Ex pro-wrestling chief confirmed as Trump education secretary

Donald Trump’s pick for US education secretary, former World Wrestling Entertainment CEO Linda McMahon, was confirmed by the Senate Monday to lead a department the president has been clear he wants to dismantle.Trump, 78, promised to decentralize education as he campaigned for a return to the White House, saying he would devolve the department’s powers to state governments.McMahon, a 76-year-old businesswoman, appeared to concur as she told the Senate education committee earlier in February that “the excessive consolidation of power” in Washington was damaging education.”So what’s the remedy? Fund education freedom, not government,” she said.The co-founder of the wildly popular WWE wrestling league, McMahon worked in the organization from 1980 to 2009, serving as its president and chief executive.She also served in Trump’s first term government, as the head of the Small Business Administration.The Republican leader’s threat to shut down the education department has angered Democrats, teachers’ unions and many parents, who see it as an attack on the public education system.Underscoring his intention, Trump had earlier directed McMahon to “put herself out of a job.” “The American people do not want to see cuts to education and the consequent rise in property taxes. But that is the danger of confirming Ms McMahon,” Senate Minority Leader Chuck Schumer said.Conservative groups hail the proposal to dismantle the department as a long-overdue measure to reassert local control over American classrooms. But they acknowledge that the task of winding down the vast department will not be easy. At McMahon’s confirmation hearing, Senator Bernie Sanders said the department was “providing vital resources for 26 million children in this country who live in high-poverty school districts.”He asserted it was “the responsibility of the federal government to say that every kid in America, whether you’re poor, middle class, rich, gets a quality education.”McMahon, a major donor to the Republican Party, has financially backed Trump’s political career since 2016.She is married to Vince McMahon, also a powerful figure at the WWE, a wrestling empire that was founded in the 1950s and combines scripted combat with stunning stunt work and soap-opera-esque storylines. The nominee was questioned about the WWE “ring boys” scandal, in which teenage employees were allegedly sexually assaulted in the 1980s and 90s by a ring announcer. Five former ring boys filed a civil suit against the McMahons in October, accusing them of knowing about the assaults but failing to act. Linda McMahon’s lawyers dismissed the accusations as “baseless.”Senate Majority Leader John Thune described her as an “accomplished businesswoman and public servant.”

