Senegal election fans questions over influential PM’s future roleThu, 21 Nov 2024 12:42:51 GMT

With a president who owes his success to his mentor-turned-prime minister Ousmane Sonko, Senegal’s political situation was unusual even before last weekend’s snap parliamentary polls.Now, a projected legislative landslide masterminded by the highly influential and charismatic Sonko has amplified questions over what leadership role he should take in the West African country.Sonko propelled President Bassirou Diomaye …

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Agriculteurs: la Coordination rurale bloque toujours le port de Bordeaux

La Coordination rurale (CR), principal syndicat agricole mobilisé sur le terrain jeudi, maintient son blocage du port de commerce de Bordeaux et la pression sur le gouvernement, dont la ministre de l’Agriculture visite une exploitation dans le Pas-de-Calais.La ministre Annie Genevard est arrivée peu avant 10H30 dans une exploitation d’endives à La Couture, première étape de son déplacement dans le Pas-de-Calais, sans s’exprimer immédiatement auprès de la presse sur place.Les panneaux d’entrée et de sortie du village et des alentours étaient barrés d’autocollants “Paraguay”, “Brésil” ou “Argentine”, en référence à l’accord de libre-échange UE-Mercosur en négociation avec ces pays d’Amérique latine et auquel les agriculteurs comme la classe politique française s’opposent.Il s’agit de la première visite de la ministre sur le terrain depuis le retour des paysans dans la rue, une mobilisation surtout marquée en fin de semaine par les actions des bonnets jaunes de la Coordination rurale.A Bordeaux, ils bloquent ainsi les accès au port et au dépôt pétrolier DPA: des pneus, des câbles et un tracteur entravent l’entrée du site. Sous une pluie battante, les agriculteurs s’abritent autour d’un feu et de deux barnums tanguant avec le vent. Une file de camions bloqués dont des camions citernes s’allonge aux abords. Les manifestants ont tenté dans la matinée de joindre Annie Genevard, sans succès.”On bloque tant que Mme Genevard et M. Barnier [Michel Barnier, Premier ministre] ne mettent pas en place des solutions pour la profession. Des choses structurelles, (…), on ne veut pas un peu d’argent aujourd’hui pour rentrer dans nos fermes, on veut des réformes pour vivre, avoir un salaire décent”, a déclaré à l’AFP Aurélie Armand, directrice de la CR du Lot-et-Garonne.”Le temps est avec nous parce que quand il pleut on ne peut pas travailler dans les fermes, donc c’est très bien”, a-t-elle lancé, alors qu’une pluie battante balaye la Gironde avec le passage de la tempête Caetano.Plus au sud, dans les Landes, des agriculteurs de la CR40 occupent toujours une centrale d’achat Leclerc à Mont-de-Marsan mais les autorités leur ont donné jusqu’à vendredi inclus pour libérer les lieux, a-t-on appris auprès de la préfecture. – Tassement du mouvement, avant une reprise -La préfète du département a par ailleurs condamné “les dégradations commises par des membres de la Coordination rurale” mercredi soir sur des sites de la Mutualité sociale agricole (MSA), visée par des dépôts sauvages, et de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), ciblée par un incendie “volontairement déclenché” dans son enceinte.Sur Europe1/Cnews, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a redit que les agriculteurs avaient “parfaitement le droit de manifester”, mais qu’il y avait “des lignes rouges” à ne pas dépasser: “pas d’enkystement”, “pas de blocage”.A l’autre bout de la France, à Strasbourg, des membres de la CR se sont installés dans le centre avec une dizaine de tracteurs pour y distribuer 600 kilos de pommes aux passants.”Nous, on propose un pacte avec le consommateur, c’est-à-dire lui fournir une alimentation de qualité en quantité suffisante et en contrepartie, le consommateur nous paye un prix correct”, a souligné le président de la CR départementale, Paul Fritsch.Les autorités constatent une “légère baisse” de la mobilisation à l’échelle du pays par rapport au début de la semaine, quand les syndicats majoritaires FNSEA et JA étaient aussi sur le terrain.Ce nouvel épisode de manifestations agricoles intervient à quelques semaines d’élections professionnelles. La CR, qui préside aujourd’hui trois chambres d’agriculture, espère à cette occasion briser l’hégémonie de l’alliance FNSEA-JA et ravir “15 à 20 chambres” supplémentaires.Le président de la FNSEA Arnaud Rousseau a annoncé mercredi que les prochaines manifestations emmenées par ses membres auraient lieu la semaine prochaine, “mardi, mercredi et jeudi”, “pour dénoncer les entraves à l’agriculture”.FNSEA et JA avaient prévenu qu’ils se mobiliseraient jusqu’à la mi-décembre contre l’accord le Mercosur, contre les normes selon eux excessives et pour un meilleur revenu.Troisième syndicat représentatif, la Confédération paysanne organise aussi des actions ponctuelles, contre les traités de libre-échange ou les installations énergétiques sur les terres agricoles.

