Japanese man ends 6,000km Africa rickshaw trek in Cape TownSun, 26 Jan 2025 16:32:42 GMT

A 34-year-old Japanese man on Sunday arrived in Cape Town to end a more than 6,000-kilometre (3,700-mile) journey from Kenya to South Africa on foot while pulling a rickshaw.Yuji “Gump” Suzuki was emotional as he thanked his supporters for their backing during his latest quest which started in the Kenyan capital in July and took …

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Est de la RDC: l’ONU appelle au retrait des forces rwandaises, lourde offensive près de Goma

Le chef de l’ONU a appelé dimanche au retrait des forces rwandaises, qui combattent l’armée congolaise dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) avec le groupe armé du M23 et ont avancé avec lui jusqu’aux portes de la grande ville de Goma.Après l’échec d’une médiation RDC-Rwanda sous l’égide de l’Angola, le M23 et 3.000 à 4.000 soldats rwandais, selon l’ONU, ont rapidement gagné du terrain ces dernières semaines. Ils encerclent désormais la capitale de la province du Nord-Kivu, Goma, qui compte un million d’habitants et presque autant de déplacés.Des combats se déroulent dimanche à une poignée de kilomètres de la ville, selon des sources sécuritaires concordantes.Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, qui n’avait jusqu’à présent pas aussi clairement mis en cause Kigali, est “profondément préoccupé par l’escalade de la violence” et appelle “les Forces rwandaises de défense à cesser de soutenir le M23 et à se retirer du territoire de la RDC”, selon un communiqué diffusé dimanche par son porte-parole.Un drone rwandais a ouvert le feu sur des positions congolaises dimanche à environ six kilomètres de Goma, ont indiqué à l’AFP des sources sécuritaires et onusiennes.”Un drone TB2 de l’armée rwandaise a effectué une frappe sur une de nos positions”, a précisé une source sécuritaire proche des FARDC. Selon plusieurs sources au sein la mission de l’ONU en RDC (Monusco), “au moins deux paramilitaires” ont été gravement blessés par ces tirs.D’autres bombardements ont touché le camp de déplacés de Rusayo, dans la périphérie de Goma, selon plusieurs sources humanitaires qui n’ont pas encore donné de bilan.Dans le centre ville de Goma, on entend de lourdes détonations résonner depuis l’aube, et on voit des hélicoptères de combat de l’armée congolaise tourner dans le ciel, selon des journalistes de l’AFP.Voitures et motos circulent mais la plupart des commerces ont fermé. Des pillages par des miliciens pro-Kinshasa ont été signalés dans des quartiers périphériques, selon la société civile. A mesure que les combats se rapprochent de nouvelles colonnes de déplacés affluent.- “S’emparer de Goma” -Samedi soir, le porte-parole de l’armée congolaise a accusé le Rwanda d’être “déterminé à s’emparer de la ville de Goma”. La ville avait été brièvement occupée fin 2012 par le M23 (“Mouvement du 23 mars”), né cette année-là et vaincu militairement l’année suivante.Treize soldats sud-africains, malawites et uruguayen, déployés au sein de deux forces régionale (SAMIDRC) et onusienne (Monusco) d’appui à l’armée congolaise ont été tués dans des combats avec le M23 ces derniers jours, ont annoncé samedi les autorités des trois pays.Le Rwanda a “évacué” vendredi son dernier diplomate à Kinshasa, a annoncé dimanche à l’AFP le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe. Kinshasa a annoncé samedi rappeler ses diplomates à Kigali “avec effet immédiat”.L’Union européenne a appelé le M23 à “arrêter son avancée” et le Rwanda à “se retirer immédiatement” dans une déclaration signée par les 27 pays membres.L’Union africaine (UA) a réclamé “la stricte observation du cessez-le-feu convenu entre les parties”.Dans l’est de la RDC riche en ressources naturelles, les conflits s’enchaînent depuis plus de trente ans. Une demi-douzaine de cessez-le-feu et trêves ont déjà été décrétés puis rompus dans la région. Le dernier cessez-le-feu avait été signé fin juillet. Le chef de la diplomatie britannique David Lammy s’est dit dimanche “profondément préoccupé” par les combats. Le président français Emmanuel Macron a appelé samedi, lors d’entretiens téléphoniques avec les dirigeants congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame, à la “fin immédiate de l’offensive du M23 et des forces rwandaises”. Le conflit, qui dure depuis plus de trois ans, aggrave encore une crise humanitaire chronique dans la région. Selon l’ONU, 400.000 personnes ont été déplacées par les combats depuis début janvier. Les Nations unies ont commencé à évacuer certains de leurs personnels de Goma. Les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont appelé leurs ressortissants à quitter la ville tant que l’aéroport et les frontières sont ouverts. En décembre, une rencontre entre les présidents congolais et rwandais, dans le cadre du processus de paix chapeauté par l’Angola, avait été annulée faute d’entente sur les conditions d’un accord.burx-cld/emd

