Nouvelle jeunesse pour la Bonne Mère, emblème de Marseille

Les embruns, le mistral et la pollution lui avaient fait perdre de son éclat: après neuf mois de restauration, la Bonne Mère, emblème de tout Marseille, a retrouvé son lustre dimanche, procession et spectacle son et lumière à l’appui.Pas moins de 40.000 feuilles d’or ont été déposées sur la statue de Notre-Dame de la Garde – 10 tonnes et 10 m de haut -, étape finale d’un chantier global lancé en février.Cette vierge à l’enfant, qui se dresse au point culminant de la ville (altitude: 220 m), “fait partie de la famille des Marseillais”, a lancé le cardinal de Marseille Jean-Marc Aveline, lors d’une cérémonie à l’abbaye de Saint Victor, autre incontournable monument religieux marseillais, pleine à craquer.Et, croyants ou non, les Marseillais entretiennent avec elle une “proximité”, osant lui confier “les malheurs de leur vie”, a aussi affirmé Mgr Aveline, avant le début d’une procession vers ce site le plus visité de la ville. Les festivités ont été conclues par un show du DJ Michael Canitrot, qui avait clôturé les cérémonies de réouverture de la cathédrale Notre-Dame à Paris.Evelyne Gasquet, 79 ans, se souvient par exemple y avoir été “tous les dimanches pendant un an” pour aider sa soeur, “gravement malade”. Elle en a été “exaucée”. Avec son mari, elle s’y rendait aussi régulièrement “en randonnée, pour soutenir les projets professionnels” de leur fille. Exaucée là aussi, dit-elle.Mélanie Blanc, 34 ans, en reconversion, raconte comment sa grand-mère fréquentait les lieux pour espérer le retour de son mari de la guerre d’Algérie. Un retour “que ma grand-mère a attribué à la Bonne Mère”. “Ca fait du bien d’y aller, ça me reconnecte au sacré”, assure à son tour aujourd’hui Mélanie.”On a l’impression que, sans sa Bonne Mère, cette ville va disparaître”, rigole aussi Bernard Combelles, 63 ans, cadre chez l’armateur marseillais CMA CGM, qui note “la proximité des responsables politiques et de l’église. A chaque évènement religieux, ils sont là”.Le montant total du chantier aura nécessité 2,8 millions d’euros. Quelque 40.000 personnes et des entreprises ont apporté leur écot, pour 1,5 million d’euros, le solde étant financé par les collectivités.

‘Five Nights at Freddy’s’ sequel slashes to top of box office

Horror video-game movie “Five Nights at Freddy’s 2” proved jump scares can still rake in the cash with a debut that ruled North American theaters, industry estimates showed Sunday.The second film in Universal’s “Freddy’s” franchise — about animatronic characters at a pizza shop, the tween girl (Piper Rubio) who befriends them, and the murderous if cheesy events that follow — brought in $63 million in the Friday-through-Sunday period, Exhibitor Relations reported.It earned another $46 million internationally.”Critics’ reviews are poor, but the genre is immune to reviews,” said David A. Gross of Franchise Entertainment Research.”The audience score is more important, and it’s very good for a horror picture, although not as good as the first pic.”Sliding to second spot was another sequel, Disney’s feel-good animated film “Zootopia 2.”The buddy cop comedy featuring a menagerie of talking animals battling stereotypes earned $43 million, for a two-week total of $220 million and a worldwide haul nearing the $1 billion mark.Dropping one spot to third place, with $16.8 million in its third weekend, was “Wicked: For Good,” Universal’s second chapter in the musical saga of Oz’s most notable witches — the green-skinned, outcast Elphaba (Cynthia Erivo) and popular pink-wearing Glinda (Ariana Grande).The “Wizard of Oz” retelling is based on the long-running Broadway musical, itself adapted from Gregory Maguire’s 1995 novel.”JUJUTSU KAISEN: Execution” landed in fourth spot in its debut. The anime-based tale of violent sorcery released by GKIDS earned $10.2 million.In fifth with $3.5 million was Lionsgate’s “Now You See Me: Now You Don’t,” the third installment in the crime heist franchise. Rounding out the top 10 were:”Kill Bill: The Whole Bloody Affair” ($3.3 million) “Eternity” ($2.7 million)”Hamnet” ($2.3 million)”Predator: Badlands” ($1.9 million)”Merrily We Roll Along” ($1.2 million)

