‘Thousands’ in Gaza at risk from unexploded ordnance: aid group

Unexploded bombs and shells buried in the ruins of Gaza could kill or injure thousands of people in the war-ravaged Palestinian territory in the future, an aid organisation has warned.The volume of ordnance dropped on Gaza during 15 months of conflict between Israel and the Palestinian militant group Hamas was “mind-boggling”, said Simon Elmont, a demining expert with Handicap International – Humanity & Inclusion.”The amount of ordnance that has been fired is an enormous quantity,” Elmont told AFP, adding that between nine and 13 percent of munitions fail to explode on initial impact.”It is going to be tens of thousands of unexploded ordnance, that’s for sure,” he added.He said that the contamination level in Gaza was massive, and much of the ordnance “lies mainly within the rubble and underneath the surface of Gaza”.Hamas and Israel have agreed a ceasefire, which came into effect on January 19 and ushered in a fragile calm.- ‘Fatal’ -Elmont warned of the risk of multiple deaths and injuries as hundreds of thousands of displaced Palestinians return home to recover their belongings and try to rebuild.”The potential is for hundreds, if not thousands, of incidents where people potentially are injured. And unfortunately, some of those injuries will be fatal,” Elmont said.”We know that people will start to try to find their personal effects. They will be entering damaged and destroyed buildings. They will start moving the rubble around,” Elmont added.”Our great concern now is that as they’re doing that, they will come across ordnance.”Citing recent video footage, the expert said a Gazan child had been hospitalised after another child threw a grenade at him, “believing it was a toy”.Making the war-ravaged territory safe from unexploded bombs is especially difficult because it is impossible to evacuate the population from the territories to be decontaminated, he said.”The problem in Gaza is that there is nowhere to move them to,” Elmont said.Another problem, he said, was the lack of a security force or a functioning authority to enforce safety cordons during clearance operations.”In Gaza this is unique in that those don’t exist at the moment.”The war in Gaza began on October 7, 2023 with Hamas’s attack on Israel.The assault resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures. The militants also took 251 hostages to Gaza.Israel’s retaliation has killed at least 48,181 people in Gaza, the majority civilians, according to data provided by Hamas-run territory’s health ministry. The United Nations considers the figures reliable.

Réseaux de passeurs: un homme tué et un policier blessé près de Dijon

Un homme a été tué et un policier du RAID blessé lors d’un échange de tirs, survenu tôt samedi sur une aire d’autoroute près de Dijon, dans le cadre d’une filature visant une filière de passeurs entre la France et la Grande-Bretagne.Les faits se sont produits sur une aire de l’A31, au niveau de Selongey (Côte d’Or) lors d’une opération de police menée dans le cadre d’une enquête ouverte en région parisienne pour “aide au séjour en bande organisée et association de malfaiteurs”, a indiqué le procureur de Dijon, Olivier Caracotch dans un communiqué.Il s’agit d’un dossier de l’Office de lutte contre le trafic illicite de migrants (Oltim) portant sur une filière de passeurs entre la France et la Grande-Bretagne et impliquant des réseaux “extrêmement violents”, a précisé à l’AFP une source proche du dossier.Dans ce cadre, deux policiers du RAID, une unité d’intervention spécialisée dans la lutte contre la criminalité organisée, avaient pris en filature un véhicule immatriculé en Grande-Bretagne.Vers 01H00 du matin, ils se trouvaient dans leur véhicule sur l’aire d’autoroute lorsqu’ils ont été visés “subitement (par) des tirs d’armes automatiques” de deux hommes sortis de la voiture qu’ils tenaient sous surveillance, selon Olivier Caracotch. Les agents ont riposté avec leurs armes de service. Les suspects se sont alors enfuis mais leur voiture a été retrouvée accidentée une centaine de mètres plus loin. Un homme a été découvert à quelques mètres du véhicule “mortellement atteint”, tandis que quatre autres ont pris la fuite.Trois d’entre eux, de nationalité irakienne et originaires du Kurdistan, ont été interpellés par la suite notamment grâce à des “moyens aériens déployés par la gendarmerie nationale”. Ils ont été “immédiatement placés en garde à vue pour tentative d’homicide volontaire sur un fonctionnaire de police”, tandis que le quatrième suspect est toujours “activement recherché”, précise Olivier Caracotch.Le pronostic vital du policier, atteint à la jambe, n’est pas engagé, selon le procureur.L’aire d’autoroute Villa des Tuileries, où se sont déroulés les tirs, restait fermée au public en milieu de journée samedi, sans qu’aucune présence policière ni activité ne soient visibles sur place, a constaté un photographe de l’AFP.- Filières “dangereuses” -Deux enquêtes distinctes ont été ouvertes, l’une pour “tentative d’homicide volontaire sur un fonctionnaire de police”, confiée à la Section de recherches de la gendarmerie de Dijon, l’autre pour “recherche des causes de la mort”, confiée au même service d’enquête en cosaisine avec l’Inspection générale de la police nationale, a-t-il indiqué.Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui a souhaité sur X un “prompt rétablissement” au policier blessé, a salué l”‘incroyable courage” des unités d’élite, précisant qu’un hélicoptère du GIGN était venu en appui des recherches.Le ministre avait dévoilé vendredi, avec son homologue des Comptes publics Amélie de Montchalin, un plan de lutte contre les réseaux de passeurs, appelant à “sortir de la naïveté” face à des filières qui “deviennent de plus en plus violentes et dangereuses”.”On a des réseaux criminels qui sont des réseaux hyper violents, qui utilisent désormais des techniques de guerre”, avait-il lancé, mettant en cause des groupes, “très aguerris, qui sont parfois d’anciens militaires” et citant en exemple un usage récent de missiles anti-char contre des policiers en Serbie.”Plus de 4.000 passeurs” ont été interpellés en France en 2024, selon le patron de l’Oltim, Xavier Delrieu.

