Aux assises, une mère jugée pour avoir empoisonné ses filles aux médicaments

Le procès d’une femme de 53 ans, accusée d’avoir empoisonné ses deux filles, dont l’une est décédée, en les assommant de médicaments, puis d’avoir voulu faire assassiner leur père depuis la prison, s’est ouvert lundi matin devant la cour d’assises des Landes.Maylis Daubon affirme, depuis sa mise en examen en janvier 2022, que l’aînée, Enea, morte à l’âge de 18 ans, s’est suicidée.Avant l’ouverture des débats, l’un de ses avocats, Me Gérard Danglade, a évoqué “la profonde angoisse” de sa cliente, “qui a toujours dit n’avoir jamais eu de rôle actif dans ce qui s’est passé”.Le 13 novembre 2019 vers midi, la mère appelle les secours, alertée par la cadette – Luan – d’une crise de convulsions de sa sœur Enea, au domicile familial de Dax. Le Samu la découvre dans son lit en état de mort respiratoire, la réanime mais elle succombe six jours plus tard à l’hôpital.L’enquête sur les causes du décès, outre la présence d’un médicament surdosé, met au jour un conflit parental majeur. Depuis leur divorce en 2009, Maylis Daubon et Yannick Reverdy, ancien joueur international de handball, se déchiraient autour de leurs filles, coupées de toute relation avec leur père à partir de 2011.”Pendant dix ans, je me suis battu un peu tout seul”, a confié à l’AFP celui que l’accusée aurait voulu faire assassiner en soudoyant des codétenues à la maison d’arrêt de Pau.Un chien d’assistance, présent au palais de justice de Mont-de-Marsan pour soutenir les victimes qui le souhaitent, était à ses côtés lundi matin sur le banc des parties civiles.- “50 à 75 cachets” -Les analyses du corps de la défunte ont révélé la présence de “l’équivalent de 50 à 75 cachets” de Propranolol, un traitement qui ralentit le cœur.Le rapport d’expertise fait aussi apparaître 22 molécules différentes et une “consommation régulière et importante” de cannabis. Les médecins légistes ont lié le décès à une “décompensation cardiorespiratoire aiguë d’origine toxique”.Les mois précédents, la défunte s’était vu prescrire quantité de neuroleptiques, anxiolytiques sédatifs, traitements contre les convulsions et antidépresseurs. Les enquêteurs estiment qu’elle a consulté près de 30 médecins au cours de sa jeune vie.L’avocat de Yannick Reverdy, Me Victor Font, s’interroge sur cet enchevêtrement risqué d’ordonnances délivrées “sans coordination”.Pour le père, sa fille “n’avait pas de pathologie”, sa mère en a “inventé” pour la mettre “sous emprise psychique, puis chimique”.- Münchhausen par procuration -Une psychologue de la Protection de l’enfance, intervenue en 2018 face à l’absentéisme scolaire anormal d’Enea, a évoqué un possible syndrome de Münchhausen par procuration.Ce syndrome conduit un parent à exagérer ou provoquer des problèmes de santé sérieux chez son enfant, afin d’attirer l’attention ou la compassion. En août 2019, Maylis Daubon avait répété dans son entourage que sa fille était hospitalisée en soins palliatifs pour une leucémie et qu’elle préparait son enterrement.”Il n’y a pas de Münchhausen par procuration”, balaie l’autre avocate de la défense, Me Carine Monzat, Me Danglade soulignant qu'”aucun expert psychiatre n’a, dans le cadre de l’instruction, posé clairement ce diagnostic”.La personnalité de la mère, décrite comme “menteuse et manipulatrice” par des témoins, sera au cœur des débats. Tantôt professeure à la Sorbonne, ingénieure nucléaire ou casque bleu à Sarajevo, elle manifeste “le besoin d’être sur le devant de la scène”, selon l’accusation.Lundi matin, Maylis Daubon a déclaré qu’elle était “conseillère en formation continue” jusqu’à son incarcération.- “Incohérences” -Elle devra s’expliquer sur les “importantes et graves incohérences” pointées par les juges dans ses déclarations sur le déroulé de la matinée du 13 novembre 2019, touchant à son emploi du temps, ses échanges téléphoniques et la disparition du portable d’Enea.Si l’accusée maintient la thèse du suicide, la cadette a évoqué les “projets d’avenir” qu’avait sa sœur – passer son permis de conduire ou être rescolarisée.L’absentéisme scolaire de Luan a également éveillé les soupçons et des analyses ont révélé des traces de médicaments – codéine, anxiolytique sédatif, somnifère ou antidépresseur – dans ses cheveux, sans prescriptions médicales, conduisant à une nouvelle mise en examen de Maylis Daubon.Sa deuxième fille n’a jamais voulu la mettre en cause: elle sera entendue comme témoin au procès, prévu jusqu’au 3 décembre.

