Trump says Macrons ‘are fine’ after plane row video

US President Donald Trump said Friday that Emmanuel Macron and his wife Brigitte were “fine,” after a viral video appeared to show her shoving the French president’s face on a trip to Vietnam.”Make sure the door remains closed,” the three-times married Trump quipped to reporters when asked if he had any “world leader to world leader marital advice” for Macron about the video. “That was not good,” added Trump, who was holding a joint press conference with billionaire Elon Musk in the Oval Office.The incident was filmed just as the door of the French presidential plane swung open after landing in Hanoi on Sunday. It showed Brigitte Macron, 72, sticking out both her hands and giving her husband’s face a shove. Macron, 47, appeared startled but quickly recovered and turns to wave through the open door.The 78-year-old US president, who has long had a “bromance” with his French counterpart, said he had been in touch with him since.”I spoke to him. He’s fine. They’re fine. They’re two really good people. I know them very well,” added Trump. “I don’t know what that was all about.”Macron himself denied on Monday that the couple had been having a domestic dispute. He blamed disinformation campaigns for trying to put false meaning on the footage.Musk, who was marking his departure from the so-called Department of Government Efficiency, meanwhile took the chance to joke at Macron’s expense.Asked about a black eye he was sporting, the tycoon replied “I wasn’t anywhere near France” to the apparent puzzlement of a reporter who asked him to explain the comment.Musk then said it was his son who caused the injury with a punch.

Dette: S&P laisse un répit à la France en laissant sa note inchangée

Un répit pour la France: l’agence de notation américaine S&P n’a pas modifié vendredi la note de la dette française, évaluée à AA- et assortie depuis février d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle pourrait être rétrogradée.L’agence n’a publié aucun commentaire, laissant sa notation telle quelle. Interrogé par l’AFP, le ministère de l’Economie “prend bonne note” de cette décision, sans plus de détail.Le 28 février, S&P avait assorti la note AA- (“bonne qualité” de crédit) du pays d’une perspective négative, évoquant des finances publiques “sous pression” et un “soutien politique aux réformes limité” malgré l’adoption du budget 2025, une menace d’abaissement qui ne s’est pas concrétisée vendredi même si la situation n’a guère changé depuis.Le Premier ministre François Bayrou a averti en début de semaine qu’il allait demander “un effort à tous les Français”, en n’excluant pas une hausse générale de la TVA pour financer des dépenses sociales, la “TVA sociale”.Il doit trouver 40 milliards d’euros l’an prochain entre l’Etat, la Sécurité sociale et les collectivités locales. Il a admis, mercredi devant le Sénat, “qu’aucune des mesures” qui composeront le plan général de retour à l’équilibre des finances publiques que proposera le gouvernement “avant le 14 juillet”, n’était encore arrêtée.Une méthode de concertation avec les partenaires sociaux et surtout les partis politiques assumée, pour éviter une nouvelle censure parlementaire, mais qui laisse planer l’incertitude sur la force des mesures qui peuvent être prises d’ici fin septembre lors de la présentation des budgets.Lundi, la Cour des comptes avait averti par ailleurs d’un risque de “crise de liquidité” de la Sécurité sociale l’an prochain en raison du dérapage “hors de contrôle” de ses dépenses.Par deux fois devant le Parlement mercredi, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a surpris en affichant fermement l’objectif d’un retour à l’équilibre de la Sécurité sociale en 2029. Selon les projections économiques révisées de la Commission européenne, publiées le 19 mai, la France enregistrera le pire déficit public de la zone euro en 2025 et 2026, à respectivement 5,6% et 5,7% du PIB. Le gouvernement quant à lui table encore sur 5,4% en 2025 et 4,6% en 2026, pour revenir sous 3% en 2029.-28 novembre -Ces projections de la Commission, souligne Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management, “montrent l’extrême insuffisance des mesures déjà votées pour assainir les finances publiques”. La charge des intérêts annuels de la dette, qui est à 113% du PIB, est selon lui “presque hors de contrôle” et représente désormais 5,6% des recettes fiscales en 2025, contre 2% aux Pays Bas ou 2,7% en Allemagne – deux pays notés AAA, la note maximum.A l’instar de M. Dor, les économistes interrogés par l’AFP avaient pourtant estimé qu’il était peu probable que la note de la France soit rétrogradée vendredi, tablant plutôt sur l’échéance du 28 novembre, prochain passage en revue par l’agence américaine.”Ils vont attendre de voir ce qui arrivera avec les discussions budgétaires pour 2026, avec cette volonté de faire des économies”, avait souligné Charlotte de Montpellier, économiste d’ING.L’agence américaine avait déjà abaissé le 31 mai 2024 la note du pays, passée de “AA” à “AA-“, sanctionnant la “détérioration de la position budgétaire” du pays, une première rétrogradation depuis 2013.Parmi les autres agences de notation, Fitch, qui classe également la France AA- avec perspective négative, avait confirmé sa notation lors de sa dernière revue mi-mars.Moody’s, qui avait abaissé d’un cran la note du pays en décembre, la classe Aa3, l’équivalent de AA-, mais avec perspective stable, et n’a pas actualisé cette note lors de sa revue en avril.

