A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Les intempéries dans le Var font au moins trois morts

Les pluies orageuses intenses qui ont frappé le Var mardi ont fait au moins trois morts, dont un couple d’octogénaires au Lavandou, sur le littoral, où le maire a décrit “des scènes de guerre”.Selon un bilan provisoire de la gendarmerie du Var et de la Préfecture du département, “trois personnes ont perdu la vie, deux au Lavandou et une à Vidauban”, dans la plaine des Maures.La vigilance orange aux orages et pluie-inondation a pris fin à 14H00 dans le Var, selon Météo-France qui a maintenu le département en vigilance jaune.S’agissant du couple qui perdu la vie au Lavandou, ils ont été emportés avec leur véhicule par un torrent, dans le secteur de Cavalière. Le corps de la femme était resté prisonnier de la carcasse, a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Toulon, Samuel Finielz.Une enquête a été ouverte pour recherche des causes de la mort, a ajouté le magistrat, précisant à la presse que “la situation était assez difficile sur place”. “C’était un phénomène vraiment violent, méchant, incompréhensible”, a réagi le maire du Lavandou, Gil Bernardi, lors d’une conférence de presse improvisée, notamment devant les micros de BFMTV. Il est tombé “255 mm d’eau en une heure, provoquant une vague énorme”, a-t-il ajouté, décrivant des “scènes de guerre” avec des “routes arrachées” et des “ponts arrachés”.- “Chemin totalement submergé” -“Il n’y a plus rien, plus d’électricité, plus d’eau potable, plus de station d’épuration”, a également décrit l’élu.”Un diagnostic est en cours pour évaluer les dégâts sur cette commune : accessibilité à l’eau potable, état des stations d’épuration, état des routes… Les communes de Vidauban et de La Môle ont également été lourdement impactées. L’aérodrome de La Môle/Saint Tropez est fermé suite aux inondations”, a précisé la préfecture dans un bilan à 15H00.Au Vidauban, la personne décédée a également été emportée par les flots dans son véhicule. “Une conductrice et sa passagère se sont engagées sur un chemin de campagne totalement submergé”, tombant dans un fossé, mais seule la conductrice a pu être sauvée par l’intervention d’un élu municipal qui se trouvait là, a indiqué le maire de la commue, Claude Pianetti, sur Facebook, sans cacher son émotion.Des renforts ont été envoyés, notamment depuis les Bouches-du-Rhône et les Alpes-Maritimes, en soutien aux 200 pompiers mobilisés qui ont effectué une cinquantaine d’interventions, “dont certaines pour des sauvetages et des mises en sécurité de personnes”, a précisé la préfecture.Les “systèmes orageux ont donné des cumuls intenses en deux heures sur Bormes-les-Mimosas mais surtout le Lavandou et les hauteurs plus au nord. On a relevé des cumuls parfois supérieurs à 100 mm”, a indiqué Météo-France dans son bulletin de 14H00.Les intempéries dans le Var sont survenues au lendemain de pluies diluviennes qui ont occasionné des inondations et dégâts dans le sud-ouest de la France, notamment sur la ligne ferroviaire Bordeaux-Toulouse, sur laquelle aucun train ne pourra circuler pendant plusieurs jours.Près de Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, une voie ferrée a été endommagée: la pluie a fait déborder un ruisseau qui a emporté le ballast sous les rails sur une dizaine de mètres, interrompant la liaison TGV Toulouse-Bordeaux-Paris.Un TGV a dû s’y arrêter en pleine voie dans la nuit de lundi à mardi, ses 507 passagers étant évacués par bus vers une salle municipale. “On a frôlé la catastrophe, les voies étaient à nu et le TGV en suspension”, a témoigné auprès de l’AFP le maire de la commune, Dante Rinaudo.Un train Intercités reliant Toulouse à Paris est resté bloqué toute la nuit à Agen, en raison de ce même incident, selon un journaliste de l’AFP qui était à bord. Ses passagers ont été acheminés en bus vers Toulouse mardi matin.Selon une porte-parole de la SNCF, la circulation ferroviaire restera coupée pendant “au moins plusieurs jours” entre Agen et Marmande, affectant ainsi le trafic des TGV entre Bordeaux et Toulouse.Près de Montauban, il est tombé en quelques heures plus de 100 mm de pluie sur le village de L’Honor-de-Cos, où trois petits ponts enjambant un affluent de l’Aveyron ont été emportés par un ruisseau qui s’est transformé en torrent.