Nouveau report du premier lancement commercial de la fusée Ariane 6

Nouveau report, au dernier moment: la fusée Ariane 6 qui devait emporter dans l’espace un satellite militaire français pour sa première mission commerciale n’a pas décollé lundi et ne pourra pas être lancée avant mercredi en raison d’une “anomalie au sol”. “Une anomalie a été détectée au niveau des équipements, au sol (…). Une vanne s’est avérée dysfonctionnelle sur l’un des tuyaux qui permettent d’avitailler le lanceur”, a déclaré le patron d’Arianespace David Cavaillolès au cours d’un point de presse à Kourou. Il n’a pas avancé de nouvelle date, mais a précisé que le nouveau lancement ne pouvait intervenir avant mercredi. Cela “dépendra de notre capacité à trouver rapidement la source de l’erreur et surtout de notre capacité à trouver rapidement une solution”.”Le lanceur va bien, il est sain, le satellite aussi”, a-t-il rassuré.Ariane 6 s’était dévoilée sur son pas de tir à Kourou dans la nuit de dimanche à lundi pour un lancement attendu à 16H24 GMT. Son report a été annoncé environ une demi-heure avant l’heure prévue.Initialement prévue en décembre, la mission avait déjà été reportée au 26 février, puis à lundi, une pratique courante dans le secteur spatial.”Tous les lancements sont à risques”, avait déclaré la semaine dernière à l’AFP Lionel Suchet, PDG par intérim du Cnes, agence spatiale française.- “Garder notre place” -Cette mission, hautement symbolique, vise à sceller la souveraineté retrouvée de l’Europe spatiale dans un contexte du rapprochement entre les Etats-Unis et la Russie.   Les turbulences géopolitiques étaient lundi dans tous les esprits.”Nous devons être unis”, avait lancé David Cavaillolès à l’intention des alliés européens au cours d’une conférence de presse avant le report du lancement, en soulignant l’importance de “ne dépendre de personne” pour le lancement des satellites “dans le monde d’aujourd’hui”. “L’Europe doit assurer sa propre sécurité”, a renchéri le directeur du transport spatial de l’Agence spatiale européenne, Toni Tolker-Nielsen, en insistant sur la nécessité de viser plus de lancements annuels avec Ariane 6, jusqu’à 12, contre cinq prévus cette année. Philippe Baptiste, ministre de la Recherche et ancien patron du Cnes, a dit s’attendre à “des coups de boutoir” pour les lanceurs et les satellites de la part d’Elon Musk, qui a déjà chamboulé l’environnement spatial avec son entreprise SpaceX et a renforcé sa puissance en devenant un membre éminent de l’administration de Donald Trump.   Dans ce contexte, “le concept d’autonomie stratégique, un temps moqué comme une lubie française, est au cÅ“ur de l’Europe de demain”, a-t-il déclaré dans une interview à La Tribune. “Le nombre de lancements a explosé, non seulement américains, mais aussi chinois. Nous devons garder notre place”, a fait valoir à Kourou le général Jérôme Bellanger, chef de l’Etat-major de l’armée de l’air et de l’espace.- Cinq satellites pour l’Europe -Le satellite CSO-3 (pour “composante spatiale optique”), qu’Ariane 6 doit placer sur une orbite à 800 kilomètres, va compléter la mini-constellation de surveillance de la Terre pour le ministère français de la Défense et améliorera ses capacités de renseignement.Il attend depuis 2022 d’être lancé; deux autres satellites CSO-1 et CSO-2 déjà positionnés avaient été envoyés en 2018 et 2020 par des vaisseaux russes Soyouz.En Europe, seules la France et l’Italie disposent de satellites militaires (respectivement cinq optiques avec celui qui doit être lancé et deux radars), a détaillé pour l’AFP Bertrand Denis, vice-président chargé de l’observation de la Terre de la coentreprise franco-italienne Thales Alenia Space, qui fabrique l’instrument optique pour les CSO. Les Etats-Unis comme la Chine comptent “des centaines” de satellites militaires ou civils et militaires, a dit à l’AFP Philippe Steininger, auteur du livre “Révolutions spatiales” et consultant du Cnes.Après le vol inaugural réussi d’Ariane 6 en juillet, un an après le dernier vol d’Ariane 5, ce premier lancement embarquant un satellite commercial doit sécuriser l’accès autonome de l’Europe à l’espace dont elle a été privée pendant plusieurs mois, ne pouvant plus disposer de Soyouz depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022.L’autre fusée européenne légère, Vega-C, n’a repris les vols qu’en décembre 2024, après avoir été immobilisée pendant deux ans dans la foulée d’un accident ayant entraîné la perte de satellites.

