S. African peacekeepers killed as fighting rages in DRCSat, 25 Jan 2025 12:45:50 GMT

Three South African peacekeepers have been killed in eastern Democratic Republic of Congo, where fighting intensified on Saturday between the Congolese army and Rwandan-backed M23 fighters, a political party said.Fighting raged in the region despite calls from the international community for the M23 to halt its advance on Goma, the key city in the east …

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Le pape demande la libération de tous les journalistes “injustement emprisonnés”

Le pape François a demandé samedi, à l’occasion du Jubilé de la communication, la libération de tous les journalistes “injustement emprisonnés”, dans un discours qu’il a remis aux participants mais qu’il n’a pas prononcé.Il a d’abord rappelé “tous ceux qui sont emprisonnés simplement pour avoir été fidèles à la profession de journaliste, de photographe, de vidéaste, pour avoir voulu aller voir de leurs propres yeux et pour avoir essayé de rapporter ce qu’ils ont vu”.Puis le pape argentin a lancé son appel: “en cette Année Sainte, en ce jubilé du monde de la communication, je demande aux gouvernants de faire en sorte que tous les journalistes injustement emprisonnés soient libérés”.François a par ailleurs assuré que “la liberté des journalistes accroît notre liberté à tous. Leur liberté est la liberté de chacun d’entre nous”. “Je demande, comme je l’ai fait à maintes reprises et comme l’ont fait mes prédécesseurs avant moi, que la liberté de la presse et la liberté d’exprimer ses pensées soient défendues et protégées, de même que le droit fondamental d’être informé”, a poursuivi le pape.Selon le souverain pontife, “une information libre, responsable et correcte est un patrimoine de connaissances, d’expériences et de vertus qui doit être préservé et promu. Sans cela, nous risquons de ne plus distinguer la vérité du mensonge”.Le pape François a également déploré la mort de “tous ceux qui ont sacrifié leur vie au cours de l’année écoulée, l’une des plus meurtrières pour les journalistes”.La veille déjà, il avait dénoncé une époque marquée “par la désinformation et la polarisation, où quelques centres de pouvoir contrôlent une masse sans précédent de données et d’informations”, dans un contexte de polémique sur le rôle des réseaux sociaux.

Le pape demande la libération de tous les journalistes “injustement emprisonnés”

Le pape François a demandé samedi, à l’occasion du Jubilé de la communication, la libération de tous les journalistes “injustement emprisonnés”, dans un discours qu’il a remis aux participants mais qu’il n’a pas prononcé.Il a d’abord rappelé “tous ceux qui sont emprisonnés simplement pour avoir été fidèles à la profession de journaliste, de photographe, de vidéaste, pour avoir voulu aller voir de leurs propres yeux et pour avoir essayé de rapporter ce qu’ils ont vu”.Puis le pape argentin a lancé son appel: “en cette Année Sainte, en ce jubilé du monde de la communication, je demande aux gouvernants de faire en sorte que tous les journalistes injustement emprisonnés soient libérés”.François a par ailleurs assuré que “la liberté des journalistes accroît notre liberté à tous. Leur liberté est la liberté de chacun d’entre nous”. “Je demande, comme je l’ai fait à maintes reprises et comme l’ont fait mes prédécesseurs avant moi, que la liberté de la presse et la liberté d’exprimer ses pensées soient défendues et protégées, de même que le droit fondamental d’être informé”, a poursuivi le pape.Selon le souverain pontife, “une information libre, responsable et correcte est un patrimoine de connaissances, d’expériences et de vertus qui doit être préservé et promu. Sans cela, nous risquons de ne plus distinguer la vérité du mensonge”.Le pape François a également déploré la mort de “tous ceux qui ont sacrifié leur vie au cours de l’année écoulée, l’une des plus meurtrières pour les journalistes”.La veille déjà, il avait dénoncé une époque marquée “par la désinformation et la polarisation, où quelques centres de pouvoir contrôlent une masse sans précédent de données et d’informations”, dans un contexte de polémique sur le rôle des réseaux sociaux.

