US president-elect Trump holds phone talks with Chinese leader Xi

Chinese President Xi Jinping held phone talks Friday with US president-elect Donald Trump, Chinese state media reported.CCTV said the phone call happened “on the evening of January 17”, without providing any immediate further details.Earlier on Friday, China announced Xi would send Vice President Han Zheng to attend Trump’s inauguration next week.Trump waged a bitter trade war with China during his first term, slapping onerous tariffs on imports from the world’s second-largest economy.He has threatened to impose more severe measures this time around, accusing Beijing of unfair trade practices and contributing to a devastating fentanyl crisis in the United States.On Thursday, Beijing slammed comments by Marco Rubio, Trump’s nominee for secretary of state, as “unwarranted attacks” after the senator — in his confirmation hearing — called China “the most… dangerous near-peer adversary” the US had ever faced.”The US side must establish a correct understanding of China, cease unwarranted attacks and smear campaigns against China,” foreign ministry spokesman Guo Jiakun told a regular briefing.In December, Xi said China was willing to engage in dialogue and “expand cooperation” with the US, but warned that a trade war would have “no winners”.

Over 230,000 flee eastern DR Congo violence since January 1: UNFri, 17 Jan 2025 14:13:57 GMT

Swelling violence in eastern Democratic Republic of Congo has displaced some 237,000 people since the start of the year, the United Nations said Friday.”Escalating clashes between non-state armed groups and the Congolese army in North and South Kivu provinces are intensifying one of the world’s most alarming yet under-reported humanitarian crises,” Eujin Byun, spokeswoman for …

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Shakeel and Rizwan lead Pakistan recovery in fog-hit first Test

Saud Shakeel and Mohammad Rizwan hit unbeaten half-centuries to lead a Pakistan fightback in the first Test against the West Indies on Friday as the hosts reached 143-4 at the close of a fog-hit opening day.When bad light in Multan ended play with just 41.3 overs bowled, Shakeel was on 56 for his ninth half- century and Rizwan was 51 not out for his 11th.The pair added 97 after coming together with Pakistan in real trouble at 46-4.The left-right combination of Shakeel and Rizwan negotiated the three-spinner West Indies attack with aplomb after fast bowler Jayden Seales initially left the home team struggling.”This pitch is tough to bat on,” said Rizwan.”We batted with caution and just took advantage of loose balls. It’s tough to judge what should be a good total, but we will target 300 plus.”Sensing the dry and grassless Multan Stadium pitch will be tricky for batting on the last two days — and with spin set to play a major role — the home team opted to bat after winning the toss.But play was delayed because of early morning fog compounded by poor air quality, resulting in limited visibility and wiping out the first session.Shakeel has so far cracked four boundaries while Rizwan has seven hits to the fence.Seales finished with 3-21 off 10 overs.”My aim was to build pressure and get wickets,” he said. “I sense spin will play a major role on this pitch going forward.”Both teams started with three spinners and just one frontline fast bowler, and the tourists opened the bowling with left-arm spinner Gudakesh Motie alongside Seales.It was Seales who provided the breakthrough, forcing an edge off debutant Muhammad Hurraira to wicketkeeper Tevin Imlach in the sixth over. Hurraira scored six.Three overs later, Motie dismissed skipper Shan Masood off a faint edge to the wicketkeeper for 11, before Seales trapped Kamran Ghulam leg-before with a sharp incoming delivery for five.It became 46-4 when Babar Azam edged Seales behind the wicket for eight, continuing a poor run of scores at home for Pakistan’s premier batter.The two-match series is part of the World Test Championship. Pakistan currently rank eighth and the West Indies ninth and last.

