Trump se cramponne à ses droits de douane, double ceux sur l’acier et l’aluminium importés

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi que la surtaxe sur l’acier et l’aluminium passerait mercredi prochain à 50%, une nouvelle escalade dans son offensive protectionniste au terme d’une semaine marquée par des revers devant la justice.”Nous allons passer les droits de douane sur l’acier de 25% à 50%, ce qui va davantage protéger” cette industrie aux Etats-Unis, a déclaré le chef de l’Etat depuis une aciérie du géant de la métallurgie US Steel en Pennsylvanie (est).Il a plus tard précisé, sur sa plateforme Truth Social, que la mesure entrerait en vigueur le 4 juin, et concernerait aussi l’aluminium.La surtaxe de 25% qu’il avait mis en place en mars sur ces métaux touchait également leurs dérivés, comme les cannettes.”Nos industries de l’acier et de l’aluminium vont être plus fortes que jamais”, a-t-il écrit. Vendredi à la tribune, devant des ouvriers portant casques de sécurité et vestes de travail avec bandes réfléchissantes, il a affirmé que le niveau des droits de douane sera tel que “personne ne pourra y échapper”. Sa manière à lui d’inciter à produire et acheter aux Etats-Unis.Après son annonce, des participants ont scandé “USA, USA !” dans la salle. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a fait des droits de douane un des points cardinaux de sa politique: levier de négociation pour obtenir des concessions de l’extérieur, moyen de défendre l’industrie nationale ou encore source de nouvelles recettes publiques.Droits de douane sur certains secteurs (acier, aluminium, automobile), certains pays (Chine, Canada, Mexique) ou encore universels – incluant des denrées introuvables sur le sol américain comme le cacao… Le chef de l’Etat a érigé un mur de nouvelles taxes sur les produits entrant dans son pays, avant de faire en partie marche arrière.Deux tribunaux de première instance ont considéré cette semaine qu’il n’avait pas le droit de décréter certains de ses droits de douane. Ceux-ci restent toutefois en vigueur tant que l’affaire n’est pas tranchée définitivement sur le fond.- “Diable dans les détails” -Le président américain a aussi vanté en Pennsylvanie le rapprochement qu’il a lui-même approuvé la semaine dernière entre US Steel et son concurrent japonais Nippon Steel, et sur lequel peu d’informations avaient filtré.”Le plus important, c’est que US Steel continuera à être contrôlé par les Etats-Unis, autrement je n’aurais pas conclu cet accord”, a expliqué Donald Trump, en assurant que Nippon Steel allait injecter 14 milliards de dollars “dans le futur” de US Steel.Fin 2023, les deux groupes industriels avaient annoncé un projet d’acquisition à 14,9 milliards de dollars (dette comprise) de US Steel par Nippon Steel.L’opération, à laquelle Donald Trump s’est lui-même longtemps opposé, s’est retrouvée au cœur de la campagne présidentielle américaine de 2024, car elle concerne au premier chef la Pennsylvanie, un Etat stratégique sur le plan électoral, qui est aussi le berceau de l’aciérie aux Etats-Unis.L’ex-président Joe Biden avait bloqué l’opération quelques semaines avant son départ de la Maison Blanche en janvier, arguant de questions de sécurité.M. Trump avait décidé de réexaminer le projet.”Chez Nippon Steel, ils n’ont pas cessé de me demander (de valider l’opération), j’ai refusé encore et encore et j’ai fini par me dire que ces gens voulaient vraiment faire quelque chose de grand”, a-t-il décrit.”Je dois approuver l’accord final avec Nippon, et nous n’avons pas encore vu cet accord final, mais ils ont pris un très grand engagement”, a-t-il ajouté en rentrant à Wahington vendredi soir.Dans la foulée vendredi, le syndicat USW, qui représente les salariés de la métallurgie, a exprimé son fort scepticisme dans un communiqué, expliquant n’avoir pas été consulté ni mis dans la confidence sur les conditions de l’accord.”C’est facile de publier des communiqués de presse et de faire des discours politiques. C’est difficile de graver des engagements dans le marbre. Le diable est toujours dans les détails, et c’est particulièrement vrai avec un mauvais protagoniste comme Nippon Steel”, cingle le syndicat.

