Evasion du narcotrafiquant Mohamed Amra: nouvelle vague d’interpellations

Nouveau coup de filet dans l’enquête sur l’évasion de Mohamed Amra: une quinzaine de personnes, soupçonnées d’avoir fourni de l’aide au narcotrafiquant arrêté samedi en Roumanie après neuf mois de traque, ont été interpellées dimanche et lundi entre la France et le Maroc.Lundi au “petit matin” quatorze nouvelles personnes ont été placées en garde à vue, dans cette enquête menée par la police judiciaire et la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (JUNALCO).Parmi elles, “dix ont été interpellées en France”, notamment en Normandie, et “quatre ont été extraites de leur lieu de détention”, a précisé le parquet de Paris.”Au total, ce sont donc 24 gardes à vue qui sont en cours” en France, selon le parquet. Deux Français, âgés de 28 et 38 ans, ont par ailleurs été arrêtés dimanche soir à Marrakech dans le cadre de cette enquête, a indiqué à l’AFP la direction générale de la sûreté nationale (DGSN) du Maroc. Ils faisaient l’objet d’une notice rouge d’Interpol. Ils sont en “rétention” et la “procédure diplomatique de demande de remise est en cours”, a précisé le parquet de Paris.Dix autres complices présumés avaient déjà été arrêtés ce week-end, dans les heures suivant l’interpellation de “La Mouche”, le fugitif le plus recherché de France depuis son évasion sanglante en mai 2024. Un autre homme avait été interpellé samedi après-midi en Espagne. Surnommé “Abe” et présenté comme “l’un des responsables” de l’évasion de Mohamed Amra, il a été arrêté dans une luxueuse villa à Mijas dans la province de Malaga (sud de l’Espagne), a précisé la police espagnole. La villa disposait d’importantes mesures de sécurité : murs hauts, grilles, vidéosurveillance et détecteurs de mouvement. Lors de la perquisition, les enquêteurs ont notamment retrouvé deux armes à feu chargées, des munitions, des brouilleurs, des plaques d’immatriculation françaises “doublées” et un véhicule de luxe volé en France, a encore décrit la police espagnole.La procureure de Paris, Laure Beccuau, et le patron de la police judiciaire, Christian Sainte, tiendront une conférence de presse sur cette affaire lundi à 17H00 au tribunal judiciaire de Paris.- “Moins de dix jours” -Mohamed Amra, 30 ans, a été arrêté samedi en Roumanie, au terme de neuf mois de cavale. Selon le ministre roumain de l’Intérieur Catalin Predoiu, il “voulait faire des opérations (de chirurgie) esthétiques” avant de “quitter le pays pour la Colombie”.Dimanche, il est apparu menotté, cheveux teint en roux et veste de sport noire, devant le tribunal de Bucarest où il a été présenté à une juge.Il “ne reconnaît pas les faits commis mais souhaite respecter la décision des autorités françaises qui veulent le juger”, a déclaré son avocate Maria Marcu à la sortie de l’audience.Le ministre de la Justice Gérald Darmanin a dit espérer le retour de Mohamed Amra en France dans “moins de dix jours”, lors d’un déplacement lundi à Annemasse (Haute-Savoie).Son évasion datait du 14 mai 2024, lorsque le détenu multirécidiviste avait été extrait de sa cellule en Normandie pour être amené à un juge d’instruction qui devait l’interroger.Un commando en avait alors profité pour attaquer, à la voiture-bélier et aux fusils d’assaut le fourgon pénitentiaire pour le libérer. Dans l’attaque, qui a eu lieu au péage d’Incarville (Eure), deux agents pénitentiaires ont été tués et trois ont été blessés.La France avait alors découvert l’existence de Mohamed Amra: adolescent voyou, condamné pour la première fois à 13 ans pour vols aggravés et qui a progressivement “dérivé vers la violence”, pour rejoindre la grande criminalité organisée, d’après un rapport de l’Inspection générale de la justice (IGJ) rendu en juillet 2024.Sa “dangerosité grandissante” n’a pas été évaluée à sa juste mesure alors qu’il était soupçonné d’avoir poursuivi “ses activités de trafic de produits stupéfiants en ayant recours à la plus grande violence” depuis la prison, selon le rapport de l’IGJ.Preuve du caractère hors norme de l’enquête sur son évasion: tout au long de sa cavale, une centaine d’enquêteurs de la police judiciaire ont travaillé au quotidien sur ce dossier devenu symbole de l’emprise du narcotrafic en France. Chaque jour, un compte-rendu était adressé au Directeur national de la police judiciaire.Mohamed Amra a accepté sa remise à la France. S’ouvre donc un temps d’échange entre la Roumanie et la France sur les conditions du transfert, pour qu’il soit réalisé en toute sécurité.isb-jpa-tll-mca-we/mat/dch   

