Decades of DR Congo atrocities require special court: ICC prosecutorWed, 26 Feb 2025 22:02:49 GMT

International courts have failed to stop three decades of atrocities in conflict-torn eastern Democratic Republic of Congo, showing a special tribunal is needed, the International Criminal Court (ICC) chief prosecutor said Wednesday.The eastern DRC, scene of decades of relentless conflict, has been plunged into fresh turmoil as fighters from the M23 group backed by Rwanda …

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Pour Trump, l’Europe vise à “entuber” les Etats-Unis

Les pères fondateurs de l’Europe ont dû se retourner dans leurs tombes.En assenant mercredi que la construction européenne visait à “entuber” les Etats-Unis, Donald Trump s’en est de nouveau pris à des alliés historiques, tout en les menaçant de droits de douane de 25%.”J’aime les pays d’Europe. J’aime tous ces pays, vraiment, tous différents. Mais l’UE (Union européenne) a été conçue pour entuber les Etats-Unis. C’était l’objectif et ils y sont parvenus”, a lancé le président républicain en réunissant pour la première fois son cabinet à la Maison Blanche.Comme à son habitude, Donald Trump s’embarrasse peu de l’histoire ni des détails, faisant fi par exemple du fait que le projet européen a été historiquement soutenu par Washington ou que la construction européenne a été promue comme une réponse aux deux conflits mondiaux qui ont ravagé le continent.M. Trump a applaudi le Royaume-Uni lorsqu’il a quitté l’Union européenne et a adopté une politique de “l’Amérique d’abord”, s’engageant à poursuivre l’intérêt des Etats-Unis au-dessus de tout autre concept ou partenariat.Le président américain, qui se décrit lui-même comme un pur négociateur, a une approche transactionnelle de la diplomatie et se méfie par principe de tous les formats multilatéraux. Pour lui, l’Union européenne est, avant tout, un adversaire sur le plan commercial.Depuis son retour au pouvoir, il ne cesse d’attaquer les Européens avec une rare virulence.Peu lui importe que le président français Emmanuel Macron se soit rendu lundi à Washington, où il a redoublé d’amabilités, tout en exhortant son homologue à ne pas lancer de guerre commerciale.”Nous avons pris la décision, et nous l’annoncerons prochainement, ce sera 25%”, a assuré le président américain à propos des futurs droits de douane sur les produits européens entrant aux Etats-Unis, soit le niveau auquel les produits canadiens et mexicains devraient également être taxés à partir de début avril.La Commission européenne a aussitôt réagi en affirmant que “l’UE a été une aubaine pour les Etats-Unis”, et qu’elle réagira “fermement et immédiatement” à de nouvelles taxes douanières, selon un communiqué.- Garanties de sécurité -Mi-février à Munich, le vice-président américain JD Vance avait sidéré les Européens en critiquant avec virulence leurs modèles politiques.Il avait en particulier reproché aux pays européens un “recul” de la liberté d’expression et d’avoir un “gros problème d’immigration”, épousant les vues de partis d’extrême droite dans un discours qui avait laissé de côté les menaces liées à la Russie ou à la Chine.Mercredi, Donald Trump a lui répété ses griefs à l’encontre de l’UE, estimant que les Européens “n’acceptaient pas (les) voitures ou (les) produits agricoles” venus des Etats-Unis.Le président américain a aussi une nouvelle fois reproché aux Européens de ne pas avoir suffisamment contribué à l’aide à l’Ukraine, tout en saluant la proposition franco-britannique d’envoi de “forces de maintien de la paix” dans le pays, une fois le conflit avec la Russie terminé. Il a martelé que c’était aux Européens, pas aux Etats-Unis, de fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine dans le cadre d’un règlement de la guerre, à l’avant-veille d’une visite à Washington du président Volodymyr Zelensky.”Nous allons demander à l’Europe de le faire parce que, vous savez, l’Europe est leur voisin immédiat, mais nous allons nous assurer que tout se passe bien”, a-t-il dit devant les caméras.A l’ONU lundi, les Etats-Unis s’étaient rangés avec la Russie pour faire adopter une résolution appelant à une fin rapide de la guerre en Ukraine mais sans mention de son intégrité territoriale, s’opposant ainsi aux Européens.Entretemps, la cheffe de la diplomatie de l’UE Kaja Kallas, actuellement en visite à Washington, ne rencontrera finalement pas le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio en raison de “problèmes d’agenda”, a indiqué l’UE mercredi.Mme Kallas avait annoncé lundi qu’elle se rendrait aux Etats-Unis “pour rencontrer Marco Rubio et d’autres représentants”, estimant qu’il était important d’avoir “autant d’interactions que possible avec la nouvelle administration américaine”.

