TikTok rend inaccessible son réseau social aux Etats-Unis mais compte sur “une solution” Trump

TikTok a rendu inaccessible son application en ligne samedi aux Etats-Unis, mettant à exécution sa menace faute de garanties du gouvernement Biden, tout en indiquant que Donald Trump “va travailler à une solution” avec la plateforme pour la “rétablir”.”Une loi interdisant TikTok a été mise en application aux Etats-Unis”, dit un message en cas de tentative de connexion. “Cela signifie que vous ne pouvez plus utiliser TikTok pour l’instant.””Nous avons la chance que le président Trump ait indiqué qu’il allait travailler avec nous à une solution pour rétablir TikTok une fois entré en fonction”, poursuit le texte. “Restez branchés!”Le message renvoyait vers un site qui proposait aux TikTokeurs de télécharger l’ensemble de leurs données et contenus postés jusqu’ici.Application devenue phénomène de société en moins de 10 ans, extrêmement prisée des jeunes, voire très jeunes internautes, TikTok n’est plus visible sur les boutiques numériques d’Apple et Google aux Etats-Unis.Depuis vendredi, TikTok avait exhorté le gouvernement Biden à envoyer un signal clair aux fournisseurs d’internet et gestionnaires de boutiques d’applications pour les dissuader de suspendre téléchargements et mises à jour.Vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Ce texte avait été voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La loi imposait théoriquement aux prestataires de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit (dimanche à 05H00 GMT), sous peine de très lourdes amendes.Karine Jean-Pierre a qualifié les dernières déclarations de TikTok de “manÅ“uvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Des réfugiés sur YouTube -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine avait refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Le report de l’entrée en vigueur de la loi n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, qui valoriserait le réseau social au moins 50 milliards de dollars.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping.Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi.Outre TikTok, ont été mises hors ligne toutes les applications de ByteDance aux Etats-Unis, notamment un autre réseau social, Lemon8, sur lequel avaient migré des TikTokeurs aux abois.Quelques minutes seulement après la suspension de la célèbre plateforme, plusieurs créateurs de contenu ont mis en ligne des vidéos sur YouTube pour souhaiter la bienvenue aux “réfugiés” de TikTok.”Je vous remercie de m’avoir suivi sur YouTube”, a lancé la vedette de la presse à sensation Perez Hilton, qui compte près de 470.000 abonnés sur le site de vidéos filiale de Google.D’autres faisaient part de leur stupéfaction et de leur tristesse de voir leur application favorite disparaître d’internet, temporairement peut-être.

TikTok rend inaccessible son réseau social aux Etats-Unis mais compte sur “une solution” Trump

TikTok a rendu inaccessible son application en ligne samedi aux Etats-Unis, mettant à exécution sa menace faute de garanties du gouvernement Biden, tout en indiquant que Donald Trump “va travailler à une solution” avec la plateforme pour la “rétablir”.”Une loi interdisant TikTok a été mise en application aux Etats-Unis”, dit un message en cas de tentative de connexion. “Cela signifie que vous ne pouvez plus utiliser TikTok pour l’instant.””Nous avons la chance que le président Trump ait indiqué qu’il allait travailler avec nous à une solution pour rétablir TikTok une fois entré en fonction”, poursuit le texte. “Restez branchés!”Le message renvoyait vers un site qui proposait aux TikTokeurs de télécharger l’ensemble de leurs données et contenus postés jusqu’ici.Application devenue phénomène de société en moins de 10 ans, extrêmement prisée des jeunes, voire très jeunes internautes, TikTok n’est plus visible sur les boutiques numériques d’Apple et Google aux Etats-Unis.Depuis vendredi, TikTok avait exhorté le gouvernement Biden à envoyer un signal clair aux fournisseurs d’internet et gestionnaires de boutiques d’applications pour les dissuader de suspendre téléchargements et mises à jour.Vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Ce texte avait été voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La loi imposait théoriquement aux prestataires de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit (dimanche à 05H00 GMT), sous peine de très lourdes amendes.Karine Jean-Pierre a qualifié les dernières déclarations de TikTok de “manÅ“uvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Des réfugiés sur YouTube -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine avait refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Le report de l’entrée en vigueur de la loi n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, qui valoriserait le réseau social au moins 50 milliards de dollars.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping.Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi.Outre TikTok, ont été mises hors ligne toutes les applications de ByteDance aux Etats-Unis, notamment un autre réseau social, Lemon8, sur lequel avaient migré des TikTokeurs aux abois.Quelques minutes seulement après la suspension de la célèbre plateforme, plusieurs créateurs de contenu ont mis en ligne des vidéos sur YouTube pour souhaiter la bienvenue aux “réfugiés” de TikTok.”Je vous remercie de m’avoir suivi sur YouTube”, a lancé la vedette de la presse à sensation Perez Hilton, qui compte près de 470.000 abonnés sur le site de vidéos filiale de Google.D’autres faisaient part de leur stupéfaction et de leur tristesse de voir leur application favorite disparaître d’internet, temporairement peut-être.

