Bretagne: 1.700 personnes défilent à Lorient contre l’extrême droite, des dégradations
Quelque 1.700 personnes ont répondu dimanche à une manifestation régionale à Lorient “contre l’extrême droite” et “pour une Bretagne ouverte et solidaire” à l’appel d’une centaine d’associations et de collectifs de gauche, a annoncé la préfecture du Morbihan, qui a dénoncé “de nombreux actes de dégradation”. Lors de la manifestation dimanche après-midi, “de nombreux actes de dégradation ont été commis (tags, collages, bris de vitrines)”. En outre, “les forces de sécurité ont été la cible de tirs de mortiers et de jets de pierres”, a indiqué la préfecture dans un communiqué, précisant que “trois personnes ont été interpellées et placées en garde à vue”.Le préfet “dénonce vivement ces actes et condamne sans réserve les dégradations commises”, selon le même communiqué.”J’étais ce dimanche à la manifestation contre l’extrême-droite qui a réuni plus de 1.800 personnes à Lorient. C’est une belle mobilisation, qui répond à l’appel d’une centaine d’associations, partis et collectifs et qui montre une nouvelle fois que Lorient et la Bretagne résistent face à la vague d’extrême-droite”, a déclaré dans un communiqué le député du Morbihan Damien Girard (écologistes).”Pour autant, la violence n’a pas sa place dans nos manifestations. Je condamne fermement les dégradations commises, notamment contre le local du Parti Socialiste. Une minorité de casseurs ne doit pas venir entacher le succès de cette mobilisation”, a ajouté l’élu.Un correspondant de l’AFP a constaté d’importants dégâts sur la vitrine du local du Parti socialiste (PS), ainsi que des vitrines brisées d’agences d’intérim ou de distributeurs bancaires. Des forces de l’ordre ont également fait usage de gaz lacrymogènes, selon la même source.”La devanture du siège de la Fédération du Morbihan du Parti socialiste (…) a ainsi été victime d’une destruction méthodique pendant que les manifestants défilaient, avec 29 impacts recensés de masse ou d’objets équivalents et sans compter les tags injurieux. Il s’agit d’une attaque en règle contre les principes démocratiques et républicains les plus élémentaires que tous ceux qui disent combattre l’extrême-droite ont le premier devoir d’incarner avec la plus totale détermination”, a réagi le Premier secrétaire fédéral et sénateur du Morbihan Simon Uzenat, précisant que le parti allait déposer plainte. Lors de la manifestation, des pancartes “Pas de répit pour les fachos” ou “Bretagne anti fasciste” étaient déployées.Sous le soleil, les manifestants ont lancé des slogans comme “le fascisme, c’est la gangrène, on l’élimine ou on en crève” ou encore “pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartier pour les fachos”.”Je suis ici pour montrer que les élus sont au côté des citoyens et des associations et des institutions culturelles. Quand l’extrême droite progresse, la culture est attaquée, les minorités, les femmes et les plus vulnérables sont pris pour cible”, a déclaré Rozenn Métayer, conseillère départementale de Lorient, non encartée. “Aujourd’hui, plus d’une centaine d’organisations ont appelé à manifester, c’est encourageant”, s’est félicité l’élue.