Evasion du narcotrafiquant Mohamed Amra: nouvelle vague d’interpellations

Nouveau coup de filet dans l’enquête sur l’évasion de Mohamed Amra: une quinzaine de personnes, soupçonnées d’avoir fourni de l’aide au narcotrafiquant arrêté samedi en Roumanie après neuf mois de traque, ont été interpellées dimanche et lundi entre la France et le Maroc.Lundi au “petit matin” quatorze nouvelles personnes ont été placées en garde à vue, dans cette enquête menée par la police judiciaire et la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (JUNALCO).Parmi elles, “dix ont été interpellées en France”, notamment en Normandie, et “quatre ont été extraites de leur lieu de détention”, a précisé le parquet de Paris.”Au total, ce sont donc 24 gardes à vue qui sont en cours” en France, selon le parquet. Deux Français, âgés de 28 et 38 ans, ont par ailleurs été arrêtés dimanche soir à Marrakech dans le cadre de cette enquête, a indiqué à l’AFP la direction générale de la sûreté nationale (DGSN) du Maroc. Ils faisaient l’objet d’une notice rouge d’Interpol. Ils sont en “rétention” et la “procédure diplomatique de demande de remise est en cours”, a précisé le parquet de Paris.Dix autres complices présumés avaient déjà été arrêtés ce week-end, dans les heures suivant l’interpellation de “La Mouche”, le fugitif le plus recherché de France depuis son évasion sanglante en mai 2024. Un autre homme avait été interpellé samedi après-midi en Espagne. Surnommé “Abe” et présenté comme “l’un des responsables” de l’évasion de Mohamed Amra, il a été arrêté dans une luxueuse villa à Mijas dans la province de Malaga (sud de l’Espagne), a précisé la police espagnole. La villa disposait d’importantes mesures de sécurité : murs hauts, grilles, vidéosurveillance et détecteurs de mouvement. Lors de la perquisition, les enquêteurs ont notamment retrouvé deux armes à feu chargées, des munitions, des brouilleurs, des plaques d’immatriculation françaises “doublées” et un véhicule de luxe volé en France, a encore décrit la police espagnole.La procureure de Paris, Laure Beccuau, et le patron de la police judiciaire, Christian Sainte, tiendront une conférence de presse sur cette affaire lundi à 17H00 au tribunal judiciaire de Paris.- “Moins de dix jours” -Mohamed Amra, 30 ans, a été arrêté samedi en Roumanie, au terme de neuf mois de cavale. Selon le ministre roumain de l’Intérieur Catalin Predoiu, il “voulait faire des opérations (de chirurgie) esthétiques” avant de “quitter le pays pour la Colombie”.Dimanche, il est apparu menotté, cheveux teint en roux et veste de sport noire, devant le tribunal de Bucarest où il a été présenté à une juge.Il “ne reconnaît pas les faits commis mais souhaite respecter la décision des autorités françaises qui veulent le juger”, a déclaré son avocate Maria Marcu à la sortie de l’audience.Le ministre de la Justice Gérald Darmanin a dit espérer le retour de Mohamed Amra en France dans “moins de dix jours”, lors d’un déplacement lundi à Annemasse (Haute-Savoie).Son évasion datait du 14 mai 2024, lorsque le détenu multirécidiviste avait été extrait de sa cellule en Normandie pour être amené à un juge d’instruction qui devait l’interroger.Un commando en avait alors profité pour attaquer, à la voiture-bélier et aux fusils d’assaut le fourgon pénitentiaire pour le libérer. Dans l’attaque, qui a eu lieu au péage d’Incarville (Eure), deux agents pénitentiaires ont été tués et trois ont été blessés.La France avait alors découvert l’existence de Mohamed Amra: adolescent voyou, condamné pour la première fois à 13 ans pour vols aggravés et qui a progressivement “dérivé vers la violence”, pour rejoindre la grande criminalité organisée, d’après un rapport de l’Inspection générale de la justice (IGJ) rendu en juillet 2024.Sa “dangerosité grandissante” n’a pas été évaluée à sa juste mesure alors qu’il était soupçonné d’avoir poursuivi “ses activités de trafic de produits stupéfiants en ayant recours à la plus grande violence” depuis la prison, selon le rapport de l’IGJ.Preuve du caractère hors norme de l’enquête sur son évasion: tout au long de sa cavale, une centaine d’enquêteurs de la police judiciaire ont travaillé au quotidien sur ce dossier devenu symbole de l’emprise du narcotrafic en France. Chaque jour, un compte-rendu était adressé au Directeur national de la police judiciaire.Mohamed Amra a accepté sa remise à la France. S’ouvre donc un temps d’échange entre la Roumanie et la France sur les conditions du transfert, pour qu’il soit réalisé en toute sécurité.isb-jpa-tll-mca-we/mat/dch   

