Aftershocks rock Bangladesh as quake death toll rises to 10

Two minor tremors hit Bangladesh on Saturday, a day after a powerful earthquake struck outside the capital Dhaka and killed at least 10 people.A 3.3-magnitude jolt was recorded in Narshingdi district, east of Dhaka, in the morning, followed by a 4.3-magnitude quake that struck the capital around 6:00 pm (1200 GMT), according to the Bangladesh Meteorological Department.Dhaka resident Tasnuba Sharmin Sharna, 32, said her children started screaming as the furniture in their apartment began shaking.”We are praying to God for mercy,” Sharna told AFP.Friday’s deadly earthquake was felt in Dhaka and neighbouring districts, causing widespread destruction.Updating earlier tolls from the 5.5-magnitude quake, disaster management official Ishtiaqe Ahmed told AFP that “the number of casualties has reached 10, while a few hundreds were injured”.There were no immediate reports of casualties on Saturday, but the aftershocks — which are common after major earthquakes — have added to fears of an even greater disaster.”I don’t feel safe yet, as there was another jolt this morning… Maybe we are next,” said Shahnaj Parvin, 44, who lives near the epicentre of Friday’s earthquake and told AFP she had never experienced such a tremor.Cracks have developed in dozens of houses in her area, she said.”I was hanging my children’s clothes on the washing line when the tremor struck,” added Parvin.”I held onto a mahogany tree, and when I returned home, I found my glassware broken.”The government has activated Bangladesh’s emergency operation centre to assess the scale of the damage and to coordinate relief and rescue operations.Rubayet Kabir of the Meteorological Department’s Earthquake Observation and Research Center said Bangladesh’s geography makes the country of 170 million people prone to quakes.”That’s why we experience earthquakes quite frequently, though they are not as strong as the one” on Friday, he told AFP.”Some small tremors are expected after any major earthquake,” Kabir said.”There has been no massive earthquake in the last 100 years or more, but Bangladesh has been vulnerable for quite some time.”

Après dix mois d’errance, des réfugiés à Tulkarem attendent de rentrer chez eux

Plusieurs mois après avoir été forcé de quitter un camp de réfugiés de Tulkarem, en Cisjordanie occupée, le Palestinien Hakam Irhil ignore s’il pourra un jour y retourner, une opération militaire lancée en janvier par l’armée israélienne étant toujours en cours.Hakam Irhil, 41 ans, affirme que sa maison a été démolie pendant l’opération “Iron Wall” …

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L’Ukraine va entamer des “consultations” en Suisse avec les Américains sur un “futur accord de paix” avec Moscou

L’Ukraine va mener prochainement des pourparlers en Suisse avec les Etats-Unis pour discuter du plan de Donald Trump pour mettre fin à la guerre avec la Russie, a annoncé samedi un haut responsable ukrainien.”Dans les prochains jours, nous lancerons en Suisse des consultations entre de hauts responsables ukrainiens et américains sur les paramètres possibles d’un …

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L’élue de la droite américaine Greene démissionne du Congrès après sa rupture avec Trump

La parlementaire américaine Marjorie Taylor Greene, figure de la droite radicale et qui fut un soutien indéfectible de Donald Trump, a annoncé vendredi soir sa démission de la Chambre des représentants, après la rupture du président avec celle qui a dénoncé sa gestion du scandale sexuel Epstein.Une décision aussitôt qualifiée de “bonne nouvelle” par Donald …

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Le budget rejeté à la quasi-unanimité mais le gouvernement croit encore à un accord

