Féminicide en Isère: une marche blanche en hommage à Zaia

Un millier de personnes ont marché dimanche dans le plus grand silence dans les rues de Crémieu, dans le nord de l’Isère, en hommage à Zaia Binet, tuée le 19 novembre, a constaté un journaliste de l’AFP.”C’est encore plus difficile de faire un deuil quand on sait que c’est ça” (un féminicide), a déclaré à l’AFP Amandine Rosset, amie de Zaia, défilant derrière une banderole géante évoquant “la lumière” qu’irradiait la jeune femme.Le corps de la femme âgée de 27 ans avait été découvert calciné, le 19 novembre, dans une voiture en feu, à Saint-Marcel-Bel-Accueil, au sud-est de Lyon.La jeune femme travaillait comme aide soignante dans un Ephad. Son compagnon a été mis en examen et a partiellement reconnu les faits.”On se rend compte, on se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres. Et puis là, quand ça nous touche personnellement, on a vraiment tous envie d’être unis pour cette cause”, ajoute Amandine Rosset.”Ce genre de décès dépasse l’entendement. Donc oui, un phénomène de colère. Oui, la volonté que justice soit faite. Et puis au-delà de ça, on sait que le nombre de violences faites aux femmes a considérablement augmenté depuis 2020. Et il est temps de prendre des mesures concrètes”, a déclaré Isabelle Flores, maire de Crémieu.”Merci d’avoir été présents à chacun. Merci beaucoup”, a lancé la mère de Zaia, Myriam Binet.