Stock markets diverge, as bitcoin closes in on $100,000

Major stock markets diverged and the dollar was mixed Thursday as traders weighed escalating tensions in the Russia-Ukraine war.Bitcoin extended its surge, as the world’s biggest cryptocurrency struck a record high of over $98,000.Oil prices rallied “as geopolitical tensions outweighed concerns over rising US crude supplies”, noted Matt Britzman, senior equity analyst, Hargreaves Lansdown. “Geopolitical fears have also sent gold higher in recent sessions… as investors look for some safety as Russia-Ukraine tensions escalate,” he added.Kyiv accused Russia of launching an intercontinental ballistic missile attack at Ukraine for the first time on Thursday but without a nuclear warhead in a new escalation of the conflict. Awaiting Wall Street’s reopening, Asian and European stock markets travelled in different directions as blockbuster earnings late Wednesday from US chip titan Nvidia smashed forecasts but fell short of investor hopes.A driver of artificial-intelligence transitioning by companies, Nvidia’s market value has rocketed 200 percent over the last year to become the world’s-richest company.But its stock fell in after-hours trading.”The negative market reaction to Nvidia’s results suggests investors are now focusing on the minutiae rather than the big picture,” noted Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell.”That’s a natural evolution as the more people zoom in on a company, the more they learn about it, and the more granular detail they want.”Elsewhere on the corporate front, shares in Indian conglomerate Adani Group tanked after US prosecutors charged its industrialist owner Gautam Adani with handing out more than $250 million in bribes for key contracts.Flagship operation Adani Enterprises dived almost 20 percent, while several of its subsidiaries — from coal to media businesses — lost between 10 and 20 percent. On the upside, bitcoin closed in on $100,000 having soared since Donald Trump was elected US president in early November.”The bitcoin boom shows no signs of slowing, with the crypto king… edging closer to the coveted six-figure milestone,” added analyst Britzman.Trump’s “return to the White House is fuelling hopes of a more crypto-friendly federal stance”, he said.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,101.90 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 7,170.84Frankfurt – DAX: FLAT at 18,998.49Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.9 percent at 38,026.17 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.5 percent at 19,601.11 (close)Shanghai – Composite: UP 0.1 percent at 3,370.40 (close)New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 43,408.47 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0521 from $1.0545 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.2632 from $1.2652Dollar/yen: DOWN at 154.39 yen from 155.45 yenEuro/pound: DOWN at 83.28 pence from 83.33 penceBrent North Sea Crude: UP 1.7 percent at $74.06 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.9 percent at $70.02 per barrel    

Le front des menaces s’étend à gauche et dans son propre camp pour le gouvernement Barnier