30 killed in drone attack on hospital in Sudan’s Darfur: medical sourceSat, 25 Jan 2025 11:17:52 GMT

A drone attack on one of the last functioning hospitals in El-Fasher in Sudan’s Darfur region killed 30 people and injured dozens, a medical source said Saturday.The bombing of the Saudi Hospital on Friday evening “led to the destruction” of the hospital’s emergency building, the source told AFP, requesting anonymity for fear of retaliation.It was …

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Pour les militaires, Thales conçoit une IA pas comme les autres

Comment entraîne-t-on les algorithmes lorsque des vies humaines sont en jeu? Au sein de Thales, plus de 600 experts développent une intelligence artificielle pour les domaines de défense et de sécurité, avec des contraintes sans commune mesure avec l’IA grand public.”Cet environnement critique nous amène des devoirs qui n’existent pas dans un environnement grand public. La contrainte est injectée dès la conception de l’algorithme d’IA qui ne peut pas fonctionner comme une boîte noire et où l’humain est absolument essentiel”, explique à l’AFP Philippe Keryer, directeur stratégie, recherche et technologies de Thales, premier détenteur de brevets en IA des systèmes critiques en Europe.Système de lutte anti-drones aériens éprouvé pendant les Jeux olympiques à Paris, capteurs intelligents pour détecter les mines sous-marines, pilotage d’essaims de drones, optimisation des trajectoires de vol ou prévention de la fraude d’identité: en amont du Sommet pour l’action sur l’IA, qui se tiendra à Paris les 10 et 11 février, Thales a ouvert cette semaine ses laboratoires de recherche à Palaiseau, en région parisienne. L’impact de ces innovations est “énorme pour les enjeux de sécurité, de souveraineté et d’efficacité énergétique”, souligne Patrice Caine, PDG de Thales, qui équipe 50 armées dans le monde et dont les systèmes gèrent 40% de l’espace aérien mondial.- “Glaive et bouclier” -“Nous avons la responsabilité de repenser en profondeur le fonctionnement de l’IA ainsi que des modèles d’apprentissage”, relève Philippe Keryer. Le nombre des données dans ces domaines sensibles étant limité, le groupe génère sur la base de son expertise des données synthétiques pour entraîner ses algorithmes. Il emploie des “hackers éthiques” pour anticiper les menaces, inventer les attaques les plus sophistiquées et soumettre les logiciels à un “crash test de résilience” avant d’être validés. Un principe “du glaive et du bouclier” déjà appliqué pour les systèmes d’armement (drones et systèmes anti-drones). “C’est en pensant au mal avec les attaques les plus perfides qu’on va créer le bien”, affirme Philippe Keryer.  Autre défi: sur un champ de bataille, “on est contraint en taille, en poids, en puissance, mais aussi par le type de réseau auquel on est connecté”, signale Fabien Flacher, responsable de la cybersécurité au sein de Thales.  Sur une frégate, dans un Rafale ou un tank, on ne dispose pas de “fermes de serveurs” comme Google, ajoute-t-il.Et si les intelligences artificielles sont généralement entraînées sur des données “figées longtemps”, cela ne peut pas marcher pour les conflits modernes.”On réapprend instantanément à l’IA à être plus pertinente” après chaque mission, par exemple d’un avion de reconnaissance où elle est intégrée. – L’humain l’emporte -“On juge les IA plus sévèrement que les humains”, estime Christophe Meyer, directeur technique de CortAIx Labs, chargé de l’IA pour Thales. Mais la décision cruciale revient toujours à l’humain. “S’il y a des drones avec des capacités de tirer, il y aurait une décision humaine pour dire +Je valide cette suggestion que tu me fais, avec mes critères qui sont des critères humains+”, note-t-il.Les solutions proposées par ce type d’IA contiennent également une explication rationnelle.Les calculs qu’elle fournit permettent à l’opérateur de soulager sa charge cognitive et parfois de rester moins de temps dans une zone où sa vie est en danger.Ainsi, un radar intelligent “va reconnaître la dimension de centaines de cibles en quelques dizaines de secondes, là où il nous fallait des dizaines de minutes auparavant”, précise Nicolas Léger, expert radars à Thales.Pareil dans la lutte contre les mines: les antennes qui détectent les engins suspects sont de plus en plus performantes, mais produisent une quantité de données impossible à digérer pour un humain.  Les algorithmes aident à “accélérer la classification et évaluer la pertinence de produire des opérations d’identification et de neutralisation”, explique Benoît Drier de Laforte, conseiller dans la lutte anti-mines. Cette technique permet d’avoir seulement “1% à 2%” de fausses alarmes, quand “les Américains se contentaient de 20% de marge d’erreur sur certaines opérations” de ce type, selon lui.Pourtant les algorithmes ne sont pas encore prêts à remplacer “les grandes oreilles” humaines. “Si l’algorithme n’a pas été entraîné sur une menace nouvelle, il risque de manquer de performance”, signale l’expert. 