Présidentielle au Honduras : l’ombre de Trump sur un scrutin indécis

Les électeurs du Honduras sont appelés dimanche à choisir entre la continuité d’un gouvernement de gauche ou le retour de la droite, dont un candidat à la présidence est soutenu par Donald Trump, qui s’est immiscé dans le scrutin.Trois candidats sur les cinq en lice sont au coude-à-coude dans les sondages, rendant incertain le scrutin à un tour et l’acceptation des résultats en cas de score serré.Les bureaux de vote ont ouvert à 07H00 locales (13H00 GMT) et fermeront à 23H00 GMT. Le conseil national électoral prévoit de dévoiler des résultats préliminaires dans la soirée.Le parti Liberté et Refondation (Libre) de la gauche au pouvoir a déjà annoncé qu’il ne les reconnaîtrait pas, acceptant seulement le décompte total qui pourrait prendre des jours.Quelque 6,5 millions de Honduriens doivent élire le successeur de la présidente Xiomara Castro, ainsi que 128 députés et des centaines de maires pour les quatre prochaines années.”Je vote pour qui me plaît, pas pour ce que Trump a dit, car la vérité, c’est que je vis de mon travail, pas des politiciens”, a déclaré à l’AFP Esmeralda Rodríguez, 56 ans, qui vend des fruits sur un marché de Tegucigalpa.L’avocate Rixi Moncada, 60 ans, candidate de Libre, affronte deux candidats de droite : la star du petit écran Salvador Nasralla, 72 ans, du Parti libéral (PL), qui se présente pour la troisième fois, et l’entrepreneur Nasry Asfura, 67 ans, du Parti national (PN), qui a reçu le soutien inattendu de Donald Trump. – “Narco-communistes”-Non content de le qualifier de “seul vrai ami de la liberté”, le président américain a assuré qu’il “ne pourrait pas travailler” avec Rixi Moncada “et les communistes” et qu’il ne faisait “pas confiance” à Salvador Nasralla.”Tito (ndlr: Nasry Asfura) et moi pouvons travailler ensemble pour lutter contre les +narco-communistes+ et apporter au peuple du Honduras l’aide dont il a besoin”, a encore écrit M. Trump.M. Asfura, entrepreneur de BTP et ancien maire de Tegucigalpa, concourt sous la bannière du parti de l’ancien président Juan Orlando Hernández (2014-2022), qui purge aux Etats-Unis une peine de 45 ans de prison pour trafic de drogue.Donald Trump a annoncé vendredi qu’il allait accorder à ce dernier “une grâce totale et absolue”.Mme Moncada a dénoncé samedi l’ingérence de M. Trump: “Il n’y a aucun doute qu’il y a deux actions concrètes, à trois jours des élections, qui sont totalement interventionnistes.””Chacun répond pour ses actes”, a balayé M. Asfura, dont le nom a été cité dans des affaires de corruption et dans des dossiers d’évasion fiscale au Panama.”J’allais voter pour Tito Asfura, mais maintenant non, je ne veux pas qu’ils ruinent davantage le pays. Nous ne voulons pas de narcotrafiquants”, a indiqué à l’AFP Julio Sevilla, 74 ans, à son bureau de vote.- Fortes tensions politiques -Le président américain a adopté une posture résolument interventionniste en Amérique latine, n’hésitant pas à conditionner l’aide américaine à la bonne volonté des gouvernements et à ses affinités avec leurs dirigeants.Ainsi, il a assuré que “s’il (Asfura) ne remporte pas les élections, les Etats-Unis ne gaspilleront pas leur argent”.M. Asfura mène sa seconde campagne présidentielle après avoir échoué en 2021 face à Xiomara Castro. Il a également reçu le soutien du président argentin et allié de Trump, Javier Milei.Le scrutin se tient dans un contexte de fortes tensions politiques.Rixi Moncada reproche à ses rivaux de droite d’être les “marionnettes de l’oligarchie putschiste”. MM. Nasralla et Asfura, qui ont tous les deux des parents d’origine palestinienne, la qualifient de “communiste” alliée du Venezuela et de Cuba.La droite et la gauche s’accusent mutuellement de préparer une fraude, dans un pays dépourvu d’arbitre électoral indépendant, et même si l’Organisation des Etat américains (OEA) et l’UE ont dépêché des observateurs.- Pauvreté et violence -Les candidats ont à peine abordé les préoccupations des Honduriens, la pauvreté et la violence.Nasry Asfura a promis d’attirer des investissements, M. Nasralla de soutenir l’industrie et l’agriculture, et Mme Moncada de taxer les élites économiques.Près des deux tiers des 11 millions de Honduriens vivent dans la pauvreté, et 27% du PIB du pays est abondé par les envois de fonds des Honduriens vivant aux Etats-Unis, soit 10 milliards de dollars.Mais l’administration Trump a expulsé cette année environ 27.000 Honduriens et révoqué le statut de protection temporaire de 51.000 ressortissants.Érika Reyes, commerçante de 33 ans, espère pour sa part que le soutien de Trump à Asfura aidera les migrants : “Qu’il cesse de les poursuivre, leur donne du travail et leur ouvre les portes”.Le Honduras est l’un des pays les plus violents de la région, avec 26,8 homicides pour 100.000 habitants, malgré une baisse due à l’instauration d’un état d’urgence par la présidente Castro.La corruption et les liens avec le narcotrafic sont un autre défi de taille. Les trois partis favoris du scrutin ont été éclaboussés par des accusations. 

Afghan suspect in Washington shooting likely radicalized in US: security official

The Afghan suspect in the shooting of two National Guard members in Washington may have been radicalized after entering the US, Homeland Security Secretary Kristi Noem said when questioned about his motive on Sunday talk shows.Rahmanullah Lakanwal, 29, faces a first-degree murder charge in the November 26 shooting that left a 20-year-old guardsman dead and another critically wounded.”I will say we believe he was radicalized since he’s been here in this country,” Noem said on NBC’s “Meet the Press.” “We do believe it was through connections in his home community and state, and we’re going to continue to talk to those who interacted with him, who were his family members, who talk to them,” said Noem during a separate interview on ABC.Lakanwal entered the United States in 2021 as part of a massive airlift by then-president Joe Biden’s administration during the US military withdrawal and subsequent return to power of Taliban forces.A resident of the western US state of Washington, Lakanwal allegedly drove cross-country to carry out the shooting a few blocks from the White House — an attack that shocked Americans on the eve of the Thanksgiving holiday. Officials from President Donald Trump’s administration, which reportedly granted Lakanwal US asylum in April 2025, have blamed Biden’s administration for lax vetting during the Afghan airlift.Noem told ABC’s “This Week” that Lakanwal was “maybe vetted” after entering the United States but said it was “not done well.””Crooked Joe Biden, Mayorkas, and so-called ‘Border Czar’ Kamala Harris really screwed our Country by letting anyone and everyone come in totally unchecked and unvetted!” Trump said in a post on his Truth Social platform Sunday. Officials said that before coming to the United States, Lakanwal had served in a CIA-backed Afghan “partner force” unit fighting the Taliban. US government officials have since suspended visas for all Afghan nationals and frozen decisions in all asylum cases.