Trump se cramponne à ses droits de douane, double ceux sur l’acier et l’aluminium importés

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi que la surtaxe sur l’acier et l’aluminium passerait mercredi prochain à 50%, une nouvelle escalade dans son offensive protectionniste au terme d’une semaine marquée par des revers devant la justice.”Nous allons passer les droits de douane sur l’acier de 25% à 50%, ce qui va davantage protéger” cette industrie aux Etats-Unis, a déclaré le chef de l’Etat depuis une aciérie du géant de la métallurgie US Steel en Pennsylvanie (est).Il a plus tard précisé, sur sa plateforme Truth Social, que la mesure entrerait en vigueur le 4 juin, et concernerait aussi l’aluminium.La surtaxe de 25% qu’il avait mis en place en mars sur ces métaux touchait également leurs dérivés, comme les cannettes.”Nos industries de l’acier et de l’aluminium vont être plus fortes que jamais”, a-t-il écrit. Vendredi à la tribune, devant des ouvriers portant casques de sécurité et vestes de travail avec bandes réfléchissantes, il a affirmé que le niveau des droits de douane sera tel que “personne ne pourra y échapper”. Sa manière à lui d’inciter à produire et acheter aux Etats-Unis.Après son annonce, des participants ont scandé “USA, USA !” dans la salle. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a fait des droits de douane un des points cardinaux de sa politique: levier de négociation pour obtenir des concessions de l’extérieur, moyen de défendre l’industrie nationale ou encore source de nouvelles recettes publiques.Droits de douane sur certains secteurs (acier, aluminium, automobile), certains pays (Chine, Canada, Mexique) ou encore universels – incluant des denrées introuvables sur le sol américain comme le cacao… Le chef de l’Etat a érigé un mur de nouvelles taxes sur les produits entrant dans son pays, avant de faire en partie marche arrière.Deux tribunaux de première instance ont considéré cette semaine qu’il n’avait pas le droit de décréter certains de ses droits de douane. Ceux-ci restent toutefois en vigueur tant que l’affaire n’est pas tranchée définitivement sur le fond.- “Diable dans les détails” -Le président américain a aussi vanté en Pennsylvanie le rapprochement qu’il a lui-même approuvé la semaine dernière entre US Steel et son concurrent japonais Nippon Steel, et sur lequel peu d’informations avaient filtré.”Le plus important, c’est que US Steel continuera à être contrôlé par les Etats-Unis, autrement je n’aurais pas conclu cet accord”, a expliqué Donald Trump, en assurant que Nippon Steel allait injecter 14 milliards de dollars “dans le futur” de US Steel.Fin 2023, les deux groupes industriels avaient annoncé un projet d’acquisition à 14,9 milliards de dollars (dette comprise) de US Steel par Nippon Steel.L’opération, à laquelle Donald Trump s’est lui-même longtemps opposé, s’est retrouvée au cœur de la campagne présidentielle américaine de 2024, car elle concerne au premier chef la Pennsylvanie, un Etat stratégique sur le plan électoral, qui est aussi le berceau de l’aciérie aux Etats-Unis.L’ex-président Joe Biden avait bloqué l’opération quelques semaines avant son départ de la Maison Blanche en janvier, arguant de questions de sécurité.M. Trump avait décidé de réexaminer le projet.”Chez Nippon Steel, ils n’ont pas cessé de me demander (de valider l’opération), j’ai refusé encore et encore et j’ai fini par me dire que ces gens voulaient vraiment faire quelque chose de grand”, a-t-il décrit.”Je dois approuver l’accord final avec Nippon, et nous n’avons pas encore vu cet accord final, mais ils ont pris un très grand engagement”, a-t-il ajouté en rentrant à Wahington vendredi soir.Dans la foulée vendredi, le syndicat USW, qui représente les salariés de la métallurgie, a exprimé son fort scepticisme dans un communiqué, expliquant n’avoir pas été consulté ni mis dans la confidence sur les conditions de l’accord.”C’est facile de publier des communiqués de presse et de faire des discours politiques. C’est difficile de graver des engagements dans le marbre. Le diable est toujours dans les détails, et c’est particulièrement vrai avec un mauvais protagoniste comme Nippon Steel”, cingle le syndicat.