Netanyahu prévoit “très bientôt” la deuxième phase de l’accord de trêve à Gaza

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a espéré dimanche passer “très bientôt” à la deuxième phase de l’accord de cessez-le-feu à Gaza et annoncé une nouvelle rencontre avec Donald Trump en décembre.”Nous avons discuté de comment mettre un terme au pouvoir du Hamas à Gaza” et “nous attendons très bientôt de passer à la deuxième phase, qui est plus difficile ou tout aussi difficile”, a souligné M. Netanyahu, à l’issue d’une rencontre avec le chancelier allemand Friedrich Merz à Jérusalem.Le Premier ministre a toutefois rappelé que conformément à la première phase de l’accord de cessez-le-feu, le Hamas devait encore restituer à Israël un dernier corps d’otage retenu à Gaza, celui de l’Israélien Ran Gvili. La deuxième phase de l’accord, appuyé sur le plan du président américain Donald Trump, prévoit le désarmement du Hamas, le retrait de l’armée israélienne de la bande de Gaza ainsi que le déploiement d’une force internationale dans le territoire palestinien.M. Netanyahu a annoncé qu’il rencontrerait Donald Trump durant le mois de décembre. Son bureau avait annoncé le 1er décembre qu’il avait été invité à la Maison Blanche.- “Déradicaliser Gaza” -“Il y a une troisième phase, qui consiste à déradicaliser Gaza, quelque chose que beaucoup pensaient impossible. Mais cela a été fait en Allemagne (…) cela peut être fait à Gaza aussi, mais bien sûr, le Hamas doit être démantelé”, a ajouté M. Netanyahu. “Il faut maintenant que cela aboutisse”, lui a répondu le chancelier Merz, affirmant que l’Allemagne contribuerait à la reconstruction de Gaza. “Le Hamas ne peut jouer aucun rôle à Gaza”, a-t-il déclaré.Samedi soir, Khalil al-Hayya, chef du Hamas pour Gaza et principal négociateur du mouvement islamiste palestinien, a déclaré être prêt à remettre ses armes dans la bande de Gaza à une autorité palestinienne gouvernant ce territoire, à condition que cesse son occupation par l’armée israélienne.Il a en outre refusé le déploiement d’une force internationale qui aurait pour mission de désarmer le Hamas.S’exprimant dans la bande de Gaza face à des soldats réservistes, le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir, a affirmé dimanche que la Ligne jaune, marquant un premier retrait de l’armée israélienne à l’intérieur du territoire, constituait “une nouvelle frontière – une ligne de défense avancée pour les localités (israéliennes) et une ligne d’attaque”.- “Israël a le droit de se défendre” -Arrivé samedi en Israël pour une visite destinée à consolider la relation privilégiée entre les deux pays, M. Merz a également rencontré d’anciens otages israélo-allemands, Ziv et Gali Berman, enlevés lors de l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023. “L’Allemagne doit défendre l’existence et la sécurité d’Israël. Cela restera à jamais profondément inscrit dans le lien qui nous unit”, a déclaré dimanche le chancelier au mémorial de la Shoah, Yad Vashem, à Jérusalem, mettant en avant “la responsabilité historique durable” de son pays dans l’extermination de six millions de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.Sa décision prise en août de décréter un embargo partiel sur les exportations d’armes de son pays vers Israël avait fortement déplu aux autorités israéliennes. “Les actions de l’armée israélienne à Gaza nous ont posé quelques dilemmes et nous y avons réagi”, mais “nous avons également constaté qu’à ce jour, il n’y a fondamentalement aucune divergence (entre nous)”, avait déclaré samedi M. Merz, qui a levé cet embargo fin novembre à la faveur du fragile cessez-le-feu en vigueur à Gaza depuis le 10 octobre. “Israël a le droit de se défendre car c’est la seule façon de garantir son droit à exister”, a-t-il dit.L’attaque du 7 octobre 2023 a entraîné côté israélien la mort de 1.221 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l’AFP à partir de chiffres officiels.L’offensive israélienne menée en représailles a fait 70.360 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas, jugés fiables par l’ONU.

