12 points ou moins, l’Eurovision entre en finale

Les 26 chansons en finale de l’Eurovision samedi vont conduire les téléspectateurs à choisir entre l’humour d’une ode au sauna, le regret d’un amour dilapidé, la promesse d’une aube nouvelle après l’horreur, l’apologie de la jouissance ou encore le souvenir d’une maman.Le concours de la chanson a 69 ans et c’est le plus grand télé-crochet du monde. Musique, kitsch, compétition, mur LED haute définition et beaucoup de pyrotechnie se disputent l’attention et les votes de quelque 160 millions de téléspectateurs en Europe et au-delà. Le concours reste une grande fête populaire. Quelque 500.000 visiteurs sont venus pendant la semaine à Bâle, selon la ville suisse. Et si la Sankt Jakobshalle ne peut accueillir que 6.500 spectateurs, ils seront 36.000 à suivre la finale depuis le stade du FC Bâle de l’autre côté de la rue.”Nous avons commencé tout ça avec l’espoir de rétablir un sentiment d’unité, de calme et de solidarité dans un monde compliqué”, confie Martin Green, le patron du concours, les larmes aux yeux. “Je suis tout simplement bouche bée que (l’Eurovision) transmette un message aussi profond et magnifique au reste du monde”.Les organisateurs ont craint que la participation israélienne n’attire les foules que l’on a vu l’année dernière à Malmö marcher contre la guerre à Gaza, au moment où Israël intensifie son offensive dans le territoire palestinien.Mais la mobilisation a été faible jusque-là. Un rassemblement est encore prévu samedi à 19H00 (17H00 GMT), peu avant le début de la compétition à 21H00.  – Et le vainqueur… -La Suède reste la favorite des parieurs avec l’ode du trio comique KAJ et son entêtant et entraînant “Bara Bada Bastu”, qui évoque les joies d’un sauna. En total contraste mais sur les talons du trio, le contre-ténor JJ a ébloui pour l’Autriche avec “Wasted Love” sur l’amour dilapidé, avec une interprétation mise en valeur par un noir et blanc de studio Harcourt. Louane, pour la France, était sélectionnée d’office pour la finale, mais sa chanson “maman” hommage à sa mère disparue, intensément interprétée et une scénographie toute en retenue symbolisant le temps qui passe dans un sablier, lui ont permis de se hisser à la troisième place des bookmakers. – Adrénaline -Le Norvégien Kyle Alessandro ouvrira le spectacle dans une explosion de flammes, suivi par la Luxembourgeoise Laura Thorn et “la poupée monte le son”. Une possible surprise.Sur un ton léger et en français, la chanteuse dénonce le patriarcat en invoquant “Poupée de cire, poupée de son”, écrit par Serge Gainsbourg et dont l’interprétation par France Gall avait donné la victoire au Luxembourg il y a 60 ans. L’Albanie sera la dernière à se produire avant une longue séquence qui mènera à l’annonce du résultat, la remise du trophée en cristal et une vie bouleversée.  Les concurrents seront départagés par des votes : celui du jury et celui séparé des téléspectateurs de chacun des 37 pays participants, avec un poids égal. S’y ajoute le vote des spectateurs du reste du monde. “La course au vainqueur s’annonce serrée”, dit Thomas Niedermeyer, le maître des votes de l’Eurovision.  – Espoir et désir-Sur fond d’appels au boycott d’Israël à l’Eurovision, la chanteuse israélienne et survivante de l’attaque du 7-Octobre, Yuval Raphael a vu sa cote augmenter au fil des semaines et son interprétation de “New Day Will Rise” (Un jour nouveau se lèvera) lui a offert un ticket en finale. La jeune femme de 24 ans qui a survécu en faisant la morte sous un tas de cadavres pendant le massacre perpétré par le Hamas, veut lancer un message universel “d’espoir et de solidarité”.La Finlandaise Erika Vikman, célèbre aussi la vie, mais à sa façon. Body de cuir clouté, cuissardes, chantant à tue-tête “Ich Komme” (je jouis), la chanteuse s’envole dans les airs sur un micro géant d’où jaillissent des gerbes d’étincelles.C’est la seule dont le public a scandé “Erika”, “Erika, Erika”, reflétant l’enthousiasme grandissant pour celle qui a dû cacher des fesses que l’Eurovision ne saurait voir. Et il y a le mystère qui devient une obsession pour les médias et les fans présents à Bâle : Céline Dion, qui souffre d’une grave maladie,  participera-t-elle à la finale samedi, 37 ans après avoir remporté le prix ? “Le Père Noël existe, et il faudra attendre et voir” ce qui va se passer, répond Martin Green, le patron du concours.