Merz garantit à Netanyahu qu’il peut venir en Allemagne

Le chef de la droite allemande Friedrich Merz, futur chancelier après la victoire de son parti aux législatives, a assuré lundi que Benjamin Netanyahu “pourrait se rendre” en Allemagne malgré le mandat d’arrêt de la CPI.”Je me suis engagé à ce que nous trouvions un moyen pour qu’il puisse visiter l’Allemagne et repartir sans être arrêté, au cas où il prévoirait une visite”, a dit à la presse M. Merz, après avoir eu un entretien téléphonique dimanche soir avec le Premier ministre israélien.Sans entrer dans le détail d’une éventuelle rencontre, M. Merz a ajouté: “Je pense que c’est une idée tout à fait absurde qu’un Premier ministre israélien ne puisse pas visiter la République fédérale d’Allemagne”.MM. Merz et Netanyahu s’étaient entretenus dimanche soir au téléphone, lors d’une conversation qualifiée de “chaleureuse” par le bureau du Premier ministre israélien.Selon ce dernier, le futur chancelier a déclaré qu’il “inviterait (M. Netanyahu, ndlr) pour une visite officielle en Allemagne”.”Je lui ai dit que nous devrions nous voir bientôt après la formation du gouvernement”, a précisé M. Merz à Berlin.M. Netanyahu est visé, comme l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, par un mandat d’arrêt de la CPI émis fin novembre 2024 pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre dans la bande de Gaza.Israël a fait appel contre cette procédure, dénonçant une décision “antisémite” et des “accusations absurdes”.M. Netanyahu avait déjà remercié l’année dernière Viktor Orban pour son invitation à se rendre en Hongrie malgré ce mandat d’arrêt, saluant la “clarté morale” de son homologue hongrois.Affichant son soutien à Israël, le président américain, Donald Trump, a signé plus tôt ce mois-ci un décret interdisant notamment l’entrée aux Etats-Unis aux dirigeants, employés et agents de la CPI.Israël l’avait alors félicité.Si le pays garde des alliés très importants, la conduite de la guerre à Gaza ainsi que d’autres opérations militaires ou de récents développements politiques en Israël ont suscité de nombreuses critiques de la part d’une partie de la communauté internationale.La CPI est une juridiction permanente chargée de poursuivre et juger des individus accusés de génocide, de crime contre l’humanité et de crime de guerre. 