Afghan suspect in Washington shooting likely radicalized in US: security official

The Afghan suspect in the shooting of two National Guard members in Washington may have been radicalized after entering the US, Homeland Security Secretary Kristi Noem said when questioned about his motive on Sunday talk shows.Rahmanullah Lakanwal, 29, faces a first-degree murder charge in the November 26 shooting that left a 20-year-old guardsman dead and another critically wounded.”I will say we believe he was radicalized since he’s been here in this country,” Noem said on NBC’s “Meet the Press.” “We do believe it was through connections in his home community and state, and we’re going to continue to talk to those who interacted with him, who were his family members, who talk to them,” said Noem during a separate interview on ABC.Lakanwal entered the United States in 2021 as part of a massive airlift by then-president Joe Biden’s administration during the US military withdrawal and subsequent return to power of Taliban forces.A resident of the western US state of Washington, Lakanwal allegedly drove cross-country to carry out the shooting a few blocks from the White House — an attack that shocked Americans on the eve of the Thanksgiving holiday. Officials from President Donald Trump’s administration, which reportedly granted Lakanwal US asylum in April 2025, have blamed Biden’s administration for lax vetting during the Afghan airlift.Noem told ABC’s “This Week” that Lakanwal was “maybe vetted” after entering the United States but said it was “not done well.””Crooked Joe Biden, Mayorkas, and so-called ‘Border Czar’ Kamala Harris really screwed our Country by letting anyone and everyone come in totally unchecked and unvetted!” Trump said in a post on his Truth Social platform Sunday. Officials said that before coming to the United States, Lakanwal had served in a CIA-backed Afghan “partner force” unit fighting the Taliban. US government officials have since suspended visas for all Afghan nationals and frozen decisions in all asylum cases.

Afghan suspect in Washington shooting likely radicalized in US: security official

The Afghan suspect in the shooting of two National Guard members in Washington may have been radicalized after entering the US, Homeland Security Secretary Kristi Noem said when questioned about his motive on Sunday talk shows.Rahmanullah Lakanwal, 29, faces a first-degree murder charge in the November 26 shooting that left a 20-year-old guardsman dead and another critically wounded.”I will say we believe he was radicalized since he’s been here in this country,” Noem said on NBC’s “Meet the Press.” “We do believe it was through connections in his home community and state, and we’re going to continue to talk to those who interacted with him, who were his family members, who talk to them,” said Noem during a separate interview on ABC.Lakanwal entered the United States in 2021 as part of a massive airlift by then-president Joe Biden’s administration during the US military withdrawal and subsequent return to power of Taliban forces.A resident of the western US state of Washington, Lakanwal allegedly drove cross-country to carry out the shooting a few blocks from the White House — an attack that shocked Americans on the eve of the Thanksgiving holiday. Officials from President Donald Trump’s administration, which reportedly granted Lakanwal US asylum in April 2025, have blamed Biden’s administration for lax vetting during the Afghan airlift.Noem told ABC’s “This Week” that Lakanwal was “maybe vetted” after entering the United States but said it was “not done well.””Crooked Joe Biden, Mayorkas, and so-called ‘Border Czar’ Kamala Harris really screwed our Country by letting anyone and everyone come in totally unchecked and unvetted!” Trump said in a post on his Truth Social platform Sunday. Officials said that before coming to the United States, Lakanwal had served in a CIA-backed Afghan “partner force” unit fighting the Taliban. US government officials have since suspended visas for all Afghan nationals and frozen decisions in all asylum cases.