Arab summit presses for end to Gaza ‘bloodshed’

Arab leaders meeting Saturday at a summit in Baghdad urged the international community to press for a Gaza ceasefire, as Israel launched an expanded military offensive in the Palestinian territory.In a joint final statement, Arab League members also called for funding to back their Gaza reconstruction plan, after US President Donald Trump reiterated a proposal to take over the strip.The Arab leaders called “on the international community… to exert pressure to end the bloodshed and ensure that urgent humanitarian aid can enter without obstacles all areas in need in Gaza.”They added that they “firmly” rejected any plans to displace Palestinians. It came hours after Israel’s military launched a new Gaza offensive, saying it was part of “the expansion of the battle in the Gaza Strip” aimed at defeating Palestinian militant group Hamas.Appearing at the summit as a guest, Spanish Prime Minister Pedro Sanchez appealed for increased pressure “to halt the massacre in Gaza”.Egypt’s President Abdel Fattah al-Sisi urged his US counterpart Donald Trump to “apply all necessary efforts… for a ceasefire”.United Nations chief Antonio Guterres told the summit that “we need a permanent ceasefire, now”.Guterres said he was “alarmed by reported plans by Israel to expand ground operations and more”.”We reject the repeated displacement of the Gaza population, along with any question of forced displacement outside of Gaza.”During a press conference, he urged an end to Israel’s aid blockade on Gaza.”A policy of siege and starvation makes a mockery of international law,” Guterres said.- ‘Unacceptable number’ -Sanchez, who has sharply criticised the Israeli offensive, said world leaders should “intensify our pressure on Israel to halt the massacre in Gaza, particularly through the channels afforded to us by international law”.He said his government planned a UN resolution demanding an International Court of Justice ruling on Israel’s war methods.The “unacceptable number” of war victims in Gaza violates the “principle of humanity”, he said.The summit came days after a tour of the Gulf by Trump, who has sparked uproar by declaring the United States could take over Gaza and turn it into the “Riviera of the Middle East”.The scheme that included the proposed displacement of Palestinians was widely condemned, and prompted Arab leaders to come up with an alternative plan to rebuild the territory at a March summit in Cairo.During his visit to the region, Trump reiterated that he wanted the United States to “take” Gaza and turn it into a “freedom zone”.Iraq’s Prime Minister Mohammed Shia al-Sudani told the summit his country backed the creation of an “Arab fund to support reconstruction efforts” after crises in the region.He pledged $20 million to reconstruct Gaza and a similar amount for Lebanon, after an all-out war between Israel and the Iran-backed Hezbollah.Israel has continued to launch strikes on Lebanon despite the November 27 truce.- Syria -Iraq only recently regained a semblance of normality after decades of devastating conflict and turmoil, and its leaders view the summit as an opportunity to project an image of stability.Baghdad last hosted an Arab League summit in 2012, during the early stages of the civil war in neighbouring Syria, which in December entered a new chapter with the overthrow of longtime ruler Bashar al-Assad.In Riyadh this week, Trump met Syria’s interim President Ahmed al-Sharaa, a onetime jihadist whose Islamist group spearheaded the offensive that toppled Assad.He also said he would lift sanctions on Syria, which were mainly imposed during Assad’s rule.Arab leaders welcomed the decision and said the sanctions impacted Syria’s reconstruction efforts.Sharaa, who was imprisoned in Iraq for years after the US-led invasion of 2003 on charges of belonging to Al-Qaeda, missed the Baghdad summit after several powerful Iraqi politicians voiced opposition to his visit.Foreign Minister Asaad al-Shaibani represented Syria, one of many countries to send ministerial-level delegations instead of leaders.