Nouveau report du premier lancement commercial de la fusée Ariane 6

Nouveau report, au dernier moment: la fusée Ariane 6 qui devait emporter dans l’espace un satellite militaire français pour sa première mission commerciale n’a pas décollé lundi et ne pourra pas être lancée avant mercredi en raison d’une “anomalie au sol”. “Une anomalie a été détectée au niveau des équipements, au sol (…). Une vanne s’est avérée dysfonctionnelle sur l’un des tuyaux qui permettent d’avitailler le lanceur”, a déclaré le patron d’Arianespace David Cavaillolès au cours d’un point de presse à Kourou. Il n’a pas avancé de nouvelle date, mais a précisé que le nouveau lancement ne pouvait intervenir avant mercredi. Cela “dépendra de notre capacité à trouver rapidement la source de l’erreur et surtout de notre capacité à trouver rapidement une solution”.”Le lanceur va bien, il est sain, le satellite aussi”, a-t-il rassuré.Ariane 6 s’était dévoilée sur son pas de tir à Kourou dans la nuit de dimanche à lundi pour un lancement attendu à 16H24 GMT. Son report a été annoncé environ une demi-heure avant l’heure prévue.Initialement prévue en décembre, la mission avait déjà été reportée au 26 février, puis à lundi, une pratique courante dans le secteur spatial.”Tous les lancements sont à risques”, avait déclaré la semaine dernière à l’AFP Lionel Suchet, PDG par intérim du Cnes, agence spatiale française.- “Garder notre place” -Cette mission, hautement symbolique, vise à sceller la souveraineté retrouvée de l’Europe spatiale dans un contexte du rapprochement entre les Etats-Unis et la Russie.   Les turbulences géopolitiques étaient lundi dans tous les esprits.”Nous devons être unis”, avait lancé David Cavaillolès à l’intention des alliés européens au cours d’une conférence de presse avant le report du lancement, en soulignant l’importance de “ne dépendre de personne” pour le lancement des satellites “dans le monde d’aujourd’hui”. “L’Europe doit assurer sa propre sécurité”, a renchéri le directeur du transport spatial de l’Agence spatiale européenne, Toni Tolker-Nielsen, en insistant sur la nécessité de viser plus de lancements annuels avec Ariane 6, jusqu’à 12, contre cinq prévus cette année. Philippe Baptiste, ministre de la Recherche et ancien patron du Cnes, a dit s’attendre à “des coups de boutoir” pour les lanceurs et les satellites de la part d’Elon Musk, qui a déjà chamboulé l’environnement spatial avec son entreprise SpaceX et a renforcé sa puissance en devenant un membre éminent de l’administration de Donald Trump.   Dans ce contexte, “le concept d’autonomie stratégique, un temps moqué comme une lubie française, est au cÅ“ur de l’Europe de demain”, a-t-il déclaré dans une interview à La Tribune. “Le nombre de lancements a explosé, non seulement américains, mais aussi chinois. Nous devons garder notre place”, a fait valoir à Kourou le général Jérôme Bellanger, chef de l’Etat-major de l’armée de l’air et de l’espace.- Cinq satellites pour l’Europe -Le satellite CSO-3 (pour “composante spatiale optique”), qu’Ariane 6 doit placer sur une orbite à 800 kilomètres, va compléter la mini-constellation de surveillance de la Terre pour le ministère français de la Défense et améliorera ses capacités de renseignement.Il attend depuis 2022 d’être lancé; deux autres satellites CSO-1 et CSO-2 déjà positionnés avaient été envoyés en 2018 et 2020 par des vaisseaux russes Soyouz.En Europe, seules la France et l’Italie disposent de satellites militaires (respectivement cinq optiques avec celui qui doit être lancé et deux radars), a détaillé pour l’AFP Bertrand Denis, vice-président chargé de l’observation de la Terre de la coentreprise franco-italienne Thales Alenia Space, qui fabrique l’instrument optique pour les CSO. Les Etats-Unis comme la Chine comptent “des centaines” de satellites militaires ou civils et militaires, a dit à l’AFP Philippe Steininger, auteur du livre “Révolutions spatiales” et consultant du Cnes.Après le vol inaugural réussi d’Ariane 6 en juillet, un an après le dernier vol d’Ariane 5, ce premier lancement embarquant un satellite commercial doit sécuriser l’accès autonome de l’Europe à l’espace dont elle a été privée pendant plusieurs mois, ne pouvant plus disposer de Soyouz depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022.L’autre fusée européenne légère, Vega-C, n’a repris les vols qu’en décembre 2024, après avoir été immobilisée pendant deux ans dans la foulée d’un accident ayant entraîné la perte de satellites.