Pastor, bride among 26 kidnapped as Nigeria reels from raidsSun, 30 Nov 2025 17:19:38 GMT

Armed men have kidnapped 26 people including a pastor and a bride in two separate raids in Nigeria, the latest in a string of mass abductions to rock the west African country.A gang of criminals abducted the clergyman along with 11 worshippers on Sunday after storming an out-of-the-way rural church in Ejiba, in central Nigeria’s …

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Évasion de Dijon: un complice interpellé à Besançon, le dernier fugitif toujours en fuite

Un complice présumé de l’évadé encore en fuite, après la double évasion de la prison de Dijon jeudi, a été interpellé dimanche à Besançon lors d’une vaste opération policière qui n’a cependant pas permis de retrouver le dernier fugitif, a indiqué le parquet.Une opération de police, menée ce dimanche matin à Besançon, a mobilisé “plus d’une trentaine de fonctionnaires spécialisés dans l’intervention et dans l’investigation”, a indiqué dans un communiqué le procureur de la République à Dijon, Olivier Caracotch.Elle visait le dernier fugitif, le plus dangereux, encore en cavale après s’être évadé de la maison d’arrêt, mais “elle n’a pas permis” de l’appréhender, regrette le procureur, qui “déplore que les surveillances menées sur place depuis la veille par les services d’enquête aient été rendues publiques avant le déclenchement de l’opération de police”. Interrogé sur BFM, le ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez, a dit “ne pas douter un instant” que ce dernier fugitif sera retrouvé.Cet évadé, considéré comme “dangereux”, n’est âgé que de 19 ans mais il a déjà été condamné à une dizaine de reprises pour des violences aggravées et enlèvement notamment. Il se situe “dans le registre de la criminalité organisée”, a récemment indiqué le parquet de Montbéliard (Doubs), qui instruit l’affaire contre lui.Il était en détention provisoire à Dijon après avoir été mis en examen pour tentative d’assassinat et association de malfaiteurs.En revanche, l’opération menée à Besançon a permis l’interpellation d’un Bisontin âgé de 19 ans, un des proches du dernier fugitif et par ailleurs ex-codétenu. Il a été placé en garde à vue pour complicité d’évasion en bande organisée et association de malfaiteurs, a ajouté le procureur. L’autre évadé de la prison de Dijon, âgé de 32 ans et qui était en détention provisoire pour violences conjugales, a été repris 24 heures seulement après sa cavale. Il était dimanche en cours de présentation à un juge en vue de sa mise en examen pour “évasion en bande organisée et association de malfaiteurs”. Une complice présumée de 25 ans a elle aussi été présentée et mise en examen pour “complicité d’évasion en bande organisée” et “association de malfaiteurs”. Elle a été placée en détention provisoire.La jeune femme a affirmé que “l’homme l’ayant appelée lui avait déclaré qu’il avait été libéré légalement de détention et qu’il était accompagné d’un ami”. Lors d’une perquisition à son domicile, des drones ont été découverts mais la mise en cause conteste qu’ils aient pu servir à des livraisons illicites en prison. Jeudi tôt dans la matinée, les deux détenus s’étaient évadés de la maison d’arrêt de Dijon, un établissement vétuste, en sciant les barreaux de leur cellule avec une simple lame de scie à métaux, vraisemblablement livrée par drone.

Évasion de Dijon: un complice interpellé à Besançon, le dernier fugitif toujours en fuite

Un complice présumé de l’évadé encore en fuite, après la double évasion de la prison de Dijon jeudi, a été interpellé dimanche à Besançon lors d’une vaste opération policière qui n’a cependant pas permis de retrouver le dernier fugitif, a indiqué le parquet.Une opération de police, menée ce dimanche matin à Besançon, a mobilisé “plus d’une trentaine de fonctionnaires spécialisés dans l’intervention et dans l’investigation”, a indiqué dans un communiqué le procureur de la République à Dijon, Olivier Caracotch.Elle visait le dernier fugitif, le plus dangereux, encore en cavale après s’être évadé de la maison d’arrêt, mais “elle n’a pas permis” de l’appréhender, regrette le procureur, qui “déplore que les surveillances menées sur place depuis la veille par les services d’enquête aient été rendues publiques avant le déclenchement de l’opération de police”. Interrogé sur BFM, le ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez, a dit “ne pas douter un instant” que ce dernier fugitif sera retrouvé.Cet évadé, considéré comme “dangereux”, n’est âgé que de 19 ans mais il a déjà été condamné à une dizaine de reprises pour des violences aggravées et enlèvement notamment. Il se situe “dans le registre de la criminalité organisée”, a récemment indiqué le parquet de Montbéliard (Doubs), qui instruit l’affaire contre lui.Il était en détention provisoire à Dijon après avoir été mis en examen pour tentative d’assassinat et association de malfaiteurs.En revanche, l’opération menée à Besançon a permis l’interpellation d’un Bisontin âgé de 19 ans, un des proches du dernier fugitif et par ailleurs ex-codétenu. Il a été placé en garde à vue pour complicité d’évasion en bande organisée et association de malfaiteurs, a ajouté le procureur. L’autre évadé de la prison de Dijon, âgé de 32 ans et qui était en détention provisoire pour violences conjugales, a été repris 24 heures seulement après sa cavale. Il était dimanche en cours de présentation à un juge en vue de sa mise en examen pour “évasion en bande organisée et association de malfaiteurs”. Une complice présumée de 25 ans a elle aussi été présentée et mise en examen pour “complicité d’évasion en bande organisée” et “association de malfaiteurs”. Elle a été placée en détention provisoire.La jeune femme a affirmé que “l’homme l’ayant appelée lui avait déclaré qu’il avait été libéré légalement de détention et qu’il était accompagné d’un ami”. Lors d’une perquisition à son domicile, des drones ont été découverts mais la mise en cause conteste qu’ils aient pu servir à des livraisons illicites en prison. Jeudi tôt dans la matinée, les deux détenus s’étaient évadés de la maison d’arrêt de Dijon, un établissement vétuste, en sciant les barreaux de leur cellule avec une simple lame de scie à métaux, vraisemblablement livrée par drone.