L’Eglise catholique demande à la justice d’ouvrir une enquête sur l’abbé Pierre

Après l’ouverture de ses archives, l’Église catholique a pris une mesure à la symbolique forte vendredi en demandant à la justice d’ouvrir une enquête sur l’abbé Pierre, dans le sillage de nouvelles révélations de violences sexuelles.Le président de la Conférence des évêques de France (CEF) Éric de Moulins-Beaufort a annoncé sur RMC qu’il avait “saisi la justice” mardi pour qu’elle étudie la possibilité d’une enquête sur le prêtre, longtemps figure iconique de la défense des démunis mais qui a fait l’objet de nouvelles accusations gravissimes cette semaine.Le responsable explique avoir “écrit un signalement au procureur de Paris pour lui demander de réfléchir à ouvrir une enquête sur l’abbé Pierre”. Dans un communiqué la CEF précise que ce signalement a été fait “pour non-dénonciation de viols et agressions sexuelles sur personnes vulnérables et mineurs”.Il s’agit aussi d’enquêter sur “d’éventuelles autres victimes ou éventuels complices”, a précisé Mgr de Moulins-Beaufort, en soulignant que le parquet “a des moyens d’investigation qu’une commission d’enquête historique comme celle qu’a réunie Emmaüs (…) n’a pas”. Cette commission a commencé ses travaux en janvier pour une durée prévisible de deux ans.- “Vérité” -Car il faut aller “jusqu’au bout de la vérité”, a martelé le président de la CEF, en redisant son “horreur” après les nouvelles révélations du cabinet spécialisé Egaé lundi et la diffusion de deux documentaires télévisés cette semaine.Dans le rapport publié lundi, le prêtre décédé en 2007 est visé par neuf nouvelles accusations de violences sexuelles, ce qui porte à 33 le nombre total de témoignages depuis le premier rapport du cabinet Egaé, mandaté par Emmaüs, qui avait créé une déflagration en juillet.Parmi les nouvelles révélations, une membre de la famille de l’abbé Pierre assure avoir subi de sa part des “contacts sexuels sur ses seins et sa bouche à la fin des années 90”. Un autre témoignage fait état d’un “acte sexuel avec pénétration sur un garçon mineur”. “Tout cela mis bout à bout dessine le portrait d’un prédateur”, avait estimé lundi Tarek Daher, délégué général d’Emmaüs France.Selon Mgr de Moulins-Beaufort, “à chaque rapport du cabinet on franchit un seuil dans la découverte de ce qu’il a pu faire”, et “une sorte de système qu’il semble avoir construit”.Une action en justice risque toutefois de se heurter à des obstacles, compte-tenu de l’ancienneté des faits remontant à une période allant des années 50 aux années 2000.Ces faits ne peuvent faire l’objet de poursuites pénales s’agissant de l’abbé Pierre, mort, ce qui entraîne l’extinction de toute poursuite. Quant aux personnes qui n’ont pas dénoncé les actes, l’ancienneté des faits rend probable la prescription de toute infraction éventuelle — même si le calcul en la matière est toujours compliqué.- “Peine immense” -Vendredi le président de la CEF a redit aux victimes sa “peine immense”, et incité “toute personne qui aurait subi des violences sexuelles de la part de l’abbé Pierre à se manifester si elle le souhaite auprès de l”un des dispositifs d’écoute de l’Église, ou mis en place par Emmaüs”.Depuis les révélations de juillet l’Église s’est retrouvée sous pression pour faire la lumière sur le silence autour des comportements de l’abbé Pierre. Mgr de Moulins Beaufort a plusieurs fois assuré que l’affaire n’était pas de notoriété publique au sein de l’institution, même si quelques évêques avaient pu être au courant de comportements problématiques à l’époque.La CEF a ouvert en septembre les archives de l’Église sur l’abbé Pierre, dérogeant au délai habituel de 75 ans. Dans le mince dossier cartonné consulté par l’AFP, lettres et notes évoquent certes un comportement “problématique” mais la nature n’en est jamais explicitée.

