Trump border czar defends school, church raids
Donald Trump’s border czar on Sunday defended raiding churches and schools as part of a crackdown on illegal immigration, while acknowledging that deporting all undocumented people in the United States was not “realistic.”Trump began his second term on Monday with a flurry of executive actions aimed at overhauling US immigration.His administration quickly moved to ramp up deportations, including by relaxing rules governing enforcement actions at “sensitive” locations such as schools, churches and workplaces.Asked about the rule change, Tom Homan, a former head of US Immigration and Customs Enforcement (ICE) tapped to oversee Trump’s hard-line immigration agenda, said Sunday it sends a clear message.”There’s consequences of entering the country illegally. If we don’t show there’s consequences, you’re never going to fix the border problem,” he told ABC News’ “This Week” program.Such actions would nonetheless be made on a “case by case” basis, he said, noting that “many” members of gangs such as MS-13 are teenagers.If there’s a “national security threat or a public safety threat that’s in one of these facilities, then it should be an option,” he said.On Thursday, leaders of three Catholic organizations blasted the rule change, saying in a joint statement that “turning places of care, healing and solace into places of fear and uncertainty for those in need… will not make our communities safer.”When pressed on the Catholic opposition, Homan stood firm.”We’re enforcing laws Congress enacted and the president signed. If they don’t like it, change the law.”Vice President JD Vance, who was also asked about the Catholic pushback in an interview broadcast Sunday, accused one group of being worried about losing funds in the immigration crackdown.”I think that the US Conference of Catholic Bishops needs to actually look in the mirror a little bit and recognize that when they receive over $100 million to help resettle illegal immigrants, are they worried about humanitarian concerns? Or are they actually worried about their bottom line?” he told CBS’ “Face the Nation.”All eyes during Trump’s first week in office have been on immigration enforcement and deportations, though it was unclear to what extent actions have increased from predecessor Joe Biden.ICE said in posts on X that it had made 593 arrests on Friday and 286 arrests on Saturday.In the 2024 federal fiscal year, agency data shows ICE made 113,431 arrests, or around 310 per day.Homan called on Congress to pass additional funding for dealing with those arrested.”We’re gonna need more ICE beds, a minimum of 100,000. Congress needs to come to the table quick and give us the money we need to secure that border,” he told ABC News.”We’re going to try to be efficient. But with more money we have, the more we can accomplish.”
Le trotteur français Idao de Tillard conserve sa couronne dans l’Amérique
Le trotteur français Idao de Tillard, âgé de 7 ans, deuxième favori, et drivé par Clément Duvaldestin, a remporté avec autorité dimanche à Vincennes le 104e Prix d’Amérique, conservant sa couronne dans le championnat du monde du trot attelé.Dix-huit cracks trotteurs, les meilleurs de la planète, se sont élancés, acclamés par une foule de spectateurs massés dans les tribunes, coiffés pour certains de bonnets et casquettes aux couleurs de leur cheval de coeur, pour assister à la plus grande course de trot attelé du monde. Idao de Tillard, qui courait déferré pour la première fois de sa carrière afin de gagner en vitesse, mais avec le risque de commettre des fautes d’allure, a assuré son départ. Il s’est placé au milieu de peloton. Il a rejoint le groupe de tête emmené par Hussard du Landret puis Keep Going à 1.000 mètres du but. Il a changé de vitesse à l’intersection des pistes pour prendre la tête dans la ligne droite finale repoussant tous les assauts. “C’est un immense champion. Les grands champions font le doublé. Ca prouve que la dernière fois ce n’était pas un peu de chance”, a déclaré Clément Duvaldestin, encore sur la piste, au micro d’Equidia. “Il a été exceptionnel car je lui ai demandé d’accélérer à mi-ligne droite, dès que j’ai baissé les oeillères, il est reparti. Je suis parti un