Un compromis est-il encore possible sur le budget de l’Etat après son rejet à la quasi-unanimité par l’Assemblée nationale ? Le gouvernement répond par l’affirmative samedi tandis que des options alternatives pour assurer la continuité des finances publiques en l’absence d’accord sont de plus en plus évoquées.Fait inédit dans la Ve République, la quasi-totalité de l’Assemblée s’est opposée dans la nuit de vendredi à samedi au projet de budget de l’Etat, un vote sans surprise mais qui augure mal de son adoption avant la fin de l’année.S’il a fustigé sur les réseaux sociaux la “stratégie destructrice” du RN et de LFI, le ministre de l’Economie Roland Lescure s’est pourtant dit convaincu “qu’un compromis peut se construire”.Un avis partagé par la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin qui assure qu’elle ne cédera pas “à la résignation” et que “des consensus peuvent aboutir”.Après 125 heures de débats parfois houleux sur la fiscalité du patrimoine, ou celle des grandes entreprises, 404 députés ont rejeté la partie “recettes” du texte (un pour, 84 abstentions), emportant ainsi l’ensemble du projet de loi, sans même étudier la partie “dépenses”.Les groupes de gauche et le RN ont voté contre, ceux du camp gouvernemental se sont divisés entre votes contre et abstentions. Seul à voter pour, le député du groupe centriste Liot Harold Huwart (Eure-et-Loir).L’Assemblée avait déjà rejeté en 2024 le budget de l’État, de manière inédite sous la Ve République. Mais c’est une première qu’il le soit avec une telle ampleur.Le camp gouvernemental a largement invoqué les mesures fiscales votées par les oppositions – “des horreurs économiques”, selon Paul Midy (Renaissance) – pour justifier son absence de soutien au texte de l’exécutif. Le Premier ministre Sébastien Lecornu a lui pointé vendredi des “coups tactiques des extrêmes qui rendent la copie insincère”.Le PS, qui a accepté de ne pas censurer le Premier ministre en échange de la suspension de la réforme des retraites et d’un abandon du 49.3, espérait que les débats permettent d’arracher une mesure de justice fiscale, “taxe Zucman” ou succédané.Des propositions repoussées. Et la taxe sur les holdings proposée par le gouvernement a même été édulcorée à l’initiative de la droite. Les socialistes avaient aussi arraché le vote d’un Impôt sur la fortune improductive, à l’écriture bancale.- “Le compte n’y est pas” -Les députés ont en outre adopté une hausse de deux milliards d’euros de la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises, un doublement de la taxe sur les géants du numérique, ou encore le plafonnement de certaines niches fiscales.Mais “le compte n’y est pas”, a lancé Boris Vallaud (PS), estimant les “recettes” insuffisantes pour “effacer” des économies irritantes sur les politiques publiques. Le PS continuera toutefois à “chercher le compromis”, a promis le socialiste, dont l’attitude a été fustigée sur X par le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon. “Incohérents et bordélisateurs, même la macronie et les socialistes n’ont pas défendu leur œuvre”, a-t-il écrit, appelant à “en finir avec une présidence de faillites”. Pour sa part, Marine Le Pen a estimé sur le même réseau social que le vote des députés “ne peut avoir qu’une conclusion : la démission du gouvernement et la dissolution afin que le peuple se choisisse une majorité d’alternance”.Le budget va désormais être examiné par le Sénat, qui devrait en débattre dans l’hémicycle dès jeudi, en repartant du projet initial du gouvernement.Son adoption par le Parlement apparaît désormais comme une gageure, en termes de délai – avant la fin de l’année -, comme en termes de majorité pour le voter. Le rapporteur général du budget Philippe Juvin (LR) suggère au gouvernement de recourir finalement à l’article 49.3 de la Constitution, pour faire passer un budget avant le 31 décembre. Le pari étant qu’il serait plus facile pour le PS de ne pas censurer le gouvernement que de voter pour un budget de compromis, traditionnel marqueur de l’appartenance à une majorité.Le gouvernement peut aussi faire adopter une “loi spéciale”, sorte de reconduction du budget 2025 qui permettrait de percevoir les impôts existants, avant de reprendre les débats parlementaires en début d’année.C’est l’hypothèse la “plus probable”, a estimé samedi matin sur France 2 Eric Coquerel, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale.Un scénario également privilégié par plusieurs cadres du camp gouvernemental, mais Sébastien Lecornu a estimé encore vendredi que ce n’était “pas la solution”.Le gouvernement écarte aussi a priori l’hypothèse des ordonnances, ces textes qui permettent à l’exécutif d’imposer des mesures sans passer par le Parlement. Elles n’ont jamais été utilisées pour un projet de budget depuis le début de la Ve République.sl-are-sac-hr/arz/swi

Le budget rejeté à la quasi-unanimité mais le gouvernement croit encore à un accord