TikTok rend inaccessible son réseau social aux Etats-Unis mais compte sur “une solution” Trump

TikTok a rendu inaccessible son application en ligne samedi aux Etats-Unis, mettant à exécution sa menace faute de garanties du gouvernement Biden, tout en indiquant que Donald Trump “va travailler à une solution” avec la plateforme pour la “rétablir”.”Une loi interdisant TikTok a été mise en application aux Etats-Unis”, dit un message en cas de tentative de connexion. “Cela signifie que vous ne pouvez plus utiliser TikTok pour l’instant.””Nous avons la chance que le président Trump ait indiqué qu’il allait travailler avec nous à une solution pour rétablir TikTok une fois entré en fonction”, poursuit le texte. “Restez branchés!”Le message renvoyait vers un site qui proposait aux TikTokeurs de télécharger l’ensemble de leurs données et contenus postés jusqu’ici.Application devenue phénomène de société en moins de 10 ans, extrêmement prisée des jeunes, voire très jeunes internautes, TikTok n’est plus visible sur les boutiques numériques d’Apple et Google aux Etats-Unis.Depuis vendredi, TikTok avait exhorté le gouvernement Biden à envoyer un signal clair aux fournisseurs d’internet et gestionnaires de boutiques d’applications pour les dissuader de suspendre téléchargements et mises à jour.Vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Ce texte avait été voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La loi imposait théoriquement aux prestataires de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit (dimanche à 05H00 GMT), sous peine de très lourdes amendes.Karine Jean-Pierre a qualifié les dernières déclarations de TikTok de “manÅ“uvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Des réfugiés sur YouTube -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine avait refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Le report de l’entrée en vigueur de la loi n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, qui valoriserait le réseau social au moins 50 milliards de dollars.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping.Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi.Outre TikTok, ont été mises hors ligne toutes les applications de ByteDance aux Etats-Unis, notamment un autre réseau social, Lemon8, sur lequel avaient migré des TikTokeurs aux abois.Quelques minutes seulement après la suspension de la célèbre plateforme, plusieurs créateurs de contenu ont mis en ligne des vidéos sur YouTube pour souhaiter la bienvenue aux “réfugiés” de TikTok.”Je vous remercie de m’avoir suivi sur YouTube”, a lancé la vedette de la presse à sensation Perez Hilton, qui compte près de 470.000 abonnés sur le site de vidéos filiale de Google.D’autres faisaient part de leur stupéfaction et de leur tristesse de voir leur application favorite disparaître d’internet, temporairement peut-être.