peu tôt mais mon cheval a été jusqu’au bout”, a ajouté le jeune pilote de 27 ans.”Je n’ai pas donné d’ordre à Clément, je lui ai dit fait confiance au cheval. Le déferrage ça aide beaucoup. C’est énorme le travail que l’on a fait sur Idao”, a commenté son entraineur Thierry Duvaldestin qui signe lui quatre succès dans l’Amérique.Idao de Tillard, à la robe baie (marron) a devancé sur le parcours classique de 2.700 mètres la jument française Just Love You pilotée par Alexandre Abrivard, arrivée deuxième. – Nouvelle désillusion pour San Moteur -Just Love You qui faisait figue d’outsider a longtemps trotté sur une troisième ligne au milieu du peloton. Elle a progressé à 800 mètres du but pour prendre une nette deuxième place en pleine piste.”Ma jument a été très bonne. On a eu un bon parcours. Je n’ai pas de regrets, on est tombé sur un grand Idao. Thierry Duvaldestin, c’est le summum des entraîneurs des chevaux de course”, a dit fairplay Alexandre Abrivard, satisfait de sa deuxième place.La troisième place est revenue au favori français Go On Boy drivé par Romain Derieux. L’entraîneur et driver a reconnu sportivement “avoir couru pour gagner mais accepter la défaite”. On retiendra de cette édition la disqualification du visiteur suédois San Moteur, le troisième favori, piloté par Björn Goop. Très nerveux au départ, San Moteur s’est élancé au galop dès les premiers mètres de la course. Le mauvais sort semble s’acharner sur ce crack cheval qui avait été contraint, l’an dernier, de décliner sa participation en raison d’une blessure à quelques jours de la course.Grâce à sa victoire, Idao de Tillard a offert à son propriétaire, Cyril Sevestre, maçon de profession, la somme de 450.000 euros promis au vainqueur sur le million d’allocation totale répartie entre les sept premiers.Le judoka français Teddy Riner a remis le trophée à Thierry Duvaldestin devant l’entourage du roi de Vincennes.
Le trotteur français Idao de Tillard remporte le 104e Prix d’Amérique
Le trotteur français Idao de Tillard, âgé de 7 ans, deuxième favori, et drivé par Clément Duvaldestin, a remporté avec autorité dimanche à Vincennes le 104e Prix d’Amérique, conservant son titre de champion du monde du trot attelé.Le crack cheval à la robe baie (marron) entrainé par Thierry Duvaldestin a devancé sur le parcours classique de 2.700 mètres la jument française Just Love You pilotée par Alexandre Abrivard arrivée deuxième. La troisième place est revenue au favori français Go On Boy drivé par Romain Derieux.Dix-huit cracks trotteurs, les meilleurs de la planète, se sont élancés, acclamés par une foule de spectateurs massés dans les tribunes, coiffés pour certains de bonnets et casquettes aux couleurs de leur cheval de coeur, pour assister à la plus grande course de trot attelé du monde. Idao de Tillard, qui courrait déferré pour la première fois de sa carrière afin de gagner en vitesse mais avec le risque de commettre des fautes d’allure, a assuré son départ. Il s’est placé au milieu de peloton. Il a rejoint le groupe de tête emmené par Hussard du Landret puis Keep Going à 1.000 mètres du but. Il a changé de vitesse à l’intersection des pistes pour prendre la tête dans la ligne droite finale repoussant tous les assauts. “C’est un immense champion. Les grands champions font le doublé. Ca prouve que la dernière fois ce n’était pas un peu de chance”, a déclaré Clément Duvaldestin au micro d’Equidia, encore sur la piste. “Il a été exceptionnel car je lui ai demandé d’accélérer à mi-ligne droite dès que j’ai baissé les oeillères il est reparti. Je suis parti un peu tôt mais mon cheval a été jusqu’au bout”, a ajouté le jeune pilote de 27 ans.”Je n’ai pas donné d’ordre à Clément, je lui ai dit +fais confiance au cheval+. Le déferrage ça aide beaucoup. C’est énorme le travail que l’on a fait sur Idao”, a commenté Thierry Duvaldestin qui signe lui quatre succès dans l’Amérique.Grâce à sa victoire, Idao de Tillard a offert à son propriétaire, Cyril Sevestre, maçon de profession, la somme de 450.000 euros promis au vainqueur, sur le million d’allocation totale répartie entre les sept premiers.Le judoka français Teddy Riner a remis le trophée à Thierry Duvaldestin devant l’entourage du roi de Vincennes qui conserve sa couronne.