L’Eglise catholique demande à la justice d’ouvrir une enquête sur l’abbé Pierre

Après l’ouverture de ses archives, l’Église catholique a pris une mesure à la symbolique forte vendredi en demandant à la justice d’ouvrir une enquête sur l’abbé Pierre, dans le sillage de nouvelles révélations de violences sexuelles.Le président de la Conférence des évêques de France (CEF) Éric de Moulins-Beaufort a annoncé sur RMC qu’il avait “saisi la justice” mardi pour qu’elle étudie la possibilité d’une enquête sur le prêtre, longtemps figure iconique de la défense des démunis mais qui a fait l’objet de nouvelles accusations gravissimes cette semaine.Le responsable explique avoir “écrit un signalement au procureur de Paris pour lui demander de réfléchir à ouvrir une enquête sur l’abbé Pierre”. Dans un communiqué la CEF précise que ce signalement a été fait “pour non-dénonciation de viols et agressions sexuelles sur personnes vulnérables et mineurs”.Il s’agit aussi d’enquêter sur “d’éventuelles autres victimes ou éventuels complices”, a précisé Mgr de Moulins-Beaufort, en soulignant que le parquet “a des moyens d’investigation qu’une commission d’enquête historique comme celle qu’a réunie Emmaüs (…) n’a pas”. Cette commission a commencé ses travaux en janvier pour une durée prévisible de deux ans.- “Vérité” -Car il faut aller “jusqu’au bout de la vérité”, a martelé le président de la CEF, en redisant son “horreur” après les nouvelles révélations du cabinet spécialisé Egaé lundi et la diffusion de deux documentaires télévisés cette semaine.Dans le rapport publié lundi, le prêtre décédé en 2007 est visé par neuf nouvelles accusations de violences sexuelles, ce qui porte à 33 le nombre total de témoignages depuis le premier rapport du cabinet Egaé, mandaté par Emmaüs, qui avait créé une déflagration en juillet.Parmi les nouvelles révélations, une membre de la famille de l’abbé Pierre assure avoir subi de sa part des “contacts sexuels sur ses seins et sa bouche à la fin des années 90”. Un autre témoignage fait état d’un “acte sexuel avec pénétration sur un garçon mineur”. “Tout cela mis bout à bout dessine le portrait d’un prédateur”, avait estimé lundi Tarek Daher, délégué général d’Emmaüs France.Selon Mgr de Moulins-Beaufort, “à chaque rapport du cabinet on franchit un seuil dans la découverte de ce qu’il a pu faire”, et “une sorte de système qu’il semble avoir construit”.Une action en justice risque toutefois de se heurter à des obstacles, compte-tenu de l’ancienneté des faits remontant à une période allant des années 50 aux années 2000.Ces faits ne peuvent faire l’objet de poursuites pénales s’agissant de l’abbé Pierre, mort, ce qui entraîne l’extinction de toute poursuite. Quant aux personnes qui n’ont pas dénoncé les actes, l’ancienneté des faits rend probable la prescription de toute infraction éventuelle — même si le calcul en la matière est toujours compliqué.- “Peine immense” -Vendredi le président de la CEF a redit aux victimes sa “peine immense”, et incité “toute personne qui aurait subi des violences sexuelles de la part de l’abbé Pierre à se manifester si elle le souhaite auprès de l”un des dispositifs d’écoute de l’Église, ou mis en place par Emmaüs”.Depuis les révélations de juillet l’Église s’est retrouvée sous pression pour faire la lumière sur le silence autour des comportements de l’abbé Pierre. Mgr de Moulins Beaufort a plusieurs fois assuré que l’affaire n’était pas de notoriété publique au sein de l’institution, même si quelques évêques avaient pu être au courant de comportements problématiques à l’époque.La CEF a ouvert en septembre les archives de l’Église sur l’abbé Pierre, dérogeant au délai habituel de 75 ans. Dans le mince dossier cartonné consulté par l’AFP, lettres et notes évoquent certes un comportement “problématique” mais la nature n’en est jamais explicitée.

“Aucun accord” sur le budget: le PS répond à Lombard

Le chef des députés socialistes Boris Vallaud a contredit vendredi le ministre de l’Économie Éric Lombard, qui avait considéré qu’il y avait un “accord” avec le PS pour qu’il ne censure pas le budget, précisant que la censure était “toujours sur la table”.”Non, Éric Lombard, il n’y a évidemment aucun accord avec les socialistes sur le budget. Notre décision d’hier est une mise à l’épreuve de la négociation et consolide nos premières avancées. Le chemin est encore long jusqu’au budget, la censure est toujours sur la table”, écrit Boris Vallaud sur X.Plus tôt dans la matinée, le ministre de l’Économie, un ami personnel du patron du PS Olivier Faure, avait considéré que le fait que les socialistes n’aient pas voté la motion de censure des Insoumis jeudi revenait à un “accord” avec eux pour qu’ils votent le budget le mois prochain. “Grâce à la décision d’hier, nous aurons un budget”, s’est-il avancé.L’échange n’a pas échappé à Jean-Luc Mélenchon.”C’est au tour du ministre Lombard de le vérifier: le PS ne respecte aucun accord. Celui qu’il a conclu avec Hollande et Faure ne vaudra rien”, a-t-il taclé sur X, alors que les Insoumis reprochent aux socialistes d’avoir “trahi” le Nouveau Front populaire en refusant de voter la censure jeudi.”La girouette (le Parti socialiste, NDLR) votera la censure du budget car toute la gauche va l’y obliger. Au sommet et à la base”, a-t-il pronostiqué.