India’s Rohit insists struggles ‘nothing new’ ahead of England ODIs

India skipper Rohit Sharma on Wednesday insisted his recent Test struggles were just part of the “ups and downs” of a long career as he looks to rediscover his form in three one-day internationals against England.The two teams will begin the ODI series on Thursday in Nagpur with an eye on the upcoming 50-over Champions Trophy.Rohit and former captain Virat Kohli, who both retired from T20 internationals following India’s World Cup win in the shortest format last year, join the ODI set-up after India beat the visitors 4-1 in the preceding T20 series.Rohit and Kohli have been short on runs in Tests, with the captain scoring just 31 in three matches when India lost 3-1 in Australia.”This is a different format, different time,” the 37-year-old Rohit told reporters.”As cricketers there will be ups and downs and I have faced a lot in my career. This is nothing new to me. We know everyday is a fresh day, every series is a fresh series.”It’s important that I focus on what is coming up and what lies ahead for me, look to try and start this series on a high.”Both Rohit and Kohli, 36, have come under fire for their poor form, while youngsters Abhishek Sharma, Tilak Varma and Shivam Dube sparkled during the T20 series.Rohit averaged less than 25 with the bat in 14 Tests in 2024 — his lowest ever average for a calendar year.He left himself out for the final Test against Australia in Sydney, sparking speculation he could retire from the five-day game.”How is this relevant that I talk about my future plans sitting here where there are three ODIs and a Champions Trophy coming in?” he said.”The reports are going on for a number of years but I am not here to clarify those reports. My focus is on these games, we will see what happens afterwards.”Kohli himself managed an average of just 24.52 last year as part of a wider slump in the five-day game since 2019.He made his first appearance in domestic first-class cricket since 2012 for Delhi in an attempt to regain form last week but was dismissed for just six in his only innings.- Bumrah sidelined -Meanwhile, India fast bowler Jasprit Bumrah is racing against time to be fit for the Champions Trophy starting February 19 after he missed the final day’s play of the Sydney Test in Australia in January due to a back injury.Rohit said an update on his recovery and return will be available once a report on his scans is received in about two days.Mohammed Shami will lead India’s pace attack in the ODIs after recovering from a heel injury and participating in domestic cricket and the recent T20 series with mixed returns.”He has not played cricket for a year-and-a-half. Don’t be quick to judge players,” Rohit said of Shami.”He has been playing cricket for the last 10-12 years and performed for the team. He bowled so well in the World Cup (2023). If he doesn’t get the results in some domestic matches as expected then it doesn’t make him a bad bowler.”