A Bordeaux, Edouard Philippe tourné vers 2027, apporte un soutien “sans illusions” au gouvernement
“C’est long, deux ans”. A Bordeaux, Édouard Philippe a tenu dimanche le premier des meetings régionaux qui jalonneront le semestre de son parti Horizons, alternant avertissements “sans illusions” sur la situation actuelle et grandes lignes pour la présidentielle 2027.”Ce n’est pas encore le temps du programme, mais c’est l’heure de l’espoir”, a résumé le député Henri Alfandari. Candidat déclaré à l’Élysée, mais peu désireux de dévoiler son jeu, Édouard Philippe a opté pour une série de “congrès interrégionaux” : Bordeaux dimanche, puis le 16 mars à Lille où il sera question de “calendrier” et de “méthode”, et Marseille au printemps, pour un troisième rendez-vous consacré aux questions régaliennes.”C’est une bonne façon de préparer la suite. De prendre date, de commencer à animer localement”. “Ca chauffe mes équipes, ça motive les troupes”, a expliqué l’ancien Premier ministre à l’AFP.Les quelque 1.200 personnes présentes au Palais des Congrès –Horizons revendique quelque 30.000 adhérents– ne s’attendaient donc pas à un catalogue de mesures. Mais entre quelques traits d’humour, anecdotes sur De Gaulle et Mauriac et un hommage à l’ancien maire de Bordeaux Nicolas Florian, dont le décès a été annoncé dimanche, elles ont eu droit à quelques messages bien sentis sur les négociations budgétaires en cours, et quelques indications sur la route vers l’Élysée.”Chez Horizons, nous soutenons le gouvernement” mais “sans illusion, malheureusement, sur le fait que nous ne ferons rien de décisif dans les deux ans qui viennent”, a planté Édouard Philippe.”Le Premier ministre –il n’a pas cité nommément François Bayrou– a affiché un objectif de déficit à hauteur de 5,4%. On verra. Entre la croissance qui est faible et les compromis qui coûtent de plus en plus cher, on verra où notre addiction pour la dépense nous conduit”, a-t-il ajouté, dénonçant “un consensus général pour augmenter les impôts”.- “Refaire de la France une puissance” -“La stabilité du gouvernement a de la valeur, elle a donc un prix. Mais ce prix, soyons clairs, a des limites”, a estimé Édouard Philippe, alors que le gouvernement Bayrou tente d’éviter la censure en négociant avec les socialistes.L’ancien Premier ministre a également mis en garde contre l’adoption de la proportionnelle : “Je ne voudrais pas que par une réforme de circonstances, on s’interdise d’avoir demain une majorité stable dont nous aurons besoin pour faire repartir le pays”.Il a également suggéré aux formations du bloc central la création d’un “bloc républicain et démocrate” en vue des municipales. Voire d’une prochaine dissolution.Pour le reste, cap sur 2027.C’est “un rendez vous où les Français devront faire des choix fondamentaux” et “ce à quoi vous vous êtes engagés en rejoignant Horizons, c’est à refaire de la France une puissance”, a-t-il lancé, particulièrement applaudi.Et le maire du Havre d’asséner quelques “vérités”. “D’abord de dire que dans notre pays, nous nous en sortirons par le travail”.Il faudra notamment “reprendre globalement le modèle des retraites pour offrir plus de liberté et de sécurité à chacun tout en garantissant la solidarité entre les générations et entre les Français”, a-t-il dit, sans employer le terme de retraite par capitalisation.La France devra “faire le choix de la jeunesse”, “grande sacrifiée des dernières années”, assurer la “réhabilitation de l’autorité” et assumer la “reconquête productive”, a-t-il ajouté.Parmi les orateurs, la présidente des Pays-de-la-Loire Christelle Morançais, fortement critiquée pour des coupes budgétaires dans sa région, mais reçue par une standing ovation à Bordeaux.”Je ne suis pas une femme politique” mais “une femme qui fait de la politique” et à qui “il manquait” un “chef, un cap, une vision, une volonté, une famille politique” qui doit être “le parti de la vérité”, a expliqué cette transfuge des Républicains (LR), désormais vice-présidente d’Horizons et présidente de la Commission d’investiture d’un parti qui prépare activement les municipales de 2026.M. Philippe a également commenté la victoire de Donald Trump, “l’impérialisme dans toute sa splendeur” et dénoncé “le silence assourdissant d’une Europe tétanisée”. “Ce qui se joue aujourd’hui, c’est notre capacité à rester libres”, “à refuser que nos enfants soient soumis aux Etats-Unis ou à la Chine”, a-t-il lancé.