Bretagne: 1.700 personnes défilent à Lorient contre l’extrême droite, des dégradations
Quelque 1.700 personnes ont répondu dimanche à une manifestation régionale à Lorient “contre l’extrême droite” et “pour une Bretagne ouverte et solidaire” à l’appel d’une centaine d’associations et de collectifs de gauche, a annoncé la préfecture du Morbihan, qui a dénoncé “de nombreux actes de dégradation”. Lors de la manifestation dimanche après-midi, “de nombreux actes de dégradation ont été commis (tags, collages, bris de vitrines)”. En outre, “les forces de sécurité ont été la cible de tirs de mortiers et de jets de pierres”, a indiqué la préfecture dans un communiqué, précisant que “trois personnes ont été interpellées et placées en garde à vue”.Le préfet “dénonce vivement ces actes et condamne sans réserve les dégradations commises”, selon le même communiqué.”J’étais ce dimanche à la manifestation contre l’extrême-droite qui a réuni plus de 1.800 personnes à Lorient. C’est une belle mobilisation, qui répond à l’appel d’une centaine d’associations, partis et collectifs et qui montre une nouvelle fois que Lorient et la Bretagne résistent face à la vague d’extrême-droite”, a déclaré dans un communiqué le député du Morbihan Damien Girard (écologistes).”Pour autant, la violence n’a pas sa place dans nos manifestations. Je condamne fermement les dégradations commises, notamment contre le local du Parti Socialiste. Une minorité de casseurs ne doit pas venir entacher le succès de cette mobilisation”, a ajouté l’élu.Un correspondant de l’AFP a constaté d’importants dégâts sur la vitrine du local du Parti socialiste (PS), ainsi que des vitrines brisées d’agences d’intérim ou de distributeurs bancaires. Des forces de l’ordre ont également fait usage de gaz lacrymogènes, selon la même source.”La devanture du siège de la Fédération du Morbihan du Parti socialiste (…) a ainsi été victime d’une destruction méthodique pendant que les manifestants défilaient, avec 29 impacts recensés de masse ou d’objets équivalents et sans compter les tags injurieux. Il s’agit d’une attaque en règle contre les principes démocratiques et républicains les plus élémentaires que tous ceux qui disent combattre l’extrême-droite ont le premier devoir d’incarner avec la plus totale détermination”, a réagi le Premier secrétaire fédéral et sénateur du Morbihan Simon Uzenat, précisant que le parti allait déposer plainte. Lors de la manifestation, des pancartes “Pas de répit pour les fachos” ou “Bretagne anti fasciste” étaient déployées.Sous le soleil, les manifestants ont lancé des slogans comme “le fascisme, c’est la gangrène, on l’élimine ou on en crève” ou encore “pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartier pour les fachos”.”Je suis ici pour montrer que les élus sont au côté des citoyens et des associations et des institutions culturelles. Quand l’extrême droite progresse, la culture est attaquée, les minorités, les femmes et les plus vulnérables sont pris pour cible”, a déclaré Rozenn Métayer, conseillère départementale de Lorient, non encartée. “Aujourd’hui, plus d’une centaine d’organisations ont appelé à manifester, c’est encourageant”, s’est félicité l’élue.
Bretagne: 1.700 personnes défilent à Lorient contre l’extrême droite, des dégradations
Quelque 1.700 personnes ont répondu dimanche à une manifestation régionale à Lorient “contre l’extrême droite” et “pour une Bretagne ouverte et solidaire” à l’appel d’une centaine d’associations et de collectifs de gauche, a annoncé la préfecture du Morbihan, qui a dénoncé “de nombreux actes de dégradation”. Lors de la manifestation dimanche après-midi, “de nombreux actes de dégradation ont été commis (tags, collages, bris de vitrines)”. En outre, “les forces de sécurité ont été la cible de tirs de mortiers et de jets de pierres”, a indiqué la préfecture dans un communiqué, précisant que “trois personnes ont été interpellées et placées en garde à vue”.Le préfet “dénonce vivement ces actes et condamne sans réserve les dégradations commises”, selon le même communiqué.”J’étais ce dimanche à la manifestation contre l’extrême-droite qui a réuni plus de 1.800 personnes à Lorient. C’est une belle mobilisation, qui répond à l’appel d’une centaine d’associations, partis et collectifs et qui montre une nouvelle fois que Lorient et la Bretagne résistent face à la vague d’extrême-droite”, a déclaré dans un communiqué le député du Morbihan Damien Girard (écologistes).”Pour autant, la violence n’a pas sa place dans nos manifestations. Je condamne fermement les dégradations commises, notamment contre le local du Parti Socialiste. Une minorité de casseurs ne doit pas venir entacher le succès de cette mobilisation”, a ajouté l’élu.Un correspondant de l’AFP a constaté d’importants dégâts sur la vitrine du local du Parti socialiste (PS), ainsi que des vitrines brisées d’agences d’intérim ou de distributeurs bancaires. Des forces de l’ordre ont également fait usage de gaz lacrymogènes, selon la même source.”La devanture du siège de la Fédération du Morbihan du Parti socialiste (…) a ainsi été victime d’une destruction méthodique pendant que les manifestants défilaient, avec 29 impacts recensés de masse ou d’objets équivalents et sans compter les tags injurieux. Il s’agit d’une attaque en règle contre les principes démocratiques et républicains les plus élémentaires que tous ceux qui disent combattre l’extrême-droite ont le premier devoir d’incarner avec la plus totale détermination”, a réagi le Premier secrétaire fédéral et sénateur du Morbihan Simon Uzenat, précisant que le parti allait déposer plainte. Lors de la manifestation, des pancartes “Pas de répit pour les fachos” ou “Bretagne anti fasciste” étaient déployées.Sous le soleil, les manifestants ont lancé des slogans comme “le fascisme, c’est la gangrène, on l’élimine ou on en crève” ou encore “pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartier pour les fachos”.”Je suis ici pour montrer que les élus sont au côté des citoyens et des associations et des institutions culturelles. Quand l’extrême droite progresse, la culture est attaquée, les minorités, les femmes et les plus vulnérables sont pris pour cible”, a déclaré Rozenn Métayer, conseillère départementale de Lorient, non encartée. “Aujourd’hui, plus d’une centaine d’organisations ont appelé à manifester, c’est encourageant”, s’est félicité l’élue.