“Comme une famille”: à Rungis, un habitat partagé réunit handicapés et valides

“Leur plus grande souffrance, ce n’est pas le handicap, c’est la solitude”: à Rungis, en banlieue parisienne, adultes valides et personnes handicapées cohabitent, “comme une famille”, dans un habitat partagé, propice au gain en autonomie.Ces “maisons partagées Simon de Cyrène” sont destinées à des personnes qui ont subi des accidents vasculaires cérébraux ou des lésions cérébrales, lors d’une naissance difficile ou d’un accident.Responsable de l’une des cinq maisons ouvertes à Rungis (Val-de-Marne), Mariam Sidibé aide au quotidien six résidents handicapés, avec quatre assistants, dans des bâtiments aux baies vitrées et terrasses donnant sur une vaste pelouse du centre-ville.Chacun dispose d’un studio avec salle de bains et kitchenette et, quand il le souhaite, peut profiter des espaces communs: un salon, une cuisine et une salle à manger.”Le soir on joue ou on regarde des DVD ensemble”, raconte Daphné Bignon, 24 ans, l’une des assistantes qui habite sur place.”L’habitat inclusif est une réponse à mi-chemin entre l’institution médico-sociale, que certains voudraient quitter pour vivre plus autonomes, et le logement indépendant” où ils peuvent se sentir isolés, explique Laurent de Cherisey, fondateur de la Fédération Simon de Cyrène, qui chapeaute une trentaine de maisons dans neuf villes.Il s’agit de permettre aux personnes handicapées de s’insérer dans la société et de choisir leur lieu de vie, dans l’esprit de la loi du 11 février 2005 sur le handicap, qui marque son vingtième anniversaire.Quelque 2.000 logements inclusifs pour personnes âgées ou handicapées existent en France.Au petit déjeuner, autour d’une grande table, Bastien, 28 ans, handicapé après un accident de scooter, et Guillaume, 37 ans, handicapé depuis qu’il est tombé d’une table à langer, plaisantent et passent en revue avec les assistantes les activités de la journée.”C’est une maison de joie, d’amour, de rigolade, on s’amuse, on s’entraide. J’ai fait beaucoup de progrès pour gérer ma vie et j’ai appris à me faire des amis”, explique Guillaume.- “La vie reprend du goût” -Simon de Cyrène, qui implante ses maisons en centre ville, est lié au groupe d’entraide mutuelle (GEM) Les Colibris, qui organise des activités ouvertes à d’autres adhérents handicapés: sport, cirque, jeux de société, préparation d’un grand repas où sont invités des voisins…”Ici, on va plus regarder leurs capacités que les incapacités. Le principe est qu’ils s’entraident et soient en autogestion. Les membres du conseil d’administration sont toutes des personnes en situation de handicap”, explique Florence Jeay, coordinatrice du GEM.”Leur plus grande souffrance, ce n’est pas le handicap, qui pourtant est souvent sévère, c’est la solitude. (…) Avec l’habitat inclusif, je suis chez moi, mais je ne suis pas seul. La vie reprend du goût, on invite les voisins, on est au cÅ“ur de la ville”, explique M. de Cherisey.Cette vie communautaire est financée par les aides que chaque résident reçoit, et qu’ils mettent partiellement en commun. “Cela revient moins cher qu’un établissement médico-social, où par ailleurs les places manquent”, souligne M. de Cherisey.Aidés par les assistants, les résidents préparent ensemble le repas et font le ménage de leur studio une fois par semaine. Les assistants s’assurent de la prise des médicaments, aident à la toilette, aux démarches administratives.”Le but est de faire avec eux, pas à leur place: laver son linge, réserver un rendez-vous médical, pour les rendre autonomes et fiers d’eux”, explique Laetitia Baptista, assistante, 26 ans.”Depuis que je suis ici, j’ai fait beaucoup de progrès, il y a les activités, les amis, les assistants qui m’aident dans mon autonomie”, explique Hadrien, 35 ans, qui a quitté ses parents il y a quatre ans pour emménager ici.”Responsable d’appartement”, Mariam Sidibé vit sur place avec son fils de douze ans. “Il est habitué au handicap. Le weekend quand on va au cinéma, on emmène un résident avec nous”.”Quand une personne n’est pas là, c’est comme si on perdait un membre de la famille”, souligne Mariam. 

Allemagne: une usine de trains reconvertie dans la production de chars militaires