Inde: le parti de Modi remporte une victoire symbolique dans la région de Delhi

Le parti Bharatiya Janata (BJP), formation nationaliste hindoue du Premier ministre Narendra Modi, a remporté samedi une large et symbolique victoire lors d’un scrutin régional dans la province de Delhi, qu’il n’avait plus dirigée depuis 1998.   Alors que le dépouillement n’était pas encore totalement achevé, le BJP était déjà assuré d’une large majorité des deux tiers à l’assemblée régionale de la province où se trouve la capitale. La formation nationaliste a remporté 47 sièges sur 70, et pourrait en obtenir un supplémentaire. “Le progrès l’a emporté, la bonne gouvernance l’a emporté”, s’est réjoui le Premier ministre.Pour le BJP, la victoire est d’autant plus éclatante que l’opposant charismatique Arvind Kejriwal, 56 ans, leader du parti Aam Aaadmi (AAP), a perdu son siège et reconnu sa défaite à l’issue du scrutin de mercredi. “Nous acceptons le verdict et félicitons le BJP”, a réagi dans une vidéo l’opposant, qui a dirigé la mégapole de 30 millions d’habitants pendant près d’une décennie, jusqu’en 2024.”Delhi a choisi le progrès”, s’est félicité le probable futur dirigeant (BJP) de la région, Parvesh Sahib Singh, 47 ans, dont le père avait déjà occupé cette fonction dans les années 1990.Ancien député national, M. Singh a suscité la controverse en 2022 lorsqu’il a semblé appeler à un “boycott total” des musulmans, bien qu’il n’ait pas explicitement désigné cette communauté par son nom.Devant le siège du BJP à New Delhi, des militants ont laissé éclater leur joie samedi, brandissant des drapeaux et des posters de M. Modi. “Nous ne négligerons rien pour assurer le développement global de Delhi et améliorer la vie de ses habitants”, a promis M. Modi dans un message publié sur les réseaux sociaux.”Notre victoire est le signe de la foi du peuple dans la vision de progrès du Premier ministre Modi”, s’est félicité dans un communiqué le ministre de l’Intérieur Amit Shah, avant même la confirmation du résultat. – La fin d’une “parenthèse” politique -Arvind Kejriwal, qui avait été élu à la tête de la province il y a près de dix ans en se présentant comme un pourfendeur de la corruption, a passé plusieurs mois en détention en 2024 dans le cadre d’une enquête ouverte sur des soupçons de pots-de-vin touchés par l’AAP. Libéré sous caution quelques mois plus tard par la Cour suprême, il avait vu ses libertés restreintes par la juridiction. Empêché d’exercer pleinement ses fonctions, il s’était résolu à démissionner de son poste de “ministre en chef” (dirigeant de la province), mais espérait reconquérir son poste à l’occasion de ces élections: pendant la campagne régionale, il avait estimé qu’une victoire équivaudrait à un “certificat d’honnêteté” remis par les électeurs.M. Kejriwal se défend de toute malversation et se dit victime d’une chasse aux sorcières politique menée par le gouvernement Modi. Avec le chef du parti du Congrès Rahul Gandhi, Arvind Kejriwal fait partie d’une coalition de l’opposition qui a empêché le BJP de M. Modi, 73 ans, de retrouver une majorité absolue à l’issue du scrutin national de juin 2024.Avec cette défaite régionale dans son bastion de Delhi, le BJP se retrouve “de nouveau en position de force”, a commenté Rahul Verma, du groupe de réflexion Centre for Policy Research à New Delhi. Un peu comme si les élections nationales de l’an dernier n’avaient constitué qu’une “parenthèse”, observe ce spécialiste, pour qui l’AAP est désormais “dans une position difficile pour l’avenir”. Lors de cette intense campagne électorale régionale, qui a duré des semaines, les débats n’ont que peu porté sur la crise de la pollution de l’air qui étouffe la mégapole indienne pendant des mois. Et ce, bien que New Delhi soit régulièrement classée comme la pire capitale du monde en ce domaine. 