Attentat de Mulhouse: Bayrou juge “inacceptable” que l’Algérie ait refusé “dix fois” de reprendre l’assaillant

François Bayrou a jugé lundi “inacceptable” que l’Algérie ait refusé “dix fois” de reprendre “l’assassin de Mulhouse” avant qu’il ne commette une attaque mortelle au couteau samedi, alors qu’il était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).”L’assassin de Mulhouse, il avait été présenté dix fois aux autorités algériennes pour que son pays d’origine accepte que nous le renvoyions chez lui. Les dix fois la réponse a été non. Est-ce que c’est acceptable? Pour moi c’est parfaitement clair, c’est inacceptable”, a déclaré le Premier ministre en marge d’une visite au Salon de l’agriculture.L’assaillant, interpellé après avoir fait un mort et cinq blessés, était déjà connu de la police et de la justice: “arrivé illégalement” en France en 2014 selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, cet homme de 37 ans avait récemment purgé une peine de prison pour apologie du terrorisme.”Notre responsabilité c’est de ne pas l’accepter”, a insisté François Bayrou, avant d’ajouter: “Imaginez la situation si elle était inversée (…) Qu’est-ce que diraient les autorités algériennes?”Pour le Premier ministre, “il faut donc préparer les décisions, prendre les décisions pour que le gouvernement et les pouvoirs publics algériens comprennent quelle est la détermination de la France”.Une allusion au conseil interministériel de contrôle de l’immigration prévu mercredi, dont la tenue était programmée avant l’attentat de Mulhouse mais où des mesures visant l’Algérie et d’autres pays seront discutées.

Attentat de Mulhouse: Bayrou juge “inacceptable” que l’Algérie ait refusé “dix fois” de reprendre l’assaillant

François Bayrou a jugé lundi “inacceptable” que l’Algérie ait refusé “dix fois” de reprendre “l’assassin de Mulhouse” avant qu’il ne commette une attaque mortelle au couteau samedi, alors qu’il était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).”L’assassin de Mulhouse, il avait été présenté dix fois aux autorités algériennes pour que son pays d’origine accepte que nous le renvoyions chez lui. Les dix fois la réponse a été non. Est-ce que c’est acceptable? Pour moi c’est parfaitement clair, c’est inacceptable”, a déclaré le Premier ministre en marge d’une visite au Salon de l’agriculture.L’assaillant, interpellé après avoir fait un mort et cinq blessés, était déjà connu de la police et de la justice: “arrivé illégalement” en France en 2014 selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, cet homme de 37 ans avait récemment purgé une peine de prison pour apologie du terrorisme.”Notre responsabilité c’est de ne pas l’accepter”, a insisté François Bayrou, avant d’ajouter: “Imaginez la situation si elle était inversée (…) Qu’est-ce que diraient les autorités algériennes?”Pour le Premier ministre, “il faut donc préparer les décisions, prendre les décisions pour que le gouvernement et les pouvoirs publics algériens comprennent quelle est la détermination de la France”.Une allusion au conseil interministériel de contrôle de l’immigration prévu mercredi, dont la tenue était programmée avant l’attentat de Mulhouse mais où des mesures visant l’Algérie et d’autres pays seront discutées.

Trump names right-wing podcaster as FBI deputy director

US President Donald Trump has announced the appointment of right-wing podcaster Dan Bongino as deputy director of the Federal Bureau of Investigation, a break with tradition that puts yet another loyalist in a key law enforcement position.Bongino, a former New York police officer and US Secret Service agent, currently hosts a popular right-wing podcast and is a staunch backer of Trump — whose political positions he has supported by spreading misinformation and whose opponents he regularly criticizes on his show.”Great news for Law Enforcement and American Justice! Dan Bongino, a man of incredible love and passion for our Country, has just been named the next DEPUTY DIRECTOR OF THE FBI, by the man who will be the best ever Director, Kash Patel,” said Trump on his Truth Social platform on Sunday night.The role does not require Senate confirmation, and would see Bongino second-in-command at the country’s top law enforcement agency, working under Patel.Fact-checking websites have frequently cited Bongino’s podcast for spreading misinformation regarding the 2020 US election, the January 6, 2021, riot at the US Capitol and the Covid pandemic.In 2022, he was “banned from both YouTube and Google’s ad service for pushing Covid-19 misinformation,” according to watchdog Media Matters for America. On a recent episode of his podcast discussing a federal judge’s decision against a Trump administration policy, he recommended the Republican president “should ignore” the judge’s orders.Bongino’s eponymous podcast is ranked in the top 20 in the United States by audience size, as per Edison Research and Podtrac.In 2012, Bongino ran for a US Senate seat in Maryland and later for congressional seats in Maryland and Florida. He was unsuccessful in all three races.”My career has always been about service. I’m here to work. I’m here to lead. And I’m here to ensure that America’s law enforcement institutions uphold the values and integrity they were built upon,” Bongino said in a statement Monday.Congratulating Bongino on the appointment, FBI Director Patel described him as a “warrior.””With Pam Bondi as our new Attorney General, we are assembling a team focused on restoring public trust, upholding the rule of law, and ensuring justice is served,” he said.On the campaign trail, Trump — who was convinced on 34 felony charges in May 2024 — frequently claimed he was being subjected to politically motivated criminal investigations and vowed to clear house at the Justice Department and other agencies once he took office.