Pour Trump, l’Europe vise à “entuber” les Etats-Unis

Les pères fondateurs de l’Europe ont dû se retourner dans leurs tombes.En assenant mercredi que la construction européenne visait à “entuber” les Etats-Unis, Donald Trump s’en est de nouveau pris à des alliés historiques, tout en les menaçant de droits de douane de 25%.”J’aime les pays d’Europe. J’aime tous ces pays, vraiment, tous différents. Mais l’UE (Union européenne) a été conçue pour entuber les Etats-Unis. C’était l’objectif et ils y sont parvenus”, a lancé le président républicain en réunissant pour la première fois son cabinet à la Maison Blanche.Comme à son habitude, Donald Trump s’embarrasse peu de l’histoire ni des détails, faisant fi par exemple du fait que le projet européen a été historiquement soutenu par Washington ou que la construction européenne a été promue comme une réponse aux deux conflits mondiaux qui ont ravagé le continent.M. Trump a applaudi le Royaume-Uni lorsqu’il a quitté l’Union européenne et a adopté une politique de “l’Amérique d’abord”, s’engageant à poursuivre l’intérêt des Etats-Unis au-dessus de tout autre concept ou partenariat.Le président américain, qui se décrit lui-même comme un pur négociateur, a une approche transactionnelle de la diplomatie et se méfie par principe de tous les formats multilatéraux. Pour lui, l’Union européenne est, avant tout, un adversaire sur le plan commercial.Depuis son retour au pouvoir, il ne cesse d’attaquer les Européens avec une rare virulence.Peu lui importe que le président français Emmanuel Macron se soit rendu lundi à Washington, où il a redoublé d’amabilités, tout en exhortant son homologue à ne pas lancer de guerre commerciale.”Nous avons pris la décision, et nous l’annoncerons prochainement, ce sera 25%”, a assuré le président américain à propos des futurs droits de douane sur les produits européens entrant aux Etats-Unis, soit le niveau auquel les produits canadiens et mexicains devraient également être taxés à partir de début avril.La Commission européenne a aussitôt réagi en affirmant que “l’UE a été une aubaine pour les Etats-Unis”, et qu’elle réagira “fermement et immédiatement” à de nouvelles taxes douanières, selon un communiqué.- Garanties de sécurité -Mi-février à Munich, le vice-président américain JD Vance avait sidéré les Européens en critiquant avec virulence leurs modèles politiques.Il avait en particulier reproché aux pays européens un “recul” de la liberté d’expression et d’avoir un “gros problème d’immigration”, épousant les vues de partis d’extrême droite dans un discours qui avait laissé de côté les menaces liées à la Russie ou à la Chine.Mercredi, Donald Trump a lui répété ses griefs à l’encontre de l’UE, estimant que les Européens “n’acceptaient pas (les) voitures ou (les) produits agricoles” venus des Etats-Unis.Le président américain a aussi une nouvelle fois reproché aux Européens de ne pas avoir suffisamment contribué à l’aide à l’Ukraine, tout en saluant la proposition franco-britannique d’envoi de “forces de maintien de la paix” dans le pays, une fois le conflit avec la Russie terminé. Il a martelé que c’était aux Européens, pas aux Etats-Unis, de fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine dans le cadre d’un règlement de la guerre, à l’avant-veille d’une visite à Washington du président Volodymyr Zelensky.”Nous allons demander à l’Europe de le faire parce que, vous savez, l’Europe est leur voisin immédiat, mais nous allons nous assurer que tout se passe bien”, a-t-il dit devant les caméras.A l’ONU lundi, les Etats-Unis s’étaient rangés avec la Russie pour faire adopter une résolution appelant à une fin rapide de la guerre en Ukraine mais sans mention de son intégrité territoriale, s’opposant ainsi aux Européens.Entretemps, la cheffe de la diplomatie de l’UE Kaja Kallas, actuellement en visite à Washington, ne rencontrera finalement pas le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio en raison de “problèmes d’agenda”, a indiqué l’UE mercredi.Mme Kallas avait annoncé lundi qu’elle se rendrait aux Etats-Unis “pour rencontrer Marco Rubio et d’autres représentants”, estimant qu’il était important d’avoir “autant d’interactions que possible avec la nouvelle administration américaine”.