Inde: le parti de Modi remporte une victoire symbolique dans la région de Delhi

Le parti Bharatiya Janata (BJP), formation nationaliste hindoue du Premier ministre Narendra Modi, a remporté samedi une large et symbolique victoire lors d’un scrutin régional dans la province de Delhi, qu’il n’avait plus dirigée depuis 1998.   Alors que le dépouillement n’était pas encore totalement achevé, le BJP était déjà assuré d’une large majorité des deux tiers à l’assemblée régionale de la province où se trouve la capitale. La formation nationaliste a remporté 47 sièges sur 70, et pourrait en obtenir un supplémentaire. “Le progrès l’a emporté, la bonne gouvernance l’a emporté”, s’est réjoui le Premier ministre.Pour le BJP, la victoire est d’autant plus éclatante que l’opposant charismatique Arvind Kejriwal, 56 ans, leader du parti Aam Aaadmi (AAP), a perdu son siège et reconnu sa défaite à l’issue du scrutin de mercredi. “Nous acceptons le verdict et félicitons le BJP”, a réagi dans une vidéo l’opposant, qui a dirigé la mégapole de 30 millions d’habitants pendant près d’une décennie, jusqu’en 2024.”Delhi a choisi le progrès”, s’est félicité le probable futur dirigeant (BJP) de la région, Parvesh Sahib Singh, 47 ans, dont le père avait déjà occupé cette fonction dans les années 1990.Ancien député national, M. Singh a suscité la controverse en 2022 lorsqu’il a semblé appeler à un “boycott total” des musulmans, bien qu’il n’ait pas explicitement désigné cette communauté par son nom.Devant le siège du BJP à New Delhi, des militants ont laissé éclater leur joie samedi, brandissant des drapeaux et des posters de M. Modi. “Nous ne négligerons rien pour assurer le développement global de Delhi et améliorer la vie de ses habitants”, a promis M. Modi dans un message publié sur les réseaux sociaux.”Notre victoire est le signe de la foi du peuple dans la vision de progrès du Premier ministre Modi”, s’est félicité dans un communiqué le ministre de l’Intérieur Amit Shah, avant même la confirmation du résultat. – La fin d’une “parenthèse” politique -Arvind Kejriwal, qui avait été élu à la tête de la province il y a près de dix ans en se présentant comme un pourfendeur de la corruption, a passé plusieurs mois en détention en 2024 dans le cadre d’une enquête ouverte sur des soupçons de pots-de-vin touchés par l’AAP. Libéré sous caution quelques mois plus tard par la Cour suprême, il avait vu ses libertés restreintes par la juridiction. Empêché d’exercer pleinement ses fonctions, il s’était résolu à démissionner de son poste de “ministre en chef” (dirigeant de la province), mais espérait reconquérir son poste à l’occasion de ces élections: pendant la campagne régionale, il avait estimé qu’une victoire équivaudrait à un “certificat d’honnêteté” remis par les électeurs.M. Kejriwal se défend de toute malversation et se dit victime d’une chasse aux sorcières politique menée par le gouvernement Modi. Avec le chef du parti du Congrès Rahul Gandhi, Arvind Kejriwal fait partie d’une coalition de l’opposition qui a empêché le BJP de M. Modi, 73 ans, de retrouver une majorité absolue à l’issue du scrutin national de juin 2024.Avec cette défaite régionale dans son bastion de Delhi, le BJP se retrouve “de nouveau en position de force”, a commenté Rahul Verma, du groupe de réflexion Centre for Policy Research à New Delhi. Un peu comme si les élections nationales de l’an dernier n’avaient constitué qu’une “parenthèse”, observe ce spécialiste, pour qui l’AAP est désormais “dans une position difficile pour l’avenir”. Lors de cette intense campagne électorale régionale, qui a duré des semaines, les débats n’ont que peu porté sur la crise de la pollution de l’air qui étouffe la mégapole indienne pendant des mois. Et ce, bien que New Delhi soit régulièrement classée comme la pire capitale du monde en ce domaine. 