US first lady backs deepfake porn bill in first solo engagement

US First Lady Melania Trump on Monday threw her support behind a bill aimed at protecting Americans from deepfake revenge pornography, in her first solo public engagement since her husband returned to the White House.Appearing in a roundtable discussion on Capitol Hill, she sought to shine a spotlight on the Take It Down Act, which criminalizes the online publication of non-consensual sexual imagery that is often created using cheap and widely available artificial intelligence tools.”In today’s AI-driven world, the threat of privacy breaches is alarming and high,” the first lady told the panel, sitting next to two teenage female victims of deepfake porn.”It’s heartbreaking to witness young teens, especially girls, grappling with the overwhelming challenges posed by malicious online content,” she added.The bill, introduced by Republican Senator Ted Cruz of Texas, would require social media platforms and websites to have procedures in place to swiftly remove non-consensual intimate imagery, including AI-generated pornography, upon notification from a victim.Though it has passed a vote in the US Senate, the bill has yet to clear the House of Representatives.While urging bipartisan support for the bill, Melania took a dig at Democrats for not prioritizing its passage.”I expected to see more Democrat leaders with us here today to address this serious issue,” she said.”Surely as adults, we can prioritize American children ahead of partisan politics.”An online boom in non-consensual deepfakes is currently outpacing efforts to regulate the technology around the world due to a proliferation of AI tools, including photo apps digitally undressing women.A handful of US states including California and Florida have passed laws making sexually explicit deepfakes a punishable offense, and campaigners are calling on Congress to urgently pass a host of bills to regulate their creation and dissemination, including the Take It Down Act.While high-profile politicians and celebrities, including singer Taylor Swift, have been victims of deepfake porn, experts say women not in the public eye are equally vulnerable.A wave of AI porn scandals have been reported at schools across US states — from California to New Jersey — with hundreds of teenagers often targeted by their own classmates.Such non-consensual imagery can lead to harassment, bullying or blackmail, sometimes causing devastating mental health consequences, experts warn.The scandals led to a warning from the FBI last year that such child sexual abuse material, including realistic AI-generated images, was illegal.”In an era where digital interactions are integral to daily life, it is imperative that we safeguard children from mean-spirited and hurtful online behavior,” the first lady said.The roundtable marked Melania’s first solo public engagement since Donald Trump began his second White House term.The first lady has largely been an elusive figure at the White House, spending only limited time in Washington since her husband took the oath of office on January 20. 

Trump puts US allies on notice – power comes first

With his flailing of Ukraine’s leader, Donald Trump is making clearer than ever that he cares more about power than friends — a chilling message for America’s global network of allies.In the eight decades since World War II, the United States has sought to lead a global order by promoting international rules and ensuring the security of democracies in Europe and East Asia as well as oil-rich Gulf Arab monarchies.US presidents, self-proclaimed “leaders of the free world,” have dropped or weakened support to dependent partners before, including Afghanistan, South Vietnam and, when forging relations with Beijing, Taiwan.Still, there was little precedent for the dramatic, on-camera rupture Friday in the Oval Office in which Trump and Vice President JD Vance berated Ukrainian President Volodymyr Zelensky, who has relied on Western support to withstand a three-year Russian invasion.Vance accused Zelensky of ingratitude for billions of dollars in US assistance and Trump threw a spotlight on the US ally’s weakness, telling him angrily, “You don’t have the cards.”Trump had days earlier declared that he was making a “decisive break” with past US foreign policy, which he described as “foolish” and responsible for “the deaths of many, many people.”Secretary of State Marco Rubio has called for the United States to act like Russia and China in pursuing self-interest first — a contrast to former president Joe Biden, who prioritized alliances as a force multiplier for US influence.- ‘Profound shift’ on democracy -Trump has long described NATO allies as trade competitors who freeload off the US military, although last week he voiced support for the alliance’s mutual defense commitment.He mocked Zelensky as a “dictator” for not holding elections since the invasion, while praising Vladimir Putin, who has been president or prime minister of Russia for 25 years.Trump has also refused to rule out military force to seize Greenland and the Panama Canal, saying that the United States — not unlike Russia — should take what it wants.While Washington’s championing of democracy has “rightly been accused of hypocrisy, now there’s not even any pretense that the United States is upholding those values,” said Max Bergmann, director of the Europe, Russia and Eurasia program at the Center for Strategic and International Studies.”I think that’s going to be very bad for nascent democracies around the world, for democratic movements and for human rights. So I think this is a really profound shift in the international global order,” he said.Bergmann said that Trump was also providing a “real opening” to rival China.”The United States has been trying to convince countries that when you do deals with China, that China could betray you,” Bergmann said.”Well, here’s the United States essentially doing the ultimate betrayal, or completely switching sides, and stopping to support a democracy at war.”- Message on Taiwan? -European leaders immediately spoke of ramping up defense without the United States. German Foreign Minister Annalena Baerbock said a “new age of infamy has begun” after the “unspeakable” scene in the White House.Among places to feel the greatest jolt: former Soviet bloc nations that eagerly joined NATO as protection against Moscow, and Taiwan, the self-governing democracy claimed by Beijing.Trump said Monday that a Chinese invasion would be a “catastrophic event” as Taiwanese chip-making giant TSMC announced $100 billion of investment in the United States.Bonnie Glaser, managing director of the German Marshall Fund’s Indo-Pacific program, said Taiwan “has reason to be nervous.” Unlike Ukraine, which has backing from nearly all of Europe, Taiwan relies for weapons exclusively on the United States.But she said the economic stakes also made the situations different and pointed to Taiwan’s influence as the world’s foremost chipmaker and a major investor.In the words of Trump to Zelensky, “Taiwan has cards,” Glaser said — though the US president himself said Monday that the TSMC deal could mitigate that slightly.Joshua Rovner, a political scientist at American University, said Trump sees uncertainty as part of his strategy and in his first term, despite criticizing Europe, actually raised US troop levels on the continent.”Trump’s language you can interpret in a million different ways,” Rovner said.”What really matters is what he ultimately does with US forces.”