TikTok rend inaccessible son réseau social aux Etats-Unis mais compte sur “une solution” Trump

TikTok a rendu inaccessible son application en ligne samedi aux Etats-Unis, mettant à exécution sa menace faute de garanties du gouvernement Biden, tout en indiquant que Donald Trump “va travailler à une solution” avec la plateforme pour la “rétablir”.”Une loi interdisant TikTok a été mise en application aux Etats-Unis”, dit un message en cas de tentative de connexion. “Cela signifie que vous ne pouvez plus utiliser TikTok pour l’instant.””Nous avons la chance que le président Trump ait indiqué qu’il allait travailler avec nous à une solution pour rétablir TikTok une fois entré en fonction”, poursuit le texte. “Restez branchés!”Le message renvoyait vers un site qui proposait aux TikTokeurs de télécharger l’ensemble de leurs données et contenus postés jusqu’ici.Application devenue phénomène de société en moins de 10 ans, extrêmement prisée des jeunes, voire très jeunes internautes, TikTok n’est plus visible sur les boutiques numériques d’Apple et Google aux Etats-Unis.Depuis vendredi, TikTok avait exhorté le gouvernement Biden à envoyer un signal clair aux fournisseurs d’internet et gestionnaires de boutiques d’applications pour les dissuader de suspendre téléchargements et mises à jour.Vendredi, la Maison Blanche a estimé que “l’application de la loi (devait) revenir au prochain gouvernement, qui prendra ses fonctions lundi”, selon une déclaration de la porte-parole Karine Jean-Pierre.Ce texte avait été voté par le Congrès à une large majorité en avril 2024, contraignant la maison mère chinoise ByteDance à vendre TikTok sous peine d’interdiction.Samedi, Donald Trump a déclaré qu’il étudierait de près le dossier une fois investi, lundi, et qu’un “report de 90 jours (serait) probablement décrété”.”Si je le décide, ce sera probablement lundi”, a précisé, lors d’un entretien à la chaîne NBC, le promoteur immobilier, qui avait tenté lors de son premier mandat de faire interdire TikTok, en vain.La loi imposait théoriquement aux prestataires de bloquer téléchargements et mises à jour dans la nuit de samedi à dimanche à partir de minuit (dimanche à 05H00 GMT), sous peine de très lourdes amendes.Karine Jean-Pierre a qualifié les dernières déclarations de TikTok de “manÅ“uvre”. “Nous ne voyons pas de raison pour TikTok ou d’autres sociétés d’agir avant la prise de fonction du gouvernement Trump, lundi”.- Des réfugiés sur YouTube -Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine avait refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi.Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès “en matière de sécurité nationale” étaient “bien fondées”.Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux Etats-Unis.Mais si la plateforme faisait l’objet d’une franche hostilité de la part de beaucoup d’élus américains il y a un an, le vent a tourné depuis et un consensus politique s’est dégagé ces derniers jours, favorable à la préservation de TikTok.Le report de l’entrée en vigueur de la loi n’est théoriquement possible que si des éléments tangibles rendent une vente crédible.Or, jusqu’ici, ByteDance a toujours officiellement refusé de céder son joyau, même si plusieurs investisseurs se sont manifestés.L’homme d’affaires Frank McCourt est ainsi prêt à mettre 20 milliards de dollars sur la table avec d’autres partenaires, pour les activités américaines de l’application, sans son puissant algorithme.Samedi, la start-up d’intelligence artificielle (IA) Perplexity AI a soumis à ByteDance une proposition de fusion avec la filiale américaine de TikTok, a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier, qui valoriserait le réseau social au moins 50 milliards de dollars.Donald Trump a évoqué TikTok lors d’une conversation téléphonique vendredi avec le président chinois, Xi Jinping.Et le patron du réseau social, Shou Chew, fait partie des invités d’honneur pour sa cérémonie d’investiture lundi.Outre TikTok, ont été mises hors ligne toutes les applications de ByteDance aux Etats-Unis, notamment un autre réseau social, Lemon8, sur lequel avaient migré des TikTokeurs aux abois.Quelques minutes seulement après la suspension de la célèbre plateforme, plusieurs créateurs de contenu ont mis en ligne des vidéos sur YouTube pour souhaiter la bienvenue aux “réfugiés” de TikTok.”Je vous remercie de m’avoir suivi sur YouTube”, a lancé la vedette de la presse à sensation Perez Hilton, qui compte près de 470.000 abonnés sur le site de vidéos filiale de Google.D’autres faisaient part de leur stupéfaction et de leur tristesse de voir leur application favorite disparaître d’internet, temporairement peut-être.