Cannes: un homme “gravement blessé” sur la Croisette par la chute d’un palmier

Un homme marchant sur la Croisette à Cannes a été blessé par la chute d’un palmier balayé par un coup de vent samedi matin alors que le festival de cinéma battait son plein, ont constaté des journalistes de l’AFP.L’homme est “gravement blessé” selon les pompiers, contactés par l’AFP, qui n’ont pas donné d’indication sur son pronostic vital.L’accident a eu lieu en plein Festival de Cannes, qui a débuté mardi, alors que festivaliers et professionnels du cinéma se pressent sur la Croisette, le long de la plage, où sont installés de nombreux bars et restaurants éphémères.”J’étais assise, (…) il y a eu un épouvantable coup de vent, (…) j’ai entendu crier, je me suis retournée et le palmier a été déraciné — un palmier, je dirais, en mauvais état”, a témoigné Marthy Fink, festivalière luxembourgeoise habitant à Lyon. “Il a poussé par terre la personne, qui était gravement atteinte”, a-t-elle poursuivi.”Il y avait foule, il y avait des gens qui descendaient et remontaient la Croisette et c’était quelqu’un qui était visiblement pressé parce qu’il est passé devant moi pour se faufiler un petit passage”, a ajouté Mme Fink, visiblement secouée par l’accident.dac-vxm-mg-agu/pel/vk

Roumanie: le nationaliste Simion ferme ses comptes TikTok et Facebook avant le second tour

Le candidat nationaliste à l’élection présidentielle en Roumanie, George Simion, a annoncé samedi avoir décidé de fermer ses comptes sur les réseaux sociaux Facebook et TikTok à la veille du second tour, dans un climat tendu.”Pour respecter cette journée de silence, je ferme mon compte”, a-t-il annoncé sur Facebook. “Celui sur TikTok est déjà fermé (…) et j’appelle tout le monde à faire de même”.Il a cependant gardé le canal X ouvert “pour communiquer si nécessaire”, cette plateforme étant privilégiée pour les messages officiels en Roumanie en particulier à destination d’un public étranger.Le chef du parti nationaliste AUR, âgé de 38 ans, affronte dimanche le maire centriste de Bucarest, Nicusor Dan, 55 ans, pour décrocher le poste suprême, doté du pouvoir de nommer des postes clés et de participer aux sommets de l’UE et de l’Otan.George Simion a largement dominé le vote du 4 mai avec un score de près de 41%, le double de son rival, mais les sondages, pas toujours fiables par le passé, les placent désormais au coude-à-coude.Ce souverainiste, fan de Donald Trump, avait mis en garde vendredi contre des risques de “fraude massive”, des allégations immédiatement rejetées par les autorités roumaines.Les tensions sont fortes dans le pays d’Europe orientale voisin de l’Ukraine, cinq mois après la rarissime annulation d’un premier scrutin.Le 24 novembre, un candidat d’extrême droite quasi-inconnu, Calin Georgescu, avait créé la surprise après une campagne massive sur TikTok entachée de soupçons d’ingérence russe.Cet ex-haut fonctionnaire a depuis été inculpé et exclu de cette nouvelle course, une décision qui a provoqué des manifestations parfois violentes de ses partisans criant au déni de démocratie. Avant que George Simion n’annonce sa décision de fermer ses comptes TikTok et Facebook, où il est suivi par plus de 1,5 million d’abonnés, des internautes ont dénoncé sur les réseaux sociaux le geste de “censure” d’un “système désespéré”.Selon le politologue Sergiu Miscoiu, le député nationaliste “cherche à travers cette manoeuvre à se présenter en politicien respectueux des normes démocratiques”. “En réalité, il y a des milliers de faux comptes sur TikTok et sur d’autres réseaux qui continuent à faire une propagande soutenue en sa faveur”, a-t-il dit à l’AFP, dénonçant “une opération d’enfumage”.