Une usine historique de fabrication de matériel ferroviaire, dans l’est de l’Allemagne, va être reconvertie dans la production de chars militaires, après un accord présenté mercredi avec le groupe d’armement KNDS dont l’activité est portée par la hausse des dépenses de défense.KNDS, entreprise franco-allemande spécialisée dans les véhicules blindés, va reprendre au fabricant de trains Alstom son usine allemande de Görlitz, en ex-Allemagne de l’Est, ont annoncé les deux groupes lors d’un événement organisé en présence du chancelier Olaf Scholz.Le constructeur ferroviaire français avait annoncé l’an dernier une restructuration de ses activités en Allemagne prévoyant la fermeture de ce site, situé à la frontière avec à la Pologne, spécialisé dans la fabrication de trains depuis 175 ans, mais jugé pas assez rentable.A l’image du secteur européen de la défense, dont l’activité est dopée par la hausse des dépenses militaires qui a suivi l’invasion de l’Ukraine par la Russie, KNDS développe sa production.Grâce au nouveau site de Görlitz,”nous augmentons nos capacités de production pour renforcer la capacité de défense de l’Allemagne”, a indiqué Florian Hohenwarter, directeur des opérations du groupe.”Nous avons accompagné cette transition de près, a souligné Olaf Scholz. Car nous voulons que notre armée soit en mesure de défendre l’Allemagne et notre alliance contre toutes les menaces à l’avenir”, a-t-il dit, dénonçant le volonté de Moscou de “redessiner les frontières par la force”.A la place de wagons ferroviaires à deux étages, spécialité de Görlitz, l’usine va produire des composants pour le char de combat Leopard 2, utilisé par les troupes ukrainiennes, le blindé de combat d’infanterie Puma et le blindé de transport Boxer.”Les premiers transferts de personnel et le démarrage de la production devraient avoir lieu dès cette année”, ont encore expliqué les entreprises. La transition complète du site devrait être achevée en 2027.Outre les 350 à 400 salariés d’Alstom qui seront repris sur le site de Görlitz, KNDS veut proposer jusqu’à 75 emplois sur d’autres implantations et Alstom prévoit de transférer 100 salariés vers ses propres sites.En juin dernier, l’équipementier en difficulté Continental et le plus gros fabricant allemand d’équipement militaire Rheinmetall avaient passé un accord similaire sur un transfert de salariés d’une usine automobile condamnée vers les sites du producteur d’obus et char.

Serge Atlaoui, condamné à mort en Indonésie, est incarcéré en France

Serge Atlaoui, Français qui a échappé à la peine de mort en Indonésie pour trafic de drogue, est arrivé en France mercredi matin et a été emmené à la prison d’Osny dans le Val-d’Oise, après un rapide passage par le tribunal de Bobigny.A son arrivée à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, peu après 10H00, il a été pris en charge par l’administration pénitentiaire et amené au tribunal judiciaire de Bobigny, compétent pour l’aéroport.Il y a été présenté à un magistrat du parquet qui lui a notifié son incarcération dans la maison d’arrêt du Val-d’Oise à Osny, où il a été transféré, a indiqué le parquet.”Je suis particulièrement ému et soulagé de le savoir en France”, a déclaré à l’AFP son avocat Richard Sédillot. “Je vais tout faire pour obtenir un permis de visite très rapidement et aller le voir à la prison”.En 2005, cet artisan soudeur, aujourd’hui âgé de 61 ans, avait été arrêté dans une usine où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts et les autorités l’avaient accusé d’être un “chimiste”.Venu de Metz, ce père de quatre enfants, s’est toujours défendu d’être un trafiquant de drogue, affirmant qu’il n’avait fait qu’installer des machines industrielles dans ce qu’il croyait être une usine d’acrylique. Initialement condamné à la prison à vie en 2005, il avait vu la Cour suprême alourdir la sentence et le condamner à la peine capitale en appel en 2007.Il devait être exécuté aux côtés de huit autres condamnés en 2015, mais a obtenu un sursis après que Paris a intensifié la pression.- Raisons humanitaires -Demandé officiellement le 4 novembre par la France, son retour a été rendu possible par la signature d’un accord le 24 janvier entre les ministres français de la Justice Gérald Darmanin et indonésien Yusril Ihza Mahendra.Dans cet accord, Jakarta explique avoir décidé de “ne pas exécuter” le prisonnier et d’autoriser son retour pour “raisons humanitaires” car “il est malade”. M. Atlaoui a suivi chaque semaine un traitement, ces derniers temps, dans un hôpital proche de sa prison.Il avait quitté l’Indonésie et la prison de Salemba à Jakarta mardi, escorté par trois policiers français. Avant son retour en France, il a dû participer à une conférence de presse à l’aéroport de Jakarta, aux côtés de l’ambassadeur de France Fabien Penone et d’un responsable au ministère indonésien en charge des Affaires juridiques et des droits humains, I Nyoman Gede Surya Mataram.Masque sur la bouche et casquette noire, le Français est resté muet durant toute la conférence.L’affaire avait fait grand bruit en Indonésie, où la législation antidrogue est l’une des plus sévères du monde. Mais aussi en France où de nombreuses personnalités, dont la chanteuse franco-indonésienne Anggun, s’étaient mobilisées pour le soutenir.L’Indonésie, qui n’a plus procédé à une exécution depuis 2016, compte actuellement au moins 530 condamnés dans le couloir de la mort, selon l’association de défense des droits Kontras, citant des données officielles. Parmi eux, plus de 90 étrangers, dont au moins une femme, selon le ministère de l’Immigration et des services correctionnels.D’après l’association française Ensemble contre la peine de mort, outre M. Atlaoui, au moins quatre Français sont actuellement condamnés à mort dans le monde: deux hommes au Maroc, un en Chine ainsi qu’une femme en Algérie.