N. Korea slams US ‘provocations’ over aircraft carrier visit to Busan

North Korea has slammed the United States for “political and military provocations” over the visit of a US Navy aircraft carrier to the South Korean port of Busan.The statement by Kim Yo Jong, the powerful sister of North Korea’s ruler Kim Jong Un, was published Tuesday by the state-owned Korean Central News Agency (KCNA).”As soon as its new administration appeared this year, the US has stepped up the political and military provocations against the DPRK, ‘carrying forward’ the former administration’s hostile policy,” her statement read.DPRK is the acronym for the North’s formal name, the Democratic People’s Republic of Korea.The USS Carl Vinson, the flagship of a carrier strike group, arrived in Busan for a scheduled port visit on Sunday, the US Navy said in a statement.”The visit to Busan exemplifies the US commitment to the region, further enhancing relationships with ROK leaders and the local population,” the US Navy said, using the acronym for the South’s formal name.Military cooperation between Seoul and Washington regularly invites condemnation from Pyongyang, where the government sees such moves as preparation for an invasion, and often carries out missile tests in response. “The US vicious moves for confrontation with the DPRK have been intensified in March with the appearance of Carl Vinson in the Korean peninsula,” said Kim Yo Jong.Relations between Pyongyang and Seoul have been at one of their lowest points in years, with the North launching a flurry of ballistic missiles last year in violation of United Nations sanctions.Last week, North Korea carried out a test-launch of strategic cruise missiles in the Yellow Sea, in a drill Pyongyang said was aimed at showing off its “counterattack” capabilities.Joint South Korea-US “Freedom Shield” military exercises are set to begin this month.The two Koreas remain technically at war since the 1950-1953 conflict ended in an armistice, not a peace treaty.Kim Yo Jong’s missive ended with what appeared to be a threat to “renew its records” in the testing of nuclear-capable missiles and other such technology.”If the US continues to renew its records in the anti-DPRK military demonstration, the DPRK will be naturally compelled to renew its records in the exercise of strategic deterrence,” she said.She said the United States and its allies were the “root cause of escalating tension” in the region, and that the North “bitterly condemns the reckless visible actions and muscle-flexing” of Washington.