Dette: S&P laisse un répit à la France en laissant sa note inchangée

Un répit pour la France: l’agence de notation américaine S&P n’a pas modifié vendredi la note de la dette française, évaluée à AA- et assortie depuis février d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle pourrait être rétrogradée.L’agence n’a publié aucun commentaire, laissant sa notation telle quelle. Interrogé par l’AFP, le ministère de l’Economie “prend bonne note” de cette décision, sans plus de détail.Le 28 février, S&P avait assorti la note AA- (“bonne qualité” de crédit) du pays d’une perspective négative, évoquant des finances publiques “sous pression” et un “soutien politique aux réformes limité” malgré l’adoption du budget 2025, une menace d’abaissement qui ne s’est pas concrétisée vendredi même si la situation n’a guère changé depuis.Le Premier ministre François Bayrou a averti en début de semaine qu’il allait demander “un effort à tous les Français”, en n’excluant pas une hausse générale de la TVA pour financer des dépenses sociales, la “TVA sociale”.Il doit trouver 40 milliards d’euros l’an prochain entre l’Etat, la Sécurité sociale et les collectivités locales. Il a admis, mercredi devant le Sénat, “qu’aucune des mesures” qui composeront le plan général de retour à l’équilibre des finances publiques que proposera le gouvernement “avant le 14 juillet”, n’était encore arrêtée.Une méthode de concertation avec les partenaires sociaux et surtout les partis politiques assumée, pour éviter une nouvelle censure parlementaire, mais qui laisse planer l’incertitude sur la force des mesures qui peuvent être prises d’ici fin septembre lors de la présentation des budgets.Lundi, la Cour des comptes avait averti par ailleurs d’un risque de “crise de liquidité” de la Sécurité sociale l’an prochain en raison du dérapage “hors de contrôle” de ses dépenses.Par deux fois devant le Parlement mercredi, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a surpris en affichant fermement l’objectif d’un retour à l’équilibre de la Sécurité sociale en 2029. Selon les projections économiques révisées de la Commission européenne, publiées le 19 mai, la France enregistrera le pire déficit public de la zone euro en 2025 et 2026, à respectivement 5,6% et 5,7% du PIB. Le gouvernement quant à lui table encore sur 5,4% en 2025 et 4,6% en 2026, pour revenir sous 3% en 2029.-28 novembre -Ces projections de la Commission, souligne Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management, “montrent l’extrême insuffisance des mesures déjà votées pour assainir les finances publiques”. La charge des intérêts annuels de la dette, qui est à 113% du PIB, est selon lui “presque hors de contrôle” et représente désormais 5,6% des recettes fiscales en 2025, contre 2% aux Pays Bas ou 2,7% en Allemagne – deux pays notés AAA, la note maximum.A l’instar de M. Dor, les économistes interrogés par l’AFP avaient pourtant estimé qu’il était peu probable que la note de la France soit rétrogradée vendredi, tablant plutôt sur l’échéance du 28 novembre, prochain passage en revue par l’agence américaine.”Ils vont attendre de voir ce qui arrivera avec les discussions budgétaires pour 2026, avec cette volonté de faire des économies”, avait souligné Charlotte de Montpellier, économiste d’ING.L’agence américaine avait déjà abaissé le 31 mai 2024 la note du pays, passée de “AA” à “AA-“, sanctionnant la “détérioration de la position budgétaire” du pays, une première rétrogradation depuis 2013.Parmi les autres agences de notation, Fitch, qui classe également la France AA- avec perspective négative, avait confirmé sa notation lors de sa dernière revue mi-mars.Moody’s, qui avait abaissé d’un cran la note du pays en décembre, la classe Aa3, l’équivalent de AA-, mais avec perspective stable, et n’a pas actualisé cette note lors de sa revue en avril.

