal de départ à 64 ans, adopté à l’époque sans vote, grâce à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution. “La plus grande blessure démocratique depuis la négation du vote des Français lors du référendum de 2005”, a-t-il lancé.Adoptée par 198 voix contre 35, avec celles de la gauche, du Rassemblement national et d’une partie du groupe centriste Liot, la résolution n’aura aucune valeur normative. Mais les communistes espèrent en faire un levier politique pour ranimer la contestation.Dans la rue, la CGT avait prévu 165 points de rassemblement ce jeudi, mais ses habituels partenaires de Solidaires et de la FSU n’ont pas relayé leur appel. Depuis Strasbourg, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a salué un “grand événement” à l’Assemblée, qui montre que “quand la démocratie parle, elle défait cette réforme”, dont elle a de nouveau demandé l’abrogation. – “Aucune légitimité” -Le vote de l’Assemblée est “une preuve supplémentaire que cette réforme n’a aucune légitimité, ni populaire, ni parlementaire”, a déclaré le groupe Insoumis dans un communiqué.Le chef du groupe communiste, qui a commencé son discours devant un hémicycle quasiment vide, a exigé du gouvernement qu’il respecte le vote de la résolution, en abrogeant la réforme ou en convoquant un référendum.”La démographie et l’allongement de la durée de vie constituent des contraintes qui conditionnent les recettes et les dépenses de notre système de retraite. Que vous le vouliez ou non”, a rétorqué Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail. Le texte “affirme l’impérieuse nécessité d’aboutir à l’abrogation des mesures les plus régressives” de la loi du 14 avril 2023, à savoir “le recul de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et l’augmentation de la durée de cotisation portée à 43 annuités dès 2027″.”Une simple pétition de principe”, a critiqué Théo Bernhardt (RN), reprochant à la gauche de ne pas avoir soutenu les initiatives de son groupe pour une abrogation.Le RN mais aussi le groupe Liot et les Insoumis ont mené différentes initiatives parlementaires pour tenter d’obtenir un vote, sans succès. La dernière en date étant celle de LFI, fin novembre: la proposition de loi des Insoumis n’avait pu aboutir, victime de l’obstruction du camp gouvernemental.- Et la censure ? -Le sujet des retraites a retrouvé une actualité en janvier, à la faveur du compromis noué entre le Premier ministre François Bayrou et le groupe PS à l’Assemblée.Ces derniers ont accepté de ne pas censurer son gouvernement, contre un ensemble de promesses, dont la remise en chantier de la réforme des retraites.Mais l’enthousiasme a rapidement fait place à la déception. Après avoir appelé à des discussions “sans totem ni tabou”, le Premier ministre a successivement imposé l’objectif d’un équilibre financier en 2030, puis fermé la porte à un retour aux 62 ans. Les syndicats FO et CGT ont claqué la porte dès le début des discussions.Les organisations restant autour de la table, qui se retrouvaient jeudi après-midi, prévoient de clore leurs travaux le 17 juin. La réunion s’est terminée sans avancée concrète.Quant aux députés socialistes, ils agitent de nouveau la menace d’une censure du gouvernement Bayrou, si ce dernier ne soumet pas au Parlement un éventuel accord entre les partenaires sociaux.Les communistes ont obtenu jeudi l’adoption de plusieurs autres textes, sur le logement dans les Outre-mer (adoption définitive), pour le versement d’allocations familiales dès le premier enfant (première lecture), ou encore pour la création d’une commission d’enquête sur les carences de la justice dans les Outre-mer.sl-sac-av-boc/alu/hdz/alh
Israel says hits Beirut, targeting Hezbollah drone factories
A series of Israeli air strikes hit Beirut’s southern suburbs on Thursday night, after the military said it would target underground Hezbollah drone factories.Plumes of smoke were seen billowing from the Lebanese capital, shortly after huge numbers of people had fled the area, clogging the roads with traffic.Lebanese news agency ANI said it counted nearly a dozen strikes, including two which were “very violent”. AFP journalists in the city heard at least two strong detonations.”The IDF (military) is currently striking terror targets of the Hezbollah aerial unit,” the Israeli military said in a statement on Telegram.Less than two hours earlier, its Arabic-language spokesman Avichay Adraee had warned on social media that residents of the suburbs were “located near facilities belonging to the terrorist organisation Hezbollah” and should evacuate immediately.In a separate statement, the military had said it would “soon carry out a strike on underground UAV (drone) production infrastructure sites that were deliberately established in the heart of (the) civilian population” in Beirut.The United Nations Special Coordinator for Lebanon wrote on X that the strikes “generated renewed panic and fear”, and called for a “halt to any actions that could further undermine the cessation of hostilities”.”Established mechanisms and diplomatic instruments are at the disposal of all sides to address disputes or threats, and to prevent unnecessary and dangerous escalation,” it added. Lebanon’s President Joseph Aoun in a statement voiced “firm condemnation of the Israeli aggression” and “flagrant violation” of a November 27 ceasefire “on the eve of a sacred religious festival”, the Muslim holiday Eid al-Adha.He said the strikes were “irrefutable proof of the aggressor’s refusal… of a just peace in our region”.Prime Minister Nawaf Salam also issued a statement condemning the strikes as a “flagrant violation of Lebanese sovereignty” and of a 2006 UN resolution.- Suspected drone production -One resident described grabbing her children and fleeing her home in the southern suburbs after receiving an ominous warning before the strikes.”I got a phone call from a stranger who said he was from the Israeli army,” said the woman, Violette, who declined to give her last name.Israel also issued an evacuation warning for the village of Ain Qana, located in southern Lebanon around 20 kilometres (12 miles) from the Israeli border.The Israeli military then launched a strike on a building there that it alleged was a Hezbollah base, ANI reported.Israel and the Iranian-backed Hezbollah engaged in more than a year of hostilities that began with the outbreak of the Gaza war and culminated in an intense Israeli bombing campaign and ground incursion into southern Lebanon.The November ceasefire sought to end the fighting — which left Hezbollah severely weakened — but Israel has continued to regularly carry out strikes in Lebanon’s south.Strikes targeting Beirut’s southern suburbs, considered a Hezbollah stronghold, have been rare, however.”Following Hezbollah’s extensive use of UAVs as a central component of its terrorist attacks on the state of Israel, the terrorist organisation is operating to increase production of UAVs for the next war,” the military statement said, calling the activities “a blatant violation of the understandings between Israel and Lebanon”.Under the truce, Hezbollah fighters were to withdraw north of the Litani river, about 30 kilometres from the border, and dismantle their military posts to the south.Israel was to pull all its troops from Lebanon, but it has kept them in five positions it deems “strategic” along the frontier.The Lebanese army has been deploying in the south and removing Hezbollah infrastructure there, with prime minister Salam saying Thursday that it had dismantled “more than 500 military positions and arms depots” in the area.