A Bordeaux, Edouard Philippe tourné vers 2027, apporte un soutien “sans illusions” au gouvernement
“C’est long, deux ans”. A Bordeaux, Édouard Philippe a tenu dimanche le premier des meetings régionaux qui jalonneront le semestre de son parti Horizons, alternant avertissements “sans illusions” sur la situation actuelle et grandes lignes pour la présidentielle 2027.”Ce n’est pas encore le temps du programme, mais c’est l’heure de l’espoir”, a résumé le député Henri Alfandari. Candidat déclaré à l’Élysée, mais peu désireux de dévoiler son jeu, Édouard Philippe a opté pour une série de “congrès interrégionaux” : Bordeaux dimanche, puis le 16 mars à Lille où il sera question de “calendrier” et de “méthode”, et Marseille au printemps, pour un troisième rendez-vous consacré aux questions régaliennes.”C’est une bonne façon de préparer la suite. De prendre date, de commencer à animer localement”. “Ca chauffe mes équipes, ça motive les troupes”, a expliqué l’ancien Premier ministre à l’AFP.Les quelque 1.200 personnes présentes au Palais des Congrès –Horizons revendique quelque 30.000 adhérents– ne s’attendaient donc pas à un catalogue de mesures. Mais entre quelques traits d’humour, anecdotes sur De Gaulle et Mauriac et un hommage à l’ancien maire de Bordeaux Nicolas Florian, dont le décès a été annoncé dimanche, elles ont eu droit à quelques messages bien sentis sur les négociations budgétaires en cours, et quelques indications sur la route vers l’Élysée.”Chez Horizons, nous soutenons le gouvernement” mais “sans illusion, malheureusement, sur le fait que nous ne ferons rien de décisif dans les deux ans qui viennent”, a planté Édouard Philippe.”Le Premier ministre –il n’a pas cité nommément François Bayrou– a affiché un objectif de déficit à hauteur de 5,4%. On verra. Entre la croissance qui est faible et les compromis qui coûtent de plus en plus cher, on verra où notre addiction pour la dépense nous conduit”, a-t-il ajouté, dénonçant “un consensus général pour augmenter les impôts”.- “Refaire de la France une puissance” -“La stabilité du gouvernement a de la valeur, elle a donc un prix. Mais ce prix, soyons clairs, a des limites”, a estimé Édouard Philippe, alors que le gouvernement Bayrou tente d’éviter la censure en négociant avec les socialistes.L’ancien Premier ministre a également mis en garde contre l’adoption de la proportionnelle : “Je ne voudrais pas que par une réforme de circonstances, on s’interdise d’avoir demain une majorité stable dont nous aurons besoin pour faire repartir le pays”.Il a également suggéré aux formations du bloc central la création d’un “bloc républicain et démocrate” en vue des municipales. Voire d’une prochaine dissolution.Pour le reste, cap sur 2027.C’est “un rendez vous où les Français devront faire des choix fondamentaux” et “ce à quoi vous vous êtes engagés en rejoignant Horizons, c’est à refaire de la France une puissance”, a-t-il lancé, particulièrement applaudi.Et le maire du Havre d’asséner quelques “vérités”. “D’abord de dire que dans notre pays, nous nous en sortirons par le travail”.Il faudra notamment “reprendre globalement le modèle des retraites pour offrir plus de liberté et de sécurité à chacun tout en garantissant la solidarité entre les générations et entre les Français”, a-t-il dit, sans employer le terme de retraite par capitalisation.La France devra “faire le choix