Un compromis est-il encore possible sur le budget de l’Etat après son rejet à la quasi-unanimité par l’Assemblée nationale ? Le gouvernement répond par l’affirmative samedi tandis que des options alternatives pour assurer la continuité des finances publiques en l’absence d’accord sont de plus en plus évoquées.Fait inédit dans la Ve République, la quasi-totalité de l’Assemblée s’est opposée dans la nuit de vendredi à samedi au projet de budget de l’Etat, un vote sans surprise mais qui augure mal de son adoption avant la fin de l’année.S’il a fustigé sur les réseaux sociaux la “stratégie destructrice” du RN et de LFI, le ministre de l’Economie Roland Lescure s’est pourtant dit convaincu “qu’un compromis peut se construire”.Un avis partagé par la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin qui assure qu’elle ne cédera pas “à la résignation” et que “des consensus peuvent aboutir”.Après 125 heures de débats parfois houleux sur la fiscalité du patrimoine, ou celle des grandes entreprises, 404 députés ont rejeté la partie “recettes” du texte (un pour, 84 abstentions), emportant ainsi l’ensemble du projet de loi, sans même étudier la partie “dépenses”.Les groupes de gauche et le RN ont voté contre, ceux du camp gouvernemental se sont divisés entre votes contre et abstentions. Seul à voter pour, le député du groupe centriste Liot Harold Huwart (Eure-et-Loir).L’Assemblée avait déjà rejeté en 2024 le budget de l’État, de manière inédite sous la Ve République. Mais c’est une première qu’il le soit avec une telle ampleur.Le camp gouvernemental a largement invoqué les mesures fiscales votées par les oppositions – “des horreurs économiques”, selon Paul Midy (Renaissance) – pour justifier son absence de soutien au texte de l’exécutif. Le Premier ministre Sébastien Lecornu a lui pointé vendredi des “coups tactiques des extrêmes qui rendent la copie insincère”.Le PS, qui a accepté de ne pas censurer le Premier ministre en échange de la suspension de la réforme des retraites et d’un abandon du 49.3, espérait que les débats permettent d’arracher une mesure de justice fiscale, “taxe Zucman” ou succédané.Des propositions repoussées. Et la taxe sur les holdings proposée par le gouvernement a même été édulcorée à l’initiative de la droite. Les socialistes avaient aussi arraché le vote d’un Impôt sur la fortune improductive, à l’écriture bancale.- “Le compte n’y est pas” -Les députés ont en outre adopté une hausse de deux milliards d’euros de la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises, un doublement de la taxe sur les géants du numérique, ou encore le plafonnement de certaines niches fiscales.Mais “le compte n’y est pas”, a lancé Boris Vallaud (PS), estimant les “recettes” insuffisantes pour “effacer” des économies irritantes sur les politiques publiques. Le PS continuera toutefois à “chercher le compromis”, a promis le socialiste, dont l’attitude a été fustigée sur X par le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon. “Incohérents et bordélisateurs, même la macronie et les socialistes n’ont pas défendu leur œuvre”, a-t-il écrit, appelant à “en finir avec une présidence de faillites”. Pour sa part, Marine Le Pen a estimé sur le même réseau social que le vote des députés “ne peut avoir qu’une conclusion : la démission du gouvernement et la dissolution afin que le peuple se choisisse une majorité d’alternance”.Le budget va désormais être examiné par le Sénat, qui devrait en débattre dans l’hémicycle dès jeudi, en repartant du projet initial du gouvernement.Son adoption par le Parlement apparaît désormais comme une gageure, en termes de délai – avant la fin de l’année -, comme en termes de majorité pour le voter. Le rapporteur général du budget Philippe Juvin (LR) suggère au gouvernement de recourir finalement à l’article 49.3 de la Constitution, pour faire passer un budget avant le 31 décembre. Le pari étant qu’il serait plus facile pour le PS de ne pas censurer le gouvernement que de voter pour un budget de compromis, traditionnel marqueur de l’appartenance à une majorité.Le gouvernement peut aussi faire adopter une “loi spéciale”, sorte de reconduction du budget 2025 qui permettrait de percevoir les impôts existants, avant de reprendre les débats parlementaires en début d’année.C’est l’hypothèse la “plus probable”, a estimé samedi matin sur France 2 Eric Coquerel, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale.Un scénario également privilégié par plusieurs cadres du camp gouvernemental, mais Sébastien Lecornu a estimé encore vendredi que ce n’était “pas la solution”.Le gouvernement écarte aussi a priori l’hypothèse des ordonnances, ces textes qui permettent à l’exécutif d’imposer des mesures sans passer par le Parlement. Elles n’ont jamais été utilisées pour un projet de budget depuis le début de la Ve République.sl-are-sac-hr/arz/swi