TikTok shuts down US access as Trump seeks app’s reinstatement

TikTok disconnected access to its users in the United States late Saturday shortly before a national ban on the app was to take effect, with President-elect Donald Trump unable to intervene until he takes office.”A law banning TikTok has been enacted in the US,” said a message to users attempting to use the app. “Unfortunately, that means you can’t use TikTok for now.” “We are fortunate that President Trump has indicated that he will work with us on a solution to reinstate TikTok once he takes office,” the message added. “Please stay tuned!”After months of legal tussles, the US Supreme Court on Friday upheld a law that would ban the popular video-sharing platform in the name of national security, unless its Chinese owners reach a deal to sell it to non-Chinese buyers by Sunday.From teenage dancers to grandmothers sharing cooking tips, TikTok has been embraced for its ability to transform ordinary users into global celebrities when a video goes viral.It also has a fan in Trump, who has credited the app with connecting him to younger voters, contributing to his election victory in November.After discussing TikTok with Chinese President Xi Jinping, Trump told NBC News on Saturday that he could activate a 90-day reprieve after he reclaims the Oval Office.”I think that would be, certainly, an option that we look at. The 90-day extension is something that will be most likely done, because it’s appropriate,” he said, ahead of Monday’s inauguration.”If I decide to do that, I’ll probably announce it on Monday.”The law allows a 90-day delay if the White House can show progress toward a viable deal, but TikTok owner ByteDance has flatly refused any sale.The administration of outgoing President Joe Biden has said it will leave the matter to Trump, and White House spokeswoman Karine Jean-Pierre qualified TikTok’s latest statements as a “stunt.”After the court defeat, TikTok CEO Shou Chew appealed to Trump, thanking him for his “commitment to work with us to find a solution.”Trump “truly understands our platform,” he added.Chew is also set to attend Trump’s inauguration on Monday.The law requires Apple and Google to remove TikTok from their app stores, blocking new downloads. The companies could face penalties of up to $5,000 per user who can access the app.Oracle, which hosts TikTok’s servers, would also be legally obligated to enforce the ban.None of the companies responded to requests for comment on Saturday.- Offers for TikTok -A last-minute proposal made Saturday by the highly-valued start-up Perplexity AI offered a merger with the US subsidiary of TikTok, a source with knowledge of the deal told AFP.That deal could allow parent company ByteDance a possible solution without selling off the app entirely. The plan, first reported by US broadcaster CNBC, would create a new joint venture combining the assets of US TikTok and Perplexity AI, which has been backed by Amazon founder Jeff Bezos. The proposal did not include a price for the transaction, but the source estimated it would be at least $50 billion.Frank McCourt, the former Los Angeles Dodgers owner, has also made an offer to purchase TikTok’s US activity and said he’s “ready to work with the company and President Trump to complete a deal.”Canadian investor Kevin O’Leary, who is involved in that offer, told Fox News that ByteDance was offered $20 billion for TikTok’s US operation.He acknowledged the legal uncertainty over the case, with it remaining an open question whether an executive order by Trump to halt the ban would override the law.”Congress wrote this law to be virtually president-proof,” warned Adam Kovacevich, chief executive of industry trade group Chamber of Progress.Sarah Kreps, a professor of government and law at Cornell University, said that “if an executive order conflicts with an existing law, the law takes precedence, and the order can be struck down by the courts.”With TikTok forced into a shutdown, its US-based rivals Instagram Reels and YouTube Shorts could reap benefits.Thousands of worried TikTok users have protectively turned to Xiaohongshu (“Little Red Book”), a Chinese social media network similar to Instagram. Nicknamed “Red Note” by its American users, it was the most downloaded app on the US Apple Store this week. 