Aux assises, une mère jugée pour avoir empoisonné ses filles aux médicaments

Le procès d’une femme de 53 ans, accusée d’avoir empoisonné ses deux filles, dont l’une est décédée, en les assommant de médicaments, puis d’avoir voulu faire assassiner leur père depuis la prison, s’est ouvert lundi matin devant la cour d’assises des Landes.Maylis Daubon affirme, depuis sa mise en examen en janvier 2022, que l’aînée, Enea, morte à l’âge de 18 ans, s’est suicidée.Avant l’ouverture des débats, l’un de ses avocats, Me Gérard Danglade, a évoqué “la profonde angoisse” de sa cliente, “qui a toujours dit n’avoir jamais eu de rôle actif dans ce qui s’est passé”.Le 13 novembre 2019 vers midi, la mère appelle les secours, alertée par la cadette – Luan – d’une crise de convulsions de sa sœur Enea, au domicile familial de Dax. Le Samu la découvre dans son lit en état de mort respiratoire, la réanime mais elle succombe six jours plus tard à l’hôpital.L’enquête sur les causes du décès, outre la présence d’un médicament surdosé, met au jour un conflit parental majeur. Depuis leur divorce en 2009, Maylis Daubon et Yannick Reverdy, ancien joueur international de handball, se déchiraient autour de leurs filles, coupées de toute relation avec leur père à partir de 2011.”Pendant dix ans, je me suis battu un peu tout seul”, a confié à l’AFP celui que l’accusée aurait voulu faire assassiner en soudoyant des codétenues à la maison d’arrêt de Pau.Un chien d’assistance, présent au palais de justice de Mont-de-Marsan pour soutenir les victimes qui le souhaitent, était à ses côtés lundi matin sur le banc des parties civiles.- “50 à 75 cachets” -Les analyses du corps de la défunte ont révélé la présence de “l’équivalent de 50 à 75 cachets” de Propranolol, un traitement qui ralentit le cœur.Le rapport d’expertise fait aussi apparaître 22 molécules différentes et une “consommation régulière et importante” de cannabis. Les médecins légistes ont lié le décès à une “décompensation cardiorespiratoire aiguë d’origine toxique”.Les mois précédents, la défunte s’était vu prescrire quantité de neuroleptiques, anxiolytiques sédatifs, traitements contre les convulsions et antidépresseurs. Les enquêteurs estiment qu’elle a consulté près de 30 médecins au cours de sa jeune vie.L’avocat de Yannick Reverdy, Me Victor Font, s’interroge sur cet enchevêtrement risqué d’ordonnances délivrées “sans coordination”.Pour le père, sa fille “n’avait pas de pathologie”, sa mère en a “inventé” pour la mettre “sous emprise psychique, puis chimique”.- Münchhausen par procuration -Une psychologue de la Protection de l’enfance, intervenue en 2018 face à l’absentéisme scolaire anormal d’Enea, a évoqué un possible syndrome de Münchhausen par procuration.Ce syndrome conduit un parent à exagérer ou provoquer des problèmes de santé sérieux chez son enfant, afin d’attirer l’attention ou la compassion. En août 2019, Maylis Daubon avait répété dans son entourage que sa fille était hospitalisée en soins palliatifs pour une leucémie et qu’elle préparait son enterrement.”Il n’y a pas de Münchhausen par procuration”, balaie l’autre avocate de la défense, Me Carine Monzat, Me Danglade soulignant qu'”aucun expert psychiatre n’a, dans le cadre de l’instruction, posé clairement ce diagnostic”.La personnalité de la mère, décrite comme “menteuse et manipulatrice” par des témoins, sera au cœur des débats. Tantôt professeure à la Sorbonne, ingénieure nucléaire ou casque bleu à Sarajevo, elle manifeste “le besoin d’être sur le devant de la scène”, selon l’accusation.Lundi matin, Maylis Daubon a déclaré qu’elle était “conseillère en formation continue” jusqu’à son incarcération.- “Incohérences” -Elle devra s’expliquer sur les “importantes et graves incohérences” pointées par les juges dans ses déclarations sur le déroulé de la matinée du 13 novembre 2019, touchant à son emploi du temps, ses échanges téléphoniques et la disparition du portable d’Enea.Si l’accusée maintient la thèse du suicide, la cadette a évoqué les “projets d’avenir” qu’avait sa sœur – passer son permis de conduire ou être rescolarisée.L’absentéisme scolaire de Luan a également éveillé les soupçons et des analyses ont révélé des traces de médicaments – codéine, anxiolytique sédatif, somnifère ou antidépresseur – dans ses cheveux, sans prescriptions médicales, conduisant à une nouvelle mise en examen de Maylis Daubon.Sa deuxième fille n’a jamais voulu la mettre en cause: elle sera entendue comme témoin au procès, prévu jusqu’au 3 décembre.