Crime rises as life resumes in war-torn east DR Congo: UNMon, 24 Feb 2025 15:19:12 GMT

Crime has increased in eastern DR Congo’s two major cities which were recently seized by the Rwanda-backed M23, the UN’s humanitarian agency said Monday, although life is beginning to return to normal.The M23 now controls large parts of east Democratic Republic of Congo, a region rich in natural resources that has been blighted by various …

Crime rises as life resumes in war-torn east DR Congo: UNMon, 24 Feb 2025 15:19:12 GMT Read More »

‘Monster Hunter’ on prowl for new audiences as latest game drops

With “Monster Hunter Wilds” pitting intrepid players against a menagerie of rampaging beasts on PC and consoles from Friday, the game’s creators tell AFP they hope the 20-year-old franchise can still find new audiences.It has been seven years since the last major instalment saw fans draw oversized swords and bows together, in a series whose success is built on cooperative play to take down dragons and other spectacularly-rendered creatures.Co-op is “really the heart of the series and at the core of its DNA,” said the game’s director Yuya Tokuda.Long queues to test the new instalment at conventions and mass participation in an online open test weekend in October have underscored the anticipation in recent months.”Rather than feeling pressure… it’s actually more of a useful chance for us to see the players’ reactions and also get data about what it is we should be working on,” Ryozo Tsujimoto, the series’ 50-something longtime producer said during a trip to Europe weeks ahead of the release.”Wilds” is the first “Monster Hunter” instalment built for latest-generation consoles.Tsujimoto says this will allow for “even more seamless” play, highlighting that there will be no loading screens between players’ base camp and the monster-haunted open world beyond.Such changes “make you feel like you really are part of the ecosystem from start to finish every time you play the game,” he said.But even on more powerful machines, it was “really quite difficult” to populate the environment with the huge numbers of monsters and other creatures that the developers wanted, Tsujimoto added.There were “lots of programming challenges and also hardware challenges,” he said.- Stoking the hype -The “Monster Hunter” series has shipped more than 108 million units since the first release on Playstation 2, making it a second tentpole franchise for Japanese publisher Capcom alongside the “Resident Evil” zombie saga.It took time and several instalments for “Monster Hunter” to win popularity outside Japan itself.Back then, “we didn’t really have a development schedule… set up for simultaneous localised release around the world,” Tsujimoto remembers.That meant delays of up to a year for different language versions to be adapted, undermining the hype around new releases beyond the home market.”All the news about what was going to be in the game, which monsters and features, had already come out globally, players felt like they’d seen it all from looking online,” Tsujimoto said.These days releases are synchronised around the world to strike while the anticipation is at its peak.- Broadening reach -“Monster Hunter” has also benefited from vastly more players able to join in online with high-quality connections.”Breaking down each of those barriers… is what finally brought us out of niche status in the West and into a global blockbuster,” Tsujimoto said.Nevertheless, “there are still people out there who don’t know about ‘Monster Hunter’,” he added.It was up to the studio to “try and find new ways to make sure that the ‘Monster Hunter’ name spreads among as large an audience around the world as possible”.A first film set in the universe of the games, released in 2020, was a relative flop.That hasn’t put off Tsujimoto, who says “image licensing” is “something we’re aways considering as being on the table”.Although naming no plans for the immediate future, the producer is “always thinking of ways to expand the series around the world”, including to “people who don’t play games”, he said.Tsujimoto and Tokuda did not comment on whether “Wilds” would be available for Nintendo’s hotly-anticipated Switch 2 console, set for release later this year.But looking to the future, “we do still have plenty of monster ideas up our sleeves,” Tokuda said.