Les intempéries dans le Var font au moins trois morts

Les pluies orageuses intenses qui ont frappé le Var mardi ont fait au moins trois morts, dont un couple d’octogénaires au Lavandou, sur le littoral, où le maire a décrit “des scènes de guerre”.Selon un bilan provisoire de la gendarmerie du Var et de la Préfecture du département, “trois personnes ont perdu la vie, deux au Lavandou et une à Vidauban”, dans la plaine des Maures.La vigilance orange aux orages et pluie-inondation a pris fin à 14H00 dans le Var, selon Météo-France qui a maintenu le département en vigilance jaune.S’agissant du couple qui perdu la vie au Lavandou, ils ont été emportés avec leur véhicule par un torrent, dans le secteur de Cavalière. Le corps de la femme était resté prisonnier de la carcasse, a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Toulon, Samuel Finielz.Une enquête a été ouverte pour recherche des causes de la mort, a ajouté le magistrat, précisant à la presse que “la situation était assez difficile sur place”. “C’était un phénomène vraiment violent, méchant, incompréhensible”, a réagi le maire du Lavandou, Gil Bernardi, lors d’une conférence de presse improvisée, notamment devant les micros de BFMTV. Il est tombé “255 mm d’eau en une heure, provoquant une vague énorme”, a-t-il ajouté, décrivant des “scènes de guerre” avec des “routes arrachées” et des “ponts arrachés”.- “Chemin totalement submergé” -“Il n’y a plus rien, plus d’électricité, plus d’eau potable, plus de station d’épuration”, a également décrit l’élu.”Un diagnostic est en cours pour évaluer les dégâts sur cette commune : accessibilité à l’eau potable, état des stations d’épuration, état des routes… Les communes de Vidauban et de La Môle ont également été lourdement impactées. L’aérodrome de La Môle/Saint Tropez est fermé suite aux inondations”, a précisé la préfecture dans un bilan à 15H00.Au Vidauban, la personne décédée a également été emportée par les flots dans son véhicule. “Une conductrice et sa passagère se sont engagées sur un chemin de campagne totalement submergé”, tombant dans un fossé, mais seule la conductrice a pu être sauvée par l’intervention d’un élu municipal qui se trouvait là, a indiqué le maire de la commue, Claude Pianetti, sur Facebook, sans cacher son émotion.Des renforts ont été envoyés, notamment depuis les Bouches-du-Rhône et les Alpes-Maritimes, en soutien aux 200 pompiers mobilisés qui ont effectué une cinquantaine d’interventions, “dont certaines pour des sauvetages et des mises en sécurité de personnes”, a précisé la préfecture.Les “systèmes orageux ont donné des cumuls intenses en deux heures sur Bormes-les-Mimosas mais surtout le Lavandou et les hauteurs plus au nord. On a relevé des cumuls parfois supérieurs à 100 mm”, a indiqué Météo-France dans son bulletin de 14H00.Les intempéries dans le Var sont survenues au lendemain de pluies diluviennes qui ont occasionné des inondations et dégâts dans le sud-ouest de la France, notamment sur la ligne ferroviaire Bordeaux-Toulouse, sur laquelle aucun train ne pourra circuler pendant plusieurs jours.Près de Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, une voie ferrée a été endommagée: la pluie a fait déborder un ruisseau qui a emporté le ballast sous les rails sur une dizaine de mètres, interrompant la liaison TGV Toulouse-Bordeaux-Paris.Un TGV a dû s’y arrêter en pleine voie dans la nuit de lundi à mardi, ses 507 passagers étant évacués par bus vers une salle municipale. “On a frôlé la catastrophe, les voies étaient à nu et le TGV en suspension”, a témoigné auprès de l’AFP le maire de la commune, Dante Rinaudo.Un train Intercités reliant Toulouse à Paris est resté bloqué toute la nuit à Agen, en raison de ce même incident, selon un journaliste de l’AFP qui était à bord. Ses passagers ont été acheminés en bus vers Toulouse mardi matin.Selon une porte-parole de la SNCF, la circulation ferroviaire restera coupée pendant “au moins plusieurs jours” entre Agen et Marmande, affectant ainsi le trafic des TGV entre Bordeaux et Toulouse.Près de Montauban, il est tombé en quelques heures plus de 100 mm de pluie sur le village de L’Honor-de-Cos, où trois petits ponts enjambant un affluent de l’Aveyron ont été emportés par un ruisseau qui s’est transformé en torrent.