Début de la permission de sortir d’un détenu narcotrafiquant à Vendin-le-Vieil

Un détenu du quartier de lutte contre la criminalité organisée (QLCO) de la prison de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) a quitté lundi l’établissement vers 07H40 pour une permission de sortir “employeur” qui fait polémique, a constaté l’AFP sur place.L’AFP a vu plusieurs véhicules sortir au même moment, dont une voiture banalisée ainsi qu’un van SNCF. Le calme autour de la prison est rapidement revenu dans la foulée.”Il est parti” a ensuite confirmé à l’AFP David Lacroix, délégué FO Pénitentiaire à Vendin-le-Vieil.Une sortie dans ce cadre se fait sans escorte, mais un “dispositif” sera toutefois mis en place toute la journée, a assuré dimanche l’entourage du ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez à l’AFP.”Il n’est pas surveillé, il n’est pas escorté. Il y a quelqu’un de son entourage qui est venu le chercher et (…) conformément à la décision judiciaire qui a été rendue par le juge judiciaire, il va d’un point A à un point B pour préparer, muscler, renforcer sa réinsertion”, a affirmé lundi son avocate Me Marie Violleau sur BFMTV. Le détenu, libérable en 2029, a rendez-vous avec un potentiel employeur dans l’agglomération lyonnaise. Il devrait s’y rendre en TGV depuis Lille, selon David Lacroix. Sa permission de sortir, accordée par un juge d’application des peines malgré un avis défavorable du parquet de Béthune et confirmée par la chambre d’application des peines de la cour d’appel de Douai, court jusqu’à 21H00.Selon une source syndicale, il s’agit de Ouaihid Ben Faïza, 52 ans, membre important d’un vaste réseau de trafic de drogue de Seine-Saint-Denis.En 2014, alors qu’il était incarcéré à la prison de Villepinte depuis trois ans, Ouaihid Ben Faïza s’était évadé avec l’aide d’un commando armé à sa sortie d’une consultation à l’hôpital. Sa cavale avait duré deux semaines.La permission de sortir d’un détenu avec un tel profil a été abondamment commenté depuis ce week-end, suscitant notamment l’indignation de syndicats d’agents pénitentiaires.Le ministre de la Justice Gérald Darmanin a exprimé dimanche son intention de modifier les règles d’application des peines en matière de criminalité organisée, en créant, comme en matière de terrorisme, “un droit spécifique et un juge d’application spécialisé qui connaît parfaitement les profils dangereux”.”Il faut du bon sens, tout simplement”, selon Thomas Vaugrand, secrétaire général du syndicat UFAP UNSa Justice dans les Hauts-de-France, présent lundi matin à Vendin-le-Vieil.Une telle permission de sortie de droit commun, “ça ne va pas avec les conditions d’isolement” prévues pour les détenus narcotrafiquants dans les QLCO créés depuis cette année. “On a dit qu’il fallait les couper du monde (…) et aujourd’hui on le laisse sortir dans la nature, tout seul”, a ajouté M. Vaugrand.Passer son entretien en visioconférence “ne lui aurait pas permis de montrer qu’il était digne de la confiance que l’autorité judiciaire plaçait en lui”, a estimé Me Violleau sur BFMTV.

Le grand flou budgétaire persiste, la droite sénatoriale dans les starting blocks