Trump se cramponne à ses droits de douane, double ceux sur l’acier et l’aluminium importés

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi que la surtaxe sur l’acier et l’aluminium passerait mercredi prochain à 50%, une nouvelle escalade dans son offensive protectionniste au terme d’une semaine marquée par des revers devant la justice.”Nous allons passer les droits de douane sur l’acier de 25% à 50%, ce qui va davantage protéger” cette industrie aux Etats-Unis, a déclaré le chef de l’Etat depuis une aciérie du géant de la métallurgie US Steel en Pennsylvanie (est).Il a plus tard précisé, sur sa plateforme Truth Social, que la mesure entrerait en vigueur le 4 juin, et concernerait aussi l’aluminium.La surtaxe de 25% qu’il avait mis en place en mars sur ces métaux touchait également leurs dérivés, comme les cannettes.”Nos industries de l’acier et de l’aluminium vont être plus fortes que jamais”, a-t-il écrit. Vendredi à la tribune, devant des ouvriers portant casques de sécurité et vestes de travail avec bandes réfléchissantes, il a affirmé que le niveau des droits de douane sera tel que “personne ne pourra y échapper”. Sa manière à lui d’inciter à produire et acheter aux Etats-Unis.Après son annonce, des participants ont scandé “USA, USA !” dans la salle. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a fait des droits de douane un des points cardinaux de sa politique: levier de négociation pour obtenir des concessions de l’extérieur, moyen de défendre l’industrie nationale ou encore source de nouvelles recettes publiques.Droits de douane sur certains secteurs (acier, aluminium, automobile), certains pays (Chine, Canada, Mexique) ou encore universels – incluant des denrées introuvables sur le sol américain comme le cacao… Le chef de l’Etat a érigé un mur de nouvelles taxes sur les produits entrant dans son pays, avant de faire en partie marche arrière.Deux tribunaux de première instance ont considéré cette semaine qu’il n’avait pas le droit de décréter certains de ses droits de douane. Ceux-ci restent toutefois en vigueur tant que l’affaire n’est pas tranchée définitivement sur le fond.- “Diable dans les détails” -Le président américain a aussi vanté en Pennsylvanie le rapprochement qu’il a lui-même approuvé la semaine dernière entre US Steel et son concurrent japonais Nippon Steel, et sur lequel peu d’informations avaient filtré.”Le plus important, c’est que US Steel continuera à être contrôlé par les Etats-Unis, autrement je n’aurais pas conclu cet accord”, a expliqué Donald Trump, en assurant que Nippon Steel allait injecter 14 milliards de dollars “dans le futur” de US Steel.Fin 2023, les deux groupes industriels avaient annoncé un projet d’acquisition à 14,9 milliards de dollars (dette comprise) de US Steel par Nippon Steel.L’opération, à laquelle Donald Trump s’est lui-même longtemps opposé, s’est retrouvée au cœur de la campagne présidentielle américaine de 2024, car elle concerne au premier chef la Pennsylvanie, un Etat stratégique sur le plan électoral, qui est aussi le berceau de l’aciérie aux Etats-Unis.L’ex-président Joe Biden avait bloqué l’opération quelques semaines avant son départ de la Maison Blanche en janvier, arguant de questions de sécurité.M. Trump avait décidé de réexaminer le projet.”Chez Nippon Steel, ils n’ont pas cessé de me demander (de valider l’opération), j’ai refusé encore et encore et j’ai fini par me dire que ces gens voulaient vraiment faire quelque chose de grand”, a-t-il décrit.”Je dois approuver l’accord final avec Nippon, et nous n’avons pas encore vu cet accord final, mais ils ont pris un très grand engagement”, a-t-il ajouté en rentrant à Wahington vendredi soir.Dans la foulée vendredi, le syndicat USW, qui représente les salariés de la métallurgie, a exprimé son fort scepticisme dans un communiqué, expliquant n’avoir pas été consulté ni mis dans la confidence sur les conditions de l’accord.”C’est facile de publier des communiqués de presse et de faire des discours politiques. C’est difficile de graver des engagements dans le marbre. Le diable est toujours dans les détails, et c’est particulièrement vrai avec un mauvais protagoniste comme Nippon Steel”, cingle le syndicat.