Ligue 1: Rennes poursuit sa remontée et enfonce Montpellier
Rennes a poursuivi sa spectaculaire remontée en s’imposant (4-0) dimanche à Montpellier, décroché à la dernière place, lors de la 24e journée de Ligue 1.A la suite du premier but du milieu ivoirien Seko Fofana (28e), l’équipe bretonne a ajouté trois autres buts après la pause par le milieu Djaoui Cissé (56e), le latéral Lorenz Assignon (69e) et l’attaquant Arnaud Kalimuendo (87e).L’équipe d’Habib Beye, renouvelée de fond en comble au mercato (Samba, Fofana, Brassier, Tamari…), est transfigurée depuis la fin du mercato. Cinq rencontres, quatre victoires pleines de pragmatisme et un bond au classement. Après avoir occupé fin janvier la place de barragiste, les Bretons se rapprochent du milieu de tableau (11e) et comptent huit points de retard sur Strasbourg, classé à la 7e place.Les partenaires d’Adrien Truffert, inefficaces à l’extérieur jusque-là , enchaînent une deuxième victoire trois semaines après celle obtenue chez un autre candidat au maintien, Saint-Etienne (2-0). Portés par un nouvel état d’esprit, à l’image de leur solidité défensive, peuvent-ils espérer mieux en cette fin de saison ?Montpellier, lui, s’enfonce en queue de classement. L’équipe de Jean-Louis Gasset, battue pour la cinquième fois d’affilée (Lens, Strasbourg, Lyon, Nice), paraît impuissante pour renverser le cours d’une saison désastreuse et son déclin. A dix journées de la fin, elle déplore cinq points de retard sur le nouveau barragiste, Le Havre.La défense héraultaise, plombée par les absences (Omeragic, Maksimovic, Sylla…), a encore craqué, notamment en seconde période.Rennes, bousculé, a fait preuve de réalisme lors de la première période. Peu avant la demi-heure de jeu (28e), l’ex-Lensois Fofana a enveloppé une frappe au ras du poteau du portier de Montpellier Benjamin Lecomte pour ouvrir la marque et son compteur breton.Sinon, Lecomte a repoussé deux frappes de Cissé (5e) et Kalimuendo (30e), avant d’être secondé par un sauvetage de Tchato sur la ligne.Montpellier a manqué singulièrement de réussite. L’arbitre M. Batta a refusé deux buts à Enzo Tchato (16), puis Andy Delort (44) pour une position de hors de jeu litigieuse. Et, le meneur Téji Savanier a manqué le but ouvert à la suite d’une relance ratée de Brice Samba (22e).Montpellier, remanié sur le plan tactique à la pause, s’est exposé aux contres et a encaissé trois nouveaux buts. Le premier (56e) sur une frappe de vingt mètres de Cissé, le deuxième sur une tête d’Assignon, à la reprise d’un centre de Blas (69e) et le dernier sur un penalty de Kalimuendo (87e). Sans être brillant, Rennes était bien trop fort pour un Montpellier à la dérive.
