Au Soudan, les paramilitaires annoncent une trêve unilatérale de trois mois

Les paramilitaires soudanais des Forces de soutien rapide (FSR) ont annoncé lundi une trêve humanitaire unilatérale de trois mois, au lendemain du rejet par l’armée rivale d’une proposition internationale de cessez-le-feu dans le pays ravagé par plus de deux ans d’un conflit meurtrier.Le Soudan est le théâtre depuis avril 2023 d’une guerre pour le pouvoir, …

Au Soudan, les paramilitaires annoncent une trêve unilatérale de trois mois Read More »

La justice annule deux inculpations téléguidées par Trump contre ses ennemis désignés

Une juge fédérale a annulé lundi deux inculpations téléguidées par Donald Trump, contre l’ex-directeur du FBI James Comey et la procureure générale de l’Etat de New York, Letitia James, cibles de la vindicte du président américain.Donald Trump a maintes fois exprimé pendant sa campagne électorale sa volonté de prendre sa revanche sur tous ceux qu’il …

La justice annule deux inculpations téléguidées par Trump contre ses ennemis désignés Read More »

Début du procès de l’automobiliste accusé d’avoir foncé dans la foule à Liverpool

Le procès du Britannique accusé d’avoir foncé dans la foule en mai avec sa voiture après la victoire du club de football de Liverpool en championnat d’Angleterre, blessant des dizaines de personnes, doit s’ouvrir mardi dans cette ville du nord-ouest de l’Angleterre.Père de famille et ancien de la Royal Navy, selon les médias britanniques, Paul …

Début du procès de l’automobiliste accusé d’avoir foncé dans la foule à Liverpool Read More »

Oldest survivor of Tulsa race massacre dies: US mayor

The oldest survivor of the Tulsa race massacre, one of the worst episodes of racist violence in US history, has died aged 111, a local official said on Tuesday.Viola Fletcher was a child in 1921 when her Black neighborhood of Greenwood in Oklahoma state was torched by white mobs. Historians say as many as 300 African American residents were killed.”Today, our city mourns the loss of Mother Viola Fletcher — a survivor of one of the darkest chapters in our city’s history,” Tulsa Mayor Monroe Nichols said in a statement.”Fletcher carried 111 years of truth, resilience, and grace and was a reminder of how far we’ve come and how far we must still go.”The violence began after a group of Black men went to the local courthouse on May 31, 1921, to defend a young African American man accused of assaulting a white woman.They found themselves facing a furious white mob and retreated to Greenwood when shots were fired.White men looted and burned the neighborhood, then one of America’s most successful Black enclaves and so affluent it was known as Black Wall Street, at dawn the next day.Much of the neighbourhood was burned to the ground, buildings were destroyed, and businesses looted. Thousands of people were left homeless.Fletcher, who dropped out of elementary school and suffered decades of poverty, working mostly as a housekeeper for white families, later said she had “lived through the massacre every day” for the past century.- ‘Still hear the screams’ -She was one of the survivors of the massacre who testified before Congress a century later to the horrors she witnessed, calling for reparations.”I still see Black men being shot, Black bodies lying in the street… I still see Black businesses being burned. I still hear the screams,” Fletcher told a House Judiciary Committee hearing in 2021.”Our country may forget this history but I cannot. I will not, and other survivors do not, and our descendants do not,” she said.The commission concluded that Tulsa authorities themselves had armed some of the white rioters.It also recommended that Greenwood residents and their descendants be compensated, but the effort failed.In 2021, Joe Biden became the first US president to commemorate the massacre in a Tulsa service honoring the forgotten victims.The city also began to excavate mass graves, where many Black victims of the massacre were buried, in an effort to shed more light on its dark past.The last surviving witness to the massacre is 111-year-old Lessie Evelyn Benningfield, six months younger than Fletcher.The United States has been embroiled in a debate over racism in recent years, fuelled by the 2020 killing of African American George Floyd, who suffocated under the knee of a white Minneapolis police officer.