Angleterre: Chelsea enchaîne à Burnley (2-0) et attend Arsenal

Chelsea a sécurisé sa place sur le podium de la Premier League samedi en ouverture de la 12e journée en s’offrant à Burnley (2-0) un cinquième succès en six matches qui met sous pression le leader Arsenal, son prochain adversaire.Le victoire à Turf Moor porte les Blues à la deuxième place avec 23 points en attendant le match de Manchester City (3e, 22 pts) à Newcastle, samedi, et celui d’Arsenal (1er, 26 pts) contre Tottenham, dimanche.En déplacement dans l’après-midi sur la pelouse de Fulham, Sunderland, 4e avec 19 points, ne pourra pas reprendre les Blues.En ouverture de la journée, Chelsea a contenu dans un premier temps les bonnes intentions de Burnley, puis converti une de ses rares occasions de la première période sur une tête piquée de Pedro Neto au second poteau (37e).En seconde période, l’ailier droit a failli doubler la mise sur un tir fort à ras de terre, repoussé par un poteau (63e). Il aurait aussi pu être crédité d’une passe décisive si Martin Dubravka n’avait pas sorti la bonne reprise de Malo Gusto (77e), entré plus tôt au milieu de terrain.Le Portugais est aussi impliqué dans la construction du deuxième but, une contre-attaque rondement menée et conclue par le capitaine Enzo Fernandez sur une passe en retrait de Marc Guiu (88e, 2-0).La trêve internationale n’a pas freiné l’élan des Londoniens, désormais tournés vers la réception du FC Barcelone, mardi en Ligue des champions, puis d’Arsenal en Premier League le week-end prochain.Après le choc face aux Gunners, l’équipe d’Enzo Maresca aura une série de matches plus abordables contre Leeds, Bournemouth et Everton.Burnley (17e, 10 pts) enchaîne pour sa part une troisième défaite d’affilée et pourrait tomber dans la zone de relégation en cas de résultat positif de Nottingham Forest (19e, 9 pts) ou de West Ham (18e, 10 pts).

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

L’UE cède et se résigne à un accord décevant à la COP30

Le front des pays émergents et pétroliers s’est révélé insurmontable: les Européens se sont résignés samedi à accepter un accord mondial à la COP30 au Brésil qui ne reprend qu’a minima leurs demandes sur la sortie des énergies fossiles, préférant ce compromis à un échec du multilatéralisme.Après deux semaines de négociations entre près de 200 pays, et une ultime nuit de négociations à Belem, les nations se préparent à adopter un texte modeste préparé par la présidence brésilienne du sommet, célébrant l’accord de Paris et la coopération climatique.Mais il n’appelle à accélérer l’action que de façon “volontaire”, et ne fait qu’une référence indirecte à la sortie des énergies fossiles, en rappelant le consensus de la COP28 à Dubaï, et sans écrire les mots explicitement. Ce qui est loin du plan un temps réclamé par plus de 80 pays européens, latino-américains ou insulaires.”Nous devons le soutenir car, au moins, il nous emmène dans la bonne direction”, a déclaré Wopke Hoesktra après une nuit de négociations et une réunion de coordination avec les Vingt-Sept. “Nous n’allons pas cacher que nous aurions préféré davantage, et plus d’ambition sur tout”.La ministre française Monique Barbut a ajouté que les Européens avaient préféré accepter ce texte en raison du “procès qui était fait aux Européens, qui était de dire qu’une des raisons pour lesquelles on s’opposait à ce texte, c’était parce qu’on ne voulait pas payer de l’argent pour les pays les plus pauvres.”En 2023, les pays s’étaient engagés à “opérer une transition juste, ordonnée et équitable vers une sortie des combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques”, pour la première fois dans l’histoire des conférences sur le climat de l’ONU. Depuis, les pays qui produisent ou dépendent des énergies fossiles repoussent toutes les tentatives de répéter ce signal dans le cadre multilatéral.L’analyste Li Shuo, de l’Asia Society à Washington, voit dans ce résultat un nouveau “point d’inflexion dans la politique climatique mondiale”. “Alors que l’ambition climatique nationale ralentit, les négociations internationales sont désormais limitées par une volonté politique en déclin. Lorsque les États-Unis se retirent, les autres acteurs deviennent prudents et indécis”, déclare-t-il à Belem.La combustion du pétrole, du gaz et du charbon sont largement responsables du réchauffement planétaire.Des pays comme la Russie, l’Arabie saoudite ou l’Inde ont été désignés par la France comme menant le camp du refus, mais ils ne sont pas seuls.Une partie du monde en développement n’avait pas comme priorité la bataille contre les fossiles en arrivant au Brésil il y a deux semaines. Pour eux, les financements sont plus urgents, et la COP30 leur livre un petit gain.Le texte de compromis prévoit un triplement de l’aide financière pour l’adaptation des pays en développement à l’horizon 2035, par rapport à l’objectif actuel de 40 milliards par an.Ces pays expliquent que de nombreuses économies, pauvres ou émergentes, n’ont pas les moyens de passer aux énergies renouvelables demain, ou tout simplement d’adapter leurs villes ou leurs agricultures à un climat déréglé. Ils réclament des pays les plus riches des engagements financiers supplémentaires pour aider les nations qui le sont moins.Mais est-ce assez?”Pas vraiment. Mais les négociations intergouvernementales travaillent sur le plus petit dénominateur commun. Mais notre combat continue”, dit à l’AFP un négociateur du Bangladesh.- Européens isolés -L’accord prévoit d’instituer un “dialogue” sur le commerce mondial, une première dans les négociations climatiques. La Chine, qui mène la fronde des pays émergents contre les taxes carbone aux frontières, en avait fait sa priorité.La présidence brésilienne aura jusqu’au bout refusé d’inclure dans son texte la création d’une “feuille de route” sur la sortie des énergies fossiles, pourtant prônée par le président brésilien Lula lui-même sur place.L’UE avait brandi évoqué vendredi la perspective de partir de Belem “sans accord”. Cela aurait signé un échec retentissant pour l’hôte, le Brésil, et pour une conférence organisée dans l’une des régions emblématiques des questions environnementales posées à la planète, l’Amazonie.Mais les Européens se seraient retrouvés “isolés”, selon le membre d’une délégation d’un des 27.Ces derniers n’ont pas voulu apparaître comme responsables d’une catastrophe diplomatique au moment où ils cherchent à maintenir en vie le régime climatique mondial.”Ceux qui doutent que la coopération soit la meilleure chose à faire pour le climat seront absolument ravis de voir qu’on n’arrive pas à nous mettre d’accord”, avait prévenu le président de la COP30, le diplomate brésilien André Corrêa do Lago.Les pays doivent maintenant adopter lors d’une séance de clôture ce texte.

