Le narcotrafiquant Mohamed Amra de retour en France après neuf mois de cavale

Le narcotrafiquant Mohamed Amra,  arrêté samedi en Roumanie après neuf mois de cavale marquée par la mort de deux agents pénitentiaires, a atterri mardi en France, où il doit désormais être présenté à un juge.Le fugitif le plus recherché de France est arrivé par un avion Falcon en provenance de Bucarest mardi en fin d’après-midi, ont indiqué à l’AFP deux sources proches du dossier. L’avion s’est posé sur la base aérienne de Villacoublay (Yvelines) peu avant 18H30. Vers 20H00, un convoi de cinq voitures banalisées blanches et noires suivies par quatre motards de la police est arrivé au tribunal de Paris, où un important dispositif policier a été mis en place, ont constaté des journalistes de l’AFP. Le multirécidiviste de 30 ans, surnommé la mouche, doit être présenté à des juges en vue de sa mise en examen et de son placement en détention provisoire.Son transfert de la Roumanie à la France s’est déroulé sous haute sécurité. Il était escorté par le GIGN, l’unité d’élite de la gendarmerie, depuis son départ en avion de Roumanie vers 16H00.A l’aéroport de Bucarest, encadré des forces spéciales de la police roumaine, il a traversé le hall large sourire aux lèvres, menottes au poignet et avec la même teinture rousse qui avait surpris lors de son arrestation samedi.Amra avait accepté dimanche son renvoi en France avant de contester en vain sa détention.”Comme il conteste sa culpabilité” et qu’il “est victime d’une erreur judiciaire”, “nous avons fait appel pour qu’il soit libéré”, avait déclaré à l’AFP son avocate, Maria Marcu, avant son renvoi du pays.Mohamed Amra a été arrêté samedi en Roumanie où il vivait avec de faux papiers depuis le 8 février après avoir été installé par des complices dans un appartement de la banlieue de Bucarest, selon la police roumaine. “L’hypothèse la plus probable” est qu’il soit resté en France, jusqu’à son départ en Roumanie début février, ont confié deux sources proches de l’enquête lundi à l’AFP.Il attendait de faire de la chirurgie esthétique avant de fuir en Colombie, sans toutefois avoir encore entrepris de démarches concrètes, selon les autorités roumaines.- Une vingtaine de gardes à vue – Selon la procureure de Paris, Laure Beccuau, une réunion a eu lieu lundi pour étudier dans quelle prison française il serait incarcéré à son retour.Sa remise “se fera sous les conditions de sécurité les plus hautes, les plus renforcées”, a-t-elle indiqué sur franceinfo, tout en insistant sur l’importance du “secret” dans cette enquête de la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco).”Gérald Darmanin a demandé que Mohamed Amra soit placé dans un quartier d’isolement, dans un établissement pénitentiaire présentant un très haut niveau de sécurité”, a souligné de son côté l’entourage du ministre français de la Justice.Son évasion datait du 14 mai 2024, lorsque le détenu avait été extrait de sa cellule en Normandie, pour être amené à un juge d’instruction qui devait l’interroger.Un commando en avait alors profité, sur un péage dans l’Eure, pour attaquer à la voiture-bélier et aux fusils d’assaut le fourgon dans lequel il se trouvait, tuant deux agents pénitentiaires et en blessant trois autres. Trois jours après son arrestation en Roumanie, 24 gardes à vue étaient toujours en cours mardi soir. Deux Français ont notamment été arrêtés au Maroc et un autre homme en Espagne. “Un certain nombre de membres du commando pourraient se trouver au sein de ces gardes à vue”, a poursuivi Mme Beccuau. “L’ensemble des auditions permettront de crédibiliser ou pas les pistes que nous avons pu construire”.Selon elle, “dans son environnement, il y a effectivement un certain nombre de personnes qui peuvent appartenir” à la “Black Mafia Family”, une organisation criminelle spécialisée dans le trafic de stupéfiants, “dont l’activité mérite d’être creusée”.Preuve du caractère hors norme de l’enquête sur son évasion: tout au long de sa cavale, “100 à 150” enquêteurs de la police judiciaire ont travaillé au quotidien sur ce dossier devenu symbole de l’emprise du narcotrafic en France, a rappelé lundi Christian Sainte, le patron de la police judiciaire.bur-ani-bg-tll-mk/mat/gvy