Roumanie: le nationaliste Simion ferme ses comptes TikTok et Facebook avant le second tour

Le candidat nationaliste à l’élection présidentielle en Roumanie, George Simion, a annoncé samedi avoir décidé de fermer ses comptes sur les réseaux sociaux Facebook et TikTok à la veille du second tour, dans un climat tendu.”Pour respecter cette journée de silence, je ferme mon compte”, a-t-il annoncé sur Facebook. “Celui sur TikTok est déjà fermé (…) et j’appelle tout le monde à faire de même”.Il a cependant gardé le canal X ouvert “pour communiquer si nécessaire”, cette plateforme étant privilégiée pour les messages officiels en Roumanie en particulier à destination d’un public étranger.Le chef du parti nationaliste AUR, âgé de 38 ans, affronte dimanche le maire centriste de Bucarest, Nicusor Dan, 55 ans, pour décrocher le poste suprême, doté du pouvoir de nommer des postes clés et de participer aux sommets de l’UE et de l’Otan.George Simion a largement dominé le vote du 4 mai avec un score de près de 41%, le double de son rival, mais les sondages, pas toujours fiables par le passé, les placent désormais au coude-à-coude.Ce souverainiste, fan de Donald Trump, avait mis en garde vendredi contre des risques de “fraude massive”, des allégations immédiatement rejetées par les autorités roumaines.Les tensions sont fortes dans le pays d’Europe orientale voisin de l’Ukraine, cinq mois après la rarissime annulation d’un premier scrutin.Le 24 novembre, un candidat d’extrême droite quasi-inconnu, Calin Georgescu, avait créé la surprise après une campagne massive sur TikTok entachée de soupçons d’ingérence russe.Cet ex-haut fonctionnaire a depuis été inculpé et exclu de cette nouvelle course, une décision qui a provoqué des manifestations parfois violentes de ses partisans criant au déni de démocratie. Avant que George Simion n’annonce sa décision de fermer ses comptes TikTok et Facebook, où il est suivi par plus de 1,5 million d’abonnés, des internautes ont dénoncé sur les réseaux sociaux le geste de “censure” d’un “système désespéré”.Selon le politologue Sergiu Miscoiu, le député nationaliste “cherche à travers cette manoeuvre à se présenter en politicien respectueux des normes démocratiques”. “En réalité, il y a des milliers de faux comptes sur TikTok et sur d’autres réseaux qui continuent à faire une propagande soutenue en sa faveur”, a-t-il dit à l’AFP, dénonçant “une opération d’enfumage”.

Trois Iraniens inculpés pour espionnage présentés devant la justice au Royaume-Uni