Lebanon says fresh Israeli strike on south kills one

An Israeli strike in southern Lebanon killed one person on Saturday, Lebanon’s health ministry said, in the latest attack despite a nearly year-long ceasefire between Israel and militant group Hezbollah.In a statement, the ministry attributed the death to “an Israeli enemy strike” on a vehicle in Zawtar al-Sharqiyah.The ministry also reported that a grenade dropped by an Israeli drone in the southern town of Shaqra wounded five people.Lebanon’s official National News Agency (NNA) reported several more strikes elsewhere in the south and east, but no casualties reported so far.The Israeli military said it struck “several Hezbollah launchers that were recently identified and placed in military sites in southern Lebanon”.The army also hit “two Hezbollah military sites… including weapons storage facilities and additional military structures”, according to its statement.It did not immediately comment on the deadly incident in Zawtar al-Sharqiyah.The NNA identified the man killed as Kamel Reda Qarnabash, saying he was driving at the time.The Israeli army earlier on Saturday had said that it killed a Hezbollah member in a strike the day before.”In a targeted strike the (Israeli army) eliminated a Hezbollah terrorist in the Froun area in southern Lebanon” on Friday, the military said in a statement.It alleged the Hezbollah member had “advanced terror attacks against the State of Israel” and its forces.The Lebanese health ministry said Friday that an Israeli strike on a vehicle in Froun killed one person.- Continued attacks -Lebanon has accused Israel of violating the ceasefire agreement reached in November 2024 — which sought to halt more than a year of hostilities with Hezbollah — by continuing its strikes and maintaining forces inside its territory. Israel has said Hezbollah is working to rebuild its military capabilities, accusing the Iran-backed group of breaking the ceasefire terms.According to the health ministry, more than 330 people have been killed in Lebanon and 945 wounded since the ceasefire.An Israeli strike on Tuesday night on the Ain al-Hilweh camp for Palestinian refugees in southern Lebanon killed 13 people.On Friday, Israel said it had targeted “terrorists” from the Palestinian militant group Hamas, allied with Hezbollah, in the strike on the camp on the outskirts of the coastal city of Sidon.Israel’s military “is operating against Hamas’s establishment in Lebanon”, it said in Friday’s statement.A secondary school in the camp said in a statement on its Facebook page on Thursday that two of its students were killed, publishing an image of two adolescent boys.The United States has sought to pressure the Lebanese government to make Hezbollah hand over its weapons, which the group has so far refused to do.