Nouveau service national: il ne s’agit pas d'”envoyer nos jeunes en Ukraine”, assure Macron

Emmanuel Macron a assuré mardi sur RTL que le nouveau service national volontaire qu’il s’apprête à annoncer n’implique aucunement d'”envoyer nos jeunes en Ukraine”.Le chef de l’Etat a confirmé qu’il préciserait jeudi “la transformation du service national universel vers une nouvelle forme”, sans fournir plus de précisions. “Il faut vraiment, en tout cas tout de suite, supprimer toute idée confuse qui consisterait à dire qu’on va envoyer nos jeunes en Ukraine. C’est pas du tout le sens de cette affaire”, a-t-il insisté.Emmanuel Macron se rendra jeudi à la 27e Brigade d’infanterie de montagne (BIM) à Varces (Isère), afin d’annoncer un “nouveau cadre pour servir au sein de nos armées” et répondre à l'”envie d’engagement” de la jeunesse.”Il est très clair que nous devons renforcer le pacte armée-Nation”, a plaidé mardi le chef de l’État. Selon des sources concordantes, Emmanuel Macron devrait annoncer jeudi l’instauration d’un service militaire volontaire (SMV).Sa mise en œuvre devrait commencer modestement, avec 2.000 à 3.000 personnes la première année, avant une “montée en puissance” et un objectif à terme de 50.000 volontaires par an, estimait récemment une source ayant connaissance du dossier.D’après plusieurs médias, la durée envisagée serait de 10 mois et il serait rémunéré à hauteur de plusieurs centaines d’euros.Se disant “pas totalement opposé” à un tel type de service militaire, le premier secrétaire du PS Olivier Faure a cependant regretté sur franceinfo que “ça ne rempli(sse) pas complètement sa mission”, en terme social, puisqu’il sera “essentiellement proposé à ceux qui sont dans des situations moins enviables” alors que le service militaire d’autrefois “brassait les populations”.Mais, a convenu le leader socialiste, “c’est un élément de la dissuasion” face à la menace extérieure. “Laisser penser que c’est une nation entière qui se met au service de sa défense, c’est un élément de la dissuasion et, à ce titre, c’est un élément important dans un moment où nous savons que la dissuasion doit être restaurée pour empêcher demain des confrontations”, a-t-il estimé.Le vice-président du RN, Sébastien Chenu, a de son côté plaidé sur France Inter pour “un service national obligatoire, garçon et fille, de trois mois pour commencer” car “aujourd’hui, revenir à la conscription, ça coûte énormément”. La mobilisation sur la base du volontariat d’une partie d’une classe d’âge pourrait servir à répondre aux besoins d'”acquérir la masse” nécessaire pour tenir dans la durée en cas de conflit, avait estimé cet été le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de Terre.Le service militaire a été obligatoire en France pendant près de deux siècles jusqu’à sa suppression en 1997 par le président Jacques Chirac pour laisser place à une armée de métier.

Nouveau service national: il ne s’agit pas d'”envoyer nos jeunes en Ukraine”, assure Macron

Emmanuel Macron a assuré mardi sur RTL que le nouveau service national volontaire qu’il s’apprête à annoncer n’implique aucunement d'”envoyer nos jeunes en Ukraine”.Le chef de l’Etat a confirmé qu’il préciserait jeudi “la transformation du service national universel vers une nouvelle forme”, sans fournir plus de précisions. “Il faut vraiment, en tout cas tout de suite, supprimer toute idée confuse qui consisterait à dire qu’on va envoyer nos jeunes en Ukraine. C’est pas du tout le sens de cette affaire”, a-t-il insisté.Emmanuel Macron se rendra jeudi à la 27e Brigade d’infanterie de montagne (BIM) à Varces (Isère), afin d’annoncer un “nouveau cadre pour servir au sein de nos armées” et répondre à l'”envie d’engagement” de la jeunesse.”Il est très clair que nous devons renforcer le pacte armée-Nation”, a plaidé mardi le chef de l’État. Selon des sources concordantes, Emmanuel Macron devrait annoncer jeudi l’instauration d’un service militaire volontaire (SMV).Sa mise en œuvre devrait commencer modestement, avec 2.000 à 3.000 personnes la première année, avant une “montée en puissance” et un objectif à terme de 50.000 volontaires par an, estimait récemment une source ayant connaissance du dossier.D’après plusieurs médias, la durée envisagée serait de 10 mois et il serait rémunéré à hauteur de plusieurs centaines d’euros.Se disant “pas totalement opposé” à un tel type de service militaire, le premier secrétaire du PS Olivier Faure a cependant regretté sur franceinfo que “ça ne rempli(sse) pas complètement sa mission”, en terme social, puisqu’il sera “essentiellement proposé à ceux qui sont dans des situations moins enviables” alors que le service militaire d’autrefois “brassait les populations”.Mais, a convenu le leader socialiste, “c’est un élément de la dissuasion” face à la menace extérieure. “Laisser penser que c’est une nation entière qui se met au service de sa défense, c’est un élément de la dissuasion et, à ce titre, c’est un élément important dans un moment où nous savons que la dissuasion doit être restaurée pour empêcher demain des confrontations”, a-t-il estimé.Le vice-président du RN, Sébastien Chenu, a de son côté plaidé sur France Inter pour “un service national obligatoire, garçon et fille, de trois mois pour commencer” car “aujourd’hui, revenir à la conscription, ça coûte énormément”. La mobilisation sur la base du volontariat d’une partie d’une classe d’âge pourrait servir à répondre aux besoins d'”acquérir la masse” nécessaire pour tenir dans la durée en cas de conflit, avait estimé cet été le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de Terre.Le service militaire a été obligatoire en France pendant près de deux siècles jusqu’à sa suppression en 1997 par le président Jacques Chirac pour laisser place à une armée de métier.