Après le RN, la gauche agite à son tour la menace d’une censure du gouvernement si le budget ne va pas dans son sens, accentuant la pression sur Michel Barnier, fragilisé également en interne par les macronistes, dont son propre ministre de l’Economie.Dans une tribune jeudi dans le Monde, les leaders du Nouveau Front populaire préviennent Michel Barnier que “s’il s’entête à vouloir contourner le Parlement et à piétiner le vote du 7 juillet des Françaises et des Français pour imposer son budget par 49.3, nos groupes parlementaires déposeront une motion de censure”.Le texte, visant à montrer l’unité de la gauche, est co-signé par Manuel Bompard (LFI), Olivier Faure (PS), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Écologistes) mais aussi Lucie Castets, toujours présentée comme “candidate du Nouveau Front populaire à Matignon”.Une manière de rappeler, au lendemain des déclarations de Marine Le Pen menaçant de voter la censure “si le pouvoir d’achat des Français est amputé”, que la gauche est la première force d’opposition, même si elle ne peut faire tomber le gouvernement qu’avec le soutien du RN.Les leaders de gauche soutiennent le budget “profondément transformé à l’Assemblée sous notre impulsion” en première lecture – mais rejeté en séance – et qui “permettait d’améliorer les conditions de vie de la très grande majorité des Français en faisant reposer l’effort sur les seuls plus fortunés et les plus grandes entreprises”.Comme Marine Le Pen, les responsables parlementaires de la gauche seront reçus à Matignon en début de semaine prochaine mais il est peu probable qu’ils en ressortent satisfaits. – La censure, et après ? -La possibilité d’une crise financière, agitée par l’exécutif en cas de rejet du budget, tout comme l’appel “à la stabilité” lancé par Emmanuel Macron depuis le G20, ne semblent guère avoir de prise sur eux.  D’autant plus que, selon un sondage Elabe, 51% des Français – dont 61% des électeurs RN et 72% des électeurs NFP – souhaitent une motion de censure.Pour autant, les leaders de gauche n’évoquent pas dans leur tribune de stratégie commune après avoir renversé Michel Barnier.Quand bien même Lucie Castets reste leur candidate officielle, Olivier Faure a indiqué sur BFMTV ne pas croire qu’Emmanuel Macron l’appellera à Matignon. Si une partie des socialistes pourraient soutenir une nomination de Bernard Cazeneuve, cela supposerait une alliance avec le bloc central qui les diviserait et serait rejetée par le reste du NFP. Et, en cas de crise prolongée, Olivier Faure juge qu’une présidentielle anticipée “ne serait pas une bonne solution” au contraire de LFI qui mise dessus pour imposer une candidature de Jean-Luc Mélenchon.Preuve que la confiance est fragile, les socialistes sont soupçonnés de double jeu par leurs partenaires. “S’il manque des socialistes à l’appel (sur la censure), ce serait un message extrêmement négatif”, a ainsi prévenu l’écologiste Sandrine Rousseau sur France info.- Les macronistes dehors ? -Michel Barnier doit aussi composer avec les bras de fer entre macronistes et LR au sein de sa propre coalition, peu habituels en France.Le ministre de l’Économie Antoine Armand a ainsi déclenché une mini-tempête en s’opposant à son Premier ministre sur les suppressions d’allègements de cotisations patronales – même réduites de quatre à trois milliards d’euros par le Sénat – qui déplaisent à Gabriel Attal, pour qui elles vont à rebours de la politique de l’offre soutenue depuis 2017.Si Antoine Armand a reçu le soutien de son homologue macroniste de l’Industrie Marc Ferracci, il s’est fait tacler sur RMC par celui des Transports, le LR François Durovray, pour qui “on doit s’exprimer en famille, pas à l’extérieur”.Et M. Armand a relancé les spéculations sur une sortie du gouvernement des macronistes en se disant “surtout” membre de la “famille Ensemble pour la République” avant d’être “ministre de Michel Barnier”.”On ne peut pas être associé à des décisions qui sont contre tout ce qu’on a porté”, admet un parlementaire macroniste. 

Tight security as Kenya’s embattled Ruto to address nationThu, 21 Nov 2024 10:13:42 GMT

Kenya deployed a heavy police presence Thursday ahead of President William Ruto’s state of the nation speech, which comes as he faces criticism over abductions, corruption and unpopular economic policies.There were some calls online to protest Ruto’s speech to parliament. But the energy behind the mass demonstrations between June and August, sparked by proposed tax rises, …

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Tooth of Congolese independence hero ‘secure’ after vandalismThu, 21 Nov 2024 09:58:23 GMT

The tooth of DR Congo’s independence hero Patrice Lumumba, said to be kept in a mausoleum which was vandalised earlier this week, is “secure”, the interior minister said Thursday. “The relic has been secured and it is protected,” Jacquemain Shabani said in a recorded statement sent to AFP.The minister did not specify where the gold-capped tooth …