de la jeunesse”, “grande sacrifiée des dernières années”, assurer la “réhabilitation de l’autorité” et assumer la “reconquête productive”, a-t-il ajouté.Parmi les orateurs, la présidente des Pays-de-la-Loire Christelle Morançais, fortement critiquée pour des coupes budgétaires dans sa région, mais reçue par une standing ovation à Bordeaux.”Je ne suis pas une femme politique” mais “une femme qui fait de la politique” et à qui “il manquait” un “chef, un cap, une vision, une volonté, une famille politique” qui doit être “le parti de la vérité”, a expliqué cette transfuge des Républicains (LR), désormais vice-présidente d’Horizons et présidente de la Commission d’investiture d’un parti qui prépare activement les municipales de 2026.M. Philippe a également commenté la victoire de Donald Trump, “l’impérialisme dans toute sa splendeur” et dénoncé “le silence assourdissant d’une Europe tétanisée”. “Ce qui se joue aujourd’hui, c’est notre capacité à rester libres”, “à refuser que nos enfants soient soumis aux Etats-Unis ou à la Chine”, a-t-il lancé.
Ligue 1: Brest enchaîne au Havre et recolle à l’Europe
Avec un troisième succès de rang au Havre (1-0), dimanche lors la 19e journée de Ligue 1, Brest recolle aux places européennes avant de recevoir le Real Madrid mercredi en Ligue des champions.Avec 28 points, Brest pointe provisoirement à la 7e place, sous la menace de Lens et Toulouse, mais les hommes d’Eric Roy finiront la journée à 6 unités du podium, Monaco, 3e, comptant 34 unités.Cerise sur le gâteau, cela faisait neuf journées de suite que les Finistériens n’avaient pas réussi à préserver leur cage, depuis le 6 octobre et une victoire contre… Le Havre (2-0).Pour les Normands, qui avaient réussi à arracher leur premier point en six journées à Reims (1-1) la semaine dernière, c’est le retour à la morosité.Dix-septièmes avec 13 points, le HAC a quatre longueurs de retard sur Rennes, 15e et première non-relégableLe temps où Brest perdait systématiquement avant une rencontre de C1 semble bien révolu.Probablement piqués par leur défaite en Allemagne contre le Shakhtar Donetsk (2-0) mercredi, les joueurs brestois savaient qu’ils jouaient sans doute aussi une partie de leur place sur le terrain contre le Real, dans trois jours, dans l’esprit de leur entraîneur.Avec un Pierre Lees-Melou encore resté sur le banc, mais la titularisation de Soumaïla Coulibaly, tout juste guéri d’une blessure aux abdominaux.Ils ont été bien aidés par la faiblesse d’une formation havraise qui a encaissé là sa 14e défaite de la saison, sont huit au Stade Océane.Brest a su profiter d’une terrible erreur d’Oussama Targhalline dans ses six mètres, aussitôt exploitée, à bout portant, par Ludovic Ajorque (1-0, 25e), auteur de sa septième réalisation de la saison, pour prendre les commandes du match.Au-dessus dans tous les compartiments du jeu, les Bretons, en mode gestion tout au long de la seconde période, n’ont jamais réussi à faire le break, stoppés par un Mathieu Gorgelin des très grands jours, notamment face à Romain Del Castillo (50e).Une occasion manquée qui aurait pu être lourde de conséquences si Marco Bizot, battu sur un coup de tête de l’Égyptien Ahmed Hassan, n’avait pas été suppléé par son montant droit (67e).La suite sera d’un tout autre niveau pour les Bretons puisque, après le Real, ils accueilleront le Paris SG à Le Blé, samedi prochain.