Trump administration to take control of media access at White House

The White House announced Tuesday that it would decide which journalists get access to President Donald Trump’s events — removing the power from an independent association of media outlets that has done so for decades.The move comes amid a legal battle with the Associated Press news agency, which the White House has barred from events in spaces such as the Oval Office and Air Force One in a row over the naming of the Gulf of Mexico. Press Secretary Karoline Leavitt said that the White House Correspondents Association (WHCA) had “long dictated” which journalists were in the so-called “pool,” the small group of journalists given access to “intimate spaces.””Not anymore. I am proud to announce that we are going to give the power back to the people who read your papers, who watch your television shows and who listen to your radio stations,” Leavitt said.”Moving forward, the White House press pool will be determined by the White House press team.” AFP is a member of the White House Correspondents Association and is part of the White House pool.Leavitt said that “legacy outlets” would still be allowed to join the press pool, but that access would also be opened to “deserving outlets who have never been allowed to share in this awesome responsibility.”The White House began blocking Associated Press journalists from the presidential events two weeks ago over the wire service’s decision to keep using “Gulf of Mexico,” despite a Trump executive order renaming the body of water as the “Gulf of America.”A US judge on Monday declined to immediately order the White House to restore full access to the agency, but set a date next month for a more extensive hearing about the dispute.

Renault: plus de 15.000 R5 électriques rappelées pour une “potentielle impossibilité de démarrer”

Les propriétaires de 15.722 véhicules Renault R5 électriques, dont dix exemplaires de sa version sportive A290, ont été informés d’une “potentielle impossibilité de démarrer” de leur véhicule et invités à prendre rendez-vous, a indiqué mardi le groupe Renault.Le groupe invite ses clients “à prendre rendez-vous avec un représentant de notre réseau” afin de procéder “gratuitement” à la “reprogrammation du calculateur onduleur moteur électrique principal”, a indiqué Renault, confirmant des informations de presse.Cette “opération technique” dure “30 minutes”, a précisé Renault, qui estime qu’il ne s’agit pas d’un rappel au sens réglementaire, “ne s’agissant pas d’un sujet sécuritaire”.L’opération doit permettre “d’éviter une potentielle impossibilité de démarrer, accompagnée ou non de l’affichage du voyant STOP et du message +Panne moteur électrique+ au tableau de bord”, a précisé Renault.Le groupe, qui indique effectuer “en permanence un suivi et une surveillance des véhicules qu’il met sur le marché, et ce pendant toute leur durée de vie”, souligne que ses dispositifs de surveillance “peuvent l’amener, le cas échéant, à rappeler préventivement des véhicules”.Cette opération concerne 15.722 véhicules Renault R5, dont 10 véhicules Alpine A290, parmi ceux fabriqués entre le 1er septembre 2024 et le 23 décembre 2024 à l’usine de Douai.

Renault: plus de 15.000 R5 électriques rappelées pour une “potentielle impossibilité de démarrer”

Les propriétaires de 15.722 véhicules Renault R5 électriques, dont dix exemplaires de sa version sportive A290, ont été informés d’une “potentielle impossibilité de démarrer” de leur véhicule et invités à prendre rendez-vous, a indiqué mardi le groupe Renault.Le groupe invite ses clients “à prendre rendez-vous avec un représentant de notre réseau” afin de procéder “gratuitement” à la “reprogrammation du calculateur onduleur moteur électrique principal”, a indiqué Renault, confirmant des informations de presse.Cette “opération technique” dure “30 minutes”, a précisé Renault, qui estime qu’il ne s’agit pas d’un rappel au sens réglementaire, “ne s’agissant pas d’un sujet sécuritaire”.L’opération doit permettre “d’éviter une potentielle impossibilité de démarrer, accompagnée ou non de l’affichage du voyant STOP et du message +Panne moteur électrique+ au tableau de bord”, a précisé Renault.Le groupe, qui indique effectuer “en permanence un suivi et une surveillance des véhicules qu’il met sur le marché, et ce pendant toute leur durée de vie”, souligne que ses dispositifs de surveillance “peuvent l’amener, le cas échéant, à rappeler préventivement des véhicules”.Cette opération concerne 15.722 véhicules Renault R5, dont 10 véhicules Alpine A290, parmi ceux fabriqués entre le 1er septembre 2024 et le 23 décembre 2024 à l’usine de Douai.