Dette: S&P laisse un répit à la France en laissant sa note inchangée

Un répit pour la France: l’agence de notation américaine S&P n’a pas modifié vendredi la note de la dette française, évaluée à AA- et assortie depuis février d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle pourrait être rétrogradée.L’agence n’a publié aucun commentaire, laissant sa notation telle quelle. Interrogé par l’AFP, le ministère de l’Economie “prend bonne note” de cette décision, sans plus de détail.Le 28 février, S&P avait assorti la note AA- (“bonne qualité” de crédit) du pays d’une perspective négative, évoquant des finances publiques “sous pression” et un “soutien politique aux réformes limité” malgré l’adoption du budget 2025, une menace d’abaissement qui ne s’est pas concrétisée vendredi même si la situation n’a guère changé depuis.Le Premier ministre François Bayrou a averti en début de semaine qu’il allait demander “un effort à tous les Français”, en n’excluant pas une hausse générale de la TVA pour financer des dépenses sociales, la “TVA sociale”.Il doit trouver 40 milliards d’euros l’an prochain entre l’Etat, la Sécurité sociale et les collectivités locales. Il a admis, mercredi devant le Sénat, “qu’aucune des mesures” qui composeront le plan général de retour à l’équilibre des finances publiques que proposera le gouvernement “avant le 14 juillet”, n’était encore arrêtée.Une méthode de concertation avec les partenaires sociaux et surtout les partis politiques assumée, pour éviter une nouvelle censure parlementaire, mais qui laisse planer l’incertitude sur la force des mesures qui peuvent être prises d’ici fin septembre lors de la présentation des budgets.Lundi, la Cour des comptes avait averti par ailleurs d’un risque de “crise de liquidité” de la Sécurité sociale l’an prochain en raison du dérapage “hors de contrôle” de ses dépenses.Par deux fois devant le Parlement mercredi, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a surpris en affichant fermement l’objectif d’un retour à l’équilibre de la Sécurité sociale en 2029. Selon les projections économiques révisées de la Commission européenne, publiées le 19 mai, la France enregistrera le pire déficit public de la zone euro en 2025 et 2026, à respectivement 5,6% et 5,7% du PIB. Le gouvernement quant à lui table encore sur 5,4% en 2025 et 4,6% en 2026, pour revenir sous 3% en 2029.-28 novembre -Ces projections de la Commission, souligne Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management, “montrent l’extrême insuffisance des mesures déjà votées pour assainir les finances publiques”. La charge des intérêts annuels de la dette, qui est à 113% du PIB, est selon lui “presque hors de contrôle” et représente désormais 5,6% des recettes fiscales en 2025, contre 2% aux Pays Bas ou 2,7% en Allemagne – deux pays notés AAA, la note maximum.A l’instar de M. Dor, les économistes interrogés par l’AFP avaient pourtant estimé qu’il était peu probable que la note de la France soit rétrogradée vendredi, tablant plutôt sur l’échéance du 28 novembre, prochain passage en revue par l’agence américaine.”Ils vont attendre de voir ce qui arrivera avec les discussions budgétaires pour 2026, avec cette volonté de faire des économies”, avait souligné Charlotte de Montpellier, économiste d’ING.L’agence américaine avait déjà abaissé le 31 mai 2024 la note du pays, passée de “AA” à “AA-“, sanctionnant la “détérioration de la position budgétaire” du pays, une première rétrogradation depuis 2013.Parmi les autres agences de notation, Fitch, qui classe également la France AA- avec perspective négative, avait confirmé sa notation lors de sa dernière revue mi-mars.Moody’s, qui avait abaissé d’un cran la note du pays en décembre, la classe Aa3, l’équivalent de AA-, mais avec perspective stable, et n’a pas actualisé cette note lors de sa revue en avril.