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India’s Adani says US charges ‘baseless’, opposition demand arrest

India’s Adani Group on Thursday called US charges that their billionaire tycoon founder Gautam Adani had paid more than $250 million in bribes “baseless”, as the opposition leader demanded his arrest.The stiff denial came after shares in the industrialist’s conglomerate nosedived nearly 20 percent in Mumbai, the morning after a bombshell indictment in New York accused him of deliberately misleading international investors.Adani is a close ally of Hindu nationalist Prime Minister Narendra Modi and was at one point the world’s second-richest man, and critics have long accused him of improperly benefitting from their relationship.”The allegations made by the US Department of Justice and the US Securities and Exchange Commission against directors of Adani Green are baseless and denied,” the conglomerate said in a statement, adding that “all possible legal recourse will be sought”.But Congress Party leader Rahul Gandhi said the businessmen should be taken into custody.”We demand that Adani be immediately arrested. But we know that won’t happen as Modi is protecting him,” Gandhi told reporters in New Delhi.”Modi can’t act even if he wants to, because he is controlled by Adani.”Wednesday’s indictment accuses Adani and multiple subordinates of paying huge sums of more than $250 million in bribes to Indian officials for lucrative solar energy supply contracts.The deals were projected to generate more than $2 billion in profits after tax over roughly 20 years.None of the multiple defendants named in the case are in custody.- ‘Lied’ -Adani and two other board members of his Adani Group “lied about the bribery scheme as they sought to raise capital from US and international investors”, US attorney Breon Peace said in a statement.The indictment drove steep losses in flagship listed unit Adani Enterprises and multiple other subsidiaries immediately after the Mumbai stock exchange reopened on Thursday. The conglomerate’s renewable energy subsidiary, Adani Green Energy, said it had decided to halt a planned bond sale “in light of these developments”. Gautam’s nephew and board member Sagar Adani, who is also named in the indictment, told AFP in October that there was “no political connection” between Adani Group and the Modi government. “We basically set up what the government really needs, in their best interest,” he added.”All the projects we got have not been granted by any concession but through an independent and transparent auction system.”Modi’s government has yet to comment on the charges but a spokesman for his ruling Bharatiya Janata Party (BJP), Amit Malviya, said the indictment appeared to implicate opposition parties rather than his own. “Don’t get needlessly excited,” Malviya added, in a post on social media platform X. – ‘Fear of reprisal’ -With a business empire spanning coal, airports, cement and media, the Adani Group has weathered previous corporate fraud allegations and suffered a similar stock crash last year.The conglomerate saw $150 billion wiped from its market value in 2023 after a shock report by short-seller Hindenburg Research accused it of “brazen” corporate fraud.It claimed Adani Group had engaged in a “stock manipulation and accounting fraud scheme over the course of decades”.The report also said a pattern of “government leniency towards the group”, stretching back decades, had left investors, journalists, citizens and politicians unwilling to challenge its conduct “for fear of reprisal”.Gautam Adani, the family-run conglomerate’s founder, denied Hindenburg’s original allegations and called its report a “deliberate attempt” to damage its image for the benefit of short-sellers.He saw his net worth shrink by around $60 billion in the two weeks following the release of the report and he is currently ranked by Forbes as the world’s 25th-richest person.- ‘Abject failure’ -Adani Group’s rapid expansion into capital-intensive businesses has also raised alarms in the past, with Fitch subsidiary and market researcher CreditSights warning in 2022 that it was “deeply over-leveraged”.Jairam Ramesh, a spokesman for Gandhi’s Congress party, said Thursday that the indictment “vindicates” their demand for a parliamentary inquiry into Adani.Ramesh condemned what he called the “abject failure” of the Securities and Exchange Board of India (SEBI) to hold the Adani Group “to account for the source of its investments”.Adani, born to a middle-class family in Ahmedabad, Gujarat state, dropped out of school at 16 and moved to the financial capital Mumbai to find work in the city’s lucrative gem trade. After a short stint in his brother’s plastics business, he launched the flagship family conglomerate that bears his name in 1988 by branching out into the export trade.