L’état du pape François “reste critique mais stationnaire”

L’état de santé du pape François, atteint d’une double pneumonie, “reste critique mais stationnaire”, a annoncé mardi soir le Vatican au 12e jour de son hospitalisation, soulignant que le pontife de 88 ans avait travaillé dans la journée.Le pape a subi dans la soirée une radio de contrôle “programmée” pour le suivi de sa pneumonie, une infection du tissu pulmonaire potentiellement mortelle, et “le pronostic reste réservé”, a ajouté la même source dans un bref communiqué.Alors que la santé de Jorge Bergoglio suscite l’inquiétude à travers le monde, le Vatican a pris soin de préciser qu’il restait actif: “Dans la matinée, après avoir reçu l’eucharistie, il a repris son travail”.Ce bulletin de santé se révèle quelque peu décevant alors que le précédent, publié lundi soir, avait fait état d’une “légère amélioration”, d’autant que selon le Vatican François “s’est bien reposé, toute la nuit” de lundi à mardi. Le pape avait reçu lundi la visite de son Secrétaire d’Etat, le cardinal italien Pietro Parolin, et de Mgr Edgar Peña Parra, respectivement N.2 et N.3 du Saint-Siège. Au cours de leur première visite depuis son admission à l’hôpital Gemelli de Rome, le pape a autorisé la canonisation de deux laïcs du Venezuela et d’Italie et convoqué un consistoire (assemblée de cardinaux), dont la date n’a pas été précisée.François avait été initialement hospitalisé le 14 février pour une bronchite mais celle-ci a évolué en pneumonie, et les fidèles prient depuis pour sa guérison.- Prières place Saint-Pierre -Une autre source vaticane a assuré que François était en mesure de se lever et de se nourrir normalement, qu’il ne souffrait pas et gardait le moral. Par ailleurs, le Bureau de presse du Vatican a démenti mardi auprès de l’AFP une information publiée lundi par l’hebdomadaire français Paris Match selon laquelle le pape serait prochainement transféré dans un autre hôpital situé sur l’île Tibérine, à Rome. Mardi soir, malgré un temps pluvieux, des centaines de fidèles sont de nouveau attendus sur la place Saint-Pierre pour prier pour la guérison de François, après une première prière lundi en présence d’une trentaine de cardinaux.Si la scène rappelait les rassemblements avant la mort de Jean-Paul II, en 2005, “il n’est pas encore temps pour lui (le pape, ndlr) d’aller au ciel”, a déclaré le cardinal hondurien Oscar Rodriguez Maradiaga. “C’est quelqu’un qui ne recule pas devant la difficulté, qui ne se décourage pas (…) et qui va de l’avant”, a-t-il ajouté au quotidien La Repubblica.L’église de la communauté argentine à Rome accueille elle aussi mardi soir une messe de soutien, tandis que des fidèles d’origine vietnamienne se sont réunis mardi devant l’hôpital Gemelli en priant et en chantant, a constaté l’AFPTV.- Conjectures -Des messages de soutien ont également été envoyés par des dirigeants du monde entier. “La situation est très grave mais nous lui souhaitons de se rétablir”, a déclaré le président américain Donald Trump, tandis que son homologue français, Emmanuel Macron lui souhaitait un “prompt rétablissement”.L’état de santé du chef de l’Eglise catholique s’était dégradé samedi avec “une crise asthmatique prolongée” et des problèmes hématologiques ayant requis une transfusion sanguine.Cette hospitalisation, la quatrième et la plus longue depuis 2021, suscite de vives inquiétudes, le pape ayant déjà été affaibli par une série de problèmes ces dernières années: il a, entre autres, subi des opérations du côlon et de l’abdomen et connu des difficultés à marcher.L’hospitalisation du pontife, à la fois chef spirituel des 1,4 milliard de catholiques et chef de l’Etat de la Cité du Vatican, a relancé les interrogations autour de sa capacité à assumer ses fonctions. Le droit canonique ne prévoit aucune disposition en cas de problème grave qui altérerait sa lucidité.Elle relance également les conjectures sur la possible démission de François, qui a cependant dit plusieurs fois que ce moment n’était pas arrivé.