US federal agencies ordered to prepare major job cuts

US federal agencies have been directed to prepare sweeping workforce reduction plans as part of President Donald Trump’s Department of Government Efficiency initiative, according to a memo issued Wednesday by top administration officials.The document, signed by Office of Management and Budget Director Russell Vought and seen by AFP, outlines a two-phase approach for implementing “large-scale reductions in force” across the federal government as ordered by Trump.”The federal government is costly, inefficient, and deeply in debt,” Vought said in the memo.”Tax dollars are being siphoned off to fund unproductive and unnecessary programs that benefit radical interest groups while hurting hardworking American citizens.”The memo directed agencies to “collaborate with their Department of Government Efficiency (or DOGE) team leads within the agency.”These are the representatives of the Elon Musk-run department that has been given unfettered authority by Trump to find ways to slash spending and overhaul government.Musk, the world’s richest person, has repeatedly warned that the United States would go “bankrupt” without cuts.For now, most of Trump administration’s job cuts have targeted probationary staff — the term used for freshly hired or promoted civil servants who had fewer protections than rank-and-file civil servants.Employees were also given an offer, now elapsed, to leave with eight months’ pay or risk being fired in future culls.The White House said more than 65,000 federal employees have signed on to the buyout offer from the Office of Personnel Management.The memo from Vought, a hard-right nationalist who sees federal public servants as political operators beholden to Democrats, begins the formal process of expanding the cuts to the more than two million federal workers.According to the memo, federal agencies must submit initial reduction plans by March 13, followed by more comprehensive reorganization proposals by April 14.The directive implements Trump’s February 11 executive order that called for a “critical transformation of the Federal bureaucracy.”Agencies were told to consolidate duplicative organizational units, reduce management layers, close or merge regional offices, and decrease reliance on contractors.Among the suggested methods for cutting employees was looking at “positions not typically designated as essential” during government shutdowns caused by the failure to pass budgets in Congress.Law enforcement, national security, military and postal service roles are exempt, as are all political appointees and the White House.

Foot: Longoria (Marseille) suspendu 15 matches pour avoir mis en cause l’arbitrage