Dette: S&P laisse un répit à la France en laissant sa note inchangée

Un répit pour la France: l’agence de notation américaine S&P n’a pas modifié vendredi la note de la dette française, évaluée à AA- et assortie depuis février d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle pourrait être rétrogradée.L’agence n’a publié aucun commentaire, laissant sa notation telle quelle. Interrogé par l’AFP, le ministère de l’Economie “prend bonne note” de cette décision, sans plus de détail.Le 28 février, S&P avait assorti la note AA- (“bonne qualité” de crédit) du pays d’une perspective négative, évoquant des finances publiques “sous pression” et un “soutien politique aux réformes limité” malgré l’adoption du budget 2025, une menace d’abaissement qui ne s’est pas concrétisée vendredi même si la situation n’a guère changé depuis.Le Premier ministre François Bayrou a averti en début de semaine qu’il allait demander “un effort à tous les Français”, en n’excluant pas une hausse générale de la TVA pour financer des dépenses sociales, la “TVA sociale”.Il doit trouver 40 milliards d’euros l’an prochain entre l’Etat, la Sécurité sociale et les collectivités locales. Il a admis, mercredi devant le Sénat, “qu’aucune des mesures” qui composeront le plan général de retour à l’équilibre des finances publiques que proposera le gouvernement “avant le 14 juillet”, n’était encore arrêtée.Une méthode de concertation avec les partenaires sociaux et surtout les partis politiques assumée, pour éviter une nouvelle censure parlementaire, mais qui laisse planer l’incertitude sur la force des mesures qui peuvent être prises d’ici fin septembre lors de la présentation des budgets.Lundi, la Cour des comptes avait averti par ailleurs d’un risque de “crise de liquidité” de la Sécurité sociale l’an prochain en raison du dérapage “hors de contrôle” de ses dépenses.Par deux fois devant le Parlement mercredi, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a surpris en affichant fermement l’objectif d’un retour à l’équilibre de la Sécurité sociale en 2029. Selon les projections économiques révisées de la Commission européenne, publiées le 19 mai, la France enregistrera le pire déficit public de la zone euro en 2025 et 2026, à respectivement 5,6% et 5,7% du PIB. Le gouvernement quant à lui table encore sur 5,4% en 2025 et 4,6% en 2026, pour revenir sous 3% en 2029.-28 novembre -Ces projections de la Commission, souligne Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management, “montrent l’extrême insuffisance des mesures déjà votées pour assainir les finances publiques”. La charge des intérêts annuels de la dette, qui est à 113% du PIB, est selon lui “presque hors de contrôle” et représente désormais 5,6% des recettes fiscales en 2025, contre 2% aux Pays Bas ou 2,7% en Allemagne – deux pays notés AAA, la note maximum.A l’instar de M. Dor, les économistes interrogés par l’AFP avaient pourtant estimé qu’il était peu probable que la note de la France soit rétrogradée vendredi, tablant plutôt sur l’échéance du 28 novembre, prochain passage en revue par l’agence américaine.”Ils vont attendre de voir ce qui arrivera avec les discussions budgétaires pour 2026, avec cette volonté de faire des économies”, avait souligné Charlotte de Montpellier, économiste d’ING.L’agence américaine avait déjà abaissé le 31 mai 2024 la note du pays, passée de “AA” à “AA-“, sanctionnant la “détérioration de la position budgétaire” du pays, une première rétrogradation depuis 2013.Parmi les autres agences de notation, Fitch, qui classe également la France AA- avec perspective négative, avait confirmé sa notation lors de sa dernière revue mi-mars.Moody’s, qui avait abaissé d’un cran la note du pays en décembre, la classe Aa3, l’équivalent de AA-, mais avec perspective stable, et n’a pas actualisé cette note lors de sa revue en avril.