Benin government says has ‘foiled’ coup attemptSun, 07 Dec 2025 18:03:15 GMT

Benin’s government said Sunday the government had thwarted an attempted coup, just hours after a group of soldiers announced on state television that they had ousted President Patrice Talon.Military and security sources said that around a dozen soldiers had been arrested, including those behind the coup bid.The west Africa region has experienced a number of …

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Bénin: le gouvernement affirme avoir déjoué un coup d’Etat, calme à Cotonou

Les autorités du Bénin ont affirmé dimanche avoir déjoué un coup d’Etat, quelques heures après l’irruption dans la matinée de militaires à la télévision affirmant avoir destitué le président Patrice Talon.Cotonou, capitale économique du Bénin où sont situées de nombreuses institutions, notamment la présidence de la République, était calme dimanche après-midi et les habitants vaquaient à leurs occupations.Seuls les quartiers de la présidence et du camp militaire voisin de Guézo demeuraient bloqués par les forces de sécurité, ont constaté des journalistes de l’AFP.M. Talon doit passer la main en avril lors d’un scrutin présidentiel, après deux mandats à la tête de ce petit pays côtier d’Afrique de l’Ouest à la croissance économique solide, mais miné par des violences jihadistes meurtrières dans sa partie nord.Cette tentative de putsch intervient dans une Afrique de l’Ouest secouée par l’instabilité politique depuis le début de la décennie avec des coups d’Etat au Mali, au Burkina Faso et au Niger – deux voisins du Bénin -, ainsi qu’en Guinée et plus récemment, fin novembre, en Guinée-Bissau.Selon une source gouvernementale jointe dimanche après-midi par l’AFP, le président Patrice Talon “va bien” et la situation est “sous contrôle”.- situation “sous contrôle”Dans la matinée, après des tirs entendus autour de la présidence, huit militaires se présentant comme le “Comité militaire pour la refondation” (CMR), avaient annoncé à la télévision publique avoir renversé le chef de l’Etat.Ils avaient proclamé le lieutenant-colonel Pascal Tigri “président du CMR” et justifié leur tentative de prise de pouvoir par la “dégradation continue de la situation sécuritaire au nord du Bénin”, la “négligence envers les soldats tombés au front et leurs familles laissées à leur sort”, ainsi que par “des promotions injustes au détriment des plus méritants”.Ils dénonçaient également une remise en cause “déguisée des libertés fondamentales” par le pouvoir.Quelques heures plus tard, le ministre béninois de l’Intérieur, Alassane Seidou, est apparu à son tour à la télévision nationale pour assurer que le coup avait été déjoué.”Face à cette situation, les forces armées béninoises et leur hiérarchie, fidèles à leur serment, sont restées républicaines. Leur riposte a permis de garder le contrôle de la situation et de faire échec à la manœuvre”, a-t-il affirmé.L’entourage du président Talon avait de son côté rapidement indiqué à l’AFP qu’il était en sécurité et que l’armée reprenait le contrôle de la ville.Une source militaire a confirmé que la situation était “sous contrôle” et que les putschistes n’avaient pris “ni le domicile du chef de l’Etat” ni “la présidence de la République.”Selon des sources militaires à l’AFP, une douzaine de soldats ont été arrêtés. Parmi eux figurent les auteurs de la tentative de putsch, a précisé une source sécuritaire.- “Frayeur” -“On veut juste que la paix soit préservée au Bénin. Tout ce qu’on demande, c’est la stabilité. Le coup a été déjoué, Dieu merci. Mais il faut penser quoi faire pour que ce genre de chose ne se reproduise plus”, a affirmé à l’AFP, Adam Aminou, un vendeur de la capitale économique béninoise.”Cela a été quelques minutes de frayeur. On a vraiment cru en voyant la déclaration tourner en boucle à la télé que c’était vraiment un coup d’Etat et que notre pays allait basculer comme certains de nos voisins”, abonde Jennifer Adokpéto, enseignante à la retraite.L’Union africaine (UA) a condamné “fermement et sans équivoque” cette tentative de coup d’Etat, appelant “tous les acteurs impliqués à cesser immédiatement toutes actions illégales”.De son côté, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a également condamné “fermement” une “action anticonstitutionnelle qui constitue une subversion de la volonté du peuple béninois”, disant “soutenir le gouvernement et le peuple (béninois) par tous les moyens nécessaires, y compris le déploiement de la force régionale en attente”.L’histoire politique du Bénin a été jalonnée de plusieurs coups d’Etat ou tentatives, mais le dernier remonte à 1972.Patrice Talon, au pouvoir depuis 2016, arrivera en 2026 au terme de son second mandat, le maximum autorisé par la Constitution.Son dauphin désigné, l’actuel ministre des Finances Romuald Wadagni, fait figure d’ultra-favori pour la présidentielle d’avril 2026, le principal parti d’opposition ayant été écarté de la course.”Il y a une tension perceptible dans le pays depuis des mois du fait des élections”, pointe Anatole Zinsou, informaticien à Cotonou qui déplore “l’exclusion” de certains acteurs des processus électoraux.S’il est salué pour le développement économique du Bénin, Patrice Talon est régulièrement accusé par ses détracteurs d’avoir opéré un virage autoritaire dans un pays autrefois salué pour le dynamisme de sa démocratie.