Le président de l’Olympique de Marseille Pablo Longoria a été suspendu 15 matches ferme pour avoir violemment mis en cause l’arbitrage lors de la défaite de son équipe à Auxerre, a annoncé mercredi le président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP).Le conseiller sportif et institutionnel Fabrizio Ravanelli a pour sa part été suspendu trois matches, a précisé Sébastien Deneux à la sortie de l’audition.Selon lui, les “propos injurieux et (le) comportement” de M. Longoria sont “un manquement à la charte de l’éthique qui porte atteinte à l’image du football”.En conséquence, Longoria a été suspendu pour “quinze matches de suspension ferme de toutes fonctions officielles et d’accès au banc de touche, aux vestiaires des joueurs et des officiels, au terrain et à l’ensemble des couloirs menant à ces zones”, a précisé la LFP dans un communiqué.La sanction contre le président de l’OM prend effet immédiatement, il sera donc suspendu dimanche contre Nantes comptant pour la 24e journée de L1, jusqu’au début de la saison prochaine, puisqu’il reste 11 matches.La sanction contre Ravanelli ne prend effet qu’à partir de mardi, a ajouté la commission.Très en colère contre l’arbitrage du match Auxerre-Marseille (3-0) samedi, Longoria avait notamment parlé de “corruption” après le match, avant de “regretter” ce propos dans un entretien accordé à l’AFP ce lundi.Il s’était également emporté devant les caméras, qualifiant la Ligue de “championnat de merde” et répétant de nombreuses fois ce mot de “corruption”.A la sortie de son audition mercredi, accompagné de son avocat Olivier Martin, il a seulement dit: “J’attends la décision, j’ai pu m’expliquer”, avant de s’engouffrer dans un taxi.”Je tiens à dire qu’il n’y a pas de corruption dans le foot français”, a-t-il admis lors de l’entretien à l’AFP, affirmant que la forme de son accès de colère samedi “n’était pas appropriée” mais s’expliquait par “beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles (il) considère que l’OM a été défavorisé”.

Foot: Longoria (Marseille) suspendu 15 matches pour avoir mis en cause l’arbitrage

Le président de l’Olympique de Marseille Pablo Longoria a été suspendu 15 matches ferme pour avoir violemment mis en cause l’arbitrage lors de la défaite de son équipe à Auxerre, a annoncé mercredi le président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP).Le conseiller sportif et institutionnel Fabrizio Ravanelli a pour sa part été suspendu trois matches, a précisé Sébastien Deneux à la sortie de l’audition.Selon lui, les “propos injurieux et (le) comportement” de M. Longoria sont “un manquement à la charte de l’éthique qui porte atteinte à l’image du football”.En conséquence, Longoria a été suspendu pour “quinze matches de suspension ferme de toutes fonctions officielles et d’accès au banc de touche, aux vestiaires des joueurs et des officiels, au terrain et à l’ensemble des couloirs menant à ces zones”, a précisé la LFP dans un communiqué.La sanction contre le président de l’OM prend effet immédiatement, il sera donc suspendu dimanche contre Nantes comptant pour la 24e journée de L1, jusqu’au début de la saison prochaine, puisqu’il reste 11 matches.La sanction contre Ravanelli ne prend effet qu’à partir de mardi, a ajouté la commission.Très en colère contre l’arbitrage du match Auxerre-Marseille (3-0) samedi, Longoria avait notamment parlé de “corruption” après le match, avant de “regretter” ce propos dans un entretien accordé à l’AFP ce lundi.Il s’était également emporté devant les caméras, qualifiant la Ligue de “championnat de merde” et répétant de nombreuses fois ce mot de “corruption”.A la sortie de son audition mercredi, accompagné de son avocat Olivier Martin, il a seulement dit: “J’attends la décision, j’ai pu m’expliquer”, avant de s’engouffrer dans un taxi.”Je tiens à dire qu’il n’y a pas de corruption dans le foot français”, a-t-il admis lors de l’entretien à l’AFP, affirmant que la forme de son accès de colère samedi “n’était pas appropriée” mais s’expliquait par “beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles (il) considère que l’OM a été défavorisé”.