Zelensky accuses Russia of buying time to stall peace talks

Ukrainian President Volodymyr Zelensky accused Russia on Tuesday of delaying peace talks in a bid to pursue its three-year invasion, even as US President Donald Trump pushes for an immediate ceasefire.Trump spoke by phone on Monday to both Zelensky and Russian leader Vladimir Putin, while Russian and Ukrainian officials met in Istanbul on Friday for their first direct talks on the conflict in more than three years.The talks failed to yield a truce, and Zelensky accused Putin of sending “empty heads” to the negotiating table.”It is obvious that Russia is trying to buy time in order to continue its war and occupation,” Zelensky said in a post on social media.Trump framed his two-hour conversation with Putin, the third so far this year, as a breakthrough.The Republican is seeking an elusive deal to end the war that he had promised on the election campaign trail to solve in 24 hours.But Putin again rebuffed the call for a full, immediate and unconditional ceasefire, instead saying only that he was ready to work with Ukraine on a “memorandum” outlining a possible roadmap and different positions on ending the war.Moscow is feeling confident, with its troops advancing on the battlefield and Trump having resumed dialogue with Putin after almost three years of the West shunning the Kremlin chief.”The memorandum buys time for Russia,” Russian political analyst Konstantin Kalachev told AFP.”The cessation of hostilities is not a condition for it, which means that Russia can continue its offensive,” he added.Zelensky said on Monday he had no details of what this “memorandum” would be but was willing to look at Russia’s ideas.Russia invaded Ukraine in February 2022 and has since destroyed swathes of the country’s east, killed tens of thousands and now controls around one-fifth of its territory.- Trump’s no ‘messiah’ -People who spoke to AFP both in Kyiv and Moscow were sceptical about peace prospects and thought the Putin-Trump call had not bring them closer. “I never had any faith in him and now I have none at all,” a retired teacher Victoria Kyseliova told AFP in Kyiv, when asked if she was losing confidence in Trump.Vitaliy, a 53-year-old engineer from Kyiv, said Trump was no “messiah” and that his flurry of diplomacy has changed little. Ukrainian political analyst Volodymyr Fesenko said Trump’s latest calls had only added to the uncertainty.”This conversation not only failed to clarify the future of the negotiations but further confused the situation,” he said.He said Trump had fallen for Putin’s tactics of trying to use talks “as a cover to continue and intensify the war”.In Moscow, there was defiance and confidence.  “I believe that we don’t need these negotiations. We will win anyway,” Marina, a 70-year-old former engineer, told AFP.- Sanctions push -Ukraine and Europe are trying to put pressure on Trump to impose on Moscow a new package of massive sanctions after Putin declined to travel to Turkey for face-to-face talks with Zelensky.Kyiv accused Moscow’s negotiators of making unrealistic demands at the Istanbul talks, including sweeping territorial claims that Ukraine has repeatedly rejected.Zelensky said on Monday that Kyiv and its allies needed to “work hard” to convince Trump of the need for more sanctions.On Tuesday, the European Union formally adopted its 17th round of sanctions on Moscow, targeting 200 vessels of Russia’s so-called shadow maritime fleet, and drawing ire from Russia.”Western politicians and the media are making titanic efforts to disrupt the constructive dialogue between Russia and the United States,” said Kirill Dmitriev, the head of Russia’s Direct Investment Fund and lead economic negotiator with the United States.Russia has successfully withstood sanctions, rerouting its vital oil and gas supplies to India and China.Zelensky said he had discussed preparations for the next sanctions package with European Commission president Ursula von der Leyen. “Russian oil, energy trade infrastructure, banks and financial schemes — these are the areas that hurt Russia the most and therefore contribute the most to peace,” he said. The Ukrainian president added he was closely coordinating every step with the European partners following yesterday’s conversation with Trump. Russia’s key ally China said on Tuesday it also backed direct dialogue between the warring sides.”It is hoped that the parties concerned will carry on with the dialogue… to reach a fair, lasting and binding peace agreement acceptable to all parties,” foreign ministry spokeswoman Mao Ning said.