Est de la RDC: l’ONU appelle au retrait des forces rwandaises, lourde offensive près de Goma

Le chef de l’ONU a appelé dimanche au retrait des forces rwandaises, qui combattent l’armée congolaise dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) avec le groupe armé du M23 et ont avancé avec lui jusqu’aux portes de la grande ville de Goma.Après l’échec d’une médiation RDC-Rwanda sous l’égide de l’Angola, le M23 et 3.000 à 4.000 soldats rwandais, selon l’ONU, ont rapidement gagné du terrain ces dernières semaines. Ils encerclent désormais la capitale de la province du Nord-Kivu, Goma, qui compte un million d’habitants et presque autant de déplacés.Des combats se déroulent dimanche à une poignée de kilomètres de la ville, selon des sources sécuritaires concordantes.Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, qui n’avait jusqu’à présent pas aussi clairement mis en cause Kigali, est “profondément préoccupé par l’escalade de la violence” et appelle “les Forces rwandaises de défense à cesser de soutenir le M23 et à se retirer du territoire de la RDC”, selon un communiqué diffusé dimanche par son porte-parole.Un drone rwandais a ouvert le feu sur des positions congolaises dimanche à environ six kilomètres de Goma, ont indiqué à l’AFP des sources sécuritaires et onusiennes.”Un drone TB2 de l’armée rwandaise a effectué une frappe sur une de nos positions”, a précisé une source sécuritaire proche des FARDC. Selon plusieurs sources au sein la mission de l’ONU en RDC (Monusco), “au moins deux paramilitaires” ont été gravement blessés par ces tirs.D’autres bombardements ont touché le camp de déplacés de Rusayo, dans la périphérie de Goma, selon plusieurs sources humanitaires qui n’ont pas encore donné de bilan.Dans le centre ville de Goma, on entend de lourdes détonations résonner depuis l’aube, et on voit des hélicoptères de combat de l’armée congolaise tourner dans le ciel, selon des journalistes de l’AFP.Voitures et motos circulent mais la plupart des commerces ont fermé. Des pillages par des miliciens pro-Kinshasa ont été signalés dans des quartiers périphériques, selon la société civile. A mesure que les combats se rapprochent de nouvelles colonnes de déplacés affluent.- “S’emparer de Goma” -Samedi soir, le porte-parole de l’armée congolaise a accusé le Rwanda d’être “déterminé à s’emparer de la ville de Goma”. La ville avait été brièvement occupée fin 2012 par le M23 (“Mouvement du 23 mars”), né cette année-là et vaincu militairement l’année suivante.Treize soldats sud-africains, malawites et uruguayen, déployés au sein de deux forces régionale (SAMIDRC) et onusienne (Monusco) d’appui à l’armée congolaise ont été tués dans des combats avec le M23 ces derniers jours, ont annoncé samedi les autorités des trois pays.Le Rwanda a “évacué” vendredi son dernier diplomate à Kinshasa, a annoncé dimanche à l’AFP le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe. Kinshasa a annoncé samedi rappeler ses diplomates à Kigali “avec effet immédiat”.L’Union européenne a appelé le M23 à “arrêter son avancée” et le Rwanda à “se retirer immédiatement” dans une déclaration signée par les 27 pays membres.L’Union africaine (UA) a réclamé “la stricte observation du cessez-le-feu convenu entre les parties”.Dans l’est de la RDC riche en ressources naturelles, les conflits s’enchaînent depuis plus de trente ans. Une demi-douzaine de cessez-le-feu et trêves ont déjà été décrétés puis rompus dans la région. Le dernier cessez-le-feu avait été signé fin juillet. Le chef de la diplomatie britannique David Lammy s’est dit dimanche “profondément préoccupé” par les combats. Le président français Emmanuel Macron a appelé samedi, lors d’entretiens téléphoniques avec les dirigeants congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame, à la “fin immédiate de l’offensive du M23 et des forces rwandaises”. Le conflit, qui dure depuis plus de trois ans, aggrave encore une crise humanitaire chronique dans la région. Selon l’ONU, 400.000 personnes ont été déplacées par les combats depuis début janvier. Les Nations unies ont commencé à évacuer certains de leurs personnels de Goma. Les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont appelé leurs ressortissants à quitter la ville tant que l’aéroport et les frontières sont ouverts. En décembre, une rencontre entre les présidents congolais et rwandais, dans le cadre du processus de paix chapeauté par l’Angola, avait été annulée faute d’entente sur les conditions d’un accord.burx-cld/emd

UN chief calls for Rwanda to stop advance on key DR Congo citySun, 26 Jan 2025 16:03:39 GMT