Private US company set for second Moon landing attempt

Intuitive Machines made history last year as the first private company to put a robot on the Moon, although the triumph was marred by the lander tipping onto its side.Now, the Houston-based firm is gearing up for a second attempt, determined to achieve a perfect touchdown.Intuitive Machines’ hexagonal-shaped lander, Athena, is set to launch aboard a SpaceX Falcon 9 rocket at 7:16 pm Wednesday (0016 GMT Thursday) from the Kennedy Space Center in Florida, where the weather forecast is favorable.If all goes well, it will touch down around March 6 at the vast Mons Mouton plateau, a site closer to the lunar south pole than any previously targeted.Athena carries scientific instruments, including a drill to search for ice beneath the surface and a unique hopping drone named Grace after a famous computer scientist, Grace Hopper. It is designed to traverse the Moon’s rugged inclines, boulders, and craters — a valuable capability to support future crewed missions.Also aboard is a small rover, which will test a lunar cellular network provided by Nokia Bell Labs by relaying commands, images, and video between the lander, rover, and hopper.Intuitive Machines CEO Trent Martin spoke excitedly about the hopper, emphasizing that such drones could complement rovers in future missions going “down into extreme environments where you can’t drive.”Until recently, soft lunar landings were achieved only by a handful of well-funded national space agencies.Now, the US is working to make private missions routine through the Commercial Lunar Payload Services (CLPS) program, a public-private collaboration aimed at delivering NASA hardware to the surface at a fraction of the cost of traditional missions.”I’m very excited to see the science that our tech demonstrations deliver as we prepare for humanity’s return to the Moon and the journey to Mars,” NASA’s Nicky Fox, told reporters, referencing the Artemis program, which aims to return astronauts to the lunar surface later this decade. – Nailing the landing -First however, Intuitive Machines will want to achieve an upright landing — a feat the company fell short of with its first lander, Odysseus, which went to space in February 2024. It caught a foot on the surface and tipped over, coming to rest at a 30-degree angle — limiting its solar power and preventing it from completing NASA experiments under a $118 million contract.This time, the price tag is $62.5 million.Landing on the Moon is challenging due to the absence of an atmosphere, which rules out the use of parachutes.Instead, spacecraft must rely on precisely controlled thruster burns to slow their descent while navigating treacherous terrain.Martin said the company had made key improvements — including better cabling for the laser altimeter, an instrument that provides altitude and velocity readings and helps select a safe landing site.Another issue the IM-1 mission faced was accurately determining its position en route to the Moon. To improve this, Intuitive Machines has enhanced coordination with NASA’s Deep Space Network (DSN) for more precise navigation.Athena’s arrival at the Moon is set to be preceded on March 2 by another private US lander, Firefly Aerospace’s Blue Ghost, which launched on a more circuitous journey back in January, sharing a ride with Tokyo-based ispace’s Resilience lander.Also hitching a ride on this rocket will be NASA’s Lunar Trailblazer probe, which will enter orbit after a four-month journey and begin a two-year mission to study the distribution of different forms of water on the Moon.These missions come at a delicate time for NASA, amid speculation that it may scale back or cancel its astronaut program to the Moon in favor of Mars — a key goal of both President Donald Trump and his close advisor Elon Musk, SpaceX tycoon.