Serge Atlaoui, condamné à mort en Indonésie, est incarcéré en France

Serge Atlaoui, Français qui a échappé à la peine de mort en Indonésie pour trafic de drogue, est arrivé en France mercredi matin et a été emmené à la prison d’Osny dans le Val-d’Oise, après un rapide passage par le tribunal de Bobigny.A son arrivée à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, peu après 10H00, il a été pris en charge par l’administration pénitentiaire et amené au tribunal judiciaire de Bobigny, compétent pour l’aéroport.Il y a été présenté à un magistrat du parquet qui lui a notifié son incarcération dans la maison d’arrêt du Val-d’Oise à Osny, où il a été transféré, a indiqué le parquet.”Je suis particulièrement ému et soulagé de le savoir en France”, a déclaré à l’AFP son avocat Richard Sédillot. “Je vais tout faire pour obtenir un permis de visite très rapidement et aller le voir à la prison”.En 2005, cet artisan soudeur, aujourd’hui âgé de 61 ans, avait été arrêté dans une usine où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts et les autorités l’avaient accusé d’être un “chimiste”.Venu de Metz, ce père de quatre enfants, s’est toujours défendu d’être un trafiquant de drogue, affirmant qu’il n’avait fait qu’installer des machines industrielles dans ce qu’il croyait être une usine d’acrylique. Initialement condamné à la prison à vie en 2005, il avait vu la Cour suprême alourdir la sentence et le condamner à la peine capitale en appel en 2007.Il devait être exécuté aux côtés de huit autres condamnés en 2015, mais a obtenu un sursis après que Paris a intensifié la pression.- Raisons humanitaires -Demandé officiellement le 4 novembre par la France, son retour a été rendu possible par la signature d’un accord le 24 janvier entre les ministres français de la Justice Gérald Darmanin et indonésien Yusril Ihza Mahendra.Dans cet accord, Jakarta explique avoir décidé de “ne pas exécuter” le prisonnier et d’autoriser son retour pour “raisons humanitaires” car “il est malade”. M. Atlaoui a suivi chaque semaine un traitement, ces derniers temps, dans un hôpital proche de sa prison.Il avait quitté l’Indonésie et la prison de Salemba à Jakarta mardi, escorté par trois policiers français. Avant son retour en France, il a dû participer à une conférence de presse à l’aéroport de Jakarta, aux côtés de l’ambassadeur de France Fabien Penone et d’un responsable au ministère indonésien en charge des Affaires juridiques et des droits humains, I Nyoman Gede Surya Mataram.Masque sur la bouche et casquette noire, le Français est resté muet durant toute la conférence.L’affaire avait fait grand bruit en Indonésie, où la législation antidrogue est l’une des plus sévères du monde. Mais aussi en France où de nombreuses personnalités, dont la chanteuse franco-indonésienne Anggun, s’étaient mobilisées pour le soutenir.L’Indonésie, qui n’a plus procédé à une exécution depuis 2016, compte actuellement au moins 530 condamnés dans le couloir de la mort, selon l’association de défense des droits Kontras, citant des données officielles. Parmi eux, plus de 90 étrangers, dont au moins une femme, selon le ministère de l’Immigration et des services correctionnels.D’après l’association française Ensemble contre la peine de mort, outre M. Atlaoui, au moins quatre Français sont actuellement condamnés à mort dans le monde: deux hommes au Maroc, un en Chine ainsi qu’une femme en Algérie.