Chakravarthy gives India ‘good headache’ ahead of Champions Trophy semis
Spinner Varun Chakravarthy on Sunday became a “good headache” for India ahead of their Champions Trophy semi-final against Australia after his match-winning five-wicket haul against New Zealand, said captain Rohit Sharma.Mystery spinner Chakravarthy returned figures of 5-42 in Dubai to help India beat New Zealand in their last group match of the 50-over tournament.His recent 14 wickets in a 4-1 T20 series win over England at home got Chakravarthy back into the India reckoning in the white-ball formats and he was a last-minute addition to the Champions Trophy squad.After being left out for the first two games, Chakravarthy made the team in India’s last group match and was named player of the match in just his second ODI after his debut against England last month.India face Australia in the first semi-final in Dubai on Tuesday.”Varun has got something different, wanted to try and see what he had to offer,” said Rohit. “We got to think a little about what to do for the next game, good headache.”Chakravarthy went wicketless in three matches in Dubai during the 2021 T20 World Cup, but put that disappointment behind him in style.”The first spell of mine I was little nervous because the previous things, the emotions and all were playing whatever happened in the last three years before in this ground,” the 33-year-old Chakravarthy told reporters.”Where little bit it was playing with me and I was trying to keep it down, control it. But Virat (Kohli), Rohit (Sharma) and even Hardik (Pandya), they were telling (me to) calm down. That really helped.”Chakravarthy made his mark in the Indian Premier League for Kolkata Knight Riders, playing a key part in the team’s title win last year.A wily bowler with lot of variations up his sleeve, Chakravarthy gets the ball to spin both ways.He also varies his pace to make life difficult for the opposition, a trait with which he bamboozled the New Zealand batsmen including Will Young, who he bowled for 22.- Praise from Henry -“It is the patience game,” Chakravarthy said on bowling in ODIs.”You just need to wait it out… on such slow wickets… the ball doesn’t turn fast, it turns slow. So, you need to wait it out and it just happens, if it’s your day it happens to you.”A late starter in professional cricket, Chakravarthy harboured other dreams before he took up the sport and made his international debut at nearly 30 years of age.”After 26 is when I started dreaming about cricket,” said Chakravarthy. “Before that, my dreams were all being an architect and making movies.”He added, “So, I’ve had different career paths. And all those things are happening. So yeah, it’s been good right now.”New Zealand pace bowler Matt Henry also took 5-42, albeit in a losing cause.”He bowled beautifully, didn’t he?,” Henry said of Chakravarthy.”I think he showed his skill tonight, the way he turned the ball both ways, and even the way that he could bowl pace. I thought he was brilliant, and yeah, that they were able to put us under pressure right throughout.”New Zealand will take on Group B winners South Africa in Lahore on Wednesday and Henry said they are “excited” to face the best teams.
Xynthia: le gouvernement rend hommage aux victimes de la tempête 15 ans après
Un hommage a été rendu dimanche matin, en présence du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, aux victimes de la tempête Xynthia qui a fait 47 morts en 2010, dont 29 dans le village vendéen de La Faute-sur-Mer.”Tout a été renaturé, mais à l’époque, il y avait 600 maisons, 600 maisons qui ont été déconstruites et n’avaient rien à faire ici. Donc il faut transformer profondément notre façon de faire, s’imprégner d’une culture du risque pour se dire que le risque zéro n’existe jamais et que les forces de la nature sont extrêmement puissantes”, a déclaré Bruno Retailleau.Après une marche licencieuse, les participants se sont rassemblés devant la stèle en hommage aux victimes de Xynthia, sous le soleil. Des familles de victimes ont déposé des fleurs devant la stèle. Lors de l’hommage, Laurent Huger, maire de L’Aiguillon-la-Presqu’île, qui regroupe désormais les communes de La-Faute-sur-Mer et de L’Aiguillon-sur-Mer, a égrené les noms des victimes de la catastrophe. “Là où nous sommes là , juste là où nous sommes, il y avait 2,80 m d’eau, là où vous êtes avec moi”, a rappelé M. Huger.Élisabeth Tabary, vice-présidente de l’Association des victimes de la Faute-sur-Mer, qui a perdu son mari et son petit-fils lors de la tempête, dit “avoir deux vies”. “J’ai ma première vie, qu’il a fallu se reconstituer dans une deuxième vie, avec un regard différent sur l’avenir, sur les choses. Je ne suis pas la même personne”, a-t-elle dit à une vidéaste de l’AFP.A La-Faute-sur-Mer, village vendéen de quelques centaines d’âmes, 29 personnes étaient mortes, prises au piège de la tempête dans un quartier situé en contrebas de digues qui n’avaient pas suffit à la contenir.