Pour les militaires, Thales conçoit une IA pas comme les autres

Comment entraîne-t-on les algorithmes lorsque des vies humaines sont en jeu? Au sein de Thales, plus de 600 experts développent une intelligence artificielle pour les domaines de défense et de sécurité, avec des contraintes sans commune mesure avec l’IA grand public.”Cet environnement critique nous amène des devoirs qui n’existent pas dans un environnement grand public. La contrainte est injectée dès la conception de l’algorithme d’IA qui ne peut pas fonctionner comme une boîte noire et où l’humain est absolument essentiel”, explique à l’AFP Philippe Keryer, directeur stratégie, recherche et technologies de Thales, premier détenteur de brevets en IA des systèmes critiques en Europe.Système de lutte anti-drones aériens éprouvé pendant les Jeux olympiques à Paris, capteurs intelligents pour détecter les mines sous-marines, pilotage d’essaims de drones, optimisation des trajectoires de vol ou prévention de la fraude d’identité: en amont du Sommet pour l’action sur l’IA, qui se tiendra à Paris les 10 et 11 février, Thales a ouvert cette semaine ses laboratoires de recherche à Palaiseau, en région parisienne. L’impact de ces innovations est “énorme pour les enjeux de sécurité, de souveraineté et d’efficacité énergétique”, souligne Patrice Caine, PDG de Thales, qui équipe 50 armées dans le monde et dont les systèmes gèrent 40% de l’espace aérien mondial.- “Glaive et bouclier” -“Nous avons la responsabilité de repenser en profondeur le fonctionnement de l’IA ainsi que des modèles d’apprentissage”, relève Philippe Keryer. Le nombre des données dans ces domaines sensibles étant limité, le groupe génère sur la base de son expertise des données synthétiques pour entraîner ses algorithmes. Il emploie des “hackers éthiques” pour anticiper les menaces, inventer les attaques les plus sophistiquées et soumettre les logiciels à un “crash test de résilience” avant d’être validés. Un principe “du glaive et du bouclier” déjà appliqué pour les systèmes d’armement (drones et systèmes anti-drones). “C’est en pensant au mal avec les attaques les plus perfides qu’on va créer le bien”, affirme Philippe Keryer.  Autre défi: sur un champ de bataille, “on est contraint en taille, en poids, en puissance, mais aussi par le type de réseau auquel on est connecté”, signale Fabien Flacher, responsable de la cybersécurité au sein de Thales.  Sur une frégate, dans un Rafale ou un tank, on ne dispose pas de “fermes de serveurs” comme Google, ajoute-t-il.Et si les intelligences artificielles sont généralement entraînées sur des données “figées longtemps”, cela ne peut pas marcher pour les conflits modernes.”On réapprend instantanément à l’IA à être plus pertinente” après chaque mission, par exemple d’un avion de reconnaissance où elle est intégrée. – L’humain l’emporte -“On juge les IA plus sévèrement que les humains”, estime Christophe Meyer, directeur technique de CortAIx Labs, chargé de l’IA pour Thales. Mais la décision cruciale revient toujours à l’humain. “S’il y a des drones avec des capacités de tirer, il y aurait une décision humaine pour dire +Je valide cette suggestion que tu me fais, avec mes critères qui sont des critères humains+”, note-t-il.Les solutions proposées par ce type d’IA contiennent également une explication rationnelle.Les calculs qu’elle fournit permettent à l’opérateur de soulager sa charge cognitive et parfois de rester moins de temps dans une zone où sa vie est en danger.Ainsi, un radar intelligent “va reconnaître la dimension de centaines de cibles en quelques dizaines de secondes, là où il nous fallait des dizaines de minutes auparavant”, précise Nicolas Léger, expert radars à Thales.Pareil dans la lutte contre les mines: les antennes qui détectent les engins suspects sont de plus en plus performantes, mais produisent une quantité de données impossible à digérer pour un humain.  Les algorithmes aident à “accélérer la classification et évaluer la pertinence de produire des opérations d’identification et de neutralisation”, explique Benoît Drier de Laforte, conseiller dans la lutte anti-mines. Cette technique permet d’avoir seulement “1% à 2%” de fausses alarmes, quand “les Américains se contentaient de 20% de marge d’erreur sur certaines opérations” de ce type, selon lui.Pourtant les algorithmes ne sont pas encore prêts à remplacer “les grandes oreilles” humaines. “Si l’algorithme n’a pas été entraîné sur une menace nouvelle, il risque de manquer de performance”, signale l’expert. 