Les Hongkongais en nombre restreint aux urnes après un incendie meurtrier

Les Hongkongais se sont rendus en nombre restreint aux urnes dimanche pour élire leurs parlementaires selon les nouvelles règles imposées par Pékin, les efforts du gouvernement en vue d’encourager la participation ayant été éclipsés par l’incendie très meurtrier d’un complexe résidentiel.Les autorités chinoises ont réformé le système électoral de Hong Kong en 2021 afin de garantir que seuls les “patriotes” puissent occuper des fonctions publiques et ont considérablement réduit le nombre des sièges – actuellement 20 sur 90 – pourvus au suffrage direct au Conseil législatif.Et ce à la suite des vastes manifestations en faveur de la démocratie, parfois violentes, qui ont secoué cette ex-colonie britannique rétrocédée près d’un quart de siècle plus tôt à la Chine, dont elle est aujourd’hui un territoire à statut spécial. Le premier scrutin qui y avait été organisé cette même année en application de ces nouvelles règles avait été marqué par un taux de participation historiquement bas de 30%. Dimanche, celui-ci a été, d’après les chiffres officiels publiés par le bureau électoral, à peine plus élevé avec 31,9%.Environ 1,3 million des 4,1 millions d’électeurs inscrits ont voté, selon les chiffres publiés en ligne tôt lundi matin.La campagne électorale avait été interrompue fin novembre peu après qu’un incendie avait ravagé des tours d’habitation de Wang Fuk Court, dans le nord de Hong Kong, faisant au moins 159 morts. – Après la catastrophe -Une femme, Mme Poon, dont le logement a été détruit par les flammes, a estimé auprès de l’AFP que cette tragédie devait faire l’objet d’une enquête approfondie, qu’il fallait punir “les responsables” et que les prochains parlementaires devraient surveiller l’action du gouvernement.”Certaines voix de groupes de l’opposition, si tant est qu’ils aiment leur pays et Hong Kong, devraient avoir la possibilité de s’exprimer” au sujet de cet incendie survenu le 26 novembre, a quant à elle lancé Kitty Lau, une sexagénaire qui a assisté de son domicile au sinistre.”Votre vote est un vote qui fait avancer les réformes et protège les personnes touchées par la catastrophe”, a dit devant la presse le chef de l’exécutif local, John Lee, après avoir voté, exhortant la population à l’imiter.Jacky Lam, un enseignant de 56 ans, considère quant à lui que la priorité absolue du gouvernement devrait être de trouver des solutions de relogement adéquates et que les parlementaires “devraient rencontrer régulièrement les habitants pour recueillir leur opinion”.L’exécutif évoquera les mesures d’aide et de reconstruction au cours de la première séance du nouveau Conseil législatif, a à cet égard fait valoir John Lee.Il avait déjà annoncé la création d’une “commission indépendante” présidée par un juge chargée d’enquêter sur l’incendie qui a ravagé sept immeubles en train d’être rénovés.- Arrestations -L’organisme chargé de la lutte contre la corruption à Hong Kong a pour sa part dit avoir arrêté dimanche quatre personnes pour en avoir incité d’autres à ne pas voter ou à déposer des bulletins nuls, portant à 11 le nombre total des arrestations pour ces mêmes motifs.La police a quant à elle interpellé au moins 15 employés de différentes entreprises de BTP dans le cadre de son enquête sur le 26 novembre et, semble-t-il, au moins trois personnes soupçonnées de “sédition”.Elle a en outre fait état samedi de l’arrestation d’un homme de 71 ans pour “entrave à une enquête de sécurité nationale”, une première à Hong Kong.L’agence de sécurité nationale chinoise dans ce territoire (OSNS) a convoqué samedi des représentants des médias internationaux, dont l’AFP, leur reprochant d’avoir diffusé de fausses informations dans leurs reportages sur la couverture de l’incendie.Avant 2021, des élections législatives avaient été marquées par de violents affrontements entre les partisans de Pékin et ceux de la démocratie, ces derniers ayant souvent remporté environ 60% des suffrages.Mais le gouvernement chinois avait imposé en 2020 une loi de sécurité nationale draconienne, étouffant la dissidence, après que Hong Kong eut été secoué l’année d’avant par des manifestations de grande ampleur.Depuis, certains députés militant pour la démocratie ont été emprisonnés, d’autres ont démissionné ou ont fui Hong Kong.Dimanche, les autorités avaient élargi la plage horaire d’ouverture des bureaux de vote (07H30-23H30) et les trains devaient circuler plus tard dans ce territoire recouvert depuis des semaines d’affiches de campagne.Ce scrutin se déroulait à nouveau sans les deux principaux partis pro-démocratie : le Parti civique, dissous en 2023, et le Parti démocrate, en déclin.burs/bds/dsa/lpt/ib