Stocks mixed after Trump accuses China of violating tariff deal

Global stocks finished mixed on Friday after President Donald Trump put US-China trade tensions back on the boil by claiming Beijing had “totally violated” an agreement with Washington.His social media post came hours after US Treasury Secretary Scott Bessent said trade talks with China aimed at putting to bed sky-high mutual tariffs — currently suspended — were “a bit stalled.”The development risks renewed trade tensions between the world’s two biggest economies.On Wall Street, the Dow Jones Industrial Average closed higher, while the S&P 500 index was flat, and the tech-focused Nasdaq Composite fell 0.3 percent.  “If it weren’t for the trade war, the market would be feeling pretty good,” said Tom Cahill of Ventura Wealth Management.”Inflation is definitely moving in the right direction,” he added, referencing the Federal Reserve’s favored inflation gauge, which cooled more than expected last month, according to fresh data published Friday.In Europe, London and Germany’s major indices ended higher, while France’s CAC40 closed lower, following declines in Asian markets earlier in the day. – ‘Undiplomatic approach’ -“If President Trump does slap tariffs back on Chinese imports to the US… we may see demand for US assets, and the dollar, severely impaired by a chaotic and undiplomatic approach to trade policy,” said Kathleen Brooks, research director at XTB.Despite rumbling concerns about the US-China economic relationship, the markets were little changed by Trump’s criticism on social media, with investors appearing to be largely inured to the US president’s now-familiar cycle of making dramatic trade threats and then retreating.Investors, traders and analysts instead focused on the Commerce Department’s personal consumption expenditures (PCE) price index data, which rose 2.1 percent in the 12 months to April — cooling slightly more than expected. Despite the good news for the Fed, which is looking to bring inflation down to its long-term target of two percent, analysts warned that the fuller inflationary effects of Trump’s tariffs were yet to come, and could cause the Fed to maintain its watch-and-wait stance.”The true weight of these policies is likely to emerge more fully in the months ahead,” said FOREX.com market analyst Fawad Razaqzada.Investors were also assessing the impact of a US court ruling that invalidated most of Trump’s sweeping tariffs — though an appeals court suspended that order and the White House vowed that its tariffs goals would be pursued one way or another.The result leaves Trump’s tariff plans in something of “a legal limbo” said Stephen Innes, of SPI Asset Management, adding that this sort of legal impasse was “the kind that keeps traders awake at night.”In the eurozone, interest rates were in focus after official data showed inflation hovering around the European Central Bank’s two-percent target. Consumer prices in top EU economy Germany showed a 2.1 percent rise in May — the same as the previous month — while they fell to 1.9 percent in Spain, and to 1.7 percent in Italy.The ECB looks set to lower interest rates again on Thursday.The dollar gained against major currencies, while oil prices were down ahead of a Saturday meeting of eight key OPEC+ members to decide production quotas for July, with some analysts predicting that the cartel could make a larger-than-expected supply hike.- Key figures at around 2030 GMT -New York – Dow: UP 0.1 percent at 42,270.07 points (close)New York – S&P 500: DOWN less than 0.1 percent at 5,911.69 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.3 percent at 19,113.77 (close)London – FTSE 100: UP 0.6 percent at 8,772.38 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 7,751.89 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.3 percent at 23,997.48 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.2 percent at 37,965.10 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.2 percent at 23,289.77 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.5 percent at 3,347.49 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1349 from $1.1368 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3463 from $1.3494Dollar/yen: DOWN at 143.97 yen from 144.19 yenEuro/pound: UP at 84.30 pence from 84.22 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $63.90 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $60.79 per barrel burs-da/bgs