Ligue des champions: pour le PSG, c’est le moment de rêver plus grand

L’extase ou la chute: le PSG veut vivre une soirée magique et décrocher sa première étoile en Ligue des champions samedi en finale contre l’Inter Milan à Munich (21h00), 32 ans après le seul triomphe d’un club français.En 1993, l’OM avait remporté la C1, déjà contre une équipe milanaise, l’AC Milan, et le football français connaît depuis une longue attente pour un successeur. Après de nombreuses déconvenues depuis le rachat du club par Qatar Sports Investments en 2011, le PSG a l’occasion d’enfin saisir son Graal.La capitale et la région parisienne sont en ébullition avec la retransmission du match au Parc des Princes, dans plusieurs fan zones, dans de très nombreux bars, le tout surveillé par 5.400 policiers et gendarmes.Le collectif Ultras Paris (CUP) a d’ailleurs appelé les supporters à célébrer “sans débordements”: “que l’issue soit une explosion de joie ou une leçon à tirer, restez fiers et exemplaires”.Paris espère fêter ses héros dimanche lors d’une parade sur les Champs-Elysées en cas de victoire. La Tour Eiffel s’illuminera à chaque but parisien et le Parc des Princes sera rempli de supporters devant d’immenses écrans.D’ailleurs, l’attaquant Ousmane Dembélé a confié vendredi ressentir “toute l’excitation du peuple parisien”. Parmi les supporters, 18.000 chanceux arpenteront les rues de Munich avant de se rendre au stade.- “Ecrire l’histoire” -“Ma plus grande motivation c’est de marquer l’histoire de ce club, donner une joie à une ville, un pays. Être les premiers a un côté exceptionnel”, a appuyé vendredi Luis Enrique, qui peut remporter la Ligue des champions dix ans après l’avoir fait avec le Barça.L’entraîneur a relaté avoir tenté “de transmettre aux joueurs la belle opportunité qu’est de jouer une finale de Ligue des champions, et la possibilité d’écrire l’histoire”. “On essaie de gérer pour ne pas que cela nous dépasse. Je pense qu’on est prêts”, a assuré l’Espagnol.Le coach s’est attaché depuis son arrivée en 2023 à faire grandir et aguerrir un groupe jeune, privé de surcroît de sa star Kylian Mbappé, partie l’été dernier au Real Madrid. Ce nouveau projet sans strass ni paillettes a dépassé toutes les attentes, notamment du président du club Nasser Al-Khelaïfi qui n’osait plus clamer les ambitions de victoire finale après 14 ans de désillusions et de frustrations. Mais après une saison en montagnes russes, le PSG a franchi une à une les étapes pour se hisser jusqu’en finale, la deuxième de son histoire après celle de 2020, perdue 1-0 contre le Bayern Munich sans supporters, en temps de pandémie. Au fur et à mesure de la saison mais surtout depuis le match face à Manchester City en janvier, les Parisiens ont haussé leur niveau face à des adversaires compliqués (Liverpool, Aston Villa, Arsenal). “Le parcours a été très difficile dès le début. Le fait que cela ait été dur est un avantage pour nous. Au fil de la Ligue des champions, on a joué des finales anticipées tout le temps”, a souligné le coach, qui s’est appuyé sur un panel de joueurs expérimentés (Ousmane Dembélé, Marquinhos, Fabian Ruiz, Achraf Hakimi) encadrant des jeunes talents qui ont très vite grandi (Désiré Doué, Bradley Barcola, Joao Neves, Willian Pacho, Nuno Mendes). – “L’Inter mérite sa place” -Pour terminer en apothéose cette saison débutée par des doutes, avant le grand réveil de l’hiver, Paris va se frotter à un redoutable Inter Milan, fort de joueurs d’expériences qui ont pour la majorité vécu la défaite en finale contre City en 2023.Paris va devoir gérer le système à deux attaquants adverses, avec Lautaro Martinez et Marcus Thuram. Pas de panique, selon le capitaine du PSG Marquinhos: “On travaille beaucoup les changements de schéma de l’adversaire, à l’entraînement on se met en difficulté sur comment on doit s’adapter, si l’équipe en face vient à un, deux ou trois” attaquants.En face, l’Inter aussi “mérite sa place”. “On a fait un gros parcours”, notamment en éliminant le Barça à l’issue d’une demi-finale exceptionnelle (3-3, 4-3 a.p.), a dit l’entraîneur Simone Inzaghi, qui pourra compter sur le champion du monde français Benjamin Pavard en défense centrale.