Hamas says to hand over four Israeli hostages’ bodies in private

Hamas will forgo its usual handover ceremony when it returns the bodies of four Israeli hostages on Wednesday night, with Israel expected to free more than 600 Palestinian prisoners in exchange, the militant group said.The swap will be the final one under the first phase of a fragile Gaza ceasefire deal that went into effect on January 19.Hamas’s armed wing said Wednesday that under the “framework of the deal, the Ezzedine Al-Qassam Brigades have decided to hand over the bodies of four hostages tonight”.Israeli media identified the four as Ohad Yahalomi, Tsachi Idan, Itzik Elgarat and Shlomo Mansour, confirming names given earlier by Hamas. Israeli officials and a campaign group advocating on behalf of the hostages’ families have yet to confirm the names.A Hamas official told AFP that in return for their remains, Israel would release 625 Palestinian prisoners.The official also said the return of the four bodies would take place in private “to prevent the occupation from finding any pretext for delay or obstruction”.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu’s office confirmed the handover was set for Wednesday night, “without Hamas ceremonies”.Hamas has conducted past handovers in public spaces, with hostages paraded on stage, given certificates and gift bags, and often made to speak in front of crowds.The spectacles — particularly one in which coffins carrying the remains of dead hostages were displayed — have drawn outrage in Israel, which halted the planned release of prisoners during last week’s exchange to protest what it called the “humiliating ceremonies”.A second Hamas official familiar with the exchange told AFP that the Palestinian prisoners whose releases were delayed would be freed as soon as the bodies were returned on Wednesday.”Hamas will hand over the bodies of the four Israeli prisoners by midnight, and in return, Israeli authorities will release the Palestinian detainees and prisoners from the seventh batch simultaneously,” he told AFP.Another, smaller group of Palestinian women and minors due to be freed in return for the bodies would be released after Israeli authorities had verified the dead hostages’ identities, he added.”This arrangement was made based on a proposal presented by the mediators, which Hamas agreed to,” the official said.The Israel Prison Service said Wednesday that it was “making preparations for… releasing imprisoned terrorists in accordance with the agreement for the return of the hostages”.It did not, however, give any indication of the timing of the releases.- ‘Negotiations will begin’ -The ceasefire has largely halted the war sparked by Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel, and seen 25 hostages released alive so far in exchange for more than 1,100 prisoners.There have been sporadic incidents of violence, however.The Israeli military said it carried out air strikes on several launch sites inside Gaza after a projectile was fired from there on Wednesday, though the munition fell short inside the Palestinian territory.In Washington, President Donald Trump’s top envoy to the Middle East said Israeli representatives were en route to talks on the next phase of the ceasefire.”We’re making a lot of progress. Israel is sending a team right now as we speak,” Steve Witkoff told an event for the American Jewish Committee.”It’s either going to be in Doha or in Cairo, where negotiations will begin again with the Egyptians and the Qataris.”The first phase of the deal is supposed to end on Saturday, but negotiations for the next stage — which were due to begin in early February — have not yet started.- Minute’s silence -On Wednesday, thousands gathered in Israel for the funeral of Shiri Bibas and her sons, who were killed in captivity in Gaza and had become symbols of the country’s hostage ordeal.The Israeli parliament held a minute of silence to mourn their deaths, as well as those of other victims of Hamas’s October 7, 2023 attack.”Yesterday, the funeral of Oded Lifshitz took place; today, the funeral of Shiri, Kfir and Ariel Bibas is taking place. We remember all the victims of October 7. We remember, and we will not forget,” said speaker Amir Ohana.Hamas and its allies took 251 hostages that day, with 62 still held in Gaza, 35 of whom are dead.Israel vowed to destroy Hamas after the attack, the deadliest in the country’s history and has made bringing back all the hostages a central war aim.The attack resulted in the deaths of more than 1,215 people, most of them civilians, according to an AFP tally of Israeli official figures.Israel’s retaliation in Gaza has killed more than 48,348 people, according to the health ministry in the Hamas-run territory, figures that the United Nations considers credible.- ‘Shiri, I’m sorry’ -At Bibas family funeral on Wednesday, father Yarden Bibas, who was abducted separately on October 7 and released alive in a previous exchange, apologised to his late wife and sons.”Shiri, I’m sorry I couldn’t protect you all,” he said in his eulogy, his voice cracking.The Israeli national anthem was played as the funeral convoy passed through a crowd of mourners in the central city of Rishon LeZion, where the remains of the three hostages had been prepared for burial.”The Bibas family, I think, is like the symbol of everything that happened to us since October 7,” said retired teacher Ayala Schlesinger Avidov, 72, visibly emotional as she spoke to AFP.”The two babies and the mother that did nothing to the world and were murdered in cold blood.”