Une trêve attendue à Gaza à 06H30 GMT, après 15 mois de guerre

Après 15 mois de guerre meurtrière dans la bande de Gaza, un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas doit entrer en vigueur dimanche matin et être suivi de libérations d’otages, nourrissant les espoirs de paix durable malgré un avertissement de Benjamin Netanyahu.Quelques heures avant l’échéance, fixée à 08H30 locales (06H30 GMT), le Premier ministre israélien a mis en garde qu’il s’agissait “d’un cessez-le-feu provisoire” et qu’Israël se gardait “le droit de reprendre la guerre si besoin et avec le soutien des Etats-Unis”.Selon les termes de l’accord arraché dans les derniers jours de la présidence de Joe Biden, les hostilités doivent cesser et 33 otages israéliens doivent être libérés, dans une première phase étalée sur six semaines.En échange, Israël va libérer 737 prisonniers palestiniens, selon le ministère israélien de la Justice, l’Egypte faisant état de son côté de “plus de 1.890 prisonniers palestiniens” devant être libérés au cours de cette première phase.D’après le président américain, Joe Biden, cette dernière comprend aussi un retrait israélien des zones densément peuplées à Gaza et une augmentation de l’aide humanitaire dans le territoire menacé par la famine selon l’ONU.Les autorités égyptiennes ont précisé que l’accord prévoyait “l’entrée de 600 camions d’aide par jour”, incluant 50 camions de carburant.Pendant la première phase seront négociées les modalités de la deuxième, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la troisième et dernière étape consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages morts en captivité.- “Impatience” -Dans la bande de Gaza, ravagée par le conflit, de nombreux Palestiniens déplacés se sont dits pressés de rentrer chez eux.”Nous attendons ce moment avec impatience, que la vie reprenne son cours (…) Nous voulons fréquenter les marchés et les lieux publics en toute sécurité”, a dit à l’AFPTV Ahmed Hamouda, un déplacé palestinien, à Deir el-Balah (centre).L’accord ambitionne, selon le Qatar, de déboucher sur une fin définitive de la guerre, déclenchée par une attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023.L’attaque a entraîné la mort de 1.210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur 251 personnes enlevées ce jour-là, 94 sont toujours otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée israélienne.Au moins 46.899 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans l’offensive israélienne de représailles à Gaza, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l’ONU.Considérablement affaibli, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, est toutefois encore loin d’être anéanti, contrairement à l’objectif qu’avait fixé Benjamin Netanyahu, selon des experts.Mais après plus d’un an de négociations laborieuses, un accord de cessez-le-feu a finalement été annoncé mercredi.Le gouvernement israélien l’a approuvé tard dans la nuit de vendredi à samedi, après le feu vert du Hamas, considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne.Des otages seront libérés dès dimanche, a annoncé le gouvernement israélien, sans préciser leur nombre ou à quelle heure.Trois points d’accueil ont été installés à la frontière sud d’Israël avec Gaza, aux passages de Kerem Shalom, Eretz et à celui proche du kibboutz Réïm, a précisé un responsable militaire. Les captifs seront pris en charge par des médecins.Selon des sources proches du Hamas, le premier groupe d’otages libérés devrait comprendre trois Israéliennes.M. Netanyahu a exigé samedi soir de recevoir “la liste” des otages devant être libérés dimanche avant de pouvoir procéder au premier échange de prisonniers.Israël a désigné 95 détenus palestiniens libérables dimanche, des femmes et mineurs en majorité, la plupart arrêtés après le 7-Octobre. Leur libération interviendra après 14H00 GMT, d’après les autorités.Parmi les prisonniers appelés à être libérés figure Zakaria al-Zoubeidi, responsable d’attentats anti-israéliens et ex-leader local de la branche armée du Fatah, arrêté et écroué en 2019.Deux Franco-Israéliens, Ofer Kalderon, 54 ans, et Ohad Yahalomi, 50 ans, font partie des 33 otages libérables, selon Paris. Ils ont été enlevés au kibboutz Nir Oz avec plusieurs de leurs enfants, relâchés lors d’une première trêve d’une semaine en novembre 2023.”Quand ils franchiront la frontière (de Gaza) et qu’ils seront réunis avec leurs familles, alors peut-être que nous pourrons respirer de nouveau”, a dit à l’AFP samedi soir Shahar Mor Zahiro, neveu d’un otage décédé, lors d’une manifestation à Tel-Aviv.