Serge Atlaoui, condamné à mort en Indonésie, est incarcéré en France

Serge Atlaoui, Français qui a échappé à la peine de mort en Indonésie pour trafic de drogue, est arrivé en France mercredi matin et a été emmené à la prison d’Osny dans le Val-d’Oise, après un rapide passage par le tribunal de Bobigny.A son arrivée à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, peu après 10H00, il a été pris en charge par l’administration pénitentiaire et amené au tribunal judiciaire de Bobigny, compétent pour l’aéroport.Il y a été présenté à un magistrat du parquet qui lui a notifié son incarcération dans la maison d’arrêt du Val-d’Oise à Osny, où il a été transféré, a indiqué le parquet.”Je suis particulièrement ému et soulagé de le savoir en France”, a déclaré à l’AFP son avocat Richard Sédillot. “Je vais tout faire pour obtenir un permis de visite très rapidement et aller le voir à la prison”.En 2005, cet artisan soudeur, aujourd’hui âgé de 61 ans, avait été arrêté dans une usine où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts et les autorités l’avaient accusé d’être un “chimiste”.Venu de Metz, ce père de quatre enfants, s’est toujours défendu d’être un trafiquant de drogue, affirmant qu’il n’avait fait qu’installer des machines industrielles dans ce qu’il croyait être une usine d’acrylique. Initialement condamné à la prison à vie en 2005, il avait vu la Cour suprême alourdir la sentence et le condamner à la peine capitale en appel en 2007.Il devait être exécuté aux côtés de huit autres condamnés en 2015, mais a obtenu un sursis après que Paris a intensifié la pression.- Raisons humanitaires -Demandé officiellement le 4 novembre par la France, son retour a été rendu possible par la signature d’un accord le 24 janvier entre les ministres français de la Justice Gérald Darmanin et indonésien Yusril Ihza Mahendra.Dans cet accord, Jakarta explique avoir décidé de “ne pas exécuter” le prisonnier et d’autoriser son retour pour “raisons humanitaires” car “il est malade”. M. Atlaoui a suivi chaque semaine un traitement, ces derniers temps, dans un hôpital proche de sa prison.Il avait quitté l’Indonésie et la prison de Salemba à Jakarta mardi, escorté par trois policiers français. Avant son retour en France, il a dû participer à une conférence de presse à l’aéroport de Jakarta, aux côtés de l’ambassadeur de France Fabien Penone et d’un responsable au ministère indonésien en charge des Affaires juridiques et des droits humains, I Nyoman Gede Surya Mataram.Masque sur la bouche et casquette noire, le Français est resté muet durant toute la conférence.L’affaire avait fait grand bruit en Indonésie, où la législation antidrogue est l’une des plus sévères du monde. Mais aussi en France où de nombreuses personnalités, dont la chanteuse franco-indonésienne Anggun, s’étaient mobilisées pour le soutenir.L’Indonésie, qui n’a plus procédé à une exécution depuis 2016, compte actuellement au moins 530 condamnés dans le couloir de la mort, selon l’association de défense des droits Kontras, citant des données officielles. Parmi eux, plus de 90 étrangers, dont au moins une femme, selon le ministère de l’Immigration et des services correctionnels.D’après l’association française Ensemble contre la peine de mort, outre M. Atlaoui, au moins quatre Français sont actuellement condamnés à mort dans le monde: deux hommes au Maroc, un en Chine ainsi qu’une femme en Algérie.