Musk vows to stay Trump’s ‘friend’ in bizarre black-eyed farewell

Billionaire Elon Musk bade farewell to Donald Trump in an extraordinary Oval Office appearance Friday, sporting a black eye, brushing aside drug abuse claims and vowing to stay a “friend and advisor” to the US president.As the world’s richest person bowed out of his role as Trump’s cost-cutter-in-chief, the Republican hailed Musk’s “incredible service” and handed him a golden key to the White House.But Trump insisted that Musk was “really not leaving” after a turbulent four months in which his Department of Government Efficiency (DOGE) cut tens of thousands of jobs, shuttered whole agencies and slashed foreign aid.”He’s going to be back and forth,” said Trump, showering praise on the tech tycoon for what he called the “most sweeping and consequential government reform program in generations.”South-African born Musk, wearing a black T-shirt with the word “Dogefather” in white lettering and a black DOGE baseball cap, said many of the $1 trillion savings he promised would take time to bear fruit.”I look forward to continuing to be a friend and advisor to the president,” he said.But many people were more interested in the livid black bruise around Musk’s right eye.Speculation about the cause was further fueled by accusations in the New York Times Friday that Musk used so much of the drug ketamine on the 2024 campaign trail that he developed bladder problems.- ‘Punch me’ -The SpaceX and Tesla magnate said that his son was to blame for the injury.”I was just horsing around with lil’ X, and I said, ‘go ahead punch me in the face,'” 53-year-old Musk said. “And he did. Turns out even a five-year-old punching you in the face actually is…” he added, before tailing off.Musk, however, dodged a question about the drug allegations. The New York Times said Musk, the biggest donor to Trump’s 2024 election campaign, also took ecstasy and psychoactive mushrooms and traveled with a pill box last year.Musk, who has long railed against the news media and championed his X social media platform as an alternative, took aim at the paper instead.”Is that the same publication that got a Pulitzer Prize for false reporting on the Russiagate?” said Musk, referring to claims that Trump’s 2016 election campaign colluded with Moscow. “Let’s move on. Okay. Next question.” Later in the day, when a reporter asked Trump if he was “aware of Elon Musk’s regular drug use,” Trump simply responded: “I wasn’t.” “I think Elon is a fantastic guy,” he added. The White House had earlier played down the report.”The drugs that we’re concerned about are the drugs running across the southern border” from Mexico, said Trump’s Deputy Chief of Staff Stephen Miller, whose wife works for Musk. Musk has previously admitted to taking ketamine, saying he was prescribed it to treat a “negative frame of mind” and suggesting his use of drugs benefited his work.- ‘Disappointed’ -The latest in a series of made-for-TV Oval Office events was aimed at putting a positive spin on Musk’s departure. Musk is leaving Trump’s administration under a cloud, after admitting disillusionment with his role and criticizing the Republican president’s spending plans.It was a far cry from his first few weeks as Trump’s chainsaw-brandishing sidekick.At one time Musk was almost inseparable from Trump, glued to his side on Air Force One, Marine One, in the White House and at Trump’s Mar-a-Lago resort in Florida.The right-wing magnate’s DOGE led an ideologically-driven rampage through the federal government, with its young “tech bros” slashing tens of thousands of jobs.But DOGE’s achievements fell far short of Musk’s original goal of saving $2 trillion dollars.The White House says DOGE has made $170 billion in savings so far. The independent “Doge Tracker” site has counted just $12 billion while the Atlantic magazine put it far lower, at $2 billion.Musk’s “move fast and break things” mantra was also at odds with some of his cabinet colleagues, and he said earlier this week that he was “disappointed” in Trump’s planned mega tax and spending bill as it undermined DOGE’s cuts.Musk’s companies, meanwhile, have suffered.Tesla shareholders called for him to return to work as sales slumped and protests targeted the electric vehicle maker, while SpaceX had a series of fiery rocket failures.