S. Africa condemns ‘misinformation’ after Trump freezes aidSat, 08 Feb 2025 15:22:10 GMT

South Africa on Saturday condemned a “campaign of misinformation” after US President Donald Trump issued an order freezing aid to the country over a law he alleges allows land to be seized from white farmers.”We are concerned by what seems to be a campaign of misinformation and propaganda aimed at misrepresenting our great nation,” the …

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Première demande d’indemnisation d’une victime de l’abbé Pierre

Une première victime d’agression sexuelle de l’abbé Pierre a fait une demande d’indemnisation auprès de l’Inirr, l’une des instances chargées des réparations face aux violences sexuelles au sein de l’Eglise, selon un communiqué samedi.Confirmant une information de franceinfo, l’Inirr précise dans le texte “avoir reçu en janvier une première demande d’accompagnement d’un homme mineur au moment des faits, victime de l’abbé Pierre”. Selon la radio, la victime avait 13 ans au moment des faits, survenus au début des années 1980 à Esteville, fief normand d’Henri Grouès, le nom à l’état-civil de l’abbé Pierre.L’adolescent aurait subi “des attouchements suivis d’un acte de pénétration”, détaille la radio.”Même si les faits sont prescrits par la justice, toute personne victime de violences sexuelles au sein de l’Église, quand elle était mineure, peut s’adresser à l’Inirr”, précise l’organisme.L’Inirr (Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation) dit qu’elle présentera “un bilan complet de son travail des trois dernières années lors d’une conférence de presse le 25 mars et répondra à toutes les interrogations”, en présence de “trois victimes” qui livreront leur témoignage.Longtemps figure iconique de la défense des démunis, Henri Grouès était visé fin janvier par 33 accusations de violences sexuelles, certaines émanant de personnes qui étaient des enfants au moment des faits présumés.Aucune enquête pénale ne sera ouverte pour établir des responsabilités dans ces multiples accusations car le prêtre est décédé en 2007 et la non-dénonciation des faits -qui s’étalent des années 1950 aux années 2000- est couverte par la prescription, a indiqué mardi le parquet de Paris.Ces agressions sexuelles et viols ont été révélés dans trois rapports différents publiés depuis juillet 2024 par le cabinet Egaé, mandaté par le mouvement Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre pour faire la lumière sur les agissements du prêtre.La Fondation Abbé Pierre, que le prêtre avait créée avec des proches en 1987, a officiellement changé de nom le 25 janvier pour devenir la “Fondation pour le Logement des Défavorisés”. 

Coupe d’Angleterre: Manchester City s’en sort de justesse face à Leyton Orient

Manchester City, longtemps mené, a fini par éliminer sans briller le petit club de troisième division Leyton Orient (2-1), samedi au quatrième tour de la Coupe d’Angleterre de football.Les champions d’Angleterre en titre, qui restaient sur une lourde défaite en championnat dimanche dernier face à Arsenal (5-1), ont bien failli subir une nouvelle défaite humiliante, cette fois en Cup, face à une équipe très accrocheuse.Pep Guardiola avait effectué huit changements par rapport à l’équipe battue par les Gunners: seuls le gardien Stefan Ortega, Savinho et Omar Marmoush étaient sur le terrain au coup d’envoi des deux matches.Après une première occasion mal gérée par Charlie Kelman, qui a perdu son duel avec le gardien de City, Leyton Orient a ouvert la marque grâce à une frappe magistrale de Jamie Donley, prêté par Tottenham, à la 16e minute.Son tir d’une quarantaine de mètres a lobé Ortega, qui s’était légèrement avancé, a heurté la transversale et a rebondi sur le gardien mancunien pour entrer dans la cage. Si bien que le but a été officiellement inscrit par Ortega contre son camp.Juste avant la pause, le tout nouvel attaquant mancunien Omar Marmoush a eu l’occasion d’égaliser en reprenant de volée un centre quasiment à bout portant, mais Josh Keeley s’est interposé et a permis à Leyton de tenir son avantage jusqu’à la mi-temps.Au retour, Guardiola a fait entrer John Stones et Abdukodir Khusanov à la place du capitaine Ruben Dias et de Vitor Reis.Et à la 56e, les efforts -assaisonnés de chance- ont payé: un tir de Rico Lewis involontairement dévié par son coéquipier Khusanov a trompé Keeley (1-1).Et tandis que Leyton Orient fatiguait, Guardiola a lancé dans la bataille Kevin de Bruyne et Phil Foden à vingt minutes de la fin du temps réglementaire.Bonne pioche puisque le Belge a marqué dès la 79e minute (2-1) et mis City sur les rails de la qualification.