Combs ex-girlfriend testifies of choreographed sex out of ‘obligation’
A key witness took the stand in the federal trial of Sean “Diddy” Combs Thursday, giving graphic detail of choreographed sexual encounters with the music mogul that were allegedly coercive, testimony that’s core to the prosecution’s case.The woman, who is speaking in court under the pseudonym Jane, began delivering testimony that is expected to last for days and which so far mirrors descriptions provided by another marquee witness against Combs, his ex-girlfriend Casandra “Cassie” Ventura.Combs, 55, faces upwards of life in prison if convicted of racketeering and sex trafficking crimes. Both Jane and Ventura are key witnesses to the latter charges.Jane took the stand after some courtroom drama: the judge threatened to remove Combs after he was “looking at jurors and nodding vigorously” while a different witness testified.Calling Combs’s behavior “absolutely unacceptable,” Judge Arun Subramanian said “it cannot happen again.”Communications between a defendant and a jury are strictly prohibited.The court had been hearing testimony from Bryana Bongolan, a friend of Ventura’s who had alleged that Combs dangled her from a 17th-story balcony before throwing her against furniture.Combs’s gestures to the jury took place as Bongolan was under tense questioning from his defense team, who sought to cast her as an unreliable witness who abused drugs.- ‘Hotel nights’ -Jane’s testimony was highly anticipated: she began by detailing how she had met Combs through a friend who was dating him at the time. But he came on strongly to Jane, she said, and when her friend got engaged to someone else, she began seeing Combs romantically.Their relationship began in earnest during a whirlwind five-day date at a Miami hotel, she said, describing Combs — as many others during the trial have — as “larger than life.””I was pretty head over heels for Sean,” she told jurors.Several heady months followed, including a romantic trip to Turks and Caicos and the Bahamas in February 2021.She said Combs first gave her illicit drugs on that trip. When the vacation ended, he wired her $10,000 because she had been unable to work — at the time she was creating content for brands on social media — and was a single mother.Jane silently collected herself and held her face in a tissue as she described how her blissful early days with Combs took a sharp turn in May 2021, when he began talking about his fantasies of seeing her with other men.She acquiesced because she wanted to make Combs happy, she said, and to her surprise he arranged for another man she dubbed Don to meet them at a hotel that very night.Jane thought the experience was a one-time thing — but she said instead it became “a door I was unable to shut.”The “hotel nights” became a regular feature of their relationship, Jane told jurors, even when she said she didn’t want it.”He was just dismissive,” she said, saying that approximately 90 percent of their relationship became a pattern of her having sex with other men under Combs’s direction.- Full-time job -Jane’s descriptions of the “hotel nights” — her provocative attire that Combs requested, red mood lighting, heavy drug use and copious baby oil — closely tracked with the testimony that Ventura gave on the stand of what she called “freak-offs.”Jane said that the amount of time she spent getting ready for hotel nights with Combs, which he demanded at a moment’s notice and sometimes flew her to, meant she did not work.Money from Combs and child support from her previous relationship were essentially her only income, she said. That testimony echoed Ventura’s, who had said her freak-offs with Combs came to feel like a full-time job. Combs put Jane up in a home in Los Angeles for $10,000 a month, she said, and when she spoke against hotel nights, he would bring up that point.”My feeling of obligation really started to stem from the fact that my partner was paying my rent,” she said.Jane told jurors their relationship continued up until Combs’s arrest in September 2024.Prosecutors say he ran a criminal enterprise of high-ranking employees and bodyguards who enforced his power with illicit acts including kidnapping, bribery and arson. Along with Ventura and Jane, witnesses have included former employees of Bad Boy Enterprises, Combs’s company.Jane’s testimony will continue Friday. The trial is epxected to last at least another month.