Israel threatens Hamas with ‘annihilation’ as Trump says Gaza ceasefire close

Israel on Friday said Hamas must accept a hostage deal in Gaza or “be annihilated”, as US President Donald Trump announced that a ceasefire agreement was “very close”.It came amid dire conditions on the ground, with the United Nations warning that Gaza’s entire population was at risk of famine. Defence Minister Israel Katz said Hamas must agree to a ceasefire proposal presented by US envoy Steve Witkoff or be destroyed, after the Palestinian militant group said the deal failed to satisfy its demands.”The Hamas murderers will now be forced to choose: accept the terms of the ‘Witkoff Deal’ for the release of the hostages — or be annihilated.”Israel has repeatedly said that the destruction of Hamas was a key aim of the war.Negotiations to end nearly 20 months of war in Gaza have so far failed to achieve a breakthrough, with Israel resuming operations in March following a short-lived truce.In the United States, Trump told reporters “they’re very close to an agreement on Gaza”, adding: “We’ll let you know about it during the day or maybe tomorrow.”Food shortages in Gaza persist, with aid only trickling in after the partial lifting by Israel of a more than two-month blockade.Jens Laerke, a spokesman for the UN humanitarian agency, called Gaza “the hungriest place on Earth”.”It’s the only defined area — a country or defined territory within a country — where you have the entire population at risk of famine,” he said.Later, the UN condemned the “looting of large quantities of medical equipment” and other supplies “intended for malnourished children” from one of its Gaza warehouses by armed individuals.Aid groups have warned that desperation for food and medicine among Gazans was causing security to deteriorate.- ‘Crusade’ against Israel -Israel has doubled down on its settlement expansion in the occupied West Bank, while defying calls from French President Emmanuel Macron and other world leaders for a two-state solution.This week Israel announced the creation of 22 new settlements in the Palestinian territory, which Israel has occupied since 1967.London said the move was a “deliberate obstacle” to Palestinian statehood while Egypt called it “a provocative and blatant new violation of international law and Palestinian rights”.The 57-member Organisation of Islamic Cooperation, which includes Egypt, also condemned Israel’s decision.On Friday, Katz vowed to build a “Jewish Israeli state” in the West Bank.Israeli settlements in the Palestinian territory are considered illegal under international law and seen as a major obstacle to a lasting peace in the decades-long Israeli-Palestinian conflict.Katz framed the move as a direct rebuke to Macron and others pushing for recognition of a Palestinian state.Macron on Friday said that recognition of a Palestinian state, with some conditions, was “not only a moral duty, but a political necessity”.Israel’s foreign ministry accused the French president of undertaking a “crusade against the Jewish state”.Separately, a diplomatic source told AFP that Saudi Foreign Minister Faisal bin Farhan would make the first visit of its kind to the West Bank on Sunday.- ‘Children in pieces’ -The White House announced on Thursday that Israel had “signed off” on a new ceasefire proposal submitted to Hamas.The Palestinian group said the deal failed to satisfy its demands, but stopped short of rejecting it outright, saying it was “holding consultations” on the proposal.Gaza’s civil defence agency told AFP that at least 45 people had been killed in Israeli attacks on Friday, including seven in a strike targeting a family home in Jabalia in the northern Gaza Strip.Palestinians sobbed over the bodies of their loved ones at Gaza City’s Al-Shifa Hospital following the strike, AFPTV footage showed.”These were civilians and were sleeping at their homes,” said neighbour Mahmud al-Ghaf, describing “children in pieces”.The Israeli military did not immediately respond to a request for comment, but said separately that the air force had hit “dozens of targets” across Gaza over the past day.The health ministry in Hamas-run Gaza said on Friday that at least 4,058 people had been killed since Israel resumed operations on March 18, taking the war’s overall toll to 54,321, mostly civilians. Hamas’s 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,218 people, also mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.Of the 251 hostages seized during Hamas’s attack, 57 remain in Gaza, including 34 the Israeli military says are dead.

Israël somme le Hamas d’accepter la proposition américaine de trêve ou d’être “anéanti”