L’état du pape François “reste critique mais stationnaire”

L’état de santé du pape François, atteint d’une double pneumonie, “reste critique mais stationnaire”, a annoncé mardi soir le Vatican au 12e jour de son hospitalisation, soulignant que le pontife de 88 ans avait travaillé dans la journée.Le pape a subi dans la soirée une radio de contrôle “programmée” pour le suivi de sa pneumonie, une infection du tissu pulmonaire potentiellement mortelle, et “le pronostic reste réservé”, a ajouté la même source dans un bref communiqué.Alors que la santé de Jorge Bergoglio suscite l’inquiétude à travers le monde, le Vatican a pris soin de préciser qu’il restait actif: “Dans la matinée, après avoir reçu l’eucharistie, il a repris son travail”.Ce bulletin de santé se révèle quelque peu décevant alors que le précédent, publié lundi soir, avait fait état d’une “légère amélioration”, d’autant que selon le Vatican François “s’est bien reposé, toute la nuit” de lundi à mardi. Le pape avait reçu lundi la visite de son Secrétaire d’Etat, le cardinal italien Pietro Parolin, et de Mgr Edgar Peña Parra, respectivement N.2 et N.3 du Saint-Siège. Au cours de leur première visite depuis son admission à l’hôpital Gemelli de Rome, le pape a autorisé la canonisation de deux laïcs du Venezuela et d’Italie et convoqué un consistoire (assemblée de cardinaux), dont la date n’a pas été précisée.François avait été initialement hospitalisé le 14 février pour une bronchite mais celle-ci a évolué en pneumonie, et les fidèles prient depuis pour sa guérison.- Prières place Saint-Pierre -Une autre source vaticane a assuré que François était en mesure de se lever et de se nourrir normalement, qu’il ne souffrait pas et gardait le moral. Par ailleurs, le Bureau de presse du Vatican a démenti mardi auprès de l’AFP une information publiée lundi par l’hebdomadaire français Paris Match selon laquelle le pape serait prochainement transféré dans un autre hôpital situé sur l’île Tibérine, à Rome. Mardi soir, malgré un temps pluvieux, des centaines de fidèles sont de nouveau attendus sur la place Saint-Pierre pour prier pour la guérison de François, après une première prière lundi en présence d’une trentaine de cardinaux.Si la scène rappelait les rassemblements avant la mort de Jean-Paul II, en 2005, “il n’est pas encore temps pour lui (le pape, ndlr) d’aller au ciel”, a déclaré le cardinal hondurien Oscar Rodriguez Maradiaga. “C’est quelqu’un qui ne recule pas devant la difficulté, qui ne se décourage pas (…) et qui va de l’avant”, a-t-il ajouté au quotidien La Repubblica.L’église de la communauté argentine à Rome accueille elle aussi mardi soir une messe de soutien, tandis que des fidèles d’origine vietnamienne se sont réunis mardi devant l’hôpital Gemelli en priant et en chantant, a constaté l’AFPTV.- Conjectures -Des messages de soutien ont également été envoyés par des dirigeants du monde entier. “La situation est très grave mais nous lui souhaitons de se rétablir”, a déclaré le président américain Donald Trump, tandis que son homologue français, Emmanuel Macron lui souhaitait un “prompt rétablissement”.L’état de santé du chef de l’Eglise catholique s’était dégradé samedi avec “une crise asthmatique prolongée” et des problèmes hématologiques ayant requis une transfusion sanguine.Cette hospitalisation, la quatrième et la plus longue depuis 2021, suscite de vives inquiétudes, le pape ayant déjà été affaibli par une série de problèmes ces dernières années: il a, entre autres, subi des opérations du côlon et de l’abdomen et connu des difficultés à marcher.L’hospitalisation du pontife, à la fois chef spirituel des 1,4 milliard de catholiques et chef de l’Etat de la Cité du Vatican, a relancé les interrogations autour de sa capacité à assumer ses fonctions. Le droit canonique ne prévoit aucune disposition en cas de problème grave qui altérerait sa lucidité.Elle relance également les conjectures sur la possible démission de François, qui a cependant dit plusieurs fois que ce moment n’était pas arrivé.