Trump accuses China of violating tariff de-escalation deal

US President Donald Trump signaled renewed trade tensions with China Friday, arguing that Beijing had “totally violated” a tariff de-escalation deal, while saying he expects to eventually speak with Chinese leader Xi Jinping.Trump’s comments came after US Treasury Secretary Scott Bessent said that trade talks with China were “a bit stalled,” in an interview with broadcaster Fox News.Top officials from the world’s two biggest economies agreed during talks in Geneva this month to temporarily lower staggeringly high tariffs they had imposed on each other, in a pause to last 90 days.But on Friday, Trump wrote on his Truth Social platform: “China, perhaps not surprisingly to some, HAS TOTALLY VIOLATED ITS AGREEMENT WITH US,” without providing further details.The impasse came as China’s slow-walking on export license approvals for rare earths and other elements needed to make cars and chips fueled US frustration, the Wall Street Journal reported Friday.Key to the tariff de-escalation pact was a demand that China resume rare earth exports, the report added, citing sources familiar with the matter.Earlier Friday, US Trade Representative Jamieson Greer told CNBC: “The Chinese are slow-rolling their compliance, which is completely unacceptable.”While Greer did not go into specifics, he noted reports that Beijing continues to “slow down and choke off things like critical minerals and rare earth magnets,” adding that the US trade deficit with China is still “enormous.”Greer said that Washington was not seeing major shifts in Beijing’s behavior.Trump’s deputy chief of staff Stephen Miller told reporters that with China failing to fulfill its obligations, “that opens up all manner of action for the United States to ensure future compliance.”On Thursday, Bessent suggested that there could be a call between Trump and Xi eventually.Trump told reporters Friday afternoon: “I’m sure that I’ll speak to President Xi, and hopefully we’ll work that out.”US stock markets closed mixed, after fluctuating in the day on jitters that Trump could return to a more confrontational stance on China.- Forthcoming deals? -Washington is also in “intensive talks” with other trading partners, Greer told CNBC, saying he has meetings next week with counterparts from Malaysia, Vietnam and the European Union.The meetings come as he heads to Organisation for Economic Cooperation and Development (OECD) talks in Europe.”The negotiations are on track, and we do hope to have some deals in the next couple of weeks,” Greer said.Washington and Tokyo are making progress towards a deal, Kyodo News reported, citing Japan’s tariffs envoy Ryosei Akazawa.Akazawa, who met with Bessent and Commerce Secretary Howard Lutnick in Washington, expects another round of talks before mid-June.But Trump’s tariff plans are facing legal challenges.A US federal trade court ruled this week that the president overstepped his authority in tapping emergency economic powers to justify sweeping tariffs.It blocked the most wide-ranging levies imposed since Trump returned to office, although this ruling has been stayed for now as an appeals process is ongoing.The decision left intact, however, tariffs that Trump imposed on sector-specific imports such as steel and autos.Greer said it was important to get through the legal process so partners have a “better understanding of the landing zone.”Since Trump returned to the presidency, he has slapped sweeping tariffs on most US trading partners, with especially high rates on Chinese imports.New tit-for-tat levies on both sides reached three digits before the de-escalation this month, where Washington agreed to temporarily reduce additional tariffs on Chinese imports from 145 percent to 30 percent.China, meanwhile, lowered its added duties from 125 percent to 10 percent.The US level is higher as it includes a 20 percent levy that Trump imposed on Chinese goods over the country’s alleged role in the illicit drug trade — an accusation that Beijing has pushed back against.The high US-China tariffs, while still in place, forced many businesses to pause shipments as they waited for both governments to strike a deal.