US stocks fall on Trump tariff concerns, European defense firms soar

US stocks closed sharply lower Monday, after President Donald Trump slapped fresh sanctions against China and levies on Mexico and Canada neared imposition, while European defense shares soared as the European Union sought increased military spending over Ukraine.The White House said Trump had signed an executive order raising tariffs on China to 20 percent, shortly after Trump seemed to rule out any change to the planned 25 percent tariffs against Mexico and Canada. “The tariffs, you know, they’re all set, they go into effect tomorrow,” Trump said at the White House when a reporter asked whether the levies against the two US trading partners would come into force on Tuesday.The Dow Jones Industrial Average slipped 1.5 percent, while the broad-based S&P lost 1.8 percent, and the tech-rich Nasdaq took a harsher tumble, closing down 2.6 percent. The CBOE Volatility Index, or VIX — colloquially known as Wall Street’s “fear gauge” — surged, hitting its highest level since December.But despite the uncertainty, “the backdrop remains a favorable one,” Angelo Kourkafas from Edward Jones told AFP.Monday’s trading, he added, was “consistent with the choppiness we have seen over the past three months” in the financial markets.- European defense stocks surge -In Europe, BAE Systems surged 14 percent, helping London’s benchmark FTSE 100 index to a record high, the latest in a series over recent months.French defense group Thales won more than 16 percent and German peer Rheinmetall rallied 15 percent.”Europe is rallying round Ukraine and it’s hard to see defense stocks not enjoying years of orders,” noted Neil Wilson, analyst at TipRanks.European Commission chief Ursula von der Leyen warned on Sunday that “we urgently have to rearm Europe” as leaders from the continent met in London for crisis talks over Ukraine.”It’s important we prepare for the worst,” she said, a few days after British Prime Minister Keir Starmer pledged to boost UK defense spending to 2.5 percent of economic output by 2027.In Germany, the two parties hoping to form the next government are planning to invest hundreds of billions of euros into defense and infrastructure when in power, the Bild newspaper reported Sunday.The DAX jumped 2.6 percent, setting a record high, with shares in carmakers jumping after the EU signaled it will give them greater leeway in meeting lower CO2 emissions targets.Asian stock markets largely gained Monday, with investors eyeing a potential Chinese stimulus package while bracing for US tariffs.Hong Kong and Shanghai stock markets shed early gains ahead of the key Chinese parliamentary meeting that opens on Wednesday, while Tokyo closed up 1.7 percent.Chinese stocks had been boosted in part by data released on Saturday that showed manufacturing activity grew in February after a dip the previous month.Hong Kong was helped by the blockbuster IPO of bubble-tea and drinks giant Mixue Group, which saw its shares jump 40 percent.- Key figures around 2145 GMT -New York – Dow: DOWN 1.5 percent at 43,191.24 points (close) New York – S&P 500: DOWN 1.8 percent at 5,849.72 (close) New York – Nasdaq Composite: DOWN 2.6 percent at 18,350.19 (close) London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 8,871.31 (close) Paris – CAC 40: UP 1.1 percent at 8,199.71 (close)Frankfurt – DAX: UP 2.6 percent at 23,147.02 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.7 percent at 37,785.47 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 23,006.27 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,316.93 (close)Euro/dollar: UP at $1.0485 from $1.0384 on FridayPound/dollar: UP at $1.2700 from $1.2584 Dollar/yen: DOWN at 149.47 from 149.52 yenEuro/pound: UP at 82.56 pence from 82.51 pence West Texas Intermediate: DOWN 2.0 percent at $68.37 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.1 percent at $71.62 per barrelburs-rl-da-tmc/jgc