Stock markets advance as odds for another Fed rate cut grow

Investors on Tuesday welcomed more dovish comments from Federal Reserve officials reinforcing hopes it will cut interest rates next month, while a tech-led rally on Wall Street soothed recent AI bubble worries.After a swoon in recent weeks, optimism appeared to be returning to trading floors as the chances of a third successive reduction in US borrowing costs increases as a weakening labour market offsets stubbornly high inflation. Fed governor Christopher Waller told Fox Business on Monday that inflation was not his main worry and that his “concern is mainly the labour market, in terms of our dual mandate” of the Fed to support jobs and keep a cap on prices.”So I’m advocating for a rate cut at the next meeting.”His comments echoed those of San Francisco Fed president Mary Daly, who told the Wall Street Journal: “On the labour market, I don’t feel as confident we can get ahead of it.”She added that the risk of a bust higher in inflation was a lower risk as the impact of US President Donald Trump’s tariffs had been less than expected.New York Fed boss John Williams said Friday that he still sees “room for a further adjustment” at the bank’s December 9-10 policy meeting.Analysts pointed out that the lack of pushback from the Fed on the remarks suggested boss Jerome Powell backed them and was preparing for another cut.Traders now see about a 90 percent chance of a reduction, having been around 35 percent last week.The prospect of lower borrowing rates pushed Wall Street sharply higher for a second successive day Monday, with the S&P 500 up around 1.6 percent.The Nasdaq charged 2.7 percent higher thanks to a surge in market heavyweights including Alphabet, Meta and Amazon.And the gains continued in Asia, which built on Monday’s strong performance.Tokyo, Hong Kong, Shanghai, Sydney, Seoul, Taipei, Mumbai, Bangkok and Jakarta all advanced, though there were pullbacks in Manila, Singapore and Wellington.London, Paris and Frankfurt opened higher.Tech firms have enjoyed a revival after suffering a period of selling in recent weeks, owing to concerns that the AI-led splurge this year may have pushed valuations too far and the huge investments made in the sector could take time to come to fruition.While there is debate about whether the advance has more legs, observers say the outlook is more nuanced.”AI remains one of the most powerful forces reshaping markets, but the tone is changing,” wrote Saxo Markets’ Charu Chanana.”Strong earnings from leading chipmakers… reassure investors that demand is real, yet the sharp swings in market reaction show that enthusiasm now sits alongside questions around sustainability, profitability, and execution.”The broad ‘everything goes up’ phase of the AI trade is fading. What replaces it is a more nuanced market: one that rewards fundamentals over narratives.”She added that investors now had to “separate the durable players from those caught up in the momentum”.Sentiment was also given a lift after Trump praised “extremely strong” US-China relations following a call with his Chinese counterpart Xi Jinping.He also said he will visit China in April and that Xi will make a trip to Washington later in 2026.However, he made no mention of the fact that they had spoken about the ever-sensitive issue of Taiwan. China’s foreign ministry said Trump had told Xi the United States “understands how important the Taiwan question is to China”.The call came after the pair met in late October for the first time since 2019, engaging in closely watched trade talks between the world’s top two economies.- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.1 percent at 48,659.52 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 25,894.55 (close)Shanghai – Composite: UP 0.9 percent at 3,870.02 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,542.56 Euro/dollar: UP at $1.1526 from $1.1523 on MondayPound/dollar: UP at $1.3125 from $1.3110Dollar/yen: DOWN at 156.61 yen from 156.81 yenEuro/pound: DOWN at 87.82 pence from 87.91 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $58.50 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.6 percent at $62.99 per barrelNew York – Dow: UP 0.4 percent at 46,448.27 (close)