Un groupe chinois reprend le constructeur français de bus à hydrogène Safra

Le tribunal de commerce d’Albi a choisi mardi le groupe chinois Wanrun pour reprendre Safra, unique constructeur de bus à hydrogène hexagonal en redressement judiciaire, au détriment du français TTH, qui avait les faveurs du personnels et des décideurs locaux.L’offre de reprise du groupe chinois tenait la corde ces dernières semaines, avant une proposition de dernière minute, revue à la hausse, présentée vendredi par TTH.Wanrun s’est engagé à conserver 120 des 169 salariés de cette entreprise basée à Albi et spécialisée dans la fabrication de bus et autocars à hydrogène, et dans la rénovation de bus, rames de métro ou tramway.Parvenue fin avril, à la veille d’une audience du tribunal de commerce d’Albi, le projet de reprise de la société chinoise, plus connue dans le milieu des batteries et des panneaux solaires, comprend un chèque de 7 millions d’euros et des promesses d’investissement pour relancer la Société albigeoise de fabrication et réparation automobile (Safra), créée en 1955 et placée en redressement judiciaire le 4 février.Seule entreprise française à fabriquer des autocars et bus à hydrogène, Safra est un acteur important de la filière hydrogène.Avec sa dernière offre, le groupe Thierry Torti Holding (TTH, 385 salariés) pensait tenir les arguments pour convaincre le tribunal. TTH avait proposé de reprendre 90 employés sur le site d’Albi et d’en reclasser 40 dans son usine de Clermont-Ferrand. Son directeur général Thierry Cezar faisait miroiter un carnet de commandes de 450 millions d’euros, une garantie selon lui pour l’avenir de Safra, et tablait sur une hausse progressive des effectifs pour atteindre 200 salariés à Albi en 2029.Une troisième offre émanant d’une société belge, CBM, a également été écartée.La semaine dernière, le président du Conseil économique, social et environnemental régional (CESER) d’Occitanie, Jean-Louis Chauzy, avait mis en garde contre le risque de reprise par des intérêts chinois et avait plaidé pour “des solutions industrielles françaises avec un solide ancrage territorial”.Il avait rappelé le cas de la fonderie SAM en Aveyron, reprise par le groupe chinois Jinjiang avec des promesses d’investissements “jamais réalisés”. La société métallurgique travaillant pour l’industrie automobile a finalement fermé.Le député centriste du Tarn Philippe Bonnecarrère s’était également positionné pour “une offre industrielle française, sérieuse, peut-être plus modeste au départ, mais plus solide sur le long terme”.