Trump s’impatiente et accroît la pression sur Zelensky

Donald Trump a encore accentué lundi ses menaces contre Volodymyr Zelensky, qu’il suspecte de ne “pas vouloir la paix” avec la Russie, tout en assurant qu’un accord sur les minerais ukrainiens pouvait encore être conclu.Pour sa part, le président ukrainien a martelé qu’il voulait la fin de la guerre avec Moscou “le plus vite possible”, alors que les retombées de la spectaculaire altercation avec le président américain vendredi à la Maison Blanche se font toujours sentir.”Cela ne devrait pas être si difficile de trouver un accord. Et cet accord pourrait avoir lieu très vite”, a affirmé Donald Trump lors d’un bref échange lundi avec des journalistes.”Maintenant, peut-être qu’il y a quelqu’un qui ne veut pas trouver d’accord, et si ce quelqu’un ne veut pas d’accord, je pense que cette personne ne sera plus là très longtemps”, a-t-il ajouté.Le président américain a aussi jugé que son homologue ukrainien devrait être davantage “reconnaissant” pour l’aide des Etats-Unis.Mais il a aussi estimé que l’accord sur l’accès aux minerais ukrainiens, que Volodymyr Zelensky était censé signer à Washington vendredi, pouvait encore être conclu.De son côté, le chef de l’Etat ukrainien a estimé sur X qu’il était “très important que nous essayions de rendre notre diplomatie vraiment substantielle pour mettre fin à cette guerre le plus vite possible.”Et, dans une vidéo publiée lundi soir, il a réitéré son appel à fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité.”C’est l’absence de garanties de sécurité pour l’Ukraine il y a 11 ans qui a permis à la Russie de commencer l’occupation de la Crimée et la guerre dans le Donbass, puis l’absence de garanties de sécurité a permis à la Russie de lancer une invasion à grande échelle”, a-t-il dit.- “La pire chose” -Réagissant plus tôt à une déclaration faite dimanche à Londres, dans laquelle M. Zelensky estimait “qu’un accord mettant fin à la guerre (était) très très lointain”, Donald Trump l’a menacé de “ne plus tolérer très longtemps” cette position. “C’est la pire chose que Zelensky pouvait dire et l’Amérique ne va plus tolérer ça très longtemps”, a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social. “Ce gars ne veut pas de paix tant qu’il a le soutien de l’Amérique”, a déclaré Donald Trump, qui avait menacé vendredi de “laisser tomber” l’Ukraine s’il ne se faisait pas plus conciliant.Comme en écho aux propos du président américain, le Kremlin, qui avait ordonné en février 2022 l’invasion de l’Ukraine, a assuré lundi qu’il fallait “forcer Zelensky” car “il ne veut pas la paix”.Quant aux alliés européens de Kiev, le président français Emmanuel Macron a évoqué l’idée dimanche d’une première trêve d’un mois “dans les airs, sur les mers et les infrastructures énergétiques”, une initiative sur laquelle Londres a aussitôt souligné qu’il n’y avait “pas d’accord” à ce stade.Un sommet à Bruxelles jeudi sera consacré à l’Ukraine et aux questions de sécurité européenne.Mais “ce sera un échec pour tout le monde si l’Ukraine est forcée à un cessez-le-feu sans de sérieuses garanties de sécurité”, a souligné Volodymyr Zelensky dans la nuit de dimanche à lundi.- L’avancée des Russes ralentit -Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a de son côté souligné lundi que, plus de 35 ans après la chute des régimes communistes soutenus par Moscou en Europe, “jamais le risque d’une guerre sur le continent européen, dans l’Union européenne, n’a été aussi élevé”.Invités par le Premier ministre britannique Keir Starmer, quinze dirigeants européens, dont Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz, ont affiché dimanche leur engagement à soutenir Kiev et à se réarmer face à la Russie.Sur le terrain, la guerre continue de semer la mort et la dévastation.Le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, a indiqué lundi qu'”un missile balistique Iskander-M avec munitions à fragmentation” avait frappé samedi un centre d’entraînement de l’armée de terre dans la région de Dnipropetrovsk, à plus de 100 km de la ligne de front, faisant “des morts et des blessés”.Selon un blogueur militaire ukrainien, entre 30 et 40 soldats ont été tués et jusqu’à 90 ont été blessés.Par ailleurs, une infrastructure pétrolière a pris feu lundi soir dans la région russe de Rostov, frontalière de l’Ukraine, après une attaque de drones, a indiqué le gouverneur régional par intérim, Iouri Slioussar.Mais, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), l’avancée russe dans l’est de l’Ukraine a de nouveau ralenti, avec un gain de seulement 389 km2 en février, après 431 km2 en janvier, 476 km2 en décembre et un pic à 725 km2 en novembre.