Israël a sommé vendredi le mouvement islamiste palestinien Hamas d’accepter la proposition américaine de trêve à Gaza et de libération des otages retenus depuis l’attaque 7 octobre 2023 ou alors d'”être anéanti”, le président américain Donald Trump assurant qu’un cessez-le-feu était “tout proche”.Israël fait face à une pression internationale croissante concernant la guerre dans la bande de Gaza et la situation humanitaire dans le territoire palestinien, où un blocus de plus de deux mois, partiellement assoupli la semaine dernière, a entraîné de graves pénuries de nourriture, de médicaments et d’autres biens de première nécessité.L’armée israélienne y a récemment intensifié ses opérations militaires, dans le but affiché de prendre le contrôle de la totalité du territoire palestinien et de libérer les derniers otages qui y sont toujours retenus.Dans la soirée, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a indiqué que l’armée poursuivait ses opérations “avec toute sa force” tout en “tout en évacuant la population locale de chaque zone de combat”, a-t-il indiqué dans un communiqué menaçant le mouvement islamiste palestinien.”Les meurtriers du Hamas vont maintenant devoir choisir: accepter les termes de ‘l’accord Witkoff’ pour la libération des otages — ou être anéantis”, a déclaré M. Katz en référence à la proposition de trêve de l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.- Pillages d’entrepôts -“Ils sont très proches d’un accord sur Gaza”, a indiqué pour sa part M. Trump lors d’une conférence de presse.La bande de Gaza est “l’endroit le plus affamé au monde”, où “100% de la population est menacée de famine”, a déclaré à Genève le porte-parole du bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), Jens Laerke.”Aujourd’hui, un groupe d’individus armés a pris d’assaut les entrepôts d’un hôpital de campagne à Deir el-Balah, pillant de grandes quantités de matériel médical, de fournitures, de médicaments et de compléments alimentaires destinés aux enfants souffrant de malnutrition”, a déclaré dans la soirée le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric.Les négociations sur un cessez-le-feu visant à mettre fin à la guerre déclenchée par l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023 n’ont pas encore abouti depuis la reprise des combats à la mi-mars, à l’initiative d’Israël, après une trêve de deux mois.Jeudi soir, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, avait annoncé qu’une nouvelle proposition américaine de cessez-le-feu avait été approuvée par Israël.Un peu plus tard, Bassem Naïm, l’un des dirigeants en exil du Hamas, avait déclaré à l’AFP que cette proposition ne répondait pas aux demandes du mouvement, dans la mesure où elle “signifie, en essence, la perpétuation de l’occupation, la poursuite des meurtres et de la famine”.Selon une source proche du Hamas, le mouvement déplore l’absence de garanties sur la poursuite des discussions pendant la trêve, en vue de parvenir à un cessez-le-feu permanent.Le Hamas a toutefois indiqué vendredi qu’il menait “des consultations avec les forces et factions palestiniennes” au sujet de la proposition “transmise par M. Witkoff par l’intermédiaire de médiateurs”.Réagissant aux prises de position du Hamas, le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, hostile à tout compromis depuis le début de la guerre, a appelé vendredi le gouvernement à employer “toute la force nécessaire” pour en finir avec le Hamas.- 45 morts -Sur le terrain, la Défense civile de Gaza a indiqué que 45 personnes avaient été tuées vendredi dans des attaques israéliennes à travers le territoire palestinien.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées par le Hamas ce jour-là, 57 sont toujours retenues dans la bande Gaza, dont au moins 34 sont mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.321 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Parallèlement aux opérations dans la bande de Gaza, Israël a multiplié l’expansion de ses colonies en Cisjordanie, ignorant les appels du président français et d’autres dirigeants mondiaux ainsi que de l’ONU en faveur d’une solution à deux Etats, israélien et palestinien.Au lendemain de l’annonce jeudi par Israël de la création de 22 nouvelles colonies juives en Cisjordanie occupée, l’Egypte a dénoncé “une nouvelle violation provocatrice et flagrante du droit international et des droits des Palestiniens”.”En outre, les colonies israéliennes représentent un obstacle majeur à la réalisation d’une solution à deux Etats et d’une paix juste, durable et globale”, a souligné Le Caire dans un communiqué.Les 57 membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui incluent l’Egypte, ont également condamné la décision d’Israël.Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a défié ouvertement vendredi Emmanuel Macron et les Nations unies en affirmant qu’il n’était pas question de laisser advenir un Etat palestinien en Cisjordanie.De son côté, l’Arabie saoudite a annoncé que son chef de la diplomatie se rendrait dimanche à Ramallah, en Cisjordanie, une première visite à ce niveau dans les Territoires palestiniens depuis 1967.