Trois ressortissants iraniens inculpés pour espionnage et préparation d’actes violents au Royaume-Uni au profit de l’Iran ont été présentés devant la justice samedi à Londres, le gouvernement britannique dénonçant les “menaces croissantes émanant d’Etats” sur son sol.Ces hommes de 39 à 55 ans arrêtés il y a deux semaines font l’objet “d’accusations extrêmement graves, portées à l’issue d’une enquête rapide et très complexe”, a déclaré le commandant de l’unité antiterroriste de la police de Londres Dominic Murphy. Leur inculpation pour des “actes susceptibles d’aider un service de renseignement étranger”, commis entre août 2024 et février 2025, a été annoncée samedi matin, suivie de leur comparution devant un tribunal de la capitale britannique.Les trois hommes, vêtus de sweatshirt gris, n’ont pas déclaré s’ils plaidaient coupables ou non. Ils ont été placés en détention provisoire et comparaîtront lors d’une audience préliminaire à la cour criminelle de l’Old Bailey à Londres le 6 juin. “L’Iran doit être tenu responsable de ses actes”, a affirmé la ministre de l’Intérieur Yvette Cooper dans un communiqué.”Nous devons renforcer nos pouvoirs pour protéger notre sécurité nationale, car nous ne tolérerons pas de menaces croissantes émanant d’Etats sur notre sol”, a-t-elle ajouté.Depuis début 2022, le Royaume-Uni a identifié plus de 20 complots soutenus par l’Iran, présentant des menaces potentiellement mortelles pour les citoyens britanniques et les résidents du Royaume-Uni, selon le gouvernement.D’après la BBC, ces hommes prévoyaient de s’en prendre à des journalistes d’Iran International, chaîne de TV privée basée à Londres et classée comme organisation terroriste par Téhéran.En mars 2024, son reporter Pouria Zeraati, avait été agressé au couteau près de son domicile à Londres et a dû être hospitalisé pour une blessure à la jambe.Mostafa Sepahvand, 39 ans, Farhad Javadi Manesh, 44 ans et Shapoor Qalehali Khani Noori, 55 ans, habitants de Londres, ont été interpellés le 3 mai avant de faire l’objet d’un mandat de détention en vertu de la loi de 2023 sur la sécurité nationale.Celle-ci permet à la police d’arrêter des personnes soupçonnées d’être impliquées “dans une activité de menace émanant d’une puissance étrangère”.Mostafa Sepahvand, qui était en fauteuil roulant au tribunal, a été inculpé pour des actes de surveillance ou de reconnaissance “dans l’intention de commettre des actes de violence grave contre une personne au Royaume-Uni”, a indiqué la police.- Complot -Farhad Javadi Manesh et Shapoor Qalehali Khani Noori ont eux été inculpés pour des motifs similaires, mais avec l’intention que ces violences soient “commises par d’autres”.Ils sont tous les trois arrivés sur le sol britannique “par des moyens irréguliers, notamment de petits bateaux”, entre 2016 et 2022, a indiqué le gouvernement.Un quatrième Iranien de 31 ans avait été arrêté le 9 mai, avant d’être relâché sans poursuites jeudi dernier.Le 3 mai, cinq ressortissants iraniens avaient également été arrêtés à Londres, Swindon (ouest de Londres) et dans la région de Manchester dans le cadre d’une autre enquête de la police antiterroriste.Soupçonnés de “préparation d’un acte terroriste”, quatre de ces hommes de 29 à 46 ans font toujours l’objet de mandats de détention jusqu’à une date inconnue, tandis que le cinquième homme a été libéré sous caution en mai.”L’enquête porte sur un complot présumé visant un site spécifique”, avait indiqué la police. Il s’agirait, selon des médias britanniques, de l’ambassade d’Israël à Londres.Téhéran avait rejeté “catégoriquement” toute implication, et le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a affirmé que son pays était “prêt à s’engager pour faire la lumière sur ce qui s’est réellement passé”.Londres a annoncé début mars placer l’Iran, ses services de renseignement et les Gardiens de la Révolution au niveau le plus élevé de son nouveau système gouvernemental “FIRS” de surveillance des “influences étrangères secrètes”.Il a ensuite pris des mesures équivalentes pour toutes les personnes travaillant pour l’Etat russe au Royaume-Uni. Elles devront se faire enregistrer d’ici l’été, faute de quoi elles encourront une peine de prison.Londres a également mandaté un avocat, Jonathan Hall, pour étudier l’adaptation du “cadre (légal) de lutte contre le terrorisme aux menaces étatiques contemporaines”, qui rendra ses conclusions cette semaine, a déclaré Mme Cooper.