Burundi troops deploy in east DRC, as UK pauses most aidTue, 25 Feb 2025 18:48:45 GMT

Burundi troops — allies of Kinshasa — were still deploying Tuesday in east DR Congo, as the UK announced it was suspending most direct bilateral aid to Rwanda over an offensive by M23 fighters that UN experts say is supported by soldiers from the east African nation.The Rwanda-backed M23 has in recent weeks seized two …

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Fears of US public health crises grow amid falling vaccination rates

Plummeting immunization rates, outbreaks of once-vanquished childhood diseases, and the appointment of a vocal vaccine skeptic as health secretary have US experts sounding the alarm about a looming public health crisis.Since the start of the year, more than 130 cases of measles have been reported in Texas and neighboring New Mexico, raising fears that the highly contagious and potentially serious illness is making a comeback.”The measles is the canary in the coal mine,” warned leading pediatrician and immunologist Paul Offit, highlighting the decline in vaccination rates since the Covid-19 pandemic.Amid growing distrust of health authorities and pharmaceutical companies, more parents are opting not to vaccinate their children.The proportion of preschool-aged children vaccinated against measles — which is mandatory — has dropped nationally from 95 percent in 2019 to less than 93 percent in 2023. Some regions show even steeper declines, such as Idaho, where rates have fallen below 80 percent.Experts warn that this trend could worsen under the leadership of newly appointed Health Secretary Robert Kennedy Jr., who has repeatedly questioned vaccine safety and promoted misinformation.”It is a disaster waiting to happen, and it will happen,” Offit told AFP.- Religious exemptions -In Louisiana, whooping cough has resulted in the deaths of two children, according to local media. As with measles, experts attribute the resurgence to vaccine exemptions.”This is already happening. Our immunization rates are already low enough that vulnerable children are getting these diseases,” said Jennifer Herricks, a scientist and board member of the nonprofit Louisiana Families for Vaccines, in an interview with AFP.Across much of the country, parents can opt out of mandatory vaccinations for reasons beyond medical conditions. Many states allow exemptions on religious grounds, while others permit “philosophical” objections — or both.”In Texas, you can just, pretty much say, I object,” explained Terri Burke of the Texas-based Immunization Partnership.The recent measles cases have been reported in a Texas county with a large Mennonite population — a conservative Christian sect. The situation is reminiscent of the 2019 measles outbreak, which saw more than 1,200 cases, primarily among unvaccinated Orthodox Jewish communities in New York and New Jersey.While the reasons behind these exemptions vary — ranging from religious beliefs and fear of side effects to distrust in health authorities or difficulties accessing health care — there is an undeniable trend linked to a “pandemic backlash,” said Richard Hughes, a health policy expert at George Washington University.- Legislative offensives -Mixed messaging on masking, frustration over lockdowns and Covid vaccine mandates — some of which remained in place long after it was clear the shots didn’t fully prevent transmission — have eroded public trust, he said.”We might have done better by just continuing to encourage people to be vaccinated than requiring it,” Hughes added.But any missteps were amplified by an overwhelming spread of misinformation, which thrived in the era of social media and podcasts.These factors have turned vaccinations into a flashpoint in America’s culture wars. Across the country, lawmakers are introducing bills aimed at either enshrining vaccine mandates at the local level, banning certain types of vaccines, or expanding exemptions.The number of such bills has more than doubled compared to pre-Covid levels, said Herricks, who tracks the issue nationally.Notable shifts include Montana’s decision to halt vaccination statistics and Louisiana’s cessation of vaccine promotion — both signs of the growing marginalization of a practice that was once a cornerstone of public health policy.According to Offit, Americans may soon face a harsh reality check.Before the measles vaccine was introduced in 1963, the disease sickened an estimated three to four million Americans annually and killed hundreds. It was declared eliminated in the United States by 2000, thanks to widespread immunization.”People don’t realize how sick and dead that virus can make you,” he said.