Netanyahu expects to move to Gaza truce second phase soon

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu announced Sunday he expected the second phase of the US-sponsored ceasefire plan for Gaza to begin soon, and said he would meet President Donald Trump this month.The truce, in effect since October 10, has halted the war that began after Hamas’s deadly attack on Israel on October 7, 2023.But it remains delicate as Israel and Hamas accuse each other of violations.Under the terms of the ceasefire that entered into force on October 10, Palestinian militants committed to releasing the remaining 47 living and dead captives seized on their October 7, 2023 attack on Israel.All of the hostages have so far been released except for the body of an Israeli police officer.Speaking after meeting German Chancellor Friedrich Merz in Jerusalem, Netanyahu said: “We very shortly expect to move into the second phase, which is more difficult.”The plan’s initial steps saw Israeli troops withdraw to positions behind a so-called “Yellow Line” in Gaza, though still in control of more than half the territory.Israel’s army chief, Lieutenant General Eyal Zamir, said the demarcation line is a “new border line”, the military quoted him as saying later Sunday.The second stage of the Gaza truce plan concerns disarming Hamas, the further withdrawal of Israeli forces as a transitional authority is established, and the deployment of an international stabilisation force.A final goal of the agreement is the withdrawal of Israeli forces from Gaza in phases if certain conditions are met.”We have a second phase, no less daunting, and that is to achieve the disarmament of Hamas and the demilitarisation of Gaza,” Netanyahu said.- Flurry of aid diplomacy -Qatar and Egypt, which helped secure the long-elusive truce, called Saturday for the next steps to be taken including the withdrawal of Israeli troops.Hamas said on the same day it was ready to hand over its weapons in Gaza to a Palestinian authority on the condition that the Israeli army’s occupation ends.Netanyahu also said he would meet Trump later in December to discuss “opportunities for peace” in the region.The meeting is expected to take place in Washington after the premier’s office said Trump invited Netanyahu to the White House during a phone call Monday.Before Israel, Germany’s Merz was in Jordan where he urged more humanitarian aid to flow into Gaza.EU foreign policy chief Kaja Kallas and US ambassador to the UN Mike Waltz were also in Jordan Sunday to discuss humanitarian aid for the territory.Waltz is due to travel to Israel after Jordan.- Germany reaffirms support -The German leader, who took power in May this year, has repeatedly criticised Israel’s relentless military campaign in Gaza, which according to the health ministry in the Hamas-run territory killed tens of thousands of Palestinians. The war was sparked by the October 2023 attack by Hamas on Israel, which resulted in the deaths of 1,221 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures.Merz urged the implementation of the plan’s next steps while reaffirming Berlin’s support for Israel during a visit to the Yad Vashem Holocaust memorial in Jerusalem.”Germany must stand up for the existence and security of Israel,” Merz said, after acknowledging his country’s “enduring historical responsibility” for the mass extermination of Jews during the Second World War.During the press conference with Netanyahu, Merz said criticism of Israel was “possible and sometimes perhaps even necessary”. “The relationship between Germany and Israel can withstand that. But criticism of the policies of the Israeli government must not be misused as a pretext for antisemitism,” he added.Merz also underscored German support for a two-state solution.- ICC warrant -Germany had in August moved to restrict German sales of weapons for use in Gaza but has since lifted those export restrictions following the ceasefire.Despite the truce, more than 360 Palestinians have been killed in Gaza, according to local health authorities, as well as three Israeli soldiers. Although Merz’s public criticism of Israel was unusual for a German leader, it was measured by international standards.Nevertheless, Merz said he did not discuss the possibility of Netanyahu’s visit to Germany with the prime minister.The Israeli leader faces an arrest warrant for alleged war crimes in Gaza from the International Criminal Court (ICC). “I am not going there because of an ICC decision,” Netanyahu said.Merz this year vowed to invite the Israeli leader and told him he would not be arrested.burs-glp-raz/jfx