The four Israeli women hostages freed on Saturday

Four women soldiers, abducted by Palestinian militants on October 7, 2023 while doing their military service near the Gaza border, were released on Saturday, following more than 15 months in captivity.Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa and Naama Levy were reunited with their families in Israel, the military said, with crowds shedding tears of joy as they gathered to watch their release at a plaza in Tel Aviv known as Hostage Square.The four women, aged between 19 and 20, were captured together while deployed in a surveillance unit at the Nahal Oz military base, close to the Gaza border. Militants filmed their abduction.Three other women soldiers were taken hostage with them: Agam Berger, who is still held in Gaza and presumed alive; Noa Marciano, whose body has since been repatriated to Israel; and Ori Megidish, who was freed alive by the Israeli military in late October 2023.- Liri Albag, 19 -According to press reports, hostages released earlier told Liri Albag’s parents that she was forced by her captors to cook, clean and babysit.The Jerusalem Post reported in July that she had passed messages to her family via hostages who had been released, telling her sister Shai not to cancel her traditional post-army trip and most of all not to touch her favourite shoes.In January, she appeared in a video of around three and a half minutes released by Hamas.”She loves travelling, singing, photography and cooking,” Israeli campaign group the Hostages and Missing Families Forum said in a statement.Her parents Shira and Eli Albag have campaigned for the hostages’ release.- Karina Ariev, 20 -A video of Karina Ariev’s capture showed her being wounded. In January 2024 a new video released by Hamas on Telegram showed her alongside hostage Daniella Gilboa. Ariev turned 20 in captivity.”She dreams of becoming a psychologist and is known for being compassionate and for bringing people together,” the Hostages and Missing Families Forum said.- Daniella Gilboa, 20 -Daniella Gilboa, from Petah Tikva, was identified as a hostage by the clothes she wore in videos she sent to her boyfriend on the morning of the attack.Gilboa also turned 20 in captivity.She “is a passionate musician who studies piano and singing, aspiring to pursue a professional career in music,” the Forum said.- Naama Levy, 20 -In a video of her capture released by Hamas, Naama Levy is shown being escorted to a vehicle wearing trousers which appeared to be covered with blood. In other images, the granddaughter of survivors of the Nazi death camps appears with a swollen face.The second child of four, she grew up in India where she studied at a United States international school. As a child, she took part in the Hands of Peace programme, which promotes peace between young Israelis and Palestinians.Levy, now 20, is a keen triathlete.”Family and friends describe her as gentle and quiet, yet full of light, joy, strength and determination,” the Forum said.