Trump accuses China of violating tariff de-escalation deal

US President Donald Trump signaled renewed trade tensions with China Friday, arguing that Beijing had “totally violated” a tariff de-escalation deal, while saying he expects to eventually speak with Chinese leader Xi Jinping.Trump’s comments came after US Treasury Secretary Scott Bessent said that trade talks with China were “a bit stalled,” in an interview with broadcaster Fox News.Top officials from the world’s two biggest economies agreed during talks in Geneva this month to temporarily lower staggeringly high tariffs they had imposed on each other, in a pause to last 90 days.But on Friday, Trump wrote on his Truth Social platform: “China, perhaps not surprisingly to some, HAS TOTALLY VIOLATED ITS AGREEMENT WITH US,” without providing further details.The impasse came as China’s slow-walking on export license approvals for rare earths and other elements needed to make cars and chips fueled US frustration, the Wall Street Journal reported Friday.Key to the tariff de-escalation pact was a demand that China resume rare earth exports, the report added, citing sources familiar with the matter.Earlier Friday, US Trade Representative Jamieson Greer told CNBC: “The Chinese are slow-rolling their compliance, which is completely unacceptable.”While Greer did not go into specifics, he noted reports that Beijing continues to “slow down and choke off things like critical minerals and rare earth magnets,” adding that the US trade deficit with China is still “enormous.”Greer said that Washington was not seeing major shifts in Beijing’s behavior.Trump’s deputy chief of staff Stephen Miller told reporters that with China failing to fulfill its obligations, “that opens up all manner of action for the United States to ensure future compliance.”On Thursday, Bessent suggested that there could be a call between Trump and Xi eventually.Trump told reporters Friday afternoon: “I’m sure that I’ll speak to President Xi, and hopefully we’ll work that out.”US stock markets closed mixed, after fluctuating in the day on jitters that Trump could return to a more confrontational stance on China.- Forthcoming deals? -Washington is also in “intensive talks” with other trading partners, Greer told CNBC, saying he has meetings next week with counterparts from Malaysia, Vietnam and the European Union.The meetings come as he heads to Organisation for Economic Cooperation and Development (OECD) talks in Europe.”The negotiations are on track, and we do hope to have some deals in the next couple of weeks,” Greer said.Washington and Tokyo are making progress towards a deal, Kyodo News reported, citing Japan’s tariffs envoy Ryosei Akazawa.Akazawa, who met with Bessent and Commerce Secretary Howard Lutnick in Washington, expects another round of talks before mid-June.But Trump’s tariff plans are facing legal challenges.A US federal trade court ruled this week that the president overstepped his authority in tapping emergency economic powers to justify sweeping tariffs.It blocked the most wide-ranging levies imposed since Trump returned to office, although this ruling has been stayed for now as an appeals process is ongoing.The decision left intact, however, tariffs that Trump imposed on sector-specific imports such as steel and autos.Greer said it was important to get through the legal process so partners have a “better understanding of the landing zone.”Since Trump returned to the presidency, he has slapped sweeping tariffs on most US trading partners, with especially high rates on Chinese imports.New tit-for-tat levies on both sides reached three digits before the de-escalation this month, where Washington agreed to temporarily reduce additional tariffs on Chinese imports from 145 percent to 30 percent.China, meanwhile, lowered its added duties from 125 percent to 10 percent.The US level is higher as it includes a 20 percent levy that Trump imposed on Chinese goods over the country’s alleged role in the illicit drug trade — an accusation that Beijing has pushed back against.The high US-China tariffs, while still in place, forced many businesses to pause shipments as they waited for both governments to strike a deal.