Gaza rescuers say 44 killed as Israel steps up offensive

Gaza’s civil defence agency said Israeli strikes on Tuesday killed at least 44 people across the war-ravaged Palestinian territory, where Israel has intensified a military offensive aimed at crushing Hamas.Aid trickled into the Gaza Strip on Monday for the first time in more than two months, following widespread condemnation of Israel’s total blockade that has sparked severe shortages of food and medicine.On Tuesday, a UN spokesman said it had received permission to send another “around 100” trucks of aid into Gaza.The Israeli army stepped up its offensive at the weekend, vowing to defeat Gaza rulers Hamas whose October 7, 2023 attack on Israel triggered the war.Strikes overnight and early Tuesday left “44 dead, mostly children and women, as well as dozens of wounded”, civil defence spokesman Mahmud Bassal told AFP.Bassal said 15 people were killed when a gas station was hit near the Nuseirat refugee camp and 12 others in a strike on a house in Deir el-Balah, both in central Gaza.Eight people were killed in a strike on a school sheltering displaced Palestinians in Gaza City, further north, Bassal said.The Israeli military told AFP it had “struck a Hamas terrorist who was operating from within a command and control centre” within the school compound. There was no comment on the other incidents.In a statement Tuesday, the military announced strikes on more than “100 terror targets” in Gaza over the past day.At the bombarded gas station, Nuseirat resident Mahmoud al-Louh carried a cloth bag of body parts to a vehicle.”They are civilians, children who were sleeping. What was their fault?” he told AFP.- ‘Egregious’ -Israel’s security cabinet approved earlier this month a plan to expand the military offensive, which one official said would include the “conquest” of Gaza and the displacement of its population.On Monday Prime Minister Benjamin Netanyahu said Israel “will take control of all the territory of the strip”, as the intensified military campaign prompted international alarm.Israel resumed major operations across Gaza on March 18 amid deadlock over how to proceed with a two-month ceasefire that had largely halted the war.Netanyahu said it was necessary for Israel to prevent famine in Gaza for “practical and diplomatic reasons”, after his government announced it would allow limited aid into the besieged territory.”Images of mass starvation” could harm the legitimacy of Israel’s war effort, Netanyahu said.On Friday, President Donald Trump of the United States, Israel’s close ally and main arms supplier, said that “a lot of people are starving” in Gaza. The World Health Organization later warned that the territory’s “two million people are starving”.Britain, France and Canada issued a harsh condemnation of Israel’s conduct of the war, slamming its “egregious actions” in the expanded offensive and the “wholly inadequate” resumption of aid.They warned of “concrete actions” if Israel did not ease its offensive and allow more aid in.Netanyahu called their joint statement a “huge prize” for Hamas.- ‘Drop in the ocean’ -Qatar, which has been involved in mediation efforts throughout the war, said on Tuesday that Israel’s offensive had undermined chances for a ceasefire.”This irresponsible, aggressive behaviour undermines any potential chance for peace,” Qatari Prime Minister Sheikh Mohammed bin Abdulrahman bin Jassim Al-Thani said.Ending more than two months of a complete blockade, Israel said the first five aid trucks entered Monday carrying supplies “including food for babies”.UN humanitarian chief Tom Fletcher said that the trucks allowed it on Monday were “a drop in the ocean of what is urgently needed”.AFP could not independently verify how many aid trucks had entered Gaza.Fletcher told the BBC on Tuesday that 14,000 babies could die in the Palestinian territory in the next 48 hours if aid did not reach them in time.The Hamas attack in October 2023 resulted in the deaths of 1,218 people on the Israeli side, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.Militants also took 251 hostages, 57 of whom remain in Gaza including 34 the military says are dead.Gaza’s health ministry said Tuesday at least 3,427 people have been killed since Israel resumed strikes on March 18, taking the war’s overall toll to 53,573.

Heatwave forces early school closures in Pakistan’s largest province

Rising temperatures in Pakistan’s most populous province have forced the provincial government to close all private and public schools for summer vacations early, officials said on Tuesday.Punjab province’s education minister Rana Sikander Hayat said summer vacations will now start from May 28 instead of June 1.Class times have also been changed, with all educational institutes instructed to close two hours early at 11:30 am “due to a constant heatwave”, a notification issued by the education department said.Pakistan, one of the countries most vulnerable to the effects of global warming, has been experiencing unusually high temperatures after a particularly dry winter.Temperatures soared to near-record highs for the month of April, reaching as high as 46.5 degrees Celsius (115.7 degrees Fahrenheit) in parts of Punjab.An alert issued on Monday by the national meteorological agency forecast that northern parts of the province, currently in the grip of a heatwave, will see daytime temperatures rise “5 to 7C above normal”.An Education Department representative told AFP the early closures were announced because of the weather.”We had to move up the summer vacation schedule because of these heatwaves,” the representative said.Schools in the province that serve tens of millions of children also closed for a week in May last year because of excessive heat, and for several weeks in November because of high levels of toxic smog that blanketed several cities.