Tous les regards sont tournés vers le Sénat: la chambre haute examine cette semaine les budgets de l’Etat et de la Sécurité sociale, avec une droite déterminée à dérouler sa copie anti-taxes et pro-réforme des retraites, quitte à amplifier l’incertitude sur un compromis final.Le marathon budgétaire fait étape au Palais du Luxembourg. Dans l’hémicycle d’abord, où les sénateurs ferraillent sur le budget de la Sécu depuis plusieurs jours, avant un vote solennel prévu mercredi après-midi. Mais également en commission des Finances, quelques mètres plus loin, où le volet “recettes” du projet budget de l’Etat est examiné au pas de course lundi matin avant son arrivée dans l’hémicycle à partir de jeudi.Sur ce texte, les sénateurs repartent de la copie initiale du gouvernement, conséquence du rejet quasi-unanime du budget à l’Assemblée nationale en première lecture samedi. – Le spectre d’une loi spéciale -Les députés devront patienter avant de revoir le projet de loi de finances au Palais Bourbon, car les sénateurs disposent d’une vingtaine de jours pour l’examiner et leur majorité droite-centriste compte bien aboutir à un vote final sur leur copie, prévu le 15 décembre.Ce délai est-il compatible avec le vote d’un budget avant la fin de l’année ? Le gouvernement de Sébastien Lecornu continue d’y croire, même si de nombreux cadres du bloc central envisagent déjà l’hypothèse d’une loi spéciale votée en urgence en décembre pour permettre la levée des impôts, avant une reprise des discussions budgétaires en janvier.”Il vaut mieux une loi spéciale plutôt qu’un budget qui continuera à déclasser la France et à appauvrir les Français”, a assumé le patron des Républicains Bruno Retailleau, redevenu sénateur, dans Le Parisien ce week-end.L’attitude du Sénat sera donc particulièrement scrutée, car un compromis futur entre députés et sénateurs pourrait permettre d’accélérer la procédure budgétaire. Mais cela semble très mal embarqué. Car si Gérard Larcher, président du Sénat, a souhaité ces derniers jours sur Public Sénat “parier sur l’intelligence collective”, M. Retailleau affiche une position très dure et promet de “revenir sur les folies fiscales de LFI et du Rassemblement national”, avec “une position raisonnable: moins d’impôts et plus d’économies”.”Je ne pense pas que Bruno Retailleau pense au fond que ne pas avoir de budget est une solution pour la France”, a répondu sur France 2 la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin. “Si on joue la présidentielle de 2027 dans l’hémicycle où on débat du budget 2026, on n’aura pas le budget de 2026 et probablement que la présidentielle se passera très mal”, a-t-elle ajouté.- Réformes des retraites bientôt rétablie -Les débats en cours sur le budget de la Sécu ont néanmoins déjà dessiné les contours d’une droite sénatoriale inflexible, refusant quasiment tous les compromis trouvés à l’Assemblée nationale. La droite et ses alliés centristes s’apprêtent d’ailleurs à s’opposer à la suspension de la réforme des retraites et au “dégel” des prestations sociales, deux votes cruciaux qui auront probablement lieu mardi soir.”La droite fait de l’affichage politique. Très bien, mais ça n’aura aucune utilité. Cela revient à donner l’ensemble du pouvoir parlementaire à l’Assemblée. Si ça continue comme ça, le Sénat n’en sortira pas grandi”, regrette auprès de l’AFP le président socialiste de la commission des Finances du Sénat, Claude Raynal.En revanche, concernant le budget de l’Etat, son rejet à l’Assemblée nationale risque de faciliter la tâche du Sénat: saisi du texte initial du gouvernement, il n’aura même pas à statuer sur les mesures ajoutées par les députés et pourra se contenter de voter sa propre copie, élaborée au sein de sa très large majorité depuis la fin du printemps sous François Bayrou et ajustée depuis.Dans les mesures contenues dans cette partie “recettes”, les sénateurs pourraient notamment restreindre la taxe sur les holdings familiales, maintenir le gel du barème de l’impôt sur le revenu et revenir sur la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises.Le rapporteur général du budget au Sénat, Jean-François Husson (LR), présentera ses propositions lundi à 14H00 lors d’une conférence de presse.

EU, Africa leaders to talk trade and minerals, as Ukraine looms largeMon, 24 Nov 2025 09:36:43 GMT

European and African leaders gathered in Angola Monday for a summit to deepen economic and security ties, with emergency talks on Ukraine also on the cards.France’s Emmanuel Macron, Germany’s Friedrich Merz and Kenya’s William Ruto are among dozens of European Union and African leaders expected in Luanda amid a US-European rift over a Washington plan …

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MLS: Messi mène l’Inter Miami vers sa première finale de conférence