Trump s’impatiente et accroît la pression sur Zelensky

Donald Trump a encore accentué lundi ses menaces contre Volodymyr Zelensky, qu’il suspecte de ne “pas vouloir la paix” avec la Russie, tout en assurant qu’un accord sur les minerais ukrainiens pouvait encore être conclu.Pour sa part, le président ukrainien a martelé qu’il voulait la fin de la guerre avec Moscou “le plus vite possible”, alors que les retombées de la spectaculaire altercation avec le président américain vendredi à la Maison Blanche se font toujours sentir.”Cela ne devrait pas être si difficile de trouver un accord. Et cet accord pourrait avoir lieu très vite”, a affirmé Donald Trump lors d’un bref échange lundi avec des journalistes.”Maintenant, peut-être qu’il y a quelqu’un qui ne veut pas trouver d’accord, et si ce quelqu’un ne veut pas d’accord, je pense que cette personne ne sera plus là très longtemps”, a-t-il ajouté.Le président américain a aussi jugé que son homologue ukrainien devrait être davantage “reconnaissant” pour l’aide des Etats-Unis.Mais il a aussi estimé que l’accord sur l’accès aux minerais ukrainiens, que Volodymyr Zelensky était censé signer à Washington vendredi, pouvait encore être conclu.De son côté, le chef de l’Etat ukrainien a estimé sur X qu’il était “très important que nous essayions de rendre notre diplomatie vraiment substantielle pour mettre fin à cette guerre le plus vite possible.”Et, dans une vidéo publiée lundi soir, il a réitéré son appel à fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité.”C’est l’absence de garanties de sécurité pour l’Ukraine il y a 11 ans qui a permis à la Russie de commencer l’occupation de la Crimée et la guerre dans le Donbass, puis l’absence de garanties de sécurité a permis à la Russie de lancer une invasion à grande échelle”, a-t-il dit.- “La pire chose” -Réagissant plus tôt à une déclaration faite dimanche à Londres, dans laquelle M. Zelensky estimait “qu’un accord mettant fin à la guerre (était) très très lointain”, Donald Trump l’a menacé de “ne plus tolérer très longtemps” cette position. “C’est la pire chose que Zelensky pouvait dire et l’Amérique ne va plus tolérer ça très longtemps”, a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social. “Ce gars ne veut pas de paix tant qu’il a le soutien de l’Amérique”, a déclaré Donald Trump, qui avait menacé vendredi de “laisser tomber” l’Ukraine s’il ne se faisait pas plus conciliant.Comme en écho aux propos du président américain, le Kremlin, qui avait ordonné en février 2022 l’invasion de l’Ukraine, a assuré lundi qu’il fallait “forcer Zelensky” car “il ne veut pas la paix”.Quant aux alliés européens de Kiev, le président français Emmanuel Macron a évoqué l’idée dimanche d’une première trêve d’un mois “dans les airs, sur les mers et les infrastructures énergétiques”, une initiative sur laquelle Londres a aussitôt souligné qu’il n’y avait “pas d’accord” à ce stade.Un sommet à Bruxelles jeudi sera consacré à l’Ukraine et aux questions de sécurité européenne.Mais “ce sera un échec pour tout le monde si l’Ukraine est forcée à un cessez-le-feu sans de sérieuses garanties de sécurité”, a souligné Volodymyr Zelensky dans la nuit de dimanche à lundi.- L’avancée des Russes ralentit -Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a de son côté souligné lundi que, plus de 35 ans après la chute des régimes communistes soutenus par Moscou en Europe, “jamais le risque d’une guerre sur le continent européen, dans l’Union européenne, n’a été aussi élevé”.Invités par le Premier ministre britannique Keir Starmer, quinze dirigeants européens, dont Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz, ont affiché dimanche leur engagement à soutenir Kiev et à se réarmer face à la Russie.Sur le terrain, la guerre continue de semer la mort et la dévastation.Le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, a indiqué lundi qu'”un missile balistique Iskander-M avec munitions à fragmentation” avait frappé samedi un centre d’entraînement de l’armée de terre dans la région de Dnipropetrovsk, à plus de 100 km de la ligne de front, faisant “des morts et des blessés”.Selon un blogueur militaire ukrainien, entre 30 et 40 soldats ont été tués et jusqu’à 90 ont été blessés.Par ailleurs, une infrastructure pétrolière a pris feu lundi soir dans la région russe de Rostov, frontalière de l’Ukraine, après une attaque de drones, a indiqué le gouverneur régional par intérim, Iouri Slioussar.Mais, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), l’avancée russe dans l’est de l’Ukraine a de nouveau ralenti, avec un gain de seulement 389 km2 en février, après 431 km2 en janvier, 476 km2 en décembre et un pic à 725 km2 en novembre.