Une trêve attendue à Gaza à 06H30 GMT, après 15 mois de guerre

Après 15 mois de guerre meurtrière dans la bande de Gaza, un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas doit entrer en vigueur dimanche matin et être suivi de libérations d’otages, nourrissant les espoirs de paix durable malgré un avertissement de Benjamin Netanyahu.Quelques heures avant l’échéance, fixée à 08H30 locales (06H30 GMT), le Premier ministre israélien a mis en garde qu’il s’agissait “d’un cessez-le-feu provisoire” et qu’Israël se gardait “le droit de reprendre la guerre si besoin et avec le soutien des Etats-Unis”.Selon les termes de l’accord arraché dans les derniers jours de la présidence de Joe Biden, les hostilités doivent cesser et 33 otages israéliens doivent être libérés, dans une première phase étalée sur six semaines.En échange, Israël va libérer 737 prisonniers palestiniens, selon le ministère israélien de la Justice, l’Egypte faisant état de son côté de “plus de 1.890 prisonniers palestiniens” devant être libérés au cours de cette première phase.D’après le président américain, Joe Biden, cette dernière comprend aussi un retrait israélien des zones densément peuplées à Gaza et une augmentation de l’aide humanitaire dans le territoire menacé par la famine selon l’ONU.Les autorités égyptiennes ont précisé que l’accord prévoyait “l’entrée de 600 camions d’aide par jour”, incluant 50 camions de carburant.Pendant la première phase seront négociées les modalités de la deuxième, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la troisième et dernière étape consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages morts en captivité.- “Impatience” -Dans la bande de Gaza, ravagée par le conflit, de nombreux Palestiniens déplacés se sont dits pressés de rentrer chez eux.”Nous attendons ce moment avec impatience, que la vie reprenne son cours (…) Nous voulons fréquenter les marchés et les lieux publics en toute sécurité”, a dit à l’AFPTV Ahmed Hamouda, un déplacé palestinien, à Deir el-Balah (centre).L’accord ambitionne, selon le Qatar, de déboucher sur une fin définitive de la guerre, déclenchée par une attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023.L’attaque a entraîné la mort de 1.210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur 251 personnes enlevées ce jour-là, 94 sont toujours otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée israélienne.Au moins 46.899 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans l’offensive israélienne de représailles à Gaza, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l’ONU.Considérablement affaibli, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, est toutefois encore loin d’être anéanti, contrairement à l’objectif qu’avait fixé Benjamin Netanyahu, selon des experts.Mais après plus d’un an de négociations laborieuses, un accord de cessez-le-feu a finalement été annoncé mercredi.Le gouvernement israélien l’a approuvé tard dans la nuit de vendredi à samedi, après le feu vert du Hamas, considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne.Des otages seront libérés dès dimanche, a annoncé le gouvernement israélien, sans préciser leur nombre ou à quelle heure.Trois points d’accueil ont été installés à la frontière sud d’Israël avec Gaza, aux passages de Kerem Shalom, Eretz et à celui proche du kibboutz Réïm, a précisé un responsable militaire. Les captifs seront pris en charge par des médecins.Selon des sources proches du Hamas, le premier groupe d’otages libérés devrait comprendre trois Israéliennes.M. Netanyahu a exigé samedi soir de recevoir “la liste” des otages devant être libérés dimanche avant de pouvoir procéder au premier échange de prisonniers.Israël a désigné 95 détenus palestiniens libérables dimanche, des femmes et mineurs en majorité, la plupart arrêtés après le 7-Octobre. Leur libération interviendra après 14H00 GMT, d’après les autorités.Parmi les prisonniers appelés à être libérés figure Zakaria al-Zoubeidi, responsable d’attentats anti-israéliens et ex-leader local de la branche armée du Fatah, arrêté et écroué en 2019.Deux Franco-Israéliens, Ofer Kalderon, 54 ans, et Ohad Yahalomi, 50 ans, font partie des 33 otages libérables, selon Paris. Ils ont été enlevés au kibboutz Nir Oz avec plusieurs de leurs enfants, relâchés lors d’une première trêve d’une semaine en novembre 2023.”Quand ils franchiront la frontière (de Gaza) et qu’ils seront réunis avec leurs familles, alors peut-être que nous pourrons respirer de nouveau”, a dit à l’AFP samedi soir Shahar Mor Zahiro, neveu d’un otage décédé, lors d’une manifestation à Tel-Aviv.