Kohli stars as India beat South Africa in first ODI

Star batsman Virat Kohli hit a record-extending 52nd one-day century to set up India’s 17-run win over a spirited South Africa in the first match on Sunday.Kohli’s 135 came off 120 balls and he shared a second-wicket partnership of 136 with fellow stalwart Rohit Sharma to set India on course for 349-8 in the eastern city of Ranchi.Number eight Corbin Bosch made a valiant 67 off 51 balls as South Africa fought until almost the end. Entering the 50th over, the visitors needed 18 for victory with one wicket left. Bosch fell on the second ball and South Africa were 332 all out.Matthew Breetzke, who made 72, and Marco Jansen, with 70, put on a fighting stand of 97 for the sixth wicket to revived the chase after South Africa slipped to 11-3 and then 77-4.Left-arm wrist spinner Kuldeep Yadav stood out with figures of 4-68 in the high-scoring contest.His double strike to remove Jansen and Breetzke in the space of three balls was the turning point for India who took 1-0 lead in the three-match series.The 37-year-old Kohli remained the hero with his 83rd ton across the three international formats after he raised his hundred with a boundary off Jansen and lifted his bat to a raucous home crowd.”If you’ve played 300-odd games and so much cricket, you know when you’re hitting balls in practice, you know the reflexes are there and the physical ability is there to bat long,” player of the match Kohli said.”As long as you’re hitting the ball well and playing good cricket, it’s about physically fit, mentally ready and excited.”- Kohli mania -An Indian fan breached security and raced to the pitch to touch Kohli’s feet before he was dragged away.Kohli has the most ODI hundreds, with Indian great Sachin Tendulkar second with 49.The Indian cricket star tops the list of hundreds in a single format with Tendulkar’s count in Tests being 51.Kohli and 38-year-old Rohit, who made 57, only play the 50-over format after they retired from T20 and Test cricket.Their presence boosted India, led by KL Rahul in the absence of the injured Shubman Gill, after a 2-0 Test whitewash against South Africa.Rohit lost fellow opener Yashasvi Jaiswal early for 18 but Kohli walked in to a huge roar from a 38,000-strong capacity crowd.The pair steadied the innings and then took on the bowlers before Rohit was trapped lbw by Jansen.Rohit hit three sixes in his 51-ball knock. That took him to 352 sixes in this format, overtaking Pakistan batter Shahid Afridi’s recird of 351.Kohli switched gears soon after reaching his first hundred since February. He hit off-spinner Prenelan Subrayen for two fours and two sixes in a 21-run 39th over.He finally fell to Nandre Burger, caught by Ryan Rickelton, after hitting 11 fours and seven sixes.Rahul kept up the attack with 60 off 56 balls, while Ravindra Jadeja made 32 off 20.In the end Bosch’s first ODI half-century made it a close contest and much to look forward ahead of the next match is Wednesday in Raipur.”Great to sit in the change room and watch the guys do their thing,” stand-in-skipper Aiden Markram said. “Never losing the belief that we can pull off a rabbit from the hat.”