Foot: Pablo Longoria convoqué par la commission de discipline de la LFP mercredi

Le président de l’Olympique de Marseille Pablo Longoria, convoqué mercredi en fin d’après-midi par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP), risque gros après ses propos contre l’arbitrage français à l’issue de la défaite de l’OM à Auxerre samedi.Le dirigeant espagnol sera auditionné par visioconférence, d’après une source proche du club marseillais, et devrait connaitre sa sanction dès son issue mercredi soir. Elle devrait être lourde compte tenu de la teneur de ses propos et de l’émotion qu’ils ont suscitée.Longoria avait notamment parlé de “corruption” après le match Auxerre-Marseille (3-0) samedi soir, avant de “regretter” ce propos dans un entretien accordé à l’AFP ce lundi.”Je tiens à dire qu’il n’y a pas de corruption dans le foot français”, a-t-il admis lors de cet entretien, affirmant que la forme de son accès de colère samedi “n’était pas appropriée” mais s’expliquait par “beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles (il) considère que l’OM a été défavorisé”.La réaction de Longoria après la rencontre a provoqué une levée de boucliers dans le monde du foot français et a été dénoncée par le président de la FFF Philippe Diallo comme par le directeur de l’arbitrage Antony Gautier.Hasard du calendrier, Pablo Longoria a rencontré la ministre des Sports Marie Barsacq mardi à la veille de sa convocation à la Ligue. Une rencontre prévue avant la rencontre de samedi mais qui a permis à la ministre de dire ce qu’elle pensait au dirigeant marseillais.Marie Barsacq a rappelé que Pablo Longoria  “avait un devoir d’exemplarité” vis-à-vis “des supporteurs”, “des jeunes” et “du foot amateur”. “Respecter les arbitres n’est pas l’affaire du ministère ou de la fédération, c’est l’affaire de tous ; et les présidents de clubs professionnels ont une responsabilité particulière à cet égard”, a-t-elle rappelé au président de l’OM. La ministre doit rencontrer jeudi, à leur demande, l’association des arbitres, ainsi que Laurent Nicollin, le président de Montpellier et de Foot-Unis, le syndicat des dirigeants des clubs professionnels.Impliquée dans la crise que traverse par ailleurs le football professionnel français, elle sera présente le 3 mars prochain lors de la réunion à la Fédération organisée par Philippe Diallo, le président de la FFF, regroupant toutes “les familles” du football.- Trois matches à six mois -La réaction de Longoria a aussi précipité sa convocation devant la commission de discipline de la LFP qui, saisie notamment par le Conseil national de l’éthique, s’est emparée immédiatement du dossier, sans le mettre en instruction.A la Ligue, tant le cas est rare, personne ne s’aventure à un pronostic sur la peine encourue par le dirigeant marseillais, même si tous s’attendent à une lourde sanction. “Il n’y a pas de barème pour de tels propos”, a confié mardi à l’AFP un membre de la commission de discipline.Selon le barème disciplinaire de la FFF, la gamme des punitions possibles est assez large: un comportement “excessif ou déplacé” doit être sanctionné de trois matches de suspension, ce qui semble être le scénario le plus favorable pour Longoria.Car si la commission pointe un “comportement blessant”, la sanction peut passer à quatre matches. Plus grave encore, un “comportement grossier ou injurieux” peut entraîner jusqu’à 12 matches de suspension et un “comportement “intimidant ou menaçant” peut être puni de six mois de suspension.La fin de saison de l’OM pourrait donc s’écrire avec un président et un directeur du football suspendus, puisque Medhi Benatia purge une sanction de trois mois après un incident qui impliquait déjà Jérémy Stinat.Marseille pourrait également devoir se passer de Fabrizio Ravanelli, son conseiller sportif, également convoqué par la commission de discipline pour avoir qualifié l’arbitrage de Jérémy Stinat de “scandaleux”.Sur un autre front, Longoria pourrait devoir répondre à des plaintes pour diffamation, les arbitres de L1 ayant annoncé dimanche de façon solidaire qu’ils comptaient tous “saisir le procureur de leur région”.Enfin, s’il était suspendu mercredi soir, le président marseillais, vice-président de la LFP, ne pourrait assister jeudi à un Conseil d’administration de la Ligue dont il est également membre, alors que l’instance est en litige judiciaire avec DAZN, son principal diffuseur TV.