La superstar argentine Lionel Messi a propulsé l’Inter Miami en finale des play-offs de la conférence Est du championnat MLS, avec un but et trois passes décisives, lors de la victoire à Cincinnati (4-0), dimanche.C’est la première fois que la “Pulga”, 38 ans, atteint la finale de conférence depuis son arrivée en 2023. Jamais la franchise floridienne, qui a débuté en MLS en 2020, n’a atteint ce niveau de la compétition.Son équipe disputera samedi contre New York City, un adversaire terrassé 4-0 en septembre, sa place pour la finale du championnat.L’Inter Miami, qui a terminé troisième de sa conférence à l’issue de la saison régulière, a livré sur la pelouse de Cincinnati, deuxième, une performance digne d’un candidat sérieux pour le titre.”Les joueurs ont fait preuve d’un caractère incroyable, et ont joué un match quasi parfait”, s’est félicité l’entraîneur Javier Mascherano.En plus de Messi, le technicien a aligné au coup d’envoi le champion du monde argentin Rodrigo De Paul ainsi que les vedettes espagnoles Sergio Busquets et Jordi Alba, qui prendront leur retraite à la fin de la saison. L’attaquant uruguayen Luis Suarez n’est entré sur le terrain que pour le dernier quart d’heure, alors que le sort du match était déjà scellé.Messi a ouvert le score à la 19e minute d’une tête piquée, un geste rare pour le meneur de jeu. Mateo Silvetti (59) et Tadeo Allende (62, 74) ont enfoncé le clou en seconde période.L’octuple vainqueur du Ballon d’or, considéré comme l’un des meilleurs footballeurs de l’histoire, a terminé la saison régulière à la première place du classement des buteurs (29) et des passeurs (19).Dans la conférence Ouest, les Vancouver Whitcaps de Thomas Müller attendent leur adversaire en finale, qui sera soit San Diego, soit Minnesota.

Rhino horn sales, shark protection on wildlife talks agendaMon, 24 Nov 2025 09:27:44 GMT

Global wildlife talks opened Monday, with votes expected on increased shark protection, a bid to allow limited rhino horn sales and a push to restrict the trade in eels.More than 180 nations are joining conservation experts in Uzbekistan’s Samarkand to discuss dozens of wildlife trade proposals.The meeting brings together signatories to the Convention on International …

Rhino horn sales, shark protection on wildlife talks agendaMon, 24 Nov 2025 09:27:44 GMT Read More »

Suicide attack on Pakistan border police HQ kills 3

A suicide bombing killed three Pakistani paramilitary personnel on Monday at a security headquarters in Peshawar city, officials said, the latest deadly violence in the province bordering Afghanistan.Witness Bilal Ahmed, a hospital employee, said he was on his way to work when he heard a “large blast” from the border force facility, located on one of the city’s busiest routes and across the street from a shopping mall.An AFP reporter saw body parts of a suspected bomber lying outside the main gate on Saddar Road, which was riddled with shrapnel holes. A single discarded black shoe was left nearby.Rescue workers made their way through the scene, which was peppered with shattered glass from a vehicle.One assailant detonated explosives at around 8:10 am (0310 GMT), just before rush hour, killing “three FC (Federal Constabulary) personnel deployed at the gate”, said Peshawar police chief Mian Saeed.Security forces shot dead two other suspected attackers, Saeed said.Four people were wounded in the attack, he added.Security personnel in high-visibility jackets cordoned off the road, while armed forces in camouflage began combing the area, AFP correspondents saw.”The attack has concluded, and a clearance operation is under way to determine whether any unexploded ordnance is present,” Zulfiqar Hameed, the police chief of Khyber Pakhtunkhwa province, told AFP.The province, whose capital is Peshawar, borders Afghanistan and has seen repeated bouts of militant violence which has intensified since the Taliban returned to power in Kabul in 2021.Pakistan’s Prime Minister Shehbaz Sharif condemned Monday’s attack and said that “the perpetrators of this incident should be identified as soon as possible and brought to justice.”He also praised the “timely action” of security forces for averting greater loss of life.”We will thwart the evil designs of terrorists who attack Pakistan’s integrity,” said Sharif.No group has claimed responsibility for the attack, but Pakistan’s state-run broadcaster PTV reported that the assailants had been identified as Afghan nationals.- Border tensions -Pakistan has blamed previous attacks on militants, particularly the Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP), which it claims operate from Afghan soil.Kabul denies the charge, saying Islamabad must address its own security failings.On November 11, a suicide bomber killed 12 people outside a court building in the capital Islamabad, an attack Pakistan said was planned from Afghanistan. A faction of the Pakistani Taliban claimed that assault.Relations between Pakistan and Afghanistan have sharply deteriorated in recent months.Deadly cross-border clashes last month killed more than 70 people on both sides, in the South Asian neighbours’ worst fighting in years.The two countries agreed to a fragile ceasefire but failed to finalise its terms after several rounds of talks, each blaming the other for the impasse.