Israël somme le Hamas d’accepter la proposition américaine de trêve ou d’être “anéanti”

Israël a sommé vendredi le mouvement islamiste palestinien Hamas d’accepter la proposition américaine de trêve à Gaza et de libération des otages retenus depuis l’attaque 7 octobre 2023 ou alors d'”être anéanti”, le président américain Donald Trump assurant qu’un cessez-le-feu était “tout proche”.Israël fait face à une pression internationale croissante concernant la guerre dans la bande de Gaza et la situation humanitaire dans le territoire palestinien, où un blocus de plus de deux mois, partiellement assoupli la semaine dernière, a entraîné de graves pénuries de nourriture, de médicaments et d’autres biens de première nécessité.L’armée israélienne y a récemment intensifié ses opérations militaires, dans le but affiché de prendre le contrôle de la totalité du territoire palestinien et de libérer les derniers otages qui y sont toujours retenus.Dans la soirée, le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a indiqué que l’armée poursuivait ses opérations “avec toute sa force” tout en “tout en évacuant la population locale de chaque zone de combat”, a-t-il indiqué dans un communiqué menaçant le mouvement islamiste palestinien.”Les meurtriers du Hamas vont maintenant devoir choisir: accepter les termes de ‘l’accord Witkoff’ pour la libération des otages — ou être anéantis”, a déclaré M. Katz en référence à la proposition de trêve de l’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff.- Pillages d’entrepôts -“Ils sont très proches d’un accord sur Gaza”, a indiqué pour sa part M. Trump lors d’une conférence de presse.La bande de Gaza est “l’endroit le plus affamé au monde”, où “100% de la population est menacée de famine”, a déclaré à Genève le porte-parole du bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), Jens Laerke.”Aujourd’hui, un groupe d’individus armés a pris d’assaut les entrepôts d’un hôpital de campagne à Deir el-Balah, pillant de grandes quantités de matériel médical, de fournitures, de médicaments et de compléments alimentaires destinés aux enfants souffrant de malnutrition”, a déclaré dans la soirée le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric.Les négociations sur un cessez-le-feu visant à mettre fin à la guerre déclenchée par l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023 n’ont pas encore abouti depuis la reprise des combats à la mi-mars, à l’initiative d’Israël, après une trêve de deux mois.Jeudi soir, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, avait annoncé qu’une nouvelle proposition américaine de cessez-le-feu avait été approuvée par Israël.Un peu plus tard, Bassem Naïm, l’un des dirigeants en exil du Hamas, avait déclaré à l’AFP que cette proposition ne répondait pas aux demandes du mouvement, dans la mesure où elle “signifie, en essence, la perpétuation de l’occupation, la poursuite des meurtres et de la famine”.Selon une source proche du Hamas, le mouvement déplore l’absence de garanties sur la poursuite des discussions pendant la trêve, en vue de parvenir à un cessez-le-feu permanent.Le Hamas a toutefois indiqué vendredi qu’il menait “des consultations avec les forces et factions palestiniennes” au sujet de la proposition “transmise par M. Witkoff par l’intermédiaire de médiateurs”.Réagissant aux prises de position du Hamas, le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, hostile à tout compromis depuis le début de la guerre, a appelé vendredi le gouvernement à employer “toute la force nécessaire” pour en finir avec le Hamas.- 45 morts -Sur le terrain, la Défense civile de Gaza a indiqué que 45 personnes avaient été tuées vendredi dans des attaques israéliennes à travers le territoire palestinien.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées par le Hamas ce jour-là, 57 sont toujours retenues dans la bande Gaza, dont au moins 34 sont mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.321 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Parallèlement aux opérations dans la bande de Gaza, Israël a multiplié l’expansion de ses colonies en Cisjordanie, ignorant les appels du président français et d’autres dirigeants mondiaux ainsi que de l’ONU en faveur d’une solution à deux Etats, israélien et palestinien.Au lendemain de l’annonce jeudi par Israël de la création de 22 nouvelles colonies juives en Cisjordanie occupée, l’Egypte a dénoncé “une nouvelle violation provocatrice et flagrante du droit international et des droits des Palestiniens”.”En outre, les colonies israéliennes représentent un obstacle majeur à la réalisation d’une solution à deux Etats et d’une paix juste, durable et globale”, a souligné Le Caire dans un communiqué.Les 57 membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui incluent l’Egypte, ont également condamné la décision d’Israël.Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a défié ouvertement vendredi Emmanuel Macron et les Nations unies en affirmant qu’il n’était pas question de laisser advenir un Etat palestinien en Cisjordanie.De son côté, l’Arabie saoudite a annoncé que son chef de la diplomatie se rendrait dimanche à Ramallah, en Cisjordanie, une première visite à ce niveau dans les Territoires palestiniens depuis 1967.