TikTok notifies US users of shutdown as Trump seeks last-ditch solution

TikTok warned users in the United States late Saturday that the app would soon become “temporarily unavailable” as a law banning it in the country was set to take effect — though President-elect Donald Trump said he was considering a reprieve.”We regret that a US law banning TikTok will take effect on January 19 and force us to make our services temporarily unavailable,” read a notification to US users who opened the app Saturday night. “We’re working to restore our service in the US as soon as possible, and we appreciate your support. Please stay tuned,” the message added.After months of legal tussles, the US Supreme Court on Friday upheld a law that would ban the popular video-sharing platform in the name of national security, unless its Chinese owners reach a deal to sell it to non-Chinese buyers by Sunday.Only months after overwhelmingly backing the law, lawmakers and officials were now fretting about the ban, with all eyes on whether Trump can swoop in and find a way to save the app.From teenage dancers to grandmothers sharing cooking tips, TikTok has been embraced for its ability to transform ordinary users into global celebrities when a video goes viral.It also has a fan in Trump, who has credited the app with connecting him to younger voters, contributing to his election victory in November.After discussing TikTok with Chinese President Xi Jinping, Trump told NBC News on Saturday that he could activate a 90-day reprieve after he reclaims the Oval Office.”I think that would be, certainly, an option that we look at. The 90-day extension is something that will be most likely done, because it’s appropriate,” he said, ahead of Monday’s inauguration.”If I decide to do that, I’ll probably announce it on Monday.”The law allows a 90-day delay if the White House can show progress toward a viable deal, but TikTok owner ByteDance has flatly refused any sale.The administration of outgoing President Joe Biden has said it will leave the matter to Trump, and White House spokeswoman Karine Jean-Pierre qualified TikTok’s latest statements as a “stunt.”After the court defeat, TikTok CEO Shou Chew appealed to Trump, thanking him for his “commitment to work with us to find a solution.”Trump “truly understands our platform,” he added.TikTok has been lobbying furiously to thwart the law’s implementation, with Chew set to attend Trump’s inauguration on Monday.The law requires Apple and Google to remove TikTok from their app stores, blocking new downloads. The companies could face penalties of up to $5,000 per user who can access the app.Oracle, which hosts TikTok’s servers, would also be legally obligated to enforce the ban.None of the companies responded to requests for comment on Saturday.- Offers for TikTok -A last-minute proposal made Saturday by the highly-valued start-up Perplexity AI offered a merger with the US subsidiary of TikTok, a source with knowledge of the deal told AFP.That deal could allow parent company ByteDance a possible solution without selling off the app entirely. The plan, first reported by US broadcaster CNBC, would create a new joint venture combining the assets of US TikTok and Perplexity AI, which has been backed by Amazon founder Jeff Bezos. The proposal did not include a price for the transaction, but the source estimated it would be at least $50 billion.Frank McCourt, the former Los Angeles Dodgers owner, has also made an offer to purchase TikTok’s US activity and said he’s “ready to work with the company and President Trump to complete a deal.”Canadian investor Kevin O’Leary, who is involved in that offer, told Fox News that ByteDance was offered $20 billion for TikTok’s US operation.He acknowledged the legal uncertainty over the case, with it remaining an open question whether an executive order by Trump to halt the ban would override the law.”Congress wrote this law to be virtually president-proof,” warned Adam Kovacevich, chief executive of industry trade group Chamber of Progress.Sarah Kreps, a professor of government and law at Cornell University, said that “if an executive order conflicts with an existing law, the law takes precedence, and the order can be struck down by the courts.”If TikTok is forced into a shutdown, its US-based rivals Instagram Reels and YouTube Shorts would benefit.Thousands of worried TikTok users have protectively turned to Xiaohongshu (“Little Red Book”), a Chinese social media network similar to Instagram. Nicknamed “Red Note” by its American users, it was the most downloaded app on the US Apple Store this week.Â