United Nations chief Antonio Guterres on Sunday urged Rwanda to withdraw its forces from the eastern Democratic Republic of Congo where fierce fighting raged as Kigali-backed fighters closed in on the major city of Goma.As clashes escalated with the deaths of around a dozen foreign peacekeepers, the UN Security Council prepared an emergency meeting on the …

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Gaza militants slam Trump idea of moving Palestinians out

Hamas and its ally Islamic Jihad reacted defiantly on Sunday to US President Donald Trump’s idea to “clean out” Gaza, as a fragile truce aimed at permanently ending the war entered its second week.There was no immediate reaction from Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu, but a far-right minister welcomed Trump’s “great” idea.Meanwhile, a dispute linked to the latest hostage-prisoner swap under the truce deal led to vast crowds of Palestinians jamming a coastal road after they were blocked from returning to the territory’s north.The swap saw four Israeli women hostages, all soldiers, and 200 Palestinian prisoners released on Saturday to joyful scenes, in the second such exchange so far.After 15 months of war, Trump said Gaza had become a “demolition site”, adding he had spoken to Jordan’s King Abdullah II about moving Palestinians out of the territory. “I’d like Egypt to take people. And I’d like Jordan to take people,” Trump told reporters, adding he expected to talk to Egyptian President Abdel Fattah al-Sisi on Sunday.Jordanian Foreign Minister Ayman Safadi said that “our rejection of the displacement of Palestinians is firm and will not change. Jordan is for Jordanians and Palestine is for Palestinians.”Most Gazans are Palestinian refugees or their descendants.For Palestinians, any attempt to move them from Gaza would evoke dark memories of what the Arab world calls the “Nakba” or catastrophe — the mass displacement of Palestinians during Israel’s creation in 1948.Egypt has previously warned against any “forced displacement” of Palestinians from Gaza into the Sinai desert, which Sisi said could jeopardise the peace treaty Egypt signed with Israel in 1979.Jordan is already home to around 2.3 million registered Palestinian refugees, according to the United Nations.”You’re talking about probably a million and half people, and we just clean out that whole thing,” Trump said of Gaza, whose population is about 2.4 million.”I’d rather get involved with some of the Arab nations and build housing at a different location where they can maybe live in peace for a change,” Trump said.Moving Gaza’s inhabitants could be done “temporarily or could be long term”, he added.- ‘Deplorable’ -Bassem Naim, a member of Hamas’s political bureau, told AFP that Palestinians would “foil such projects”, as they have done to similar plans “for displacement and alternative homelands over the decades”.Islamic Jihad, which has fought alongside Hamas in Gaza, called Trump’s idea “deplorable” and said it encouraged “war crimes and crimes against humanity by forcing our people to leave their land”.But far-right Israeli Finance Minister Bezalel Smotrich, who opposed the truce deal and has voiced support for re-establishing Israeli settlements in Gaza, said Trump’s suggestion of “helping them find other places to start a better life is a great idea”.Almost all Gazans have been displaced by the war that began after Hamas’s attack on southern Israel on October 7, 2023.The United Nations says close to 70 percent of the territory’s buildings are damaged or destroyed.On Sunday, cars and carts loaded with belongings jammed a road near the Netzarim Corridor that Israel has blocked, preventing the expected return of hundreds of thousands of people to northern Gaza.Israel announced on Saturday it would prevent Palestinians’ passage until the release of Arbel Yehud, a civilian woman hostage who Netanyahu’s office said “was supposed to be released”.- Waiting to enter -On Sunday, Netanyahu’s office said that by not releasing her on Saturday and not providing a “detailed list of all hostages’ statuses”, Hamas had committed truce violations.Hamas later said that blocking returns to the north also amounted to a truce violation, adding it had provided “all the necessary guarantees” for Yehud’s release.During the first phase of the Gaza truce, 33 hostages should be freed in staggered releases over six weeks in exchange for around 1,900 Palestinians held in Israeli jails.The hospital that received the first three hostages Hamas released a week ago said the women were all discharged on Sunday.The truce has brought a surge of food, fuel medicines and other aid into rubble-strewn Gaza, but the UN says “the humanitarian situation remains dire”.Of the 251 hostages seized during Hamas’s October 7, 2023 attack, 87 remain in Gaza, including 34 the military says are dead.The Hamas attack resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures.Israel’s retaliatory offensive has killed at least 47,306 people in Gaza, the majority civilians, according to figures from the Hamas-run territory’s health ministry that the United Nations considers reliable.Israel has also reached a ceasefire with Iran-backed Hezbollah in Lebanon which stipulates that Israeli forces must withdraw by a Sunday deadline.The Lebanese health ministry said Israeli troops killed more than a dozen people on Sunday as hundreds of residents tried to return to their homes in southern Lebanon.The Israeli army said soldiers “fired warning shots” against “suspects were identified approaching the troops”.burs/imm/ami