Frankfurt stocks, euro rise on German vote outcome

Frankfurt equities and the euro rose Monday after conservatives led by Friedrich Merz won Germany’s national election, with investors hoping that Europe’s largest economy can emerge from recession.Elsewhere, London and Paris slipped tracking losses in Asia, while Wall Street rebounded from heavy selling at the end of last week.Frankfurt’s DAX index gained 0.6 percent in afternoon deals after Merz urged a speedy formation of a new coalition government. He warned that as US President Donald Trump is driving rapid and disruptive changes, “the world isn’t waiting for us”.”The hope that the conservatives’ win might help pull Germany out of economic stupor and help bolster collective defence, has lifted investor spirits,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.European defence stocks gained, with Germany’s Rheinmetall up 4.5 percent and Britain’s BAE Systems up 3.8 percent.The gains came “off the back of Merz’s call for Europe to seek independence from the US — with the obvious inference that the continent needs to take more responsibility for its own security”, said AJ Bell investment director Russ Mould. With more than 28 percent of the vote, Merz’s CDU/CSU bloc handily defeated Chancellor Olaf Scholz’s Social Democrats and the Greens, as the anti-immigration Alternative for Germany celebrated a record of over 20 percent.”Investors welcomed the outcome of Germany’s election, which saw centrist parties positioned to form a coalition,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.”However, while the initial reaction was upbeat, it remains to be seen whether the enthusiasm will be maintained deeper into the week, or even the session once US investors come to the fray,” he added.Elsewhere Monday, shares in Amsterdam-listed Just Eat Takeaway soared more than 53 percent after it received a 4.1-billion-euro ($4.3-billion) takeover offer from investment giant Prosus.Asian equity markets mostly fell following a dour end to last week for Wall Street fuelled by disappointing economic data, with a report on Friday showing that activity in the US key services sector hit a 25-month low in February.The drop in was “attributed to political uncertainty, with tariff threats and Federal spending cuts dampening services,” said market analyst David Morrison at Trade Nation.Meanwhile separate data indicated that consumer sentiment dived almost 10 percent from January.The readings follow a recent run of figures pointing to a softening of the labour market and prices continuing to rise faster than the Federal Reserve’s target rate.Investors have increasingly feared the inflationary impact of Trump’s plans to impose import tariffs and slash taxes, immigration and regulation.That has led investors to scale back expectations for how many interest rate cuts the Fed will make this year.Shanghai fell and Hong Kong retreated from Friday’s blockbuster rally fuelled by tech firms, in particular e-commerce titan Alibaba.Oil prices edged up after dropping as much as three percent on Friday as the weak US data sparked demand fears, while there are also growing expectations Trump will ease the sanctions that have limited Russian oil exports.- Key figures around 1430 GMT -New York – Dow: UP 0.4 percent at 43,579.31 pointsNew York – Dow: UP 0.3 percent at 6,030.99New York – Dow: UP 0.3 percent at 19,590.85Frankfurt – DAX: UP 0.6 percent at 22,421.31 Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 8,103.74London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,649.14Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.6 percent at 23,341.61 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,373.03 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: UP at $1.0468 from $1.0462 on FridayPound/dollar: UP at $1.2638 from $1.2628Dollar/yen: UP at 149.63 from 149.32 yenEuro/pound: UP at 82.82 pence from 82.81 pence Brent North Sea Crude: UP less than 0.1 percent at $74.12 per barrelWest Texas Intermediate: UP less than 0